Attention, ce récit photographique n’est pas un article, mais une photothèque qui reprend de manière chronologique l’intégralité de notre découverte du mondial air ballons qui se situe à Chambley en Meurthe-et-Moselle.

Pour profiter pleinement de cet évènement unique au monde et qui se déroule tous les deux ans, nous avons effectué une accréditation presse en partenariat avec Léa Ruggeri du service communication de l’évènement qui regroupe sur plusieurs jours le plus grand nombre de montgolfières au monde.

Le site qui reçoit du public toute l’année et qui permet d’effectuer de nombreux baptêmes aériens se situe à l’aérodrome de Chambley, au 11 Boulevard Antoine de Saint-Exupéry, dans la petite ville d’Hageville. Le site Internet de l’entreprise qui gère l’évènement : Pilatre de Rozier est le : https://www.pilatre-de-rozier.com/ et le site Internet de l’évènement est le : https://www.pilatre-de-rozier.com/lmab/

En provenance de Metz, nous nous rendons en Meurthe-et-Moselle.

Nous entrons dans le petit village de Chambley.

Nous traversons le village pour rejoindre la base aérienne.

Etant donné qu’une accréditation presse nous a été envoyée par la poste, nous pouvons emprunter le parking qui nous mène au coeur du site ; pour le public, le parking se situe non loin de là et il est gratuit.

Nous pouvons rejoindre à pied l’évènement.

Nous nous rendons dans le hangar réservé aux pilotes.

Pour récupérer notre accréditation presse, il nous faut nous rendre au village partenaire.

Après avoir donné nos noms, nous récupérons nos badges.

Nous pouvons découvrir le cabanon presse qui se trouve dans le village partenaire.

Nous décidons de faire un tour dans le village.

De nombreux exposants sont présents.

Nous quittons le village partenaire.

Nous nous rendons sur le site accessible au grand public.

De nombreux exposants sont également présents.

Ainsi que France 3 qui y effectue un direct.

De nombreuses animations sont également disponibles pour les enfants.

Dans le hangar des pilotes, le discours d’ouverture se tient.

La tension se lit sur les visages ; en effet le vent étant trop fort, pour l’instant, le feu vert pour les départs n’est pas donné.

Fort heureusement, le vent baisse et le directeur des vols autorise les départs.

Les pilotes se ruent sur la pelouse de l’aérodrome.

Quarante journalistes se voient attribués en fonction de leur ordre d’arrivée, des chasubles qui leur permet d’entrer sur le terrain de décollage.

En ce qui nous concerne, nous sommes autorisés exceptionnellement à décoller avec un pilote : Pierre barré. Il faut préciser que tous les pilotes peuvent faire monter dans leur nacelle qui ils veulent, mais ils ont interdiction de faire payer ce vol. Pour être inscrits, ils doivent payer une cotisation de 200 euros et le gaz leur est fourni, l’évènement étant rémunéré majoritairement par le biais des exposants.

Sur le terrain, l’effervescence règne.

Une des membres des équipes organisatrices nous conduit jusqu’à notre pilote.

En l’attendant, nous assistons au gonflage des autres montgolfières.

Certaines montgolfières peuvent transporter jusqu’à 16 personnes.

Nous faisons connaissance avec notre pilote.

Les premières montgolfières décollent.

Notre pilote détend d’abord la toile.

Le spectacle autour de nous est magique.

Grâce à un ventilateur, la toile se gonfle rapidement.

Nous pouvons enfin décoller, accompagnés de trois autres personnes qui ont gagné leur tour durant le tirage au sort de l’après-midi.

Le vue du ciel est sublime.

Partout autour de nous, des ballons.

Le gaz se vide vite. Les bouteilles doivent être changées en plein vol.

Dans les airs, le silence règne.

Le soleil commence à se coucher.

Nous sommes à présent depuis près d’une heure dans les airs.

Les premiers ballons commencent à se poser.

C’est à notre tour de nous poser en douceur.

Le pilote prévient le conducteur qui nous suit dans la camionnette.

pendant ce temps, le pilote et les passagers plient la toile.

Nous assistons au coucher de soleil depuis le sol.

Indication est donnée au pilote de notre localisation.

Le pilote arrive ; le chargement est monté dans le véhicule.

Juste avant d’arriver au site, le pilote doit remplir à nouveau ses bouteilles pour un prochain vol le lendemain.

Il est temps pour nous de manger.

Nous quittons le département.