D’une superficie totale de 11300 km2, Gambie autrement nommée République de Gambie possède une population de 1883051 habitants.

La monnaie officielle en Gambie est le dalasi qui est la devise officielle depuis 1971.

La religion prédominante est l’islam avec 90% de la population qui y est convertie. La religion chrétienne est présente de manière minoritaire.

Etant enclavé au sein du Sénégal, et étant ouvert sur l’océan Atlantic, la Gambie se traverse du Sud au Nord en approximativement une heure et dix minutes et de l’Est en Ouest en six heures et trente minutes pour des distances respectives de 23 km de 345 km

Serrekunda en est la capitale. Les autres grandes villes sont : le Birkama et Bakau.

D’un point de vue historique, les commerçants arabes ont donnés les premiers témoignages écrits de la région aux environs du IXème et du Xème siècle. Au cours du Xème siècle, les marchands et savants musulmans établissent des communautés dans plusieurs centres commerciaux de l’Afrique de l’Ouest. Se sont établies alors des routes commerciales à travers le Sahara, entraînant un grand commerce d’exportation d’esclaves, d’or et d’ivoire et d’importation de produits manufacturés. Au début du XIVème siècle, la Gambie faisait partie de l’empire du Mali. Les Portugais ont atteint ce domaine par la mer dans le milieu du XVème siècle, et ils ont commencé le commerce extérieur. À son apogée, au XIVème siècle, l’empire du Mali s’étendait jusqu’en Gambie. En 1455, les Portugais installent des points d’ancrages le long du fleuve Gambie à partir duquel ils organisent la traite des Noirs. En 1723, la compagnie britannique d’Afrique achète des terres en Gambie. La Gambie acquiert son indépendance en 1965 et Dawda Jawara en devient le premier président. La Gambie est unie au Sénégal de 1982 à 1989 dans une confédération de Sénégambie. Après des tumultes politiques, s’installe un processus de démocratisation en 1996. Vers la fin de l’an 2001 et au début 2002, la Gambie termine un cycle complet d’élections présidentielles, législatives et locales, que les observateurs étrangers ont jugées libres, justes et transparentes, mais avec quelques lacunes.