Nous prenons le train au départ de Louvigny.
Nous nous rendons en direction de l’aéroport Charles de Gaulle.
Nous arrivons après 1 h 30 au Terminal 2.
Nous rejoignons les comptoirs d’enregistrement de la compagnie aérienne XL airways, une compagnie de bonne qualité qui propose des vols vers les Antilles pour approximativement 300 euros.
Nous passons les contrôles sécurité.
Nous embarquons après quelques minutes d’attente.
Le décollage et le vol se passent en douceur ; après 09 h de vol, nous devons boucler notre ceinture. Le sol de la Guadeloupe apparaît sous nos pieds.
Nous rejoignons l’aéroport de Pointe à Pitre.
Nous récupérons nos bagages.
Dés l’entrée, un panneau placé à la vue de tous prévient des dangers des moustiques et des risques inhérents à la région, mais de l’avis de tous les Guadeloupéens, ces mesures sont avant tout préventives et les maladies liées aux moustiques ne sont pas plus présentes sur l’île que sur d’autres territoires. La psychose des autorités est bien souvent plus nocive que le danger réel pouvant être rencontré sur place ;
Nous rejoignons le hall de l’aéroport. Nous ne subissons aucun contrôle de papier, ni de douanier ; en tant que Français, nous n’avons pas besoin de visa pour entrer sur le territoire de la Guadeloupe, qui est depuis peu, une collectivité française.
Nous faisons la connaissance de Danielo, notre chauffeur ; Danielo est chauffeur sur l’île depuis de nombreuses années ; il est également guide ; il aime son métier et son île, qu’il fait partager avec passion ; il est joignable au 06 90 56 51 33.
Nous faisons ensuite connaissance avec Guy Claude Germain, responsable relations publiques du comité de tourisme des îles de Guadeloupe ; Guy Claude est un être délicieux, délicat et professionnel, comme peu peuvent l’être, et ce à l’identique des professionnels qui travaillent pour la collectivité de la Guadeloupe.
Guy Claude nous a accompagnés et nous a aidés à organiser notre voyage en Guadeloupe et nous a permis, grâce à sa grande rigueur, de découvrir une île magique qui comporte des habitants heureux et sincères.
Le site touristique de la Guadeloupe comporte nombre d’informations et peut se trouver à l’adresse suivante : www.lesilesdeguadeloupe.com ou sur le 00 590 590 82 09 30.
Chaque instant de notre voyage fut magique et pas un seul moment nous ne nous sommes sentis en insécurité, chaque Guadeloupéen nous accueillant avec bienveillance. Les guadeloupéens aiment les voyageurs et les métropolitains et se sentent fiers d’être Français ; et après notre voyage, nous n’en avons aucun doute.
Nous saluons Guy Claude et nous nous dirigeons vers la ville de Pointe à Pitre.
Nous entrons dans la ville, qui contrairement à ce que les voyageurs pensent, n’est pas la capitale, mais une grande ville économique.
Nous dépassons de grands immeubles.
Nous apercevons une maison de style coloniale.
En plein coeur de la ville, nous nous arrêtons et assistons à un concert de musique.
Nous arpentons ensuite la place centrale.
Au coeur de la place, une statue de Felix Eboué, ancien gouverneur général.
Face à la place, la mer des Caraïbes.
Nous retournons au centre ville.
Nous nous dirigeons ensuite vers le mémorial de l’esclavage.
Le bâtiment qui comporte un musée est magnifique ; sa construction et son coût ont été décriés, mais il était important que les Guadeloupéens possèdent un symbole de cette triste période de l’histoire où nombre de leurs aïeux ont souffert.
Nous assistons à un coucher de soleil sur le port.
Nous quittons ensuite la ville de Pointe à Pitre et nous nous dirigeons vers la ville de Saint François, dans laquelle nous nous arrêtons pour manger un des meilleurs hamburgers que nous avons mangé au cours de notre vie.
Nous faisons quelques emplettes au supermarché local.
Nous continuons notre route et nous arrivons jusqu’à notre hôtel : ou du moins, un gite : Lakaz Hananou qui se trouve dans la ville : Le Moule. Il se situe au 18 Lot Couronne Conchou. Le propriétaire peut être joint au 00 590 590 91 18 66. Le gite est splendide ; les propriétaires sont au petit soin pour les voyageurs ; Alors que le prix des hôtels est assez élevé sur l’île, une nuitée au gite bénéficie d’un rapport qualité prix optimal.
Après une nuit agréable, nous nous réveillons avec un petit déjeuner préparé avec soin et servi sur une terrasse qui donne sur la mer.
Notre chauffeur Danielo arrive pour nous récupérer ; nous partons en sa compagnie vers la pointe des châteaux.
Sur la route, nous découvrons une belle maison de style coloniale.
Nous nous arrêtons quelques instants dans la maison de notre chauffeur.
Nous reprenons notre route.
Nous arrivons sur le site qui est gratuit.
Nous assistons à un magnifique lever de soleil.
Une chaleur intense baigne l’endroit.
Les embruns nous caressent le visage.
Nous nous sentons à l’autre bout du monde.
Nous repartons en direction de la ville de Sainte-Anne.
Nous nous arrêtons dans une petite ville.
En ce matin, peu de monde dans les rues.
Notre chauffeur stoppe son véhicule aux abords d’une église que nous visitons.
Nous assistons à une messe. Les Guadeloupéens sont très pieux ; une ferveur règne dans la maison de Dieu.
Nous rejoignons ensuite un petit bar dans lequel, de jeunes Guadeloupéens fortement alcoolisés nous confient leur sentiment de mal-être quant leur impression d’abandon par la métropole. ils se plaignent de cet image de mauvais travailleurs que les Guadeloupéens traînent derrière eux alors qu’il n’en est rien. Cette nonchalance perçue comme de l’inertie est en réalité une manière de vivre au rythme du temps qui passe et non une quelconque paresse, les nombreux professionnels rencontrés durant notre séjour le prouvant.
Nous repartons ensuite en direction de Sainte-Anne, qui possède un des plus beaux marchés de l’île.
Nous faisons une halte face à un moulin refait à neuf pour le bonheur des visiteurs.
Nous continuons notre route.
Nous arrivons dans la ville de Sainte-Anne.
Aux abords du marché, nous faisons connaissance avec un vendeur de jus de noix de coco.
Nous contournons le marché pour nous rendre sur la plage. Des sportifs préparent leur équipement.
La plage de Sainte Anne est agréable.
Nous rejoignons la rue centrale et découvrons Agnès, une vendeuse atypique.
A ses côtés, plusieurs vendeuses de légumes.
Plusieurs femmes nous abordent et se lient d’amitié avec nous.
De l’autre côté de la rue, une vendeuse accompagné de son mari pousse la chansonnette.
Son mari quant à lui prépare les légumes et les fruits qu’il vendra au détail.
Le Punch, conçu à base de rhum est présent sur les étals.
Nous faisons une halte rapide au supermarché.
Nous reprenons la route en direction des chutes du carbet.
Nous faisons une halte à une station service.
Nous nous dirigeons vers la basse terre et commençons à quitter la grande terre.
Les champs de banane et de cannes à sucre sont nombreux.
Sur la route, nous croisons des cacaotiers.
Nous arrivons dans la commune de Sainte Marie, qui présente la particularité d’être toujours embouteillée.
Nous nous arrêtons au monument commémoratif de Christophe Colomb.
Nous faisons également une rapide halte au temple sacré de la ville.
Tout au long de la route, des cultures de bananes.
Les bananes entourées d’un sac bleu sont destinés à l’exportation.
Nous circulons en direction des Trois rivières, une commune de la Basse terre.
Sur les côtés, nous pouvons apercevoir une partie de la mangrove qui s’étend dans le Nord de la Basse terre.
Les chutes du Carbet sont bien indiquées.
Il nous faut encore circuler une dizaine de minutes.
Nous grimpons dans les hauteurs de l’île.
Les touristes sont nombreux.
Nous arrivons à l’entrée du site ; l’entrée coûte 2,30 euros par personne.
Des panneaux explicatifs présentent le site et la richesse de sa flore.
Les chutes se dressent devant nous.
Le site est attractif.
Nous reprenons la route.
Sur le chemin, nous nous arrêtons pour découvrir la Soufrière, le volcan de l’île ou autrement appelée La grande Dame par les locaux.
Nous continuons en direction de la ville de Saint-Claude.
La ville comprend un pôle universitaire.
Ainsi qu’une médiathèque.
Nous découvrons la ville.
Nous visitons son hôtel de ville.
La ville est agréable.
Les maisons sont traditionnelles.
Nous reprenons notre véhicule en direction des bains jaunes, une eau thermale accessible à tous en direction du volcan de la Soufrière.
Il nous faut monter une pente ardue.
Nous arrivons sur le site après 20 minutes de route.
Le bassin se dresse face à nous ; une forte odeur de soufre se laisse découvrir.
Nous nous baignons.
Nous reprenons notre route en direction de la capitale : la ville de Basse-terre.
A première vue, la ville présente peu d’intérêt.
Mais son architecture unique lui donne un côté suranné intéressant.
Nous dépassons le marché aux poissons.
Nous nous garons au centre de la ville. Certains immeubles ont des façades décrépies.
Nous mangeons rapidement dans un fast-food.
En repartant, nous faisons connaissance avec un pêcheur traditionnel qui nous enseigne son art.
Nous nous dirigeons vers le Nord de l’île, vers la chute aux écrevisses.
Nous empruntons une route qui coupe la basse terre en deux : la route des mamelles.
Le secteur est très verdoyant.
Nous nous garons aux abords de la cascade.
Il nous faut marcher quelques mètres.
La cascade est un site merveilleux, frais et aimé par les touristes.
Nous nous baignons dans ce site et profitons de ce moment de plaisir pur.
Nous repartons ensuite.
Nous retournons en grande terre, en direction de la pointe de la grande vigie.
Nous découvrons sur le côté, le cimetière à damier.
Le chauffeur décide de faire une halte à Petit canal afin de découvrir sa célèbre marche des esclaves.
Il nous faut conduire une bonne trentaine de minutes.
Nous arrivons dans la ville.
L’escalier était emprunté par les esclaves et lorsque ces derniers désobéissaient, ils étaient placés dans un tonneau qui dévalait la pente abrupte.
Le lieu est chargé d’émotions.
Nous reprenons notre route.
Nous traversons plusieurs petits villages.
La pointe de la grande vigie est relativement bien indiquée.
Après un énième kilomètre, nous arrivons sur place.
Nous nous garons.
Nous rejoignons la première partie du site.
La pointe de la grande vigie se trouve juste derrière.
La vue est impressionnante.
Nous passons bien une heure sur place à nous vivifier l’organisme.
En sortant, il est indéniablement important de goûter une saveur local : le sorbet à la noix de coco fabriqué sur place.
Nous reprenons ensuite la route pour nous rendre à une plage qui se situe non loin de là.
Il nous faut pour cela, revenir sur nos pas.
Nous nous garons.
Aux abords de la plage, les locaux se retrouvent pour partager un moment de convivialité.
La plage est splendide.
Nous assistons au coucher du soleil.
Avant de repartir, nous sommes invités par une jeune fille très jolie à fêter avec elle son anniversaire.
Nous essayons avant de partir, la perle d’Aimé, un sandwich particulier cuit dans de l’huile : le résultat est surprenant.
Nous reprenons la route vers le port de Pointe à Pitre, d’où nous attend notre bateau de croisière.
Après avoir salué notre guide, nous embarquons pour une croisière d’une semaine dans les Caraïbes avec la compagnie Costa ; la croisière coûte 400 euros par personne.
L’île de Guadeloupe s’éloigne tard dans la nuit.
Une semaine plus tard, nous retournons en Guadeloupe.
Nous découvrons son port de l’intérieur.
La baie de Guadeloupe est splendide.
Le bateau avance à sa guise.
Le décor défile comme dans un travelling de cinéma.
Nous apercevons le mémorial et préparons notre sortie du bateau, alors que d’autres à qui se préparent à embarquer.
Nous quittons le bateau et rejoignons le port.
Face à nous, de nombreux chauffeurs de taxi qui proposent des tours de l’île.
Nous prenons en ce qui nous concerne, un chauffeur qui nous conduit à l’aéroport civil.
Nous embarquons pour les Saintes.
Après notre séjour aux Saintes te à Marie Galante, nous revenons en Guadeloupe. Nous sommes conduits par Guy Claude, au Gosier afin de rejoindre notre hôtel Caraïbes, un des hôtels les moins chers de l’île, pour une prestation qui nous devons le dire est très bonne. La nuit coûte aux environs de 50 euros par personne.
Le lendemain matin, à une heure matinale, un taxi vient nous chercher pour nous emmener au port de Pointe à Pitre.
Sur place, nous prenons un ferry rapide vers la Dominique pour la somme de 79 euros. La traversée dure 2 heures.
Nous passons les contrôles de sécurité.
Nous préférons garder nos bagages avec nous.
Nous quittons la Guadeloupe
Nous avons passé un séjour merveilleux sur cette île et n’oublierons jamais cet accueil si particulier que nous avons reçu.
Six mois plus tard, sur les routes gelées de Moselle, nous nous rendons tôt le matin à la gare SNCF de Louvigny pour retourner en Guadeloupe.
La gare vient d’ouvrir.
Nous embarquons pour 1 h 30 de trajet vers l’aéroport Roissy Charles de Gaulle.
Nous arrivons sur place.
Nous nous dirigeons vers la comptoir d’embarquement de la compagnie XL airways ; il s’agit d’une des compagnies les plus fiables pour se rendre dans les Caraïbes ; nous avons payé 250 euros le trajet.
Nous terminons l’enregistrement de nos bagages et assistons à l’extérieur de l’aéroport à un concert de klaxons émanant des chauffeurs Uber en grève.
C’est alors qu’un colis oublié donne lieu à un blocage de l’aéroport. Les policiers et les militaires, très cordialement évacuent les passagers, alors qu’une membre de l’aéroport de Paris, arrogante à souhait hausse le ton envers les passagers ; nous ne nous laissons pas faire et la renvoyons aux pâquerettes.
Nous passons les contrôles de sécurité et prenons le temps de manger un morceau avant de rejoindre le hall d’embarquement.
Suite aux évènements du matin, le vol a deux heures de retard.
L’avion décolle enfin.
Nous atterrissons après 9 heures de vol.
Nous débarquons.
Nous prenons un chauffeur de taxi afin qu’il nous emmène au port ; nous négocions avec lui un tarif de 20 euros la course ; sans que nous le sachions, il fait monter dans le minibus, plusieurs autres passagers ; nous ne sommes pas d’accord, mais il insiste ; nous ne voulons pas être en retard, donc nous acceptons, mais nous nous méfions de ce chauffeur, très désagréable.
C’est alors qu’en chemin, il nous demande 50 euros ; nous n’acceptons pas et lui imposons de nous faire descendre ; il s’exécute.
Il s’agit d’un des pires chauffeurs que nous ayons pris depuis que nous voyageons autour du monde ; il exige son paiement : il n’aura rien.
En plein milieu du quartier des Abîmes, nous descendons ; dans le taxi, une femme qui a vu le comportement du chauffeur et le conteste, descend avec nous ; elle va nous accompagner en plein coeur de la ville de Pointe à Pitre, afin de ne pas nous laisser seuls.
Sur le chemin qui nous mène à Pointe à Pitre, nous nous arrêtons, invités par un homme qui prépare une fête : il nous offre à boire, ce qui nous fait du bien.
Nous continuons notre route dans le quartier des Abîmes.
Nous arrivons à un arrêt de bus.
Le bus nous emmène au centre ville.
Nous descendons, accompagnés de notre ange gardien.
Nous la suivons jusqu’à chez elle afin de boire un petit rafraîchissement.
Alors que la nuit est tombée, nous décidons de partir jusqu’au port de la ville afin d’embarquer pour notre croisière Costa.
Nous traversons la ville de Pointe à Pitre, accompagnés par le fils de notre ange gardien, qui nous évite ainsi de nous perdre dans le dédale de ruelles de la ville.
Le bateau apparaît après 30 minutes de marche.
Nous entrons dans le port.
Une semaine plus tard, après notre croisière avec la compagnie Costa, nous retournons en Guadeloupe.
Sur le quai de débarquement, de nombreux professionnels patientent afin de proposer des tours dans l’île aux touristes : les prix débutent à une trentaine d’euros.
Dans la ville de Pointe à Pitre, des employés de la mairie conseillent les estivants.
Nous nous rendons au centre ville.
Les maisons sont typiques.
La vétusté de certaines rues donnent un charme fou à la ville.
Nous continuons notre route.
Nous admirons les jardins créoles de certaines maisons.
Nous arrivons aux abords du marché de la ville.
Il s’agit d’un marché aux fruits très coloré.
Les fruits sont frais.
Aux côtés du marché se trouve un marché aux poissons.
Nous nous dirigeons vers le parc proche.
Etant donné que je pars ensuite à Haiti, je demande un conseil à un homme qui travaille pour l’office de tourisme de la ville ; ce dernier, gentiment appelle un de ses contacts, qui après avoir téléphoné au ministère du tourisme parvient en quelques minutes à organiser mon début de voyage à Haiti.
Nous retournons ensuite au marché aux poissons.
Les poissonniers, très brillamment parviennent à créer des outils avec des associations de matériaux que nous n’imaginions pas fonctionner ensemble.
Nous continuons notre route vers le mémorial de l’esclavage.
Nous devons traverser une partie de la ville.
Le mémorial apparaît devant nous.
Nous le rejoignons.
Le mémorial acte est un musée dédié à l’esclavage.
Nous entrons à l’intérieur.
Mais, tout d’abord nous décidons de visiter l’extérieur du bâtiment.
Face à la mer, une oeuvre d’art éphémère représente des personnes inconnus désignées par leurs vêtements.
L’entrée dans le musée coûte 12 euros. Les photos sont par contre interdites ; nous avons dû discrètement les prendre.
Le musée est constitué de quelques pièces séparées les unes des autres, chacune représentant un pan de l’histoire de l’esclavage.
Face à nous, le code noir, le livre qui régissait l’esclavage.
Nous arpentons les couloirs du musée.
Sur le mur, des photographies sont émouvantes.
Nous continuons notre découverte du musée.
Nous quittons le musée après une heure de visite.
Nous retournons au centre ville.
Nous mangeons une spécialité locale dans une boucherie traditionnelle.
Nous retournons au marché aux légumes, et sympathisons avec une vendeuse locale.
Il est temps pour nous de retourner à l’aéroport. Nous trouvons un chauffeur agréable et qui à la demande, met son compteur, pratique peu utilisée par les taxis dans l’île. Il s’appelle Franck et peut être joint au 06 90 47 59 66 ou sur le 05 90 21 09 23.
Nous traversons le centre ville de Pointe à Pitre.
Nous nous dirigeons vers l’aéroport.
Nous nous dirigeons vers le comptoir d’embarquement de la compagnie Air France afin de procéder à la récupération de nos billets.
Nous profitons encore de la chaleur guadeloupéenne.
Nous passons les contrôles de sécurité.
Air France nous appelle à monter à bord de son avion en direction de Port au Prince en Haiti. Le vol dure 2 heures et coûte près de 600 euros.
Après avoir traversé tout le tarmac à pied, nous sommes autorisés à monter dans l’avion après 3 heures de retard.