En provenance de France, nous nous rendons en Italie.
Nous prenons la direction de la ville de Lyon.
Nous pénétrons dans les Alpes françaises.
Nous faisons une halte dans une station service pour nous restaurer.
Nous reprenons notre route ensuite.
Nous payons un tunnel près de 15 euros.
Nous ressortons de l’autre côté en Italie.
Après quelques kilomètres, nous faisons une halte.
Nous prenons la direction de la ville de Parme.
Nous quittons l’autoroute.
Nous entrons dans la ville.
Nous rejoignons le centre ville.
Nous nous garons dans le centre commercial.
Nous rejoignons à pied les ruelles du centre historique.
Les rues comportent de nombreuses petites épiceries.
Nous rejoignons une place sur laquelle se déroule un marché.
Nous entrons dans un marché couvert.
Le supermarché propose de nombreuses spécialités italiennes.
Nous regagnons l’extérieur de la place.
Nous nous dirigeons ensuite vers la place du Duomo.
Avant de rejoindre la place la plus importante de la ville, nous faisons une halte dans une petite place sympathique.
Nous continuons notre découverte de la ville.
Nous arrivons à une grande place.
Nous prenons une des rues qui mènent à la place Duomo.
Nous arrivons à la place.
La place comporte de beaux édifices.
Elle est culturellement importante.
La place est emplie de monde.
Alors que nous nous apprêtons à partir, une femme, devant nous tombe sur la tête en glissant. Nous lui portons les premiers soins.
Une fois que l’ambulance est partie, nous pouvons rejoindre notre véhicule.
Nous mangeons une glace.
Nous prenons la direction de Saint Marin.
Nous quittons l’Italie tard dans la nuit.
Quelques jours plus tard, après avoir visité Saint Marin, nous retournons en Italie et prenons la direction de la ville de Rome.
Trois heures de route sont nécessaires pour rejoindre la capitale italienne.
Nous faisons une halte dans une station service.
Nous reprenons la route.
Nous entrons dans la périphérie de la ville.
Nous prenons la direction du centre ville.
La ville est une des plus belles villes européennes.
Il nous faut rejoindre le centre historique.
Il nous faut bien trente minutes pour rejoindre le centre historique.
Les rues sont propres.
Les monuments culturels sont omniprésents.
Il s’agit de la place del Quirinale.
De là, nous rejoignons la fontaine de Trevi.
Nous arrivons aux abords de la fontaine.
Des milliers de pièces sont jetées dans le bassin qui se trouve aux pieds de la statue.
La place est un des lieux emblématiques de la ville.
Les gens se bousculent pour être au plus près de la fontaine.
Nous prenons ensuite la direction du Colisée.
Nous découvrons une manifestation qui réclame plus de droits pour les étrangers.
Le Colisée se trouve face à nous.
Nous entrons à l’intérieur.
L’entrée coûte moins d’une dizaine d’euros par personne.
Nous visitons tout d’abord les étages inférieurs.
Le site est grandiose.
Nous grimpons dans les étages supérieurs.
Nous avons une vue dégagée sur les alentours du Colisée.
Nous visitons une autre partie du Colisée.
Le Colisée est si grand que nous devons beaucoup marcher pour le visiter intégralement.
Nous quittons le Colisée.
Nous rejoignons l’extérieur du bâtiment.
Un mariage se déroule face à nous.
Le Colisée est encore plus beau de l’extérieur.
Nous en profitons au maximum. Nous faisons quelques photos avec des artistes de rue.
Nous prenons la direction de la place Venitia.
Sur le chemin, nous croisons de nombreux artistes.
Dont un sosie de feu l’ancien pape Jean Paul II.
Nous découvrons de nombreux vestiges du passé.
Le palais Venitia se trouve face à nous.
Il s’agit d’une des plus belles places de la ville.
Nous prenons un chauffeur de taxi pour nous conduire jusqu’au centre ville.
Nous arrivons à nouveau aux abords de la fontaine de Trevi.
Nous arpentons les rues bondées de monde pour nous rendre dans un restaurant traditionnel.
Nous choisissons un restaurant spécialisé dans les pâtes.
Nous nous régalons.
Tard dans la nuit, nous reprenons notre voiture.
Nous faisons juste une halte pour manger une glace.
Nous nous dirigeons vers notre hôtel, situé aux abords du Vatican.
Nous avons réservé une guest house pour la somme de 40 euros.
Le lendemain matin, après avoir passé une nuit de sommeil convenable, nous nous rendons à la cité du Vatican.
Mais avant tout, nous prenons un solide petit déjeuner dans un bar traditionnel.
Après avoir visité la cité du vatican, nous retournons à notre voiture et nous prenons la route nous menant à la sortie de la ville.
Il nous faut trente minutes pour quitter la ville.
Nous prenons la direction de la ville de Florence. Nous faisons une halte dans un restaurant d’autoroute.
Nous dépassons la ville de Florence et prenons la direction de la ville de Pise.
Nous faisons une nouvelle halte dans un restaurant pour boire un café.
Nous arrivons aux abords de la ville. Nous entrons dans la périphérie de la ville.
Nous prenons la direction du centre ville.
La ville de Pise est très intéressante.
Les bâtiments sont anciens.
Elle possède des qualités culturelles indéniables.
Nous prenons ensuite la direction de la célèbre tour.
En voiture, nous n’avons pas le droit d’aller plus loin, sous peine de se faire verbaliser ; nous nous garons.
Après quelques minutes de marche, nous parvenons jusqu’au site qui comprend plusieurs des monuments phares de la ville.
La tour se dresse face à nous.
Ainsi que la cathédrale.
Nous allons acheter nos tickets.
Les prix sont relativement excessifs.
Nous payons 7 euros pour l’entrée de deux monuments.
Nous ne ferons pas la montée de la tour, car les horaires de montées sont programmées ; nous n’avons pas trois heures à attendre.
Nous nous rendons dans la cathédrale.
Nous la visitons.
Nous longeons un autre monument.
Nous entrons dans le deuxième monument que nous avons choisi.
Le bâtiment est merveilleusement bien conservé.
Il est une sorte de musée grandeur nature.
Les pièces ont été restaurées un minimum, suffisamment peu pour garder une certaine forme d’authenticité.
Nous rejoignons la place centrale du site.
Nous nous rendons dans un café proche.
Malheureusement, l’accueil est si désagréable que nous décidons de choisir un restaurant un peu excentré.
Nous retournons à notre voiture.
Nous quittons la ville.
Nous remontons vers le Nord.
Nous prenons la sortie de la ville balnéaire Bordighera.
Nous avons réservé une chambre à l’hôtel Parigi pour la somme de 50 euros.
Le soir, nous arpentons le front de mer de cette petite ville tranquille.
Le lendemain matin, nous profitons d’une vue magnifique sur la mer.
Nous prenons un bon petit déjeuner.
Nous prenons la route vers la France.
Nous quittons l’Italie.
Il y a quelques années de cela, nous avions déjà visité l’Italie du centre ; en voici le récit de voyage.
Nous retournons en Italie, continuer la visite d’un pays qui recèle mille trésors. Nous arrivons dans le pays en passant par les Alpes suisses.
Tout au long de notre trajet, nous pouvons découvrir la campagne italienne avec ses villages et villes situées sur le flanc des collines.
Nous arrivons, après 650 kilomètres d’une autoroute sans encombre dans la capitale italienne : Rome, forte de ses 2 600 000 habitants.
Pour rejoindre notre hôtel, nous dépassons le palais de justice de la ville, un monument imposant.
Le palais de justice est situé non loin d’une église, que nous visitons, après avoir cherché une place durant plus de vingt minutes. Il faut dire que le stationnement est compliqué dans la ville, ainsi que la circulation, puisque suivant certains horaires, il peut être autorisé ou interdit.
Nous rejoignons le quartier dans lequel se trouve le Vatican, véritable état dans la ville et découvrons un fleuve, tout de vert coloré.
La cité du Vatican se trouve au bout d’un chemin, enclavé par la ville et nous en apercevons la basilique Saint-Pierre. Jamais un état ne nous avait semblé aussi rapproché.
Par chance et avec notre voiture garée, nous pouvons nous rendre immédiatement au château de la ville qui se trouve non loin de là.
Nous atteignons la place du château en traversant un pont sur lequel un artiste de rue patiente.
Les touristes se pressent.
Et, au milieu d’autres artistes de rue, des vendeurs, nous cédant pour quelques euros, leurs babioles contrefaites.
De loin, la ville donne l’impression d’un village de campagne.
Mais, lorsque nous nous rapprochons de son centre, elle n’est qu’une mégalopole dans laquelle fourmille des milliers de personnes, au flot des moyens de transport qui ne s’arrêtent jamais de fonctionner.
Ce qui nous donne l’occasion de découvrir les rues de la ville.
Nous rejoignons le quartier du Panthéon, incrusté au milieu d’une place dynamique.
Le bâtiment est symbolique.
Le panthéon est le lieu dans lequel sont entreposés les corps des célèbres personnalités italiennes, provenant du monde des arts et de la culture. Il est d’origine antique et ses larges colonnes supportent l’édifice tout entier.
Les touristes se bousculent pour pénétrer à l’intérieur
Nous parvenons également à pénétrer dans l’édifice. L’intérieur somme toute austère se prête bien à la solennité du lieu.
Nous en admirons la coupole.
Les sculptures sont d’époque.
De belles ruelles permettent en les empruntant de relier les différents grands monuments entre eux.
Et c’est ainsi que nous rejoignons un lieu magique, faisant à lui seul la notoriété de la ville : la fontaine de Trévise.
La fontaine vue par des millions de touristes chaque année.
Célèbre pour la précision de ses sculptures, ainsi que pour la superstition liée au jeté de pièces au sein de son bassin.
Nous rejoignons ensuite au pas de course, tant la ville est grande, Il Vittoriano, une place somptueuse aux couleurs du marbre qui la constitue.
Nous en admirons les détails.
Nous contournons la place et nous nous dirigeons vers le forum romain. Nous devons grimper sur un segment de la ville qui se situe plus en hauteur.
En essayant de rejoindre le forum romain, nous contournons quelques vestiges antiques disséminés autour de la ville.
Puis, après une marche de plusieurs centaines de mètres en plein soleil, nous en apercevons des bribes.
Nous continuons notre chemin.
Nous n’en perdons pas une miette.
Nous marchons depuis une vingtaine de minutes déjà.
Il se tient face à nous, imposant.
Lorsqu’il émerge enfin des entrailles de la ville.
Nous pénétrons dans le forum, lieu dans lequel se déroulaient les échanges commerciaux sous l’Empire romain. Il est essentiel de s’imaginer que derrière ces pierres à la conservation, il faut le dire, minutieuse, une vie se déroulait pour essayer d’atteindre l’apogée d’une puissance qui étendait son aura à travers le monde et qui finira comme toute les créations de l’homme, par tomber.
Les chemins sont admirablement conservés.
Pour accéder à la partie supérieure du forum, nous devons emprunter un escalier.
Puis nous longeons un chemin ombragé.
Le spectacle est partout.
Qui nous mène jusqu’au Colisée que nous apercevons de loin.
Mais que nous rejoignons.
A ses abords, toujours des spectacles de rue.
A l’intérieur, nous remontons dans le passé, de manière factice tout d’abord.
Puis, en le découvrant progressivement. Par palier.
Puis, en ayant sur lui, une vue d’ensemble.
Une photographie s’impose.
En grimpant dans les étages supérieurs, la vue se précise.
Le colysée est un pur bonheur.
Voire même se dégage.
Nous imaginons les gladiateurs.
Nous passons devant la porte San Paolo
Et rejoignons la place d’Espagne.
Nous prenons une légère collation.
Sur laquelle de nombreux artistes viennent détendre les touristes de passage.
Des danseurs font le show.
Nous nous engouffrons dans certaines ruelles, apercevoir certaines églises.
Puis rejoignons une place noire de monde sur laquelle, nous dînons.
La nuit étant tombée, avant de rejoindre notre hôtel, nous tentons une visite nocturne de la ville.
La ville, dans la pénombre ne perd pas son charme, loin de là.
Même la nuit, la ville garde son mystère.
Après quelques heures d’autoroute, avec des sections plus ou moins de bonne qualité, nous arrivons à Florence, une ville de 370 000 habitants et joyaux de l’architecture italienne.
Florence est la patrie de la famille des Médicis, une famille italienne puissante qui donna à l’Italie, des ducs et à la France, des reines.
Nous pénétrons dans la chapelle des Médicis, transformée aujourd’hui en musée.
Le musée comporte de véritables trésors.
Dans le musée, les collections sont imprégnées de la période de la Renaissance et hommage est rendu aux plus grands de ses artistes, dont Michel-Ange.
Les sculptures ne se comptent ainsi plus et le touriste peut s’en approcher à quelques centimètres pour y analyser les moindres détails.
Nous sortons de la chapelle des Médicis et découvrons ensuite une magnifique église.
Cette église servait de repère pour la famille qui n’avait pas à se déplacer beaucoup pour aller prier.
La ville est fantastique.
Nous nous engouffrons dans le centre ville de Florence pour y visiter la cathédrale, à la texture si particulière.
Nous nous approchons du bâtiment et pouvons nous imprégner des moindres détails de la façade extérieure, qui semble habiller le monument et ainsi le protéger des agressions du temps, une sorte de manteau séculaire.
La cathédrale est particulière.
De prés, elle est encore plus majestueuse.
Nous pénétrons en son sein. Le dôme est splendide. Ainsi que son décorum.
Les gravures y sont fines.
Nous empruntons les escaliers internes et leurs quelques centaines de marche pour rejoindre la tour du bâtiment.
Nous parvenons au sommet et avons ainsi une vue dégagée et panoramique sur la ville que nous surplombons.
La ville se dévoile sans que nous la prenions de haut. Nous sommes seuls au monde.
Nous refaisons notre chemin de visite et essayons de nous repérer dans ce méandre de rues.
Une photo est nécessaire.
Nous avons encore tant de merveilles à découvrir.
Nous ne perdons rien de ce spectacle.
Et après un long effort de descente des marches, nous parvenons à l’entrée de la vieille ville.
Les monuments deviennent subitement plus regroupés, plus architecturaux.
Les bâtiments sont gigantesques.
Après avoir vu le palais Pitti, nous nous rendons sur la place Della Signoria, découvrir le Palazzo Vechio.
Ainsi que ses statues présentes sur la place.
Un véritable musée d’extérieur.
Chaque statue est un trésor.
Avec ses bronzes et sa non moins célèbre copie du David de Michel Ange, l’original se trouvant à l’académie de la ville.
Tous les matériaux ont été utilisés par leur créateur.
Nous continuons notre chemin dans la ville.
Des rues noires de monde.
Et atteignons le ponte Vechio, un des ponts les plus célèbres d’Italie.
Pont duquel, nous avons une vue sur le fleuve Arno. Nous longeons le fleuve, les palais se situant sur l’autre rive se dessinent.
Le fleuve romantique par excellence.
Jusqu’à ce que nous voyons le ponte Vechio, tel qu’il est dessiné dans les manuels de géographie.
En retournant à notre véhicule, nous rejoignons le parvis de la Santa Maria Novella.
L’église se dresse devant nous.
Une autre église plus loin.
Nous terminons enfin par la visite du château de la ville Et nous partons en direction de la ville de Pise, située à quelques 100 kilomètres de Florence. En une heure, sur une autoroute déserte, nous arrivons dans la ville. Nous ne pénétrons pas à l’intérieur, car tous les monuments sont regroupés sur la place Del Uomo.
Nous garons notre véhicule et franchissons l’accès à la place, un accès gratuit. Nous avons ainsi une vue d’ensemble sur les monuments centraux : le baptistère.
La cathédrale
Ainsi que sur la tour de Pise.
Nous en profitons pour étudier la minutie des détails.
Nous découvrons avec intérêt le site.
Nous partons ensuite après avoir visité les monuments, qui il faut el préciser sont hors de prix. Le parc appartenant à une famille privée, cette dernière l’exploite et de ce fait, même l’accès à la cathédrale est payant. De l’ordre de cinq euros pour la cathédrale et une quinzaine d’euros pour l’accès à la tour. Le prix à payer pour avoir vendu son patrimoine culturel en le dénaturant.Nous quittons la ville de Pise et rejoignons la ville de Livorno, dans laquelle nous allons nous détendre et profiter de la mer. Nous avons de la chance de trouver un hôtel sur le bord de mer, qui nous donne une vue splendide sur les plages, néanmoins payantes de la ville.
De notre chambre, l’horizon se dégage et s’étend à perte de vue.
Avec une vue dégagée sur le baie.
Le tout, ne ayant la possibilité de jouir d’une piscine à débordement en verre sur les toits de l’hôtel.
Le soir même, nous nous promenons sur le bord de mer.
Les cheveux au vent, faisant face à la mer déchaînée.
Nous nous asseyons à la table d’un restaurant, non loin d’un parc.
Et profitons d’un repas typique italien.
Nous commandons une bouteille de vin italien et commandons.
Les antipasti représentent les hors d’oeuvre, essentiellement à base de poissons, de fruits de mer, de charcuterie ou de légumes marinés.
Le primi piatti est le premier plat. Au choix : le risotto, riz braisé, les minestres ou plus communément appelés soupes et pâtes, puisque dans le pays, l’accompagnement de la viande est un plat à part entière.
Le Nord du pays a tendance à privilégier les pâtes fraiches aux oeufs à partir de farine de blé tendre, et le Sud, la fabrication de pâtes sèches réalisées à partir de semoule de blé dur. Les plus connues étant les spaghettis, les macaronis, pâtes trouées et les tagliatelles, fabriquées artisanalement. Les spaghettis sont classés en fonction de leur largeur : larges et plates (fettucine, tagliatelles), longues et fines (linguine, spaghettis), ultra-fines (vermicelli, capelletti ou capellini, capelli d’angelo…), et les bucatini, pâtes bâtardes, à la fois spaghettis creux et macaronis longs. Par contre, un large choix de pâtes courtes est également proposé aux clients : les fusilli, les farfalle (papillons), les penne, maccheroni, tortiglioni, giganti et bombardoni.
En second plat, nous avons le choix entre du veau : en paupiettes (involtini), en escalope (scaloppina), tartare (crudo) ou bouilli. Le foie (fegato), les tripes (trippa), les côtes de porc (cotoletta), le lapin (coniglio), le lièvre (lepre) sont aussi souvent présents sur les cartes. Le poisson (pesce) est généralement vendu au poids.
En ce qui concerne les pizzas, véritable institution, l’indication forno al legno signifie qu’elle est cuite au feu de bois, généralement le soir. La majorité des Italiens la préfère trés fine avec de larges tranches de jambons crus posées dés sa sortie du four.
Pour le dessert, peu présent, puisque délaissé par les Italiens, nous avons le choix entre une glace appelée gelati, un tiramisù, une pana cotta, ou un gâteau maison.