En provenance de la Macédoine, du poste frontière Kjafasan, nous nous apprêtons à entrer sur le territoire de l’Albanie.

L’attente dure moins de dix minutes.

En tant que Français, nous n’avons pas besoin de visa.

Nous prenons la route vers la ville de Pogradec, en longeant le lac d’Ohrid.

Nous faisons une halte en hauteur afin d’admirer le paysage.

Nous reprenons notre route.

Sur les berges du lac, de nombreux hôtels sont présents. Nous en testons un qui ne nous plaît pas.

Nous reprenons notre route ; nous croisons un berger.

Nous repartons.

Nous parvenons à trouver un hôtel quatre étoiles pour la somme de 50 euros.

Nous passons ensuite la journée à nous détendre sur le lac d’Ohrid.

Les berges du lac comportent des petites plages de galets.

Le soir, nous dînons au restaurant de l’hôtel.

Le lendemain matin, nous prenons la route en direction de la capitale Tirana.

Juste avant d’entrer dans une petite ville, nous dépassons un bus en franchissant une ligne continue. Deux policiers nous arrêtent, mais ils nous laissent partir en nous saluant, sans nous mettre d’amende. Mais avant cela, ils parlent avec nous en Français en nous expliquant qu’ils sont fiers que des étrangers visitent leur pays, qui plus est avec leur voiture personnelle qu’ils ont emmenée jusque là.

Nous reprenons notre route.

Nous traversons une ville de taille moyenne : la ville de Librazhd.

Nous faisons ensuite une halte dans un restaurant de bord de route.

Le restaurant se trouve dans une sorte de gorge.

Nous prenons une petite collation.

Et assistons à une pêche traditionnelle.

Une soupe bien chaude nous fait du bien.

Nous reprenons la route en direction de Tirana.

Nous rejoignons l’autoroute.

L’autoroute étant en travaux, nous prenons la route nationale.

Nous reprenons l’autoroute quelques kilomètres avant d’entrer dans la capitale.

Nous prenons la direction du centre-ville.

Nous faisons une halte dans un marché traditionnel.

Il nous faut suivre à présent la direction du centre.

Nous nous garons dans le parking d’un grand centre commercial.

Nous nous trouvons dans la partie moderne du centre.

Nous mangeons dans un fast-food.

Nous prenons à présent la direction de la place centrale.

Nous entrons sur la place.

Nous rejoignons à pied le boulevard de la ville.

Le boulevard donne accès à une autre partie de la ville.

Le centre a été rénové il y a peu.

Nous entrons dans une sorte de petit village semblant inclus dans la ville.

Un marché traditionnel accueille les locaux désireux de trouver de bons produits.

Le tabac est vendu au poids.

Le lendemain matin, après une nuit dans une guest-house sans prétention, nous reprenons la route en direction de Durrès.

Nous entrons dans la ville en moins de trente minutes.

Nous cherchons un hôtel.

L’hôtel que nous avons visité ne nous convient pas ; il possède une plage bondée. Nous partons en direction du centre-ville.

La ville de Durrès est particulière ; la majeure partie de ses hôtels est regroupée le long des plages à l’extérieur du centre.

Ce qui fait que le centre de la ville est très peu touristique, l’essentiel de son activité tournant autour du port qui accueille aussi bien des bateaux commerciaux que des ferrys.

Nous retournons à l’extérieur de la ville afin de réserver un hôtel qui se trouve le long des plages.

Le prix des hôtels est très cher. Nous parvenons à en trouver un abordable : le Germany hôtel, un hôtel quatre étoiles pour un prix de 80 euros. Nous rajoutons 10 euros pour trois personnes afin de bénéficier de la demi-pension.

Nous profitons de la journée pour nous détendre à la plage.

Néanmoins, les plages sont bondées de touristes.

Nous essayons tout de même de nous amuser.

Nous retournons à notre hôtel en fin d’après-midi afin d’assister à la finale de la coupe du monde qui oppose la France à la Croatie.

Nous quittons le hall de l’hôtel pour rejoindre un bar. Nous sommes surpris de découvrir que les Albanais soutiennent la France et non la Croatie.

A la toute fin du match, nous retournons à notre hôtel pour fêter la victoire de la France en compagnie d’Albanais.

Nous mangeons ensuite dans le restaurant de l’hôtel étant donné que nous bénéficions de la demi-pension.

Le soir, nous nous baladons dans la ville.

Puis, nous assistons à un coucher de soleil sur la plage.

Dans la nuit, une petite faim nous amène à prendre un sandwich.

Ainsi qu’une bonne glace.

Le lendemain matin, nous nous réveillons après une courte nuit.

Nous prenons un petit-déjeuner. Nous sommes surpris de découvrir qu’en place et lieu de jus d’orange, nous avons du coca. Nous insistons pour avoir du jus d’orange ; les serveurs nous en offrent une bouteille.

Nous prenons la direction de la ville de Berat, dans le coeur du pays.

Après deux heures de route, nous entrons dans la ville.

Après avoir traversé la première partie de la ville, nous en rejoignons le coeur historique.

Des deux côtés de la route, l’agencement de certaines maisons semblant superposées les unes sur les autres donnent un cachet terrible à l’endroit.

Nous nous rendons ensuite dans le parc qui se trouve à proximité de l’avenue piétonne.

Les locaux aiment s’y promener.

Nous arpentons les rues de la ville.

Nous longeons en réalité le parc dans lequel nous nous étions rendu peu auparavant.

Nous pouvons apercevoir de nombreux habitants jouer aux dominos.

Nous retournons à notre véhicule.

Nous nous garons un peu plus en amont de l’avenue.

La place centrale donne sur plusieurs beaux bâtiments religieux.

Nous prenons la route pour rejoindre la ville de Gjirokaster.

Nous suivons le GPS qui nous indique d’emprunter un pont difficile à rejoindre, les sens interdits nous bloquant à plusieurs reprises la route.

Nous parvenons à circuler sur une route du réseau communal.

Nous nous trouvons au coeur de la campagne albanaise.

Malheureusement après trente minutes de route, un local nous indique que la route est barrée et que nous devons faire demi-tour. Sur le chemin, nous crevons une roue juste à l’entrée de la ville de Berat.

Par chance, nous demandons à un local qui nous emmène en moins de 5 minutes au coeur d’un garage ; pour moins de cinq euros, le garagiste nous répare notre roue en y insérant une sorte de rustine.

Un ami du garagiste passant par là nous indique ensuite la bonne route à suivre ; il nous apprend que nous ne pouvons pas traverser le pays d’Est en Ouest, mais qu’il nous faut remonter vers Durrès avant de bifurquer, soit un détour de près de 150 kilomètres par rapport à ce que nous avions prévu.

Gentiment, l’homme nous conduit sur la bonne route.

Nous remontons jusqu’à la ville de Fier.

Sur la route, nous faisons une halte afin de découvrir un fantastique paysage.

A plusieurs endroits, la route est très abîmée.

Nous entrons dans la ville de Fier.

Juste à l’extérieur de la ville, nous faisons une halte dans un petit restaurant de route.

Nous reprenons la route.

Nous entrons dans la ville de Gjirokaster.

Il nous faut traverser la première partie de la ville pour grimper vers ses hauteurs.

La ville, typique et touristique comporte de nombreuses maisons au toit particulier.

Nous nous garons dans le coeur historique de la ville.

Nous découvrons les hauteurs des hauteurs de la ville.

Nous en rejoignons ensuite le centre.

La ville comporte de nombreux commerces.

Nous passons le reste de la journée sur place.

En fin d’après-midi, nous reprenons notre voiture pour rejoindre le Kalaja castle.

Nous nous garons par chance à proximité de l’entrée.

Nous payons l’entrée deux euros, mais cette entrée ne comporte pas l’entrée du musée qui se trouve à l’intérieur du site.

En moins d’une heure, le tour se fait.

Nous rejoignons l’extérieur du site.

Nous avons une vue étendue sur la ville qui se trouve en contrebas.

La température extérieure est encore de trente degrés à près de 18 h 00.

Un dernier regard et nous nous dirigeons vers notre hôtel, un deux étoiles pour trente euros. L’hôtel est sans prétention.

Le lendemain matin, nous quittons la ville et prenons en direction d’un site géologique intéressant : le Blue eye.

Pour ce faire, nous devons prendre la route en direction de la ville de Muzinë.

Après avoir dépassé la ville de Muzinë, il nous faut prendre la direction de la ville de Saranda.

Le Blue eye se trouve sur la route.

Il nous faut payer quelques euros pour y pénétrer avec notre véhicule.

En moins de cinq minutes, nous arrivons sur le parking du site ou du moins des restaurants du site.

Il nous faut longer la rivière pour rejoindre cette merveille géographique.

Le site est paradisiaque.

Néanmoins, l’eau est terriblement froide.

Certaine téméraires s’y baignent.

Nous rejoignons ensuite un des restaurants afin de prendre un rafraîchissement.

Le site invite à la détente.

Nous faisons également la connaissance de deux belges qui voyagent un peu partout dans le monde.

Nous prenons la route vers la ville de Saranda.

Une halte dans un fast-food s’impose.

Nous découvrons le centre-ville.

Saranda est une belle ville balnéaire ; néanmoins, les hôtels sont hors de prix.

Nous réservons dans un hôtel 3 étoiles sans prétention.

Nous payons la nuit 50 euros.

Le lendemain matin, nous prenons un petit-déjeuner de qualité moyenne.

Il est temps pour nous de nous diriger vers le parc de Butrint.

Nous entrons dans la ville de Ksamil.

Arrivés à la fin de la route, nous prenons un bac pour la somme de 4 euros, une sorte de bateau qui nous servira à traverser le fleuve qui nous fait face.

Une fois de l’autre côté de la rive, nous remarquons que nous avons dépassé le site archéologique que nous souhaitions visiter ; ce dernier se trouve face à nous, sur l’autre rive. Nous en profitons pour découvrir les fortifications qui nous entourent.

Nous reprenons le bac ; nous expliquons notre erreur ; nous ne payerons pas une seconde fois la traversée.

Nous payons moins de 5 euros l’entrée dans le site.

Le site archéologique est fort intéressant.

Les pierres sont magnifiquement restaurées.

Nous faisons un plongeon dans le passé.

Nous passons près de deux heures sur place.

Nous retournons au bac et retournons sur la rive sur laquelle se trouve notre voiture.

Nous passons quelques instants sur place.

Face à nous, un troupeau de moutons.

Nous prenons la route en direction de la frontière grecque.

Assez rapidement, nous arrivons au poste frontière de Konispol.

Nous quittons l’Albanie.