En provenance d’Uruguay, nous nous rendons en Argentine.
Nous passons les contrôles de l’immigration avec notre voiture. Une formalité qui prend 5 minutes, mais qui nécessite le fait d’avoir une obligation temporaire d’importation de notre véhicule ; en tant que ressortissant Français, le visa n’est pas obligatoire.
Nous pénétrons dans le pays.
Nous prenons la route en direction de la ville de Gualeguaychu.
Afin de gagner du temps et de rejoindre la ville de Cordoba, nous traversons l’Argentine par les routes départementales.
Sur le côté de la route, de nombreux silos à grain.
Nous prenons la route de Gualeguay.
Nous pénétrons dans la région marécageuse du Chaco.
La route à certains endroits est en mauvais état.
Nous traversons la ville de Gualeguay.
La route est longue.
Nous alternons les petites villes et les plaines de champs cultivés.
Nous nous dirigeons vers la ville de Rosario.
Le décor autour de nous est intéressant.
Nous faisons une halte et découvrons une barque de pêcheurs.
Une pluie fine tombe.
Nous apercevons la ville de Rosario.
Nous faisons une halte dans un magasin de la marque Carrefour.
Nous continuons notre route.
Nous faisons une halte tard dans la nuit dans une petite ville en direction de Cordoba.
Nous arrivons ensuite à Pozzi ; nous logeons à l’hôtel Milenium ; il s’agit du pire hôtel dans lequel nous avons séjourné, et ce dans tout notre périple en Amérique du Sud : prix excessifs, qualité peu prononcée et personnel antipathique à souhait. A éviter.
Le lendemain, assez tôt, nous partons en direction de la ville de Cordoba.
Nous empruntons une autoroute moderne.
Nous entrons dans la ville de Cordoba.
Nous nous dirigeons vers le centre ville.
La voiture commence à nous poser de nouveaux problèmes, alors que depuis une quinzaine de jours, elle fonctionnait correctement.
La ville de Cordoba a l’air agréable.
De beaux buildings résidentiels cachent les maisons plus petites nichées entre eux.
La ville de Cordoba est une porte d’entrée vers le Nord du pays.
Nous garons notre véhicule au centre ville.
Nous visitons une église.
Le coeur de la ville est constitué de plusieurs places.
Nous découvrons la place Jéronimo Luis de Cabrera.
Nous continuons notre visite vers la cathédrale.
Les couleurs dorées de l’intérieur donnent à l’édifice un côté ostentatoire peu agressif cependant.
Nous quittons la cathédrale par l’arrière.
De nombreuses personnes font la queue afin de bénéficier d’aides alimentaires de la part de la municipalité.
Nous arpentons les ruelles de la ville.
Nous empruntons une avenue commerciale.
Nous croisons de nombreux commerces.
Après avoir mangé une spécialité locale dans une boulangerie qui prépare également des plats chauds, nous continuons notre visite de la ville.
Les monuments administratifs sont imposants.
La ville est vraiment agréable.
Après avoir visité la basilique, nous nous rendons place de l’indépendance.
De belles statues agrémentent la place.
Nous choisissons une guest house sans prétention ; le lendemain, nous retournons à notre voiture.
Pour ce faire, nous devons traverser à pied une partie de la ville.
Nous faisons une courte halte devant le théâtre San Martin, une autre attraction de la ville.
Nous rejoignons notre voiture après une promenade matinale revigorante.
Nous reprenons la route en direction de Tucuman.
Nous retrouvons la campagne du pays.
La voiture faisant des siennes ; nous nous arrêtons chez un spécialiste de la marque Toyota ; malheureusement, après toutes les vérifications d’usage, ces derniers ne trouvent pas l’origine de la panne.
Nous repartons ensuite.
Nous traversons la ville de Dean Funes.
Nous entrons dans le Nord argentin.
Le paysage autour de nous est beau.
Néanmoins, la voiture commence à peiner du fait d’une montée pernicieuse et constante.
Nous arrivons tard dans la nuit dans une ville proche de Tucuman.
Le lendemain matin, sous une pluie fine, nous repartons.
Nous entrons peu après dans la ville de Tucuman.
Alors que nous avançons dans la ville, la voiture stoppe brusquement.
Nous parvenons à trouver un chauffeur de taxi qui souhaite nous conduire à un garage.
Nous parvenons à la démarrer à nouveau.
Malheureusement, le garage est fermé et le chauffeur est parti ; nous devons trouver un autre garage par nos propres moyens.
Nous avançons sans relâcher l’accélérateur.
Le garage dans lequel nous arrivons ne peut réparer la panne qu’il suspecte comme étant d’origine électronique ; il nous conduit chez un de ses confrères.
Nous arrivons au garage Sosa ; afin d’effectuer quelques vérifications, nous reprenons la voiture qui comprend une sorte d’appareil qui mesure la pression ; nous avons la matinée pour effectuer un test ; nous en profitons, accompagnés du gérant du garage pour découvrir la ville en compagnie de ce guide providentiel.
Nous arpentons une longue avenue.
Nous découvrons le théâtre.
Dans une galerie commerciale moderne, nous retirons un peu d’argent au distributeur.
Nous continuons notre avancée avec notre invité.
L’appareil qui mesure la pression est toujours au bon endroit.
Nous nous dirigeons vers le coeur de la ville.
Nous nous garons dans une ruelle.
La ville de Tucuman est touristique.
Nous pouvons trouver des distributeurs partout.
Nous reprenons notre véhicule ensuite pour rejoindre la place centrale.
Nous nous garons.
L’hôtel de ville est magnifique.
Une fête populaire nous permet de nous plonger en immersion avec la population locale.
Nous visitons la cathédrale.
Et goûtons à de nombreuses spécialités locales.
Nous arpentons encore un peu le centre de la ville.
Le garagiste nous explique qu’il n’a pas vu de panne sur la voiture ; cette panne fantôme nous pose problème car à chaque fois que nous nous rendons chez un garagiste, la voiture fonctionne normalement ; néanmoins, à l’instant où il nous explique que la voiture fonctionne correctement, elle s’éteint et refuse de redémarrer ; nous sommes heureux de ne plus nous sentir seuls.
Nous retournons au garage et après 3 heures de vérification, ils ne trouvent pas l’origine de la panne. Néanmoins, la voiture démarre à nouveau ; le garage ne nous fait pas payer le travail effectué et nous pouvons quitter Tucuman et prendre la direction de Salta.
Sur la route, nous nous arrêtons dans un petit hôtel et le lendemain, nous reprenons la route.
Le début du chemin est plat. La voiture ne souffre donc pas.
Il nous faut près de 2 heures pour rejoindre Salta.
Mais, le paysage étant agréable, nous souhaitons prendre notre temps. Nous dépassons de nombreuses petites villes.
Le début de notre parcours est constitué d’une double voie.
Nous nous approchons de la ville de Salta.
Nous entrons dans la ville de Salta qui est assez grande.
La nuit commence à tomber ; nous devons nous dépêcher de trouver notre hôtel.
Nous réservons une nuit au Elena hôtel, un hôtel agréable pour 50 euros la nuit.
Le soir, après nous être reposés, nous quittons l’hôtel pour rejoindre le centre ville.
De nombreuses agences proposent des excursions dans le Nord argentin.
Etant donné que nous avons notre propre véhicule, prendre une agence n’est pas nécessaire.
Nous mangeons dans un restaurant peu cher de la ville.
Le centre ville est animé.
Le lendemain matin, nous quittons notre hôtel pour continuer notre visite de la ville.
Nous nous rendons au centre ville.
Nous arrivons à la place centrale.
L’heure étant matinale, nous avons la place rien que pour nous.
La place du 9 juillet est la place centrale de la ville.
En son centre, une belle statue représentant un soldat équestre.
Nous nous rendons ensuite dans la cathédrale.
La première messe de la journée vient de se terminer.
Dans une sorte de crique, de nombreux croyants prient.
Nous rejoignons l’extérieur de la cathédrale.
Nous nous promenons dans le centre ville.
Les maisons sont agréables avec leurs petits balcons.
En début d’après-midi, nous quittons la ville.
Il nous faut une vingtaine de minutes pour la traverser.
Nous entrons dans le Nord du pays.
La montée commence.
La route sinueuse rend toute tentative pour doubler dangereuse.
Sur notre droite, nous apercevons un beau lac.
Sur nos côtés, le vide ; il convient d’être prudent.
Nous grimpons à près de 3000 mètres.
Nous redescendons ensuite de quelques mètres.
Nous nous arrêtons à Digue le Cienaga, un beau lac en plein coeur de la cordillère des Andes.
Dans une petite ville, nous réservons pour la nuit, un hôtel pas cher.
Nous repartons le lendemain.
Après une portion de route droite, nous recommençons à monter.
La voiture peine et nous, nous commençons à ressentir la tête qui tourne.
Le paysage est sublime avec ses nombreuses quebradas.
Nous croisons nos premiers cactus.
Nous nous dirigeons vers Pumamarca, et sa spécificité : la terre des sept couleurs.
A présent, nous circulons en plein coeur de la cordillère des Andes.
Alors que nous arrivons aux abords de Pumamarca, nous remarquons que nous n’avons presque plus d’essence ; nous devons continuer tout droit et faire 20 kilomètres de détour pour rejoindre l’unique station service à des kilomètres à la ronde.
Nous continuons notre route vers le Nord, au lieu de bifurquer à gauche vers la terre des sept couleurs.
Après avoir fait le plein de la voiture, nous retournons sur nos pas.
Nous entrons dans la ville de Pumamarca.
Nous pénétrons dans le village.
La terre des sept couleurs coûte près de 5 euros l’entrée ; à ce prix, il faut rajouter quelques euros de parking ; néanmoins, le site vaut le détour.
Il nous faut marcher de notre parking, près de 15 minutes pour rejoindre le site.
Derrière nous se distingue très nettement les sept couleurs de la roche.
Nous passons un long moment sur le site.
Nous avons un vue étendue sur la ville en contrebas.
En redescendant, nous découvrons l’artisanat local de la région.
Nous longeons la montagne.
Nous effectuons quelques photos avec un jeune alpaga.
L’animal est attachant.
Nous faisons quelques achats.
Nous mangeons ensuite dans un restaurant local.
Le plat est délicieux.
Nous repartons ensuite en direction de la salina grande.
La route présente une forte pente.
Malgré le décor, nous supportons de moins en moins bien l’altitude à laquelle nous ne sommes pas habitués.
La voiture souffre.
Peu de voitures sur la route.
Nous arrivons à un des points culminants de notre montée : 4170 mètres.
Nous achetons à des vendeurs locaux, des feuilles et des bonbons de coca, la plante avec laquelle est fabriquée la cocaïne, mais qui dans sa forme brute permet de supporter l’altitude sans dépendance.
Nous repartons ensuite vers la salina grande.
Nous traversons d’abord une petite saline, une grande étendue de sel, avant d’arriver aux abords de la salina grande.
Nous entrons sur le site, dont l’accès est gratuit.
Nous marchons sur de grosses plaques de sel.
L’endroit est magnifique.
Les plaques forment de grands hexagones.
Nous restons près de 2 heures sur le site.
Nous attendons ensuite 15 minutes que la voiture souhaite bien redémarrer.
Nous repartons ensuite vers la frontière avec le Chili.
Le soleil commence à se coucher.
Le décor change.
Nous apercevons face à nous le village montagnard de Sousque.
Nous entrons à l’intérieur en espérant que nous pourrons trouver un hôtel.
Il y a un hôtel au prix de 25 euros la nuit ; malheureusement, l’hôtel n’accepte pas les dollars ; nous devons trouver un distributeur dans la ville.
Nous arpentons la ville à pied, ce qui nous donne l’occasion de la visiter.
Les gens ont une certaine rudesse.
Nous nous arrêtons chez l’épicier afin de voir s’il peut changer notre monnaie ; il ne veut pas ; nous devons rejoindre le distributeur en espérant qu’il accepte la Mastercard.
Nous nous rendons au coeur de la ville.
Par chance, le distributeur accepte notre carte bancaire.
Nous retournons à l’hôtel.
Nous faisons une halte chez l’épicier du coin afin d’acheter quelques victuailles, étant donné qu’il n’y a pas de restaurant dans l’hôtel.
Nous croisons de jeunes enfants, surpris de découvrir des touristes dans leur ville.
Nous mangeons ensuite nos produits en buvant un thé au coca.
Le lendemain matin, nous remarquons que l’hôtel est fermé complètement ; nous sommes obligés, alors que nous sommes encore fatigués et frigorifiés, de passer par la fenêtre.
Nous reprenons la route vers la frontière chilienne.
Les couleurs sont vives.
Nous commençons à manquer d’essence.
Nous nous arrêtons à une station service, mais malheureusement à cause des températures négatives, la pompe est gelée ; nous ne pourrons pas avoir d’essence.
En ayant espéré tout le chemin, la voiture parvient avec la réserve à arriver jusqu’au poste frontière dans lequel, nous pouvons faire le plein et patienter jusqu’à l’ouverture des postes d’immigration.
Nous quittons l’Argentine.