En provenance de la Géorgie, nous nous apprêtons à entrer en Azerbaïdjan. Nous possédons déjà notre visa étant donné que nous avons utilisé l’application visa électronique.

Le visa peut être effectué facilement sur le site officiel du gouvernement.  Il coûte 20 dollars et il est envoyé en 3 jours.

Après trente minutes d’attente, nous passons le contrôle de la frontière en devant présenter nos papiers à plusieurs guichets. Néanmoins, nous avons de la chance. Alors que toutes les voitures sont fouillées de fond en comble, nous sommes autorisés à circuler sans subir de fouille.

Nous entrons sur le territoire par le poste frontière de la ville de Balakan.

Les routes sont en bon état.

Nous faisons une halte dans un supermarché, mais malheureusement, je ne peux changer mes euros.

Nous repartons.

Nous quittons la ville.

Nous parvenons à retirer de l’argent dans un distributeur présent dans une station service.

Sur la route, nous sommes arrêtés suite au passage d’un troupeau de vaches.

Nous entrons dans une petite ville.

Nous souhaitons prendre une petite collation, mais l’endroit ne nous inspire pas confiance.

Nous repartons.

Nous faisons le plein de carburant ; nous le payons 15 euros ; à 30 centimes d’euros (60 centimes de Manat) le litre, il s’agit du plein le moins cher d’Europe.

Des locaux nous invitent à partager un thé ; nous acceptons avec plaisir.

Il est temps pour nous de reprendre la route en direction de la ville de Shaki.

Nous traversons une autre ville.

Nous quittons la ville.

Puis, nous entrons dans une autre petite ville.

Nous circulons à présent dans la campagne du pays.

Notre GPS a arrêté de fonctionner depuis un bon moment, les routes du pays n’y étant pas consultables.

Il faut près de trois heures pour rejoindre la ville de Shaki.

Mis à part quelques villes, la campagne azeri semble déserte.

Nous entrons dans la ville de Shaki.

Nous prenons la direction du centre.

Nous réservons une nuit dans l’hôtel Seki Saray, un hôtel 4 étoiles pour un coût de 50 euros.

Nous posons nos affaires dans notre chambre et parcourons à pied les rues du centre.

Nous faisons quelques achats.

Nous découvrons non loin de notre hôtel, un beau parc.

Dans le parc, se trouve un restaurant qui propose des plats traditionnels.

Après avoir mangé, nous retrouvons notre lit.

Le lendemain matin, nous prenons un solide petit-déjeuner.

A l’aide de notre voiture, nous rejoignons les hauteurs de la ville.

Les monuments touristiques sont mal indiqués ; nous devons demander à plusieurs reprises à des passants qui ne maîtrisent malheureusement pas l’Anglais.

Nous arrivons après plusieurs recherches infructueuses au Shaki Khan palace, un monument phare de la ville qui regroupe un marché artisanal.

Face à nous, un édifice phare de la ville.

Nous croisons une vieille femme qui prépare un feu afin de vendre du thé.

Nous pénétrons dans le marché artisanal.

Nous décidons de nous promener dans le site afin d’en découvrir toutes ses spécificités.

Nous prenons la route à présent vers le Karvansaray, un autre site touristique de la ville.

En moins de cinq minutes, nous arrivons sur place.

Nous quittons la ville en direction de la ville d’Ismayilli.

En quittant la ville, nous faisons la connaissance d’une Française qui parcourt le monde à pied.

Nous quittons la ville.

Nous faisons une halte dans un petit village afin de découvrir une conception artisanale du pain.

Nous faisons la connaissance d’une famille locale.

Nous reprenons la route.

Nous faisons une halte dans un café local afin de prendre un thé.

Nous reprenons la route.

Un peu partout, nous tombons nez à nez avec des photos du président.

Dans un marché local, nous achetons un fruit particulier.

Nous faisons une halte dans une ville de taille moyenne. Nous y découvrons un beau marché traditionnel.

Les gens sont accueillants.

Le lendemain matin, après une nuit dans un hôtel local, nous reprenons la route.

Nous entrons dans la ville d’Ismayilli.

Nous visitons cette petite ville peu intéressante.

Nous prenons la direction de la ville de Lahic.

La route est en mauvais état.

A plusieurs reprises, la route s’avère dangereuse.

Nous nous garons pour effectuer une petite découverte des alentours.

Il est temps de reprendre la route.

L’accès principal à la ville est fermé ; il nous faut emprunter une autre entrée et nous garer aux abords de la ville.

Nous pénétrons dans la ville à pied.

La ville est une des plus touristiques du pays.

Nous assistons au travail d’un serrurier local.

Les ruelles sont pavées.

Nous prenons un thé dans un café local.

Il est temps pour nous de quitter la ville.

Nous reprenons la route vers la ville d’Ismayilly.

Le lendemain matin, après une nuit dans une guest house sans prétention, nous reprenons notre avancée.

Nous entrons à nouveau dans la ville d’Ismayilly que nous quittons aussitôt.

Nous devons rejoindre la ville de Gandja.

Nous faisons une halte dans un restaurant local.

Nous reprenons la route.

Nous prenons la direction de la ville de Baki.

Puis, une autoroute flambant neuve nous emmène vers la ville de Gandja.

Nous entrons dans la ville.

Nous prenons la direction du centre ville.

Nous arrivons dans le centre populaire.

Nous arpentons les rues du centre, bondées.

Il nous faut reprendre notre voiture pour rejoindre le centre historique. Nous nous garons aux abords d’un centre commercial moderne.

Nous rejoignons le centre historique.

Nous découvrons une belle mosquée.

Nous continuons notre avancée.

Face à nous, le théâtre de la ville.

Nous avançons dans cette sorte de grand parc pour rejoindre le parlement de la ville.

Nous procédons à quelques achats dans un kiosquier.

Face au parlement, une belle fontaine.

Le parlement est magnifique.

Deux policiers croyant que nous les prenons en photo nous contrôlent. Après un coup de fil à leur supérieur, j’entends ce dernier leur crier dessus, semblant certainement leur dire de ne pas embêter les touristes que nous sommes, le pays ayant placé le développement touristique comme secteur majeur de l’économie nationale. Les policiers s’excusent et nous laisse partir.

Nous entrons dans le centre commercial.

Nous décidons de tester un fast-food.

Il est temps pour nous de rejoindre notre hôtel.

Nous avons réservé une nuit au Vego hôtel, un hôtel quatre étoiles pour un coût de 50 euros, petit-déjeuner inclus.

Le lendemain matin, nous prenons un solide petit-déjeuner.

Nous quittons la ville.

Nous rejoignons la frontière avec la Géorgie.

Avant de quitter le pays, nous faisons le plein de carburant.

Nous continuons en direction de Qazax.

Nous traversons la ville.

Nous faisons une halte pour découvrir cette petite ville.

Nous prenons la direction de la frontière géorgienne.

Nous arrivons au poste frontière.

Après avoir payé quinze euros de taxe de sortie, nous quittons le pays.