Nous quittons la ville de Belize city.
Nous nous rendons dans l’île d’Ambergris.
Nous assistons à un beau coucher de soleil.
Nous profitons de cette détente, cheveux au vent.
Nous croisons quelques île.
Nous arrivons aux abords de Caye Cauker, une île apprécié des amateurs de plongée.
Nous repartons ensuite en direction d’Ambergris pour encore 40 minutes de ferry.
Nous descendons au port de San Pedro.
Nous faisons la connaissance de David Gonzales, qui propose des excursions sur l’île.
Nous nous rendons en sa compagnie vers une société qui loue des voiturettes de golf, seule possibilité de location pour les touristes.
Il faut savoir que les prix, quand bien même négociables jusqu’à 50 % sont très élevés. Nous nous passons d’une voiturette que nous louerons le lendemain, gagnant ainsi la nuit.
Nous mangeons un morceau dans un restaurant. Le prix du plat est élevé. Près de 12 euros en moyenne.
Notre chauffeur nous emmène à notre hôtel pour 3 euros.
Malheureusement, le gérant de l’hôtel s’est absenté ; nous devrons patienter durant près d’une heure son retour.
Le lendemain matin, nous prenons un solide petit déjeuner.
Nous arpentons les bords de mer.
L’île est agréable.
Nous faisons du stop ; un taxi décide de nous emmener jusqu’au centre ville de San Pedro.
Nous souhaitons acheter notre ticket pour le Mexique en navette rapide.
Etant donné que l’agence est encore fermée, nous nous baladons dans la ville.
Les gens sont plutôt souriants.
Les maisons ont l’air fragiles ; les façades décrépies sont rongées par le vent marin.
Nous retournons à l’agence une heure plus tard.
Nous pouvons acheter un ticket pour Chetumal au Mexique pour la somme de 75 euros par personne ; le trajet durera 2 heures.
Une fois nos tickets en poche, nous nous rendons dans un supermarché près de l’aéroport afin de louer une voiturette de golf ; nous rencontrons un Jordanien vraiment sympathique, qui nous loue une voiturette pour trente dollars.
Nous longeons l’aéroport.
Nous nous rendons dans le coeur de San Pedro.
Nous arrivons au coeur de la ville.
Nous louons pour l’après-midi une excursion pour la réserve Hol Chan marine, une réserve aquatique magnifique située sur la barrière de Corail ; nous choisissons l’agence Ambergris divers ; nous payons 4O euros l’excursion qui dure une après-midi.
Nous rejoignons ensuite la place centrale de la ville.
Nous arpentons la place centrale de San Pedro.
Nous repartons ensuite afin de parcourir l’île en profondeur.
Nous nous dirigeons vers le Nord de l’île.
La route en pavé nous empêche de rouler à allure raisonnable ; nous devons modérer notre vitesse.
En outre, de nombreux dos d’âne nous ralentissent.
Nous dépassons beaucoup d’hôtels.
Au fur et à mesure de notre progression, les touristes semblent moins nombreux.
Nous arrivons à l’hôtel que nous avons réservé pour 2 nuits.
L’hôtel situé à l’extrême Nord de l’île contient de nombreuses infrastructures. La nuit revient à 50 euros, ce qui est peu cher pour une telle qualité.
Nous découvrons la plage alentour.
Les palmiers donnent un côté de vacances éternelles.
Suite au passage d’un cyclone, les pontons détruits sont reconstruits.
Des ouvriers s’affairent à redonner une forme nouvelle à l’ensemble.
Nous retournons au centre ville afin de rendre la voiturette de location.
Nous nous rendons à l’aéroport afin de voir la disponibilité d’un vol pour rejoindre le trou bleu au coeur de l’océan ; malheureusement, un seul vol par semaine est prévu, le jour où nous devons partir ; pour info, un tel vol pour apercevoir le trou bleu coûte 200 euros ; en bateau, à titre de comparaison, l’excursion revient à 150 euros, mais pour une durée beaucoup plus importante.
Pour retourner à notre hôtel, nous prenons un taxi pour la somme de 5 euros.
En début d’après-midi, alors que l’agence pour découvrir le parc marin devait nous récupérer, personne ne vient ; nous prenons un taxi pour nous rendre à l’agence.
Arrivés au siège de l’agence, nous apprenons que le mandaté par la responsable a tout bonnement oublié ; il se fait crier dessus devant nous et la responsable pour se faire pardonner nous offre à boire et nous conduit à la plage de laquelle se fait l’embarquement pour la réserve marine.
Arrivés sur place, nous patientons, le temps que l’averse qui vient de tomber s’estompe.
Nous faisons connaissance avec les autres membres de l’excursion : deux Allemandes, un Américain et un Brésilien.
Nous embarquons.
Il nous faut trente minutes de bateau pour rejoindre la réserve.
L’eau devient translucide.
D’autres bateaux se trouvent déjà sur place.
Nous plongeons.
Les premiers mètres ne laissent pas transparaître de beauté.
Mais après un court instant, la barrière de corail, une des plus grandes au monde se laisse apercevoir.
Nous nous enfonçons dans la barrière et essayons d’éviter le guide, qui nous contraint à le suivre ; nous parvenons à nous faire discret.
Nous pouvons profiter de la barrière de corail.
Le décor sous-marin est sublime.
Nous en profitons un maximum.
Nous remontons sur le bateau pour nous enfoncer un peu plus dans la réserve.
Le deuxième arrêt prévoit une nage avec les requins nourrices ; pour les attirer, le guide lance des morceaux de viande ; soudainement, près d’une trentaine de requins arrivent de toutes parts : impressionnant.
Les animaux majestueux nous poussent pour accéder à la nourriture.
Le troisième arrêt comporte une nage avec les raies pastenagues.
Nous remontons sur le bateau ensuite en fin d’après-midi.
Le soir, nous profitons du décor paradisiaque offert par l’hôtel.
Le lendemain, nous passons une journée à nous reposer sans sortir de l’hôtel.
Le surlendemain, tôt le matin, nous faisons du stop pour rejoindre le port afin de prendre le ferry qui nous emmènera au Mexique.
Nous passons les contrôles en payant une taxe de sortie de 10 dollars.
Nous effectuons le change de notre monnaie.
Nous attendons l’arrivée du ferry.
Nous grimpons à bord : deux jeunes ne possèdent plus l’argent ; ils sont empêchés d’embarquer ; néanmoins, à la dernière minute, les officiers de l’immigration les autorisent à grimper à bord sans avoir besoin de payer la taxe de sortie.
Le ferry démarre.
Nous longeons les côtes d’Ambergris caye.
Nous quittons le Belize.
Les dernières côtes s’éloignent au fur et à mesure que nous nous approchons du Mexique.