En provenance du Panama, nous entrons au Costa Rica.
Nous avons pris un bus de la compagnie Tikal international ; le trajet en venant de Panama city dure près de 17 heures ; il coûte près de 60 euros par personne ; nous sommes partis la veille à 22 h 00 ; à 8 h 00, nous arrivons à la frontière où nous subissons, ainsi que l’ensemble du bus, un contrôle anti-drogue.
Après avoir payé quelques dollars de droit d’entrée, on nous appose un tampon sur nos passeports ; étant ressortissants français, nous n’avons pas besoin de visa pour entrer dans le pays.
Un contrôle antidrogue est effectué par la police des narcotiques.
Nous reprenons la route en direction de San José.
Nous faisons une halte dans un restaurant pour nous restaurer.
Nous repartons ensuite.
Nous sympathisons avec le chauffeur qui décide de s’arrêter quelques instants, pour nous permettre de déguster le fruit du dragon, une spécialité du pays.
Nous repartons, de nombreux fruits dans les poches.
Nous arrivons en début d’après-midi à la station de bus de San José.
Nous prenons un chauffeur de taxi pour nous emmener à notre société de location de voiture, non loin de l’aéroport.
Nous traversons une partie de la ville de San José.
Nous devons faire face à quelques embouteillages.
Nous entrons dans la périphérie de la capitale.
Le secteur est résidentiel.
Nous arrivons aux abords de l’aéroport.
Malheureusement, en arrivant sur place, notre réservation n’a pas été enregistrée par la compagnie Payless ; ile nous proposent alors un prix de location près de 6 fois supérieur à celui que nous avons trouvé sur Internet ; c’est tout simplement de l’escroquerie et nous ne sommes pas les seuls dans ce cas de figure ; il s’agit d’une compagnie dont il faut se méfier.
Nous empruntons une navette pour nous rendre à l’aéroport afin de trouver un autre loueur.
Nous arrivons à l’aéroport ; nous apercevons plusieurs personnes tenant des panneaux de marques de location ; il faut préciser que l’aéroport ne comprend pas de loueurs, qui se trouvent tous à proximité du site.
Nous expliquons notre problème au loueur de la société Europcar ; il nous conduit jusqu’à sa société de location ; nous louons un 4/4 pour la somme de 70 euros par jour.
Nous faisons une halte dans un supermarché voisin afin de faire le plein en eau.
Nous retournons un peu sur nos pas.
Nous réservons un hôtel à proximité ; nous avons le choix parmi de nombreuses propositions aux abords de l’aéroport. Nous payons la nuit 50 euros. C’est cher, mais nous n’avons pas le choix ; il est tard et nous sommes fatigués.
Le lendemain, nous nous dirigeons vers le cratère Poas.
Le volcan Poas se trouve à moins d’une heure de route.
Nous devons nous rendre tout d’abord dans la ville de Poas.
Les indications du parc national sont bien référencées sur la route.
Il nous faut emprunter une route ascendante.
Nous dépassons quelques petits villages sur le flanc du volcan.
Nous traversons la ville de Poas.
La ville est agréable.
Nous devons au deuxième carrefour, emprunter une route qui part sur notre droite.
Nous entamons la dernière partie du chemin.
Il ne s’agit plus que de monter.
La route comprend nombre de courbures.
Nous entrons dans le parc.
Nous devons payer, tout en restant dans la voiture, 15 dollars par personne.
Il nous faut encore rouler quelques minutes.
Nous garons notre véhicule.
Le reste du chemin se parcourt à pied.
Près de 20 minutes de marche.
Nous entrons sur un chemin plus étroit.
Notre première halte s’effectue au cratère.
Nous croisons quelques touristes.
La vue est magnifique.
Le cratère se trouve face à nous.
Sur notre gauche, des ouvriers agrandissent le site qui accueille les visiteurs.
Nous nous dirigeons à présent vers la lagune.
Après 20 minutes de marche, nous parvenons jusqu’à la lagune.
Le site est moins impressionnant que le cratère.
Après une heure sur place, nous faisons demi-tour.
Nous prenons un café dans le restaurant du site.
En retournant sur la ville de Poas, nous nous arrêtons chez un vendeur de produits locaux.
Il nous invite à découvrir un peu dans les hauteurs, ses serres de culture de fraises.
Nous le suivons au coeur de la campagne du pays.
Nous découvrons de grandes serres de culture.
Les fraises ont la particularité d’être cultivées sur les flancs du volcan.
Nous retournons sur le chemin et nous nous arrêtons chez un vendeur de café.
Il nous fait découvrir le café du pays, une fierté nationale.
Il nous invite ensuite à découvrir les champs de sa famille.
Nous suivons sa fille.
Elle nous emmène dans de vastes champs.
Les conditions climatiques sont idéales pour la culture du café.
Mais, la fille décide de nous faire visiter d’autres champs ; nous nous enfonçons un peu plus dans la campagne.
Nous arrivons sur le site.
Nous assistons à la récolte des grains murs.
La café du pays est un des meilleurs du monde.
Les champs s’étendent à perte de vue.
Le café que nous avons goûté est un des meilleurs au monde ; il peut se commander sur Internet ; la société qui le produit se nomme : Don Sabino.
Nous suivons nos cueilleurs de café qui nous invitent à une dégustation chez eux.
Nous découvrons leur maison.
Nous saluons nos nouveaux amis ensuite et retournons sur San José.
Nous faisons une petite halte dans un village local.
Nous achetons quelques fruits.
Nous continuons à peine notre route.
Nous mangeons une pizza.
Nous repartons après cette halte réparatrice en direction de San José.
Nous arrivons dans une petite ville dans laquelle, une musique nous intrigue ; nous garons notre véhicule.
Nous assistons à une fête locale, une sorte de carnaval.
Nous passons une bonne partie de la journée en compagnie de ses habitants.
Nous repartons ensuite.
Le chemin vers San José étant coupé à cause du carnaval, nous devons contourner la route principale.
Le détournement est de quelques kilomètres.
Nous nous arrêtons dans la ville d’Hérédia voisine.
La ville est agréable.
Nous découvrons la cathédrale.
Nous retournons sur la place centrale.
Nous repartons ensuite et nous nous rendons dans un petit hôtel sans prétention.
Le lendemain matin, nous reprenons le chemin en direction de San José.
La route est droite et de bonne facture.
Nous entrons en périphérie de la ville.
La périphérie de la ville est surtout constituée de commerces.
Nous nous dirigeons vers le centre ville.
De nombreux petits vendeurs sont présents le long de la route.
Nous nous garons aux abords de la cathédrale.
La place est animée.
De beaux bâtiments l’entourent.
Nous rejoignons un regroupement. Il s’agit d’une chanteuse de chants religieux qui transcende la foule.
Nous assistons à plusieurs de ses chants.
Nous visitons ensuite la cathédrale.
A l’extérieur, plusieurs joueurs de foot free style nous gratifient de leur art.
Nous continuons notre visite de la ville.
De nombreux magasins se trouvent le long d’une avenue piétonne.
Nous rejoignons une autre place.
Les cabines téléphoniques sont encore présentes.
Nous faisons quelques achats.
Nous parcourons d’autres ruelles.
Le lendemain, après avoir fait la grasse matinée, nous reprenons notre route pour nous rendre à Puntarenas, sur la côte Pacifique.
Il nous faut tout d’abord traverser la ville.
Nous traversons les quartiers résidentiels de la ville.
Nous découvrons de nombreux restaurants.
Nous prenons la route vers le Sud.
Nous suivons la direction de Puntarenas sous une pluie battante.
Le temps se couvre encore.
Fort heureusement, la pluie cesse.
Nous arrivons dans Puntarenas en début de soirée.
La première étape nous mène dans un restaurant pour déguster des spécialités locales.
Le soir, nous nous rendons à l’hôtel Puerto Azul, un hôtel correct aux abords du port.
Le lendemain, nous prenons un petit déjeuner avec une vue sur le port.
Nous découvrons la presqu’île de Puntarenas.
Nous parcourons la ville à pied.
La ville est banale.
Elle comprend de nombreux commerces.
Mais néanmoins, il y a peu de touristes.
Nous arpentons les bords de mer.
Des ferrys permettent de rejoindre les îles qui se trouvent à proximité.
Nous découvrons le port.
La pêche représente une activité importante de la ville.
Vers midi, nous prenons la route vers le Nord du pays.
Nous retraversons la presqu’île.
Nous prenons la route de Monteverde.
Quelques embouteillages nous font ralentir.
Il nous faut reprendre la route principale. Il nous faut près de 4 heures pour rejoindre Monteverde.
La route ne laisse que peu la possibilité pour doubler.
Nous continuons notre route.
La route goudronnée laisse place à un chemin de terre.
Il nous faut conduire prudemment car les cailloux font chasser notre voiture.
Nous entrons dans la ville de Monteverde.
Nous entrons dans la périphérie de la ville.
Nous faisons une halte à l’office du tourisme.
Nous reprenons notre route.
Le lendemain, après une nuit passée dans un hôtel local, nous nous dirigeons vers le site de Bosque del Nino.
Nous traversons une autre partie de la ville de Monteverde.
La réserve de Monteverde se trouve à notre droite. Nous continuons vers le Bosque Del Nino.
La ville qui comprend la réserve est agréable.
Quelques hôtels sont présents dans la ville.
Nous nous arrêtons à la réception de Bosque del Nino, qui prend également le nom de Children’s Eternal Rainforest.
Nous en rencontrons les responsables.
Les responsables nous guident pour rejoindre la forêt.
Nous arrivons sur le site.
Nous garons notre véhicule ; le reste du chemin se parcourt à pied.
Face à nous, l’immensité de la Rainforest.
Nous faisons connaissance avec les guides qui vont nous accompagner.
Nous commençons notre treck.
Les guides nous expliquent les différents arbres que nous pouvons rencontrer.
Il faut approximativement 3 heures pour parcourir le sentier.
Nous entendons de nombreux animaux.
Sur le chemin, de nombreux bancs permettent de se reposer.
Nous suivons toujours le guide, mais il y a peu de chance de se perdre, le chemin étant bien balisé.
Quelques moustiques nous dérangent.
Chaque fleur, chaque végétal a son utilité dans la forêt.
Certains arbres mesurent plus de 10 mètres de hauteur.
Le parc est relativement bien entretenu.
Nous quittons la réserve.
Nous saluons nos guides.
Nous quittons le site.
Nous terminons l’après-midi, au centre ville ; nous louons un hôtel sans prétention et mangeons un morceau.
Le lendemain matin, nous nous dirigeons vers la réserve de Monteverde.
De la ville, une quinzaine de minutes suffit.
Nous entrons dans le parc.
Nous garons notre véhicule.
La réserve est une des plus belles de tout le pays.
Il faut la journée pour bien la parcourir.
Nous commençons notre trek, accompagné d’un guide d’un grand professionnalisme.
Il est attentif à tous les bruits qu’il entend.
De nombreux touristes apprécient l’endroit.
Certains arbres ne sont présents qu’ici.
Nous découvrons les ponts suspendus.
Nous nous trouvons en hauteur.
Nous continuons notre visite.
Certains chemins sont magnifiques.
Une pluie fine commence à tomber en début d’après-midi.
La pluie donne un côté mystérieux à l’endroit.
Mais la fine pluie laisse la place à une grosse averse.
Nous ne nous attardons pas, quand bien même la brume qui apparaît nous emplit de satisfaction visuelle.
Nous nous protégeons avec les moyens du bord.
Nous retournons à l’accueil.
Nous prenons notre temps pour manger un morceau.
Le guide nous présente les animaux qui se trouvent dans la forêt.
Nous repartons en direction du Sud du pays et de la ville de Jaco.
Nous redescendons la route montagnarde que nous avions empruntée la veille.
Le décor est somptueux.
Nous reprenons la route principale.
Quelques nids de poule sur la route obligent à la concentration.
Il faut prendre la direction de Tarcoles.
De Monteverde, il faut 3 heures pour rejoindre la ville de Jaco, point d’entrée dans le parc Manuel Antonio.
Mais, sur la route, il convient de s’arrêter au pont aux crocodiles du Rio Tarcoles.
Le pont permet de voir de nombreux crocodiles en totale liberté.
En outre, l’accès au site est gratuite.
Les crocodiles sont présents par dizaines.
La vue est en plus splendide.
Une sorte de carte postale.
Nous retournons à notre véhicule.
Nous reprenons la route en direction de la ville de Jaco.
La ville de Jaco est balnéaire.
Nous traversons nombre de petites villes situées sur le chemin.
Les publicités vantant les mérites des produits vendus par certains commerces fleurissent un peu partout.
Nous entrons dans la ville.
La ville est moderne.
Nous décidons de la traverser afin de manger une bonne pizza à l’extérieur de la ville à une adresse qu’un local nous a donnée.
Le soir, nous retournons dans la ville afin de réserver un hôtel agréable au prix de 40 euros la nuitée : l’hôtel Los Ranchos.
Nous pouvons à notre guise découvrir la ville.
Nous retournons à notre hôtel tard dans la nuit.
Le lendemain matin, nous nous réveillons dans un cadre bucolique.
Nous prenons la route en direction du parc Manuel Antonio. Il nous faut 1 heure de route pour rejoindre le parc.
Nous traversons de nombreuses petites villes.
Nous rejoignons la ville de Quepos.
La ville de Quepos comporte de nombreux hôtels, avec un prix pour une nuitée supérieur aux hôtels présents sur la route.
Nous nous arrêtons dans la ville afin de prendre un petit déjeuner.
Nous faisons ensuite quelques achats dans un des magasins de la ville. Nour repartons ensuite.
Nous nous dirigeons ensuite vers le parc.
Nous devons emprunter une dernière portion de route.
Plusieurs vendeurs proposent des locations de canoës pour les plages proches.
De nombreux commerces sont présents aux abords du parc.
Nous dépassons un parc d’aventure dans lequel nous nous rendrons plus tard.
Nous arrivons aux abords du parc.
Tout au long du chemin menant au parc, des gens proposent des places de stationnement. Il ne sert à rien de les prendre, car des places à proximité de l’entrée du parc se trouvent facilement.
Nous garons notre véhicule dans une petite ruelle aux abords du parc. Nous ne payerons rien, la place étant publique.
Nous faisons la queue pour acheter nos tickets.
Face à nous, un homme de la sécurité arrogant.
Le passage en caisse est malgré tout rapide.
Une fois nos tickets au prix de 15 euros par personne en poche, nous nous rendons à l’entrée du parc.
A l’entrée, tous les sacs sont fouillés ; aléatoirement, la nourriture est jetée, mis à part quelques sandwichs et bouteilles d’eau. Le tabac est interdit dans le parc ; il vaut mieux pour les fumeurs de cacher leur paquet de cigarette sur eux.
Nous entrons dans le parc.
De nombreux touristes sont présents.
Il y a possibilité de découvrir une chute d’eau en empruntant le sentier à gauche.
Nous apercevons un paresseux dans les arbres. Il est difficile à photographier.
Nous sommes cependant déçus par le parc qui ne vaut mérite pas les commentaires dithyrambiques attribués par certains guides de voyage.
En bout de chemin, nous tournons sur notre droite pour rejoindre les plages.
Nous pouvons nous détendre.
Il est interdit cependant de s’aventurer près des rochers.
L’ambiance du parc est lourde. Les gardes haranguent les touristes au moindre écart.
Les gardes du parc en profitent pour fouiller les vacanciers afin de voir s’ils ne trouvent pas de tabac sur eux ; nous échapperons à la fouille.
Nous apercevons un coatis.
Il nous amuse avec ses mimiques particulières.
Etant donné qu’à l’entrée, on ne nous a pas demandé nos billets, ils sont vierges et nous pouvons les revendre à la sauvette pour un tarif de 10 dollars. Nous trouvons une Hollandaise, contente de pouvoir gagner un peu d’argent. Nous lui déconseillons ensuite de prendre un guide qui est totalement inutile ; elle nous remercie.
Nous reprenons notre route ; nous faisons une halte sur une plage publique, dont l’entrée est gratuite et nous remarquons que cette plage est bien plus intéressante que la plage du parc Manuel Antonio.
En outre, de nombreuses activités sont proposées aux vacanciers.
Nous reprenons notre route et nous nous arrêtons au parc Zip Coaster.
Le parc permet d’effectuer plusieurs types de parcours pour 10 euros chacun.
Nous essayons tout d’abord la tyrolienne.
Le tour est créateur d’adrénaline.
Nous en refaisons un deuxième tour.
Nous essayons à présent le tricycle motorisé.
Le moment est amusant.
Nous nous trouvons hauts dans les arbres.
Nous avons beaucoup de plaisir à effectuer ces attractions.
Le tout, en totale sécurité.
Nous pouvons prendre notre temps.
Nous saluons le directeur du parc.
Nous retournons ensuite à San José.
Pour ce faire, nous devons emprunter la route principale.
Nous nous dirigeons vers un petit parc naturel privé.
L’entrée du parc est gratuite.
Le conservateur nous présente les animaux qu’il recueille et soigne.
De beaux perroquets répètent tout ce que nous disons.
Nous découvrons également une belle serre à papillons.
Nous retournons voir les perroquets.
Un oiseau nous tient compagnie jusqu’à notre départ.
Dans un autre endroit du parc se trouve un vivarium qui contient des serpents.
Nous repartons ensuite.
Nous empruntons la route nationale.
A San José, le Hyatt hôtel est complet.
Nous nous rabattons sur le Radisson blue, pour une somme de 50 euros la nuit.
L’hôtel est splendide.
Le lendemain matin, après un solide petit déjeuner, nous profitons quelques instants des bains bouillonnants.
Notre groupe s’apprête à se séparer en deux.
Nous déposons une partie du groupe à un hôtel aux abords de l’aéroport ; il faut préciser qu’ils seront obligés de s’acquitter d’une taxe de sortie de 35 dollars, taxe que nous n’aurons pas à payer en empruntant la frontière terrestre avec le Nicaragua.
Nous nous dirigeons vers la ville de Libéria.
Il nous faut 5 heures de route pour rejoindre la ville de Libéria.
Nous traversons tout le Costa Rica.
La route est de bonne facture.
Nous avons de grandes difficultés à doubler, étant donné que la ligne est continue d’un bout à l’autre du chemin.
Nous pouvons néanmoins découvrir la campagne du pays.
Nous faisons une halte sur une aire de route dans laquelle nous pouvons retirer de l’argent et manger une pizza.
Nous repartons ensuite.
Nous sommes presque à court de carburant.
Fort heureusement, nous parvenons à faire le plein.
Aux abords de la ville de Libéria, nous rejoignons l’aéroport pour rendre le véhicule de location.
Les sociétés de location se trouvent le long de la route.
Nous apprenons que malgré ce que le loueur de San José nous avais dit, nous sommes obligés de payer la somme de 50 dollars en plus, pour ne pas avoir rendu le véhicule au même endroit de la location initiale.
Cette déconvenue ne nous empêche pas de manger une bonne glace.
Nous prenons ensuite un bus pour rejoindre la station de la ville.
De là, nous prenons un autre bus pour nous rendre à la frontière avec le Nicaragua ; nous payons quelques euros le trajet.
Nous grimpons dans le bus, juste à temps.
A la ville frontalière, le bus fait une halte de quelques minutes.
Nous reprenons notre route.
Sur la route, nous croisons de nombreux bidonvilles d’immigrés en provenance d’Haiti.
Nous arrivons à la frontière avec le Nicaragua.
Une femme qui travaille pour le poste frontière vient nous chercher ; nous payons une taxe de sortie de 2 dollars et effectuons les formalités de sortie du territoire.
Nous quittons le Costa Rica.