Attention, ce récit est une photothèque qui reprend intégralement notre voyage en Dominique, en vous présentant sur près de 500 photos, sans rien vous cacher, notre voyage dans le pays.
En Guadeloupe, nous embarquons pour la Dominique. Nous montons dans le ferry Express des îles pour une traversée d’une durée de 2 heures et pour un coût de 79 euros.
Nous patientons en remplissant le formulaire d’immigration ; en tant que Français et disposant d’un billet de sortie du territoire, nous n’avons pas besoin de visa ; cependant, il faut payer une taxe de sortie du territoire de 20 dollars. Nous approchons des côtes de la Dominique.
Une belle éclaircie apparaît.
Nous apercevons face à nous, la ville de Portsmouth, une des plus grandes villes du pays.
Nous arrivons à Roseau.
Nous rejoignons le hall central dans lequel, nous passons les contrôles de l’immigration.
A l’extérieur, nous faisons la connaissance de Martin un chauffeur qui nous servira de guide ; il est professionnel et demande 50 euros par jour. Il peut être joint au 001 767 245 0810 ou au 001 767 615 3801.
Nous faisons un petit tour dans le centre ville de Roseau, la capitale.
Martin nous conseille afin de visiter les parcs, de prendre une carte au ministère du tourisme. Nous acceptons et nous nous y rendons.
Nous pouvons ne l’attente, découvrir la ville.
Nous dépassons une grande école, une sorte de collège.
Sur place, nous payons la somme de 40 dollars pour une entrée dans la majeure partie des parcs pour 15 jours. Etant donné que la vendeuse n’accepte pas l’euro, nous devons retourner en ville afin de retirer un montant en dollar caribéen.
Nous retournons à l’office pour acheter nos tickets.
Nous prenons la route en direction du Nord de l’île.
Nous nous rendons en direction de Portsmouth.
Nous traversons plusieurs petits villages.
Les villages sont colorés.
Nous longeons la côte caraïbe.
A de nombreuses reprises, la route empruntée est provisoire, l’ancienne ayant été détruite par le passage d’une tempête tropicale.
Nous pouvons en apercevoir les dégâts.
Certains villages sont blottis dans des sortes de vallées.
A un autre endroit, la route est détruite.
Une nouvelle route a été construite juste à côté de l’ancienne.
Certains passages de la route se trouvent en hauteur. Un pont git au milieu d’une mare d’eau.
Mais les habitants ne se laissent pas abattre pour autant. Nous nous arrêtons sur le bord de la route afin de manger dans un de ces restaurants de rue traditionnels.
C’est alors que nous faisons la connaissance de Big Papa, un des hommes les plus musclés de l’île ; il a également joué dans le feuilleton français : les vacances de l’amour ; il se révèle être un géant au grand coeur, doux et attentionné.
Nous continuons notre route en direction de la ville de Portsmouth.
La verdure est omniprésente.
Nous entrons dans la ville.
Nous nous dirigeons à présent vers l’Indian river, un site touristique majeur de l’île.
Nous garons notre véhicule aux abords d’une plage.
Nous profitons d’un moment de détente avec les locaux.
Nous acceptons l’offre d’un homme nous conduisant dans l’Indian river pour la somme de 30 euros par personne ; le tour dure 1 heure.
Durant tout ce temps, il n’arrêtera pas de pagayer.
Nous nous enfonçons dans une forêt luxuriante. Le taux d’humidité est important.
A certains endroits, l’eau est de couleur plus sombre ; il s’agit de la différence de densité entre l’eau de mer qui arrive et l’eau douce de couleur saumâtre qui provient du coeur de l’île.
Le décor a servi de lieu de tournage pour le film : Pirate des Caraïbes 2 et 3.
La production du film avait choisi ce lieu dés le premier film, mais la Dominique avait refusé ; devant le succès du film, le gouvernement a fait machine arrière.
Le décor est somptueux.
Vers la fin de la rivière, nous nous arrêtons dans un bar.
Nous continuons ensuite notre chemin.
Nous entrons dans les eaux saumâtres de la rivière.
Nous retournons vers l’entrée de la rivière.
Le pagayeur décide de nous faire visiter une autre partie du site.
Nous pouvons observer à plusieurs reprises des oiseaux.
Nous avons de la chance de ne pas croiser de moustiques.
Le décor semble changeant.
De gros arbres poussent de manière particulière, renforcés par les sédiments marins qui proviennent de la mer des caraïbes.
Certaines racines sont anormalement grandes.
Nous profitons de ce moment de découverte.
Nous retournons ensuite à l’entrée de la rivière ; nous attendons notre chauffeur qui mettra 15 minutes à arriver.
Nous faisons une halte dans un supermarché local.
Nous retournons à présent vers le Sud de l’île, dans la ville de la Soufrière.
Nous refaisons le chemin emprunté auparavant.
Nous dépassons la ville de Roseau.
Nous ne cessons pas d’admirer le paysage.
Nous parvenons après une heure de route dans la ville de la Soufrière.
Nous nous garons face à l’église.
Nous arpentons les rues de la ville.
Nous visitons l’église.
Nous nous dirigeons vers la Buble beach, qui est gratuite d’accès.
La plage se trouve face à l’église.
Nous empruntons un petit chemin.
La plage est particulière ; des bulles de gaz chaud émergent du sol et réchauffent l’eau qui se trouve à proximité.
Nous nous détendons dans ce spa naturel.
La température de l’eau est de 35 degrés.
La vue est en plus magnifique.
Nous continuons ensuite notre route vers Scott Heads.
Scott Heads est l’endroit où se rencontrent la mer des Caraïbes et l’Océan Atlantique.
Le chauffeur parvient à grimper sur la colline avec son taxi ; la montée est abrupte.
Nous continuons le chemin à pied.
La vue commence à se dégager.
Nous continuons à grimper.
Nous sommes presque au sommet.
Il nous faut encore parcourir quelques mètres.
Après l’effort, le réconfort.
La vue est une des plus belles de l’île.
Tout au haut de la colline, se trouve un canon rouillé.
Nous redescendons ensuite et nous nous arrêtons sur le chemin pour faire connaissance avec des pêcheurs.
Nous nous dirigeons à présent vers le site de Champagne.
A cette heure tardive, le site est gratuit.
Nous longeons la plage sur une passerelle en bois.
Les premières bulles commencent à apparaître.
Nous effectuons du snorkelling.
Dans l’eau, des milliers de bulles.
D’où le nom du site : Champagne.
Nous sommes enivrés par tant de beauté.
Après une heure de plongée, nous retournons à notre véhicule ; sur le chemin, nous prenons le temps d’admirer un iguane.
Nous nous arrêtons pour assister à un coucher de soleil.
Un peu plus loin, nous faisons connaissance avec des chercheurs de sable.
Nous nous dirigeons ensuite vers le coeur de l’île, sur le site de Wotten Waven ; nous choisissons un hôtel qui possède ses propres sources thermales. Nous payons 60 euros la nuit.
Nous pouvons, à volonté, nous baigner dans de l’eau soufrée à plus de 35 degrés.
Nous prenons un léger repas et nous nous couchons, fourbus et exténués.
Le lendemain matin, nous nous rendons aux chutes Trafalgar. Le chemin dure une vingtaine de minutes ; en cette heure matinale, le site est libre d’accès.
Il nous faut 10 minutes pour rejoindre les chutes.
Elles apparaissent devant nous.
Deux chutes sont distantes de quelques mètres.
Le tout, dans une végétation luxuriante.
Nous retournons ensuite à notre véhicule.
Nous nous dirigeons vers le lac Boeri. Il nous faut encore monter.
Nous arrivons à l’entrée du site.
Le trek va durer une heure.
Nous devons traverser une partie de la jungle.
Nous prenons le temps de découvrir la faune et la flore locale.
Nous devons traverser plusieurs cours d’eau.
La randonnée est difficile.
En nous arrêtant à plusieurs reprises, nous mettrons plus de 2 heures pour rejoindre le lac.
A certains endroits, nous devons monter des pentes abruptes.
Nous arrivons enfin au lac.
Nous sommes les seuls sur place.
L’eau est fraîche ; nous ne nous y baignerons pas.
Nous préférons admirer le site.
Nous retournons à notre véhicule.
La vue est à couper le souffle.
Nous sommes épuisés.
Npous arrivons à notre véhicule ; nous nous rendons à présent au fresh water lake qui se trouve à quelques mètres.
Le lac est beaucoup plus facile d’accès.
Il se trouve dans une zone aménagée.
Nous ne faisons rapidement le tour.
Nous admirons le site.
Nous sommes également les seuls voyageurs sur le site.
Le lac s’étend sur plusieurs mètres carrés.
Nous reprenons la route en direction de Wotten Waven, le lieu dans lequel nous avons dormi la veille. Après une nuit réparatrice, nous nous levons et nous nous dirigeons vers la vallée du souffre.
Nous nous arrêtons dans un petit bar traditionnel.
Nous faisons connaissance avec une famille locale, dont la matriarche nous accueille en chanson.
Nous continuons quelques mètres ; nous garons notre véhicule.
Une forte odeur de soufre emplie l’endroit.
Le site est gratuit.
De la fumée sort de la terre.
Nous faisons attention de ne pas tomber en nous dirigeant vers une sorte de petite passerelle, rongée par l’humidité.
Une fumée épaisse est évacuée d’une petite cavité naturelle.
Nous nous arrêtons ensuite dans un autre bar local : le petit paradis afin de boire un café.
Nous faisons une halte dans un supermarché afin d’acheter de quoi manger.
Nous nous dirigeons ensuite vers l’Emerald pool.
Pour ce faire, il nous faut rouler une bonne trentaine de minutes.
Nous devons à nouveau grimper vers le coeur de l’île.
Nous arrivons aux abords du site.
Le chemin principal étant impraticable, nous devons emprunter un chemin secondaire qui allonge de trente minutes la durée de notre marche.
Nous découvrons la forêt dense que nous traversons.
Un autre chemin est barré ; nous devons le contourner.
A certains endroits, nous avons une vue dégagée sur toute la canopée.
Encore quelques efforts. Nous arrivons à l’Emerald pool.
Le site est grandiose.
Nous prenons le temps d’en admirer chaque recoin.
C’est alors que des jeunes mariés effectuent leurs photos. La scène est splendide.
Quelques touristes commencent à arriver.
Nous décidons de nous baigner dans une eau relativement fraîche.
Nous reprenons ensuite la route vers la ville de Roseau.
Nous faisons connaissance avec des jeunes ; ils nous accueillent comme si nous étions leur frère.
Nous continuons notre visite de la ville.
La ville est de taille humaine.
Nous nous rendons au marché.
Nous continuons notre route.
Nous visitons ensuite la cathédrale.
Dans la ville, les prix étant relativement excessifs pour des hôtels de prestation moindre, nous décidons de nous faire plaisir en prenant une chambre dans l’hôtel Fort Young, pour un prix de 100 euros la nuit.
L’hôtel est magnifique ; il comprend une piscine et tout le confort nécessaire, un bon moyen de nous reposer avant notre départ du pays.
Le lendemain matin, nous passons devant le palais présidentiel.
Nous dépassons une belle église.
Nous nous rendons vers le port de la ville situé à quelques minutes de marche.
Etant donné que nous avons le temps, nous prenons un solide petite déjeuner dans un bar qui se situe aux abords du port d’embarquement. Une fine pluie commence à tomber.
Nous passons les contrôles de la sécurité et attendons notre bateau vers la Martinique.
Après une heure d’attente, nous embarquons ; le trajet durera 2 heures et coûte 70 euros.
Nous quittons la Dominique, une île intéressante.
Les côtes de l’île s’éloignent définitivement.