En provenance du Quatar, nous embarquons pour Dubai.
Nous volons avec la compagnie Fly Dubai ; le vol dure 1 heure et coûte 80 euros. Le décollage se fait en douceur.
Nous survolons les Emirats Arabes Unis.
Nous atterrissons et rejoignons le terminal de l’aéroport grâce à un bus qui nous conduit du tarmac au hall d’arrivée.
Nous pénétrons dans l’aéroport.
En tant que Français, nous n’avons pas besoin de visa ; un simple tampon est apposé sur notre passeport.
Etant donné que nous nous trouvons au Terminal 2 et que nous devons rejoindre le Terminal 1 afin de récupérer notre voiture de location, nous prenons un taxi, ce qui nous coûte 10 euros.
Il nous faut vingt minutes pour rejoindre le bon Terminal.
Nous récupérons notre voiture ; le personnel d’accueil de la compagnie Europcar est désagréable au possible, bien différent des loueurs que nous avons eu jusqu’à présent.
La voiture nous coûte 40 euros par jour.
Nous prenons la route vers le centre ville.
A peine sortis de l’aéroport, nous sommes pris dans les bouchons, nombreux dans cette partie de la ville qui mène au Dubai historique.
Malgré quelques panneaux publicitaires, les bâtiments sont traditionnels.
Il s’agit de la route qui mène au Gold souk.
Depuis quelques années, le quartier change tout de même de visage.
Nous décidons de visiter la corniche de la ville.
Il s’agit d’une place très appréciée des touristes.
Nous reprenons notre route en direction du vieux Dubai.
Nous nous garons dans un parking privé.
Nous avons la chance exceptionnelle de visiter une mosquée de quartier.
Nous nous dirigeons ensuite vers le souk.
Il est situé au coeur du vieux Dubai.
Le souk est avant tout un bazar qui vend de nombreux produits.
Il nous faut traverser le bazar pour rejoindre le marché aux épices.
Nous tournons sur notre gauche.
Nous arrivons au marché aux épices.
Les senteurs sont très agréables.
L’encens se mêle à la coriandre.
Nous continuons notre route jusqu’au gold souk.
Le marché de l’or se trouve à quelques mètres du souk.
L’or es tun marché prometteur pour la ville ; un quartier entier lui est dédié.
Nous visitons plusieurs magasins.
L’or se vend sous toutes les formes.
Nous sommes alpagués par de nombreux vendeurs de rue qui nous proposent des imitations de montres célèbres.
Nous continuons notre découverte du quartier.
Nous retournons ensuite à notre voiture.
Le lendemain matin, après une nuit d’hôtel, nous prenons la route du quartier économique.
Nous nous arrêtons cependant dans une espèce de petit port commercial.
Un capitaine iranien nous autorise à monter sur son bateau.
Nous avons une vue formidable sur un des villes proches.
Nous avons le sentiment d’être des privilégiés de découvrir l’envers du décor.
Nous saluons notre hôte et nous nous dirigeons vers le Dubai mall, le centre commercial le plus grand au monde. En outre, de son parking, il permet d’avoir accès à la tour Burj Khalifa, la tour la plus haute du monde.
Nous devons faire face à quelques bouchons.
Les hauts gratte ciel commencent à apparaître.
Ils sont majestueux.
Nous avons les yeux rivés au ciel.
Nous apercevons la tour Burj Khalifa.
Nous prenons la direction de The Dubai mall.
Nous nous garons dans le parking souterrain du centre commercial.
Nous sortons par l’extérieur.
Nous pénétrons dans le centre commercial.
Nous sommes surpris de découvrir tant de boutiques de luxe.
Sur plusieurs étages, la plupart des marques au monde sont représentés.
Le centre comporte plusieurs cinémas.
Nous nous trouvons dans l’antre de la mondialisation.
Nous prenons des photos avec un trépied ; un agent de sécurité vient nous prévenir que nous devons demander une autorisation pour l’utiliser ; nous nous en passerons.
Nous continuons notre découverte des lieux.
Il nous faudra 40 minutes pour rejoindre l’extérieur du centre commercial en direction de la tour Burj Khalifa. Les panneaux indicateurs sont cependant bien placés.
Le monde fourmille aux a bords de la tour Burj Khalifa.
La vue est cependant très agréable.
Aux pieds de la tour la plus haute du monde, des hommes préparent les bassins qui serviront au spectacle des fontaines du soir.
Nous assistons à ces préparatifs.
Mais, notre regard est tourné vers la tour Burj Khalifa.
Les immeubles voisins sont cependant également intéressants.
Les visiteurs peuvent monter au sommet de la tour ; pour ce faire, ils doivent acquérir un ticket dans le centre commercial.
Nous quittons cette esplanade.
Nous retournons dans le centre Dubai mall.
Nous mangeons un morceau, puis nous décidons de retourner à notre véhicule.
Nous devons à nouveau retraverser le centre commercial.
Nous nous dirigeons vers la ville de Charjah.
Nous avons une vue imprenable sur les buildings.
La ville de Charjah est située à moins de 20 kilomètres de Dubai.
Une autoroute relie les deux villes et les deux émirats.
Nous sommes pris dans les bouchons aux portes de la ville.
Charjah est une ville plus traditionnelle que Dubai.
Nous mettons une heure pour effectuer cette distance.
Nous visitons le centre ville.
Nous nous dirigeons vers le front de mer.
Les bâtiments de la ville sont modernes malgré tout.
Nous garons notre véhicule.
Nous nous dirigeons ensuite vers le centre historique, lieu de localisation de l’ancien siège du gouvernement.
Plusieurs bâtiments attirent notre attention.
A côté du siège de l’ancien gouvernement se trouvent de nombreux autres bâtiments de belle facture.
Dont une splendide mosquée.
Nous nous dirigeons vers la corniche.
Nous avons une vue directe sur le souk de la ville.
C’est alors que nous avons la chance de faire la connaissance d’un cheikh qui nous invite sur son bateau ; l’homme, d’une grande gentillesse s’occupe bien de nous. Nous apprendrons malheureusement, le lendemain de notre départ, que la tour qu’il possède à Dubai et dans laquelle il nous avait invité à passer la nuit, invitation que nous déclinerons par manque de temps brûlera intégralement. Quelle tristesse pour un homme aussi brave.
Nous effectuons un petit tour en bateau.
Pendant ce temps, le cheikh discutent avec ses amis, également propriétaires de plusieurs bateaux.
Nous profitons pleinement de cette rencontre.
Le cheikh décide ensuite de nous faire visiter sa ville.
A l’intérieur de son véhicule de luxe flambant neuf, nous découvrons la ville de Charjah sous une autre facette.
Il nous dépose ensuite au souk que nous avions vu de l’autre rive.
Nous découvrons de prime abord, le marché à la viande.
Les gens nous accueillent avec le sourire.
Nous nous rendons ensuite au marché aux poissons.
Nous avons la chance d’être autorisés à assister à la découpe du poisson dans un atelier contigu au marché.
Les employés s’affairent à rendre le poisson présentable.
Le poisson frais est vendu tous les jours, Week end compris.
Les aliments sont de belles qualités.
Nous terminons par le marché aux fruits.
Les vendeurs nous invitent à nous servir.
Nous faisons ensuite le tour du bâtiment.
Nous terminons par le marché aux épices, qui se trouve dans une aile du marché aux fruits.
On nous offre un thé dans le hall du marché.
Nous rejoignons l’extérieur du bâtiment illuminé.
Pour retourner à notre véhicule, nous prenons un taxi pour quelques euros.
Nous admirons encore un peu la ville de nuit et nous retournons sur Dubai.
La ville de Dubai de nuit est encore plus merveilleuse qu’en journée.
Les bâtiments éclairés donnent un côté grandiloquent à l’endroit.
Les tours semblent être constituées de cristal.
Nous nous approchons de la tour Khalifa.
Nous décidons de nous garer au Dubai mall à la même place sur laquelle nous avions stationné auparavant.
Après être parvenu à doubler quelques voitures et à gagner quelques minutes de files, tant le nombre de voitures se rendant au centre commercial est important, nous retrouvons par chance une place idéalement située.
Nous retraversons le centre commercial en prenant le temps de manger un morceau.
Nous nous asseyons au Five guys, un vendeur d’hamburgers délicieux qui a la chance de se trouver à la meilleure place du centre commercial : juste aux abords du bassin à fontaine.
Nous admirons la tour Burj Khalifa de nuit qui resplendit comme nulle autre.
Une sorte de laser effectue le prolongement de la tour qui paraît encore plus grande.
La tour est réellement une des plus belles au monde.
C’est alors que le silence se fait entendre ; un flux de musique émerge de la pénombre. Le spectacle commence ; sous un air changeant toutes les heures, le rythme des jets d’eau s’adapte à la musique diffusée. Le spectacle est grandiose et gratuit ; il entraîne la venue de milliers de touristes qui se pressent chaque soir pour assister au spectacle.
Nous sommes subjugués par tant de grâce.
Le spectacle est magnifique.
Durant plusieurs heures, nous assistons à ce ballet aquatique changeant au gré des notes de musique.
Etant donné que notre vol part de Dubai pour la France part dans 4 heures, nous décidons de retourner à l’aéroport ; nous faisons le plein du véhicule de location pour quelques euros.
Nous arrivons à l’aéroport.
Nous procédons à l’enregistrement de nos bagages.
Nous découvrons un aéroport immense et d’une qualité irréprochable.
Un peu à l’instar de Doha, l’aéroport international de Dubai est précieux.
Même la salle fumeur comprend plusieurs tables et un espace détente.
Nous embarquons.
Nous rejoignons notre vol de la compagnie Air France et quittons Dubai, une ville fantastique.
Quelques années auparavant, nous avons déjà visité les Emirats arabes Unis. En provenance d’Oman avec la compagnie Air Etihad, nous arrivons à Abu Dhabi, capitale des Emirats arabes Unis.
Nous découvrons l’aéroport.
Nous passons les barrières de l’immigration ; un simple tampon nous permet de séjourner trente jours dans le pays.
Nous réservons un chauffeur, qui durant deux jours nous servira de guide. Il coûte une soixantaine d’euros par jour.
Dés notre sortie de l’aéroport, nous sommes surpris de la température extérieure : 52 degrés.
L’air est brûlant ; l’extérieur est un vrai four.
Même le fait de laisser une fenêtre ouverte est difficile : les températures sont les pires que nous ayons rencontrées au cours de notre vie.
L’autoroute est propre et gratuite.
Nous arrivons à la mosquée qui se situe à l’extérieur de la capitale.
La mosquée es splendide.
Il s’agit là de la plus belle mosquée que nous avons visitée.
Nous nous dirigeons vers le centre ville.
Les premiers bâtiments que nous croisons sont monumentaux.
Nous nous dirigeons vers le palais royal.
Peu de vie à l’extérieur.
Les routes sont propres. Toute la ville est bétonnée.
Nous rencontrons notre premier bouchon.
Nous dépassons une petite mosquée.
Et continuons notre route.
Nous croisons un autre building.
Puis, un autre, couplée avec une autre tour.
La vue est surprenante.
Nous apercevons le palais royal.
Mais, un sens interdit nous oblige à contourner une partie de la ville.
Peu de verdures dans la ville.
Nous retrouvons le quartier du palais royal.
Les constructions sont récentes.
Le palais se trouve à présent sur notre gauche.
Nous nous arrêtons dans la rue pour le visiter ; il faut simplement se couvrir les jambes et les épaules.
En face du palais, de grands buildings.
Parmi les plus connus de la capitale.
Les avenues sont dégagées.
Mais, l’ensemble manque un peu d’âme.
Ce manque est du principalement à la jeunesse de ces constructions.
Grandioses, tel est le qualificatif qu’il convient d’utiliser pour les décrire.
Nous ne nous en lassons pas.
Nous nous dirigeons vers la corniche.
L’endroit permet d’avoir une des plus belles vues de la ville.
Nous n’hésitons pas à nous faire prendre en photo.
Il faut dire que le décor est rare.
L’eau est d’une pureté inégalée.
Ou du moins, elle en présente les couleurs.
Nous sommes attirés par ce panorama.
Nous ne pouvons pas baisser les yeux.
Le moderne côtoie le traditionnel.
Et chaque bâtiment est à sa place.
Nous nous rendons ensuite à la marina.
L’endroit est moins grandiloquent.
Nous profitons d’une légère brise.
Et nous nous dirigeons ensuite vers le quartier des affaires de la ville.
Les hauts buildings se succèdent.
La chaleur s’intensifie.
Nous sortons dehors affronter la fournaise.
Nous décidons de retourner dans le véhicule, profiter de la climatisation.
Les tours rivalisent d’ingéniosité.
Et les constructions ne cessent jamais.
Le drapeau du pays flotte fièrement.
Et dire qu’il y a quelques années, il n’y avait ici, que le désert.
Nous nous rendons dans le golfe persique.
Nous n’hésitons pas à nous baigner.
L’eau est chaude ; mais vu la température extérieure, le contraire eut été étonnant.
Nous quittons ensuite la ville en direction de Dubai.
Dubai se trouve à 130 kilomètres.
Nous dépassons les dernières tours.
La ville s’éloigne.
Un autre bouchon nous ralentit.
Nous nous engouffrons sur l’autoroute.
Nous demandons au chauffeur de stopper le véhicule.
Nous découvrons sur notre droite, une construction qui nous surprend.
La capitale s’étend sur la mer.
Des millions de tonnes de sable sont déversées afin de déjouer la nature.
La route est monotone.
Notre chemin est égayé par la présence de publicités ventant les mérites d’un nouveau complexe hôtelier de luxe.
De nombreux parcs d’attraction bornent la route.
Après une cinquantaine de kilomètres, nous nous arrêtons.
Nous mangeons dans un restaurant traditionnel.
Le chauffeur nous attend.
Nous reprenons la route au milieu du désert.
Il fait à présent 54 degrés.
Après une heure de conduite, nous arrivons aux portes de Dubai.
Les premiers immeubles de luxe apparaissent.
Ainsi que les hautes tours de verre.
Pourtant, nous ne sommes pas encore au centre ville.
On pourrait qualifier cette localisation de banlieue.
Une banlieue dorée.
Beaucoup de radars sur la route.
Nous prenons la direction de l’hôtel : l’Atlantis.
Nous dépassons un complexe immense.
Et découvrons cet hôtel.
Qui se situe juste en face du golfe persique.
Il fait si chaud, que je décide de me baigner à nouveau.
L’eau est toujours aussi chaude.
La ville n’est faîte pour les touristes ; elle n’est pas piétonne : une large autoroute la traverse en deux et les distances à parcourir pour se rendre d’un quartier à un autre sont grandes.
Nous nous arrêtons prés d’un autre chantier de construction.
Nous avons une vue sur la baie de la ville.
Tout est neuf.
Nous repartons vers le quartier des affaires.
Les immeubles de verre se font plus nombreux.
Il faut bien une vingtaine de minutes pour rejoindre le centre.
Des constructions à perte de vue.
Et d’autres qui s’annoncent.
Une compétition à grands renforts de pétrodollars.
Mais, les émiraties ont raison de bien dépenser leur argent.
Ils sont prévoyants.
Par ailleurs, certaines constructions sont de véritables œuvres d’art.
Les chantiers ont été dirigés par les plus grands architectes au monde.
Nous apercevons au loin, la tour Burj Khalifa, la plus haute construction au monde.
La tour se voit de loin.
Elle est haute de 828 mètres.
Nous quittons l’autoroute.
Nous arrivons à proximité de la tour.
Elle perce le ciel.
Les autres constructions pourtant hautes souffrent d’un complexe d’infériorité.
Au soleil, la tour brille de mille feux.
Nous nous promenons dans le quartier.
Nous ne nous lassons pas de cette vue.
La température n’a pas baissé.
Nous imaginons la température qu’il devrait faire à l’intérieur de la tour si cette dernière n’était pas climatisée.
Un dernier regard vers le ciel.
Nous remontons dans le véhicule.
Nous nous dirigeons vers un autre quartier.
Peu de monde dans les rues.
Les tours se succèdent.
Vers le fin de l’après-midi, les travailleurs rentrent chez eux.
Les immeubles de bureaux se vident.
Le soleil se reflètent sur les carreaux des gratte-ciels.
Nous faisons un tour dans le complexe commercial de la ville.
Puis, nous décidons de retourner dans la capitale.
Nous nous éloignons du quartier visité.
La tour est déjà loin, pourtant, elle reste bien visible.
Nous faisons un dernier tour, découvrir les quartiers que nous n’avons pas encore visités.
La vue est toujours impressionnante.
Nous nous rendons sur Palm Islands.
Nous découvrons ensuite la grande mosquée de la ville.
Nous reprenons l’autoroute.
La température n’a baissé que d’un degré.
Il fait toujours 53 degrés.
La ville de Dubaï est maintenant derrière nous.
Nous rejoignons notre hôtel : le West Wing ou autrement appelé hôtel des officiers.
L’hôtel est immense.
Devant nous, des émirs, qui louent une dizaine de chambres pour y loger leurs nombreuses épouses et autres domestiques.
Paradoxalement, l’hôtel n’est pas attractif. Il est cher, et les services proposés ne sont pas de grande prestance.
En outre, il est immensément grand et la piscine olympique est impersonnelle.
Nous quittons l’hôtel afin de nous promener en ville. Nous rencontrons de nombreux étrangers, tous salariés de grandes entreprises du BTP. Nous rencontrons ensuite un jeune groupe d’émiratis, ainsi qu’un émir, qui nous invite à partager un moment de convivialité.
Il fait encore à huit heures du soir, 48 degrés ; l’air est irrespirable ; Nous questionnons l’émir sur sa capacité à supporter la chaleur, ainsi que celle de ses femmes qui portent le voile intégral. Il nous explique qu’à présent, tout est climatisé, mais qu’il y a trente ans, personne ne se plaignait de ces températures. L’habitude est la raison de cette acclimatation. Décidément, nous ne pourrons jamais nous y faire.
Nous rencontrons un autre homme ; il nous permet de parfaire notre maîtrise de l’arabe, la langue officielle du pays.
Bonjour /marħaban
Salut ! Que la paix soit avec vous/ as salam ʕlɛikum
Comment allez-vous ?/ kɛjf ɛlhal
Très bien /bixɛjr
Quel est votre nom ? /ma ‘smuka
Mon nom est Ludovic/ismi Ludovic
Heureux de vous rencontrer/ sourirtou bi likaika
Merci /ʃukran
Il n’y a pas de quoi /ʕfwan/
Je ne comprends pas/ la afhamou
Parlez-vous français ? / Halta ta kil l’ami l’ouradir francia??
Non / kalla
Je ne parle pas le Français/la atakallamou francia
Y a il quelqu’un qui parle français ici ? / hal min ahad yatakallamou al firancia ?
Excusez-moi / ʕðran
Au revoir / maa ‘salama
Nous en profitons également pour découvrir les spécialités culinaires du pays. Il faut préciser, qu’elles ne sont pas nombreuses et rares à trouver au milieu des cuisines internationales proposées dans la plupart des restaurants.
D’une manière générale, les restaurants proposeront des plats maghrébins, égyptiens et libanais :
le shawarma, le kebab préparé à base de poulet ou d’agneau.
Le mezze, à étaler sur du pain non levé.
Les tabbouleh à la libanaise (noyé dans le persil).
Le houmous, purée de pois chiches, pâte de sésame et citron.
Les feuilles de vigne (wara enab).
Le caviar d’aubergines (moutabal).
Le fromage frit.
Les salades de légumes.
Les barbecues de viande, généralement halal.
Les poissons.
En cherchant bien, nous trouvons un restaurant qui propose une cuisine traditionnelle émirienne. Nous choisissons le ghouzi : agneau ou jeune chameau en méchoui, farci de riz, d’amandes et d’épices. Nous aurions pu choisir également le machbous, version commune du ghouzi, à base de mouton ou de poulet, le madrooba, poisson séché et réhydraté, façon morue, au beurre fondu ou les courgettes farcies (koussa mahshi).
Notre dessert est accompagné de dattes, de mehalabiya, un pudding aux pistaches aromatisé d’eau de rose, et de khanfaroosh, un pain frit à la cardamome et au safran.
Nous en avons pour une quinzaine d’euros par personne.
Le lendemain matin, nous rejoignons l’aéroport.
Il nous faut une bonne trentaine de minutes pour rejoindre le terminal 2 indiqué sur nos billets.
Nous apprenons qu’il s’agit d’une erreur et que nous devons nous rendre au terminal 3.
Nous reprenons un taxi, qui nous dépose aux portes de l’aéroport.
Une fois l’immigration passée, une hôtesse nous exhorte de marcher jusqu’au terminal 1 : deuxième erreur.
Après vingt minutes de marche, nous parvenons jusqu’à la porte d’embarquement.
Nous grimpons dans notre avion.
Après les consignes de sécurité exposées, nous avançons.
Etant donné qu’il y a foule sur le tarmac, nous sommes obligés d’attendre une vingtaine de minutes.
Nous décollons enfin. Le sol émirati est derrière nous. Et avec lui, ses températures extrêmes pour un mois d’août. Malgré tout, le pays est propre et agréable. Et les gens y sont chaleureux.