En provenance du Nicaragua, nous effectuons le change de notre argent.
Nous quittons le Nicaragua pour nous diriger vers le Honduras.
Nous devons traverser un pont.
Le poste frontière du Honduras apparaît devant nous.
Nous faisons la queue, mais des habitants, voyant que nous sommes étrangers nous laissent passer devant eux. En tant que Français, nous n’avons pas besoin de visa.
Nous ne trouvons pas de taxi pour nous emmener jusqu’à Choluteca.
Nous sommes obligés de prendre un bus pour une somme de 1 dollar par personne.
Le bus est bondé ; le moindre centimètre carré est occupé.
Sur la route, il s’arrête à plusieurs reprises pour faire monter d’autres voyageurs.
Le trajet dure moins de 2 heures.
Nous pénétrons la campagne hondurienne.
Nous entrons dans la banlieue de Choluteca, la grande ville frontalière.
La ville est néanmoins de taille moyenne.
Afin de pouvoir être tranquille, nous prenons un taxi, qui nous servira de guide durant plusieurs jours. Nous payons 60 euros par jour, pour un kilométrage illimité. Il s’appelle Giupette liberto et est joignable au 96114840.
Nous pénétrons tout d’abord dans la ville de Choluteca que nous souhaitons visiter.
La route est en mauvais état.
Nous nous rendons au centre ville.
De nombreux restaurants rapides proposant du poulet se trouvent le long de la route.
Nous continuons notre route.
Nous dépassons une grande place.
Nous entrons dans le coeur historique de la ville.
Les rues sont étroites.
Nous nous garons à proximité de l’église.
Nous arpentons la place qui se trouve au coeur de la ville.
Les maisons sont de type colonial.
Nous reprenons notre route en direction du marché local.
Le marché se trouve le long de l’avenue principale.
De nombreux fruits frais sont proposés à la vente.
Les gens sont agréables.
Nous achetons quelques fruits que nous mangerons plus tard.
Nous prenons un encas dans un magasin qui vend du poulet rôti.
Nous prenons la route en direction de la ville de Coyolito.
Nous quittons Choluteca.
Coyolito est une ville côtière.
Nous avons dans l’intention de nous rendre sur El Tigre, une île proche de la ville de Coyolito.
Nous avons 2 heures de route pour rejoindre Coyolito.
Nous empruntons la route principale en direction de Tegucigalpa.
La route est de bonne facture.
Le pays semble pauvre.
Nous nous apprêtons à quitter la route principale.
Nous empruntons une bifurcation vers la gauche.
Nous croisons des boeufs sur la route.
Il y a peu de circulation.
Nous découvrons le Honduras traditionnel.
Il faut dire que le pays a mauvaise réputation.
Nous entrons dans la ville de Coyolito.
La ville est petite.
Nous saluons notre chauffeur qui viendra nous récupérer deux jours plus tard. Nous en profitons pour découvrir cette ville de pêcheurs.
Un groupe d’hommes nous salue.
Face à nous, des enfants qui jouent avec les détritus qu’ils trouvent sur la plage.
L’île El Tigre se trouve face à nous ; des navettes en font régulièrement la traversée.
Nous nous approchons des enfants qui nous gratifient d’un concert de musique improvisé.
Sur la jetée, des pêcheurs ramassent les crevettes qu’ils vendront aux restaurants de l’île.
Le travail est fastidieux.
Nous réservons un ticket pour la traversée au prix de 7 dollars.
Mais, les bateaux ne font jamais le déplacement s’ils n’ont pas été chargés avant.
Des enfants nous expliquent leur manière de pêcher.
Deux jours plus tard, après un séjour sur l’île d’El Tigre, nous nous dirigeons vers les berges de la ville de Coyolito.
Nous descendons sur place ; un bus en partance vers Tegucigalpa attend les retardataires ; nous avions réservé notre chauffeur ; il ne devrait plus tarder.
Notre chauffeur arrive comme prévu ; il est plus sûr pour nous de nous rendre à Tegucigalpa avec un conducteur privé, car la ville est considérée comme dangereuse.
Il nous faut 2 heures de route pour rejoindre la ville.
Au fur et à mesure que l’on se rapproche de la ville, le décor alentour est plus moderne.
Il faut dire que Tegucigalpa est la capitale.
De plus en plus de magasins proposent leurs produits.
Il nous reste quelques kilomètres à parcourir.
Nous traversons les villes périphériques.
Nous entrons dans la banlieue de la ville.
Comme dans les autres villes américaines, les usines et grands magasins sont nombreux.
La ville est très grande.
Nous commençons à voir le chauffeur inquiet.
A plusieurs reprises, il nous demande si nous sommes sûrs de vouloir entrer dans la ville.
Il est si déconcentré qu’il se trompe de route.
Il nous raconte que de nombreux meurtres à cause des gangs se produisent chaque semaine dans la ville.
Néanmoins, il nous raconte que les abords de la ville sont relativement épargnés.
Il nous explique que le centre est le plus touché.
Nous entrons dans le coeur de la ville.
Aux premiers abords, la ville nous semble propre.
Mais, plus nous nous rapprochons du centre, plus la ville est pauvre.
Nous nous dirigeons vers la cathédrale.
Nous empruntons une avenue déserte.
Le chauffeur nous explique que les commerçants payent un droit d’exercer aux gangs qui pullulent dans la ville.
Nous continuons notre route.
Le centre commence à s’animer.
Nous arrivons aux abords de la place centrale.
Nous visitons les alentours du centre ville.
Un grand centre commercial se trouve face à nous.
Nous découvrons la cathédrale.
Nous assistons à la prise de l’hostie par les croyants.
La police fait de nombreuses rondes autour de la place.
Nous reprenons notre véhicule et nous nous rendons au marché local.
Le marché se trouve dans un endroit peu sécurisé.
Le marché est longiligne.
Après l’avoir visité, nous retournons dans notre véhicule.
Nous avons tout de même senti une certaine tension palpable.
Nous décidons de quitter la ville.
Nous rejoignons le Nord du pays.
Nous mettrons 30 minutes à sortir de la ville.
Nous nous trompons et traversons un quartier sensible : le quartier des Maras, les membres du gang le plus redouté du pays.
Nous nous dirigeons vers la ville de Comayagua.
Mis à part la capitale et la ville de San Pedro de Sula, le reste du Honduras n’est pas dangereux.
Il nous faut 1 heure de route pour rejoindre Comayagua, une petite ville tranquille.
La route que nous empruntons est correcte.
Nous nous arrêtons sur le bord de la route afin de manger un morceau.
Mais le chauffeur préfère nous emmener dans un restaurant traditionnel.
Plusieurs péages se trouvent le long de la nationale.
Nous découvrons le coeur du pays.
Sur les côtés, la vie est animée.
Le paysage est assez vallonné.
Nous entrons dans la ville de Comayagua.
Nous traversons la banlieue de la ville.
Nous nous dirigeons vers le centre ville.
La ville comporte une belle place centrale.
Nous dépassons une université.
Nous entrons dans le coeur de la ville.
Le centre touristique se trouve à moins de 600 mètres.
Nous pouvons découvrir une ville traditionnelle.
Les touristes qui la découvrent sont essentiellement nationaux.
De nombreuses boutiques proposent des vêtements.
Nous nous garons aux abords de la place.
Nous visitons la cathédrale.
Nous rejoignons une guest house sans prétention ; le lendemain matin, notre chauffeur nous rejoint. En sa compagnie, nous continuons la visite de la ville.
Tôt le matin, la ville est déjà animée.
Nous quittons la ville et nous nous dirigeons vers le lac de Yojoa.
Nous avons 3 heures de route pour rejoindre le lac.
La route est de bonne qualité.
Nous arrivons enfin au lac et nous trouvons par hasard un hôtel magnifique : l’hôtel Casa Lenca.
Nous saluons notre chauffeur et ami, qui nous a conduit dans tout le Honduras, en toute sécurité ; il va nous manquer.
Nous découvrons un site magnifique pour une somme peu chère : 40 euros la nuitée.
Nous faisons connaissance avec le patron, qui décide de nous emmener dans son véhicule flambant neuf, aux chutes de Pulhapanzak.
Nous traversons quelques petits villages.
En compagnie du patron de l’hôtel, nous découvrons une partie du Honduras typique.
Il nous faut de l’hôtel, près d’une heure pour rejoindre les chutes de Pulhapanzak.
Une ville porte le nom de la ville israélienne.
Les chutes de Pulhapanzak sont bien indiquées.
Nous entrons sur le site.
Nous payons 5 euros par personne. Possibilité est donnée aux visiteurs de faire de la tyrolienne dans les arbres.
Nous découvrons les chutes.
Nous pouvons les apercevoir avec différents points de vue.
Notre point de vue préférée : un peu en contrebas.
Nous nous régalons du spectacle.
Nous visitons ensuite le site.
Nous retournons à l’hôtel ; sur le trajet, le patron de l’hôtel porte assistance à une de ses connaissances.
Nous arrivons dans notre chambre, une chambre magnifique.
Nous découvrons ensuite l’hôtel.
Nous assistons ensuite au coucher de soleil sur le lac.
Avant de manger des spécialités locales fraiches.
Le surlendemain matin, le patron, gratuitement nous a organisé notre trajet jusqu’aux ruines de Copan, à 5 heures de route.
Nous devons pour ce faire, emprunter la route vers le Nord du pays, juste à la frontière de la ville de San Pedro de Sula, considérée comme la ville la plus dangereuse du monde.
Nous faisons une halte dans un restaurant de route afin de nous restaurer un peu.
Nous continuons notre avancée vers San Pedro de Sula.
Il nous faut 2 heures pour rejoindre San Pedro de Sula.
Nous arrivons aux abords de la ville de San Pedro de Sula.
Alors que le chauffeur s’apprête à contourner la ville et se diriger vers les ruines de Copan, nous lui demandons de faire une escale dans la ville.
Le chauffeur accepte, mais nous prévient qu’il est dangereux de s’aventurer dans cette ville, considérée comme la plus dangereuse au monde.
Nous confirmons notre souhait de visiter la ville.
Nous nous dirigeons vers le centre ville.
A priori, la ville ne semble pas dangereuse.
Elle est même agréable.
Nous visitons un secteur résidentiel.
Nous nous dirigeons ensuite vers le centre.
Nous faisons une halte sur la place centrale ; les gens nous regardent, peu habitués à voir des touristes.
Nous continuons ensuite notre route.
Sur l’avenue principale, se trouve un marché local.
Nous sommes pris dans les embouteillages.
Le conducteur n’est pas tranquille.
Il commence à être rassuré en s’approchant de la sortie de la ville.
Nous trouvons la ville intéressante.
Le chauffeur nous explique alors que les gangs ravagent la tranquillité de la ville ; chaque jour, au minimum un meurtre est commis en plein centre.
Nous quittons la ville.
Nous devons nous diriger à présent vers le Sud Ouest, à la frontière du Guatemala.
Nous devons pour ce faire, traverser le pays intégralement.
Nous rejoignons la ville de La Entrada.
Nous nous reposons en profitant du décor.
Le pays est très boisé.
Le chemin devient long.
Il nous faut à présent quitter la route principale pour nous rendre vers la ville de Santa Rita.
Nous devons traverser une autre ville.
Nous sommes pris dans les embouteillages.
La ville dans laquelle nous nous trouvons se trouve à proximité de la ville de La Entrada, une ville carrefour, qui permet de se rendre en bus dans les quatre coins du pays.
Nous bifurquons vers la ville de Santa Rita.
Santa Rita se trouve aux abords des ruines de Copan.
Pour la rejoindre, il faut emprunter une route départementale.
Nous nous trouvons dans le Honduras profond.
Nous traversons la ville de Florida Copan.
Les villes laissent place à la campagne.
Une route étroite permet de rejoindre les ruines.
Les ruines de Copan sont indiquées par des panneaux bien disposés sur la route.
Nous suivons les indications routières.
Nous traversons la ville de Santa Rita.
Avant d’entrer dans la ville de Copan, le site archéologique se trouve sur notre gauche. Encore quelques kilomètres.
Les voitures sont plus nombreuses aux abords du site.
Il faut dire que de nombreux visiteurs découvrent ce site archéologique.
De nombreux habitants profitent de cette proximité avec le site pour commercer.
Les derniers kilomètres sont les plus longs.
Nous entrons sur le site.
Nous nous garons sur le parking du site archéologique.
Notre chauffeur va nous attendre.
Nous achetons nos tickets.
L’entrée coûte 15 dollars.
Nous commençons notre visite par le musée.
Nous rejoignons ensuite l’extérieur.
Il nous faut traverser un parc pour rejoindre les ruines.
Le parc est agréable.
Au fond du parc, se trouve une petite maisonnette dans laquelle nous devons présenter nos tickets.
Nous entrons sur le site.
Dés le début, nous apercevons les restes de cette cité antique.
La cité est remarquablement bien conservée.
Nous pouvons admirer les détails de l’art Maya.
Le site est constitué d’une place centrale et de nombreux bâtiments qui l’entourent.
Nous faisons connaissance avec un ouvrier qui prend sa pause.
Nous nous dirigeons à présent vers le Nord du site.
Une grande pyramide se trouve protégée par une bâche.
Les détails des sculptures sont remarquables.
Nous pouvons grimper sur plusieurs pyramides.
Nous commençons notre ascension.
La montée nous permet d’accéder à une autre partie du site.
Nous découvrons d’autres bâtiments.
Nous avons une vue d’ensemble sur la place centrale.
Nous commençons à redescendre.
Il est interdit de ramasser des pierres par terre.
Nous descendons.
Nous prenons cependant notre temps.
Nous retournons à l’entrée du site.
Nous nous arrêtns tout de même à plusieurs reprises pour découvrir certains détails omis.
A l’entrée, nous tombons sur deux perroquets qui s’enlacent.
Nous retournons vers notre véhicule ; le chauffeur nous conduit à présent à La Entrada, afin de prendre un chauffeur de taxi pour rejoindre Santa Rosa de Copan.
Nous trouvons le seul chauffeur de taxi qui accepte de nous conduire pour 30 euros à Santa Rosa de Copan, qui contrairement à son nom se trouve éloignée du site éponyme.
Le trajet dure 1 heure.
A certains endroits, la route est abîmée.
Nous arrivons à Santa Rosa de Copan.
Le chauffeur nous arrête à la station de bus de la ville ; pour rejoindre le Salvador, le trajet coûte 15 euros par personne ; en arrêtant un taxi, nous demandons le coût au chauffeur : il est de 40 euros ; à 10 euros près, nous n’aurons pas besoin d’attendre. Nous prenons le chauffeur.
Nous faisons une halte tout d’abord pour manger un morceau.
Nous prenons la route en direction de la ville de Ocotepeque.
Il nous faut 2 heures pour rejoindre la ville.
La route est sinueuse.
Nous arrivons dans la ville en soirée.
Nous réservons l’international hôtel au prix de 30 euros la nuitée.
Le lendemain matin, nous nous réveillons pour nous rendre à la frontière avec le Salvador.
Nous prenons un taxi, pour la somme de 5 dollars.
Nous arrivons à la frontière.
Nous quittons le pays.