En provenance de Nouvelle Zélande, nous embarquons pour les îles Cook.
Nous grimpons dans un vol de la compagnie Air New Zealand pour un vol qui dure 4 heures et nous fait dépasser la date line, autrement traduite : ligne de changement de date. Il coûte aux alentours de 300 euros.
Les consignes de sécurité sont diffusées par un écran où les membres de l’équipe de tournage de Men In Black font offices de présentateurs.
L’équipe de la compagnie, contrairement à l’habitude est antipathique.
Après 2 heures de vol, nous franchissons la ligne de changement ed date ; par rapport à la France, nous partons demain pour arriver hier.
Nous remplissons notre carte de débarquement.
Nous regardons des films ; la compagnie possède de beaux avions modernes.
Après 2 heures de vol, nous franchissons la ligne de changement ed date ; par rapport à la France, nous partons demain pour arriver hier.
Nous atterrissons.
Nous descendons à l’aéroport de Avarua sur l’île de Rarotonga.
Nous passons les contrôles de l’immigration ; il nous faut présenter un billet retour.
Nos bagages ne sont pas fouillées.
A l’extérieur, les hôtels ont dépêchés des représentants pour attirer le touriste ; nous avons réservé en ce qui nous concerne à l’Atupa Orchid units pour la somme de 35 euros la nuit.
En premier lieu, les taxis étant trop onéreux, nous décidons de réserver un moyen de locomotion.
Nous traversons la route qui se trouve face à l’aéroport et rejoignons la société Rarotonga Rentals, afin de louer un véhicule ; les voitures se louent 70 euros la journée alors que les scooters 25 euros ; nous décidons de prendre un scooter.
Nous rejoignons notre hôtel.
Le gérant est un vieil homme qui pour le prix nous octroie une maison entière.
Avec notre scooter, nous décidons de nous promener en centre ville.
Nous traversons la capitale Avarua assez rapidement et continuons vers l’Est ; le tour de l’île se fait en trente minutes ; nous n’irons pas aussi loin.
Nous assistons à un entraînement sportif.
Nous reprenons ensuite la route.
Nous prenons notre temps de découvrir le bord de mer.
Nous restons une heure sur place à profiter des rayons de soleil qui nous caresse la peau.
Nous retournons ensuite dans le centre ville d’Avarua.
La ville comprend toutes les infrastructures nécessaires.
Nous entrons dans une église moderne.
Elle se trouve à proximité d’une ancienne église.
Face à elle, un cimetière.
Nous traversons la rue et découvrons un musée.
Nous immortalisons notre présence.
Dans une rivière située à proximité, des enfants jouent.
Notre scooter nous apporte la liberté ; il s’agit du moyen de locomotion le plue utilisé de l’île ; normalement pour conduire sur le territoire, il faut acquérir son permis de conduire local, mais à la société de location, personne ne nous l’a demandé ; le permis de conduire national suffit.
Nous dépassons le poste de police.
Nous nous arrêtons en face.
Nous reprenons la route.
Dans une sorte de jetée qui comprend plusieurs restaurants, les sports nautiques sont légions.
Le Kayak est une discipline très reconnue sur l’île.
Nous nous arrêtons à présent au port.
Le port est assez étendu.
Nous croisons la route de vieux bateaux de pêche.
Dans une partie un peu reculée du port, deux pêcheurs qui nous avaient invité à monter avec eux ne parviennent pas à faire démarrer leur vieille coque.
Ils subissent les plaisanteries des autres pêcheurs.
Nous les abandonnons pour nous rendre au supermarché local.
Le supermarché est bien fournit en produits divers.
Nous achetons quelques courses.
Nous payons et rejoignons l’extérieur.
Nous retournons au coeur d’Avarua.
Sur la route, des ouvriers entretiennent la chaussée.
Nous faisons le plein.
Nous mangeons un morceau.
Etant donné que nous avons un vol deux jours plus tard en direction d’Aitutaki, nous nous faisons confirmer l’horaire par un employé.
En centre ville, nous assistons à un autre entraînement sportif, mais concernant des individus plus âgés.
Nous rentrons nous coucher.
Après une journée de farniente, nous nous rendons à l’aéroport afin de prendre notre vol en direction d’Aitutaki.
De retour d’Aitutaki et après une bonne nuit de sommeil, nous reprenons la route cette fois-ci de l’autre côté de l’île, c’est à dire en direction de l’Ouest. Nous nous arrêtons pour visiter le parlement national.
Nous continuons notre route vers le tour de l’île.
Une pluie fine commence à tomber.
Nous visitons à présent la maison du gouvernement.
Nous reprenons la route.
Sur le chemin, nous nous arrêtons dans un hôtel afin de prendre le petit-déjeuner.
Nous nous trouvons à l’extrême sud de l’île.
Nous retournons sur nos pas afin de découvrir une chute d’eau.
Malheureusement, cette dernière est à sec.
Nous circulons prudemment.
Nous arrivons à la plage Te Vara Nui.
La plage attire nombre de touristes.
Un groupe local commence à jouer de la musique traditionnelle.
Dans la village Te Vara Nui, le soir, il est possible certains jours de la semaine d’assister à un spectacle traditionnel.
Nous visitons un artisan perlier.
Nous continuons notre chemin.
Bien entendu, aux îles Cook, les casques sont en option.
Nous visitons un deuxième artisan perlier ; les prix sont bas et les matériaux de qualité.
Nous nous rendons ensuite au marché de la ville.
Il s’agit du seul marché de l’île de Rarotonga.
En dépassant le marché, nous revenons à notre point de départ ; nous avons fait le tour complet du pays. Pour fêter cet exploit si on peut dire, nous nous arrêtons à un bar.
L’endroit est agréable.
Nous nous rendons ensuite au Whale conservation centre.
Le site est une sorte de musée.
De nombreux animaux marins sont exposés.
Ainsi qu’une foule d’explications.
Dans des aquariums, de nombreux animaux marins.
Dont des langoustes et des poissons roches.
Dans une autre partie du musée, des crabes géants des cocotiers.
Nous apprenons la découverte des fonds marins avec Cheryl, la directrice, une Néozélandaise au grand coeur. Le centre est un des endroits phares à visiter sur l’île de Rarotonga.
En face du centre, nous sommes attirés par un bruit sourd. Nous faisons connaissance avec une femme menuisier traditionnelle.
Gentiment, elle nous explique avec patience son travail.
Nous retournons à l’hôtel afin de chercher nos affaires et nous nous dirigeons à l’aéroport.
Nous procédons à l’enregistrement de nos bagages.
Nous avons encore trois heures à tuer.
Après avoir rendu le scooter, nous mangeons un morceau.
Nous patientons dans le hall et attendons notre vol vers la Polynésie Française.
Nous sommes appelés à l’embarquement.
L’avion de la compagnie Air Tahiti décolle comme il le fait une fois par semaine.
Nous quittons les îles Cook.
Des souvenirs merveilleux pleins la tête.