En provenance du Kosovo, nous arrivons à la frontière macédonienne.

Le contrôle dure moins de 2 minutes ; en tant que Français, nous n’avons pas besoin de visa pour entrer dans le pays.

Nous prenons la route vers Skopje, la capitale du pays qui se trouve à une vingtaine de minutes de route de la frontière Nord du pays.

Nous entrons dans la périphérie de la ville.

Nous prenons la direction du centre.

Skopje est une ville moderne.

Nous nous garons aux abords du centre ou du moins de la place centrale de la ville.

La place centrale comporte une statue majestueuse.

Un pont permet de rejoindre la rive orientale.

Du pont, nous avons une vue dégagée sur les plus beaux bâtiments de la ville.

A la sortie du pont, nous assistons au jeu d’un musicien.

Nous découvrons une autre statue.

Nous nous dirigeons vers le souk.

Face à nous, le château.

Nous reprenons notre route.

Nous entrons dans le souk.

Nous nous arrêtons afin de manger un morceau.

Nous reprenons notre découverte du souk.

Les commerces sont nombreux.

Nous faisons une halte dans un café traditionnel.

Nous retournons à notre véhicule.

Nous dégustons une bonne glace.

Nous rejoignons notre hôtel.

Nous payons la chambre 40 euros.

Le lendemain matin, nous prenons un petit-déjeuner afin de commencer les visites de la journée énergiquement.

Il est temps pour nous de sortir de la ville.

Nous prenons la route vers le canyon de Matka qui se trouve à une vingtaine de minutes de route de la capitale.

Avant d’entrer dans le canyon, nous faisons une halte dans un restaurant afin de prendre une petite collation.

Nous nous trouvons à l’entrée du canyon.

Il nous faut reprendre notre voiture pour parcourir quelques dizaines de mètres en entrer dans le canyon.

C’es tà pied que nous devrons parcourir le canyon.

Un chemin permet de nous engouffrer dans le canyon.

Nous décidons pour 5 euros par personne de prendre un bateau pour découvrir en profondeur le canyon.

Le spectacle est splendide.

Nous sommes seuls au monde.

Nous nous trouvons en plein coeur de la nature.

Dans la roche, un chemin a été construit pour les visiteurs qui souhaitent découvrir le canyon à pied.

Nous faisons demi-tour après une heure de navigation.

Nous prenons à présent, après avoir salué notre capitaine éphémère, la route vers la ville de Bitola.

Nous faisons une halte dans une station service.

Nous prenons l’autoroute.

Nous quittons l’autoroute.

Nous reprenons une nouvelle fois l’autoroute.

Après une vingtaine de kilomètres, nous quittons l’autoroute.

Nous nous dirigeons vers le site archéologique de Stobi. Stobi est une ville antique de Péonie, région septentrionale de la Macédoine. Elle est située sur la rive gauche de la Tsarna non loin de son confluent avec le Vardar. À 150 km environ au nord de Thessalonique, une ville balnéaire grecque et à 80 km au sud de la capitale Skopje.

Stobi occupait une importante position dans la vallée du Vardar, sur l’axe stratégique reliant la Mer Égée au bassin du Danube, après le règne d’Alexandre le Grand, lors de la colonisation du pays par l’empire romain.

 

Cette importance explique la romanisation rapide de la ville macédonienne : sous Auguste, Stobi est un oppidum civium Romanorum c’est-à-dire comporte une communauté romaine assez nombreuse pour obtenir certains privilèges politiques.

Nous repartons ensuite vers la ville de Bitola.

Nous faisons une halte dans un petit village.

Nous découvrons un marché typique.

Nous repartons vers Bitola.

Nous faisons une halte sur la route afin de découvrir le paysage qui nous entoure.

Trente minutes plus tard, nous repartons.

Le lendemain, après une nuit dans une guest-house sans prétention, nous reprenons notre route vers Bitola.

Nous entrons dans la périphérie de la ville.

Nous prenons la direction du centre.

Après avoir garé notre véhicule, nous parcourons la ville à pied.

Le centre est traversé par une avenue principale.

Les commerces voisinent avec les nombreux restaurants et bars.

Nous découvrons un fast-food Luigi du célèbre jeu vidéo.

Nous rejoignons la place centrale sur laquelle se trouvent les bâtiments religieux de la ville.

La place comporte un beau petit parc.

Nous mangeons un morceau dans le fast-food Luigi.

Nous reprenons la route vers notre véhicule que nous ne rejoignons pas, préférant découvrir l’autre partie de la ville qui se trouve en direction de la mairie..

Après une nuit dans un hôtel sans prétention de la ville, nous prenons la route vers Ohrid.

Après moins de trente minutes de route, nous entrons dans la ville d’Ohrid, la seule ville balnéaire du pays. Du moins, par balnéaire, il faut entendre lacustre, car le lac d’Ohrid qui est frontalier avec l’Albanie voisine est pour la Macédoine une étendue d’eau permettant des vacances aquatiques.

Nous nous garons dans le centre.

Nous découvrons une belle petite ville.

Nous rejoignons les berges du lac.

De nombreux tours opérateurs proposent des balades ou des transports sur le lac.

Nous préférons rester sur la terre ferme.

Nous profitons une bonne partie de la journée de ce lac qui s’étend à perte de vue.

Nous retournons dans le centre afin de prendre une petite collation.

En repartant, nous remarquons que notre voiture a un sabot ; nous devons payer 60 euros d’amende, mais nous négocions avec le responsable du sabot qui ne se trouve pas loin de notre véhicule ; magnanime, il nous laisse partir sans avoir besoin de payer l’amende.

Nous quittons la ville et longeons le lac.

Nous en avons une vue magnifique.

 

Le soir, nous assistons à un beau coucher de soleil.

Le lendemain, après une nuit dans un hôtel local, nous prenons la route vers l’Albanie.

Nous faisons le plein dans une station service.

Nous longeons le lac par le Nord.

Nous arrivons à la frontière.

Après 5 minutes d’attente, nous quittons la Macédoine.