Attention, ce récit de voyage est une photothèque chronologique qui sous près de 600 photos montre intégralement notre voyage à Madagascar, une île qui se trouve dans le Sud de l’Afrique entre la Mozambique et l’île de la réunion.
Précisons que ce pays est un véritable trésor ; il possède des sites touristiques uniques, un coût de la vie vraiment peu cher et surtout une population généreuse et chaleureuse. Il est totalement sécurisé et particulièrement adapté à un tourisme de découverte. Un véritable coup de coeur, peut-être un des pays les plus intéressants que nous avons eu la chance de visiter.
Ainsi, nous avons passé un long moment à arpenter ce territoire pour en découvrir les merveilles
Le vol vers Madagascar
Nous prenons un vol en direction de Madagascar.
Le vol s’effectue avec la compagnie Air Maurice ; il coûte 300 euros et dure 2 heures.
Durant le vol, nous remplissons le carnet de débarquement dans lequel nous devons renseigner plusieurs informations concernant notre état civil, notre état de santé ainsi que les biens que nous emmenons. Le vol se passe agréablement.
Alors que nous nous apprêtons à atterrir, nous prenons conscience, sans en avertir les passagers que l’avion a du mal à sortir son train d’atterrissage ; durant plusieurs minutes, il essaye et pour gagner du temps et effectue plusieurs rotations.
Après plusieurs essais, il parvient tout de même à sortir le train d’atterrissage ; il se pose ensuite sur le sol sans encombre.
L’aéroport Ivato
Nous atterrissons à l’aéroport Ivato.
En tant que Français, nous devons prendre un visa que nous pouvons effectuer sur place pour la somme de 25 euros pour un mois.
Il faut près d’une heure pour passer les contrôles de sécurité ; notre dossier est le premier à être traité. Nous récupérons nos bagages et sortons à l’extérieur.
Le départ
Nous nous dirigeons vers le parking.
Nous faisons la connaissance avec Farson, notre chauffeur guide durant notre séjour.
Pour notre visite sur le sol malgache, nous avons fait appel à Andry, qui s’est occupé de tout. Pour la somme de 45 euros par jour, Andry nous a concocté un programme sur mesure avec chauffeur, voiture ; les repas te les nuits du chauffeur sont compris dans le prix. Andry est joignable sur son mail ou sur le 00 261 34 02 278 25 ou sur le 00 261 32 02 278 25.
Reste à notre charge, l’essence du véhicule.
Frason qui travaille pour Andry et plusieurs compagnies est aussi un chauffeur guide indépendant ; il est un guide agréable, toujours prêt à se mettre en avant pour assurer la sécurité de ses voyageurs ; il peut être contacté directement sur le 00 261 34 36 210 53 ; il demande en tant que chauffeur, une vingtaine d’euros par jour et peut s’occuper de réserver une voiture de location ; il est un partenaire indispensable pour réussir son séjour à Madagascar, un séjour sans souci, clé en main.
Nous faisons le plein du véhicule ; le litre coûte 0,80 centimes d’euros.
Nous nous dirigeons vers la ville d’Antananarivo que nous devons contourner pour rejoindre le sud du pays.
Nous circulons en banlieue de Tana, la capitale comme les malgaches l’appellent.
La banlieue d’Antananarivo
Nous admirons le paysage urbain qui nous entoure.
De nombreux commerces sont présents le long de la route.
D’une manière générale, les rues sont propres.
Nous dépassons un petit hôtel restaurant. A Madagascar, tout se vend.
La capitale s’observe de loin.
Nous croisons nos premiers champs de riz.
Le décor est intéressant.
Une certaine ferveur populaire se ressent ; les gens vivent dehors et le long des routes.
Il faut bien une heure pour franchir la banlieue de Tana. De nombreux bouchons nous font perdre du temps.
Nous arrivons dans une autre partie de la ville. Les boutiques sont en surnombre.
Le décor est pittoresque.
Les embouteillages semblent derrière nous.
Nous dépassons une petite ville.
Nous prenons enfin la route vers la ville d’Antsirabe.
Behenjy
Après une heure de route, nous arrivons dans la ville de Behenjy ; sur le bord de la route, des femmes travaillent le Raphia.
A leurs côtés, nous assistons à la construction d’une maison.
Route vers Ambatolampy
Nous reprenons la route en direction d’Ambatolampy. Nous accompagnons le soleil qui se couche.
Ambatolampy
Arrivés dans la ville d’Ambatolampy, nous sommes invités par un malgache à découvrir sa maison.
Nous le suivons ensuite dans une sorte d’atelier dans lequel, il fabrique des objets en aluminium, spécialité artisanale de la ville.
Durant plus d’une heure et alors que la nuit est tombée, il nous explique et nous fait partager son art.
Antsirabe
Nous reprenons la route de nuit vers Antsirabe ; il faut préciser que rouler de nuit n’est pas conseillé ; les nombreuses personnes présentes le long des routes rendent le périple risqué.
Nous arrivons enfin à Antsirabe. Nous nous rendons dans l’hôtel Green park, un hôtel confortable pour la somme de 16 euros la nuit.
Nous prenons un bon dîner pour quelques euros. Nous allons ensuite nous coucher.
Le lendemain matin, après une bonne nuit de sommeil, nous prenons un bon petit-déjeuner et quittons l’hôtel.
Avant le départ, une vérification de la voiture s’impose.
Le centre-ville
Nous entrons dans le centre ville.
Nous nous dirigeons ensuite vers la cathédrale de la ville. Nous passons devant l’ancien palais du gouverneur qui est devenu aujourd’hui un hôtel.
De là, nous avons une vue sur la ville.
La cathédrale
Nous nous rendons ensuite à la cathédrale.
La ferveur est telle que de nombreuses personnes prient.
Les vitraux de la cathédrale sont forts intéressants. Nous assistons à la messe qui se termine après 1 heure de bénédiction.
Nous rejoignons le centre ville ; les jeunes enfants se dépêchent pour ne pas arriver en retard en cours.
Les rues sont animées.
Le marché municipal
Nous arrivons au marché.
Nous y faisons de belles rencontres.
Les senteurs se mélangent à la vue d’un marché bariolé à l’intérieur duquel, les marchandises effectuent une sorte de ballet terrestre, dirigé par des bruits nous rendant vivants.
Nous nous dirigeons ensuite au marché au charbon.
De vieilles roulottes sont garées sur la place.
Les sacs de charbons se négocient à la pièce.
Nous reprenons ensuite la route.
Nous faisons une halte devant une charrette remplie de volailles vivantes.
Le paysage Betsileo
Nous quittons la ville et nous nous dirigeons vers Ambositra.
Les rizières font leur apparition.
Le paysage Betsileo est un paysage coloré duquel on se rapproche en se dirigeant vers le Sud du pays.
Nous partageons un moment avec des paysans qui récoltent le riz à la main.
Dans les parcelles campagnardes, le riz se trouve aux différentes étapes de sa récolte : semence, culture, récolte.
Nous passons un agréable moment en compagnie de ces familles propriétaires d’une petite parcelle qui leur suffit pour vivre.
Maîtrisant un Français correct, les femmes nous apprennent à couper le riz.
Une fois coupé, le riz sera séché, puis battu, avant d’être stocké et réduit soit en farine, soit mangé tel quel.
Dans le champs d’à côté, des propriétaires labourent une parcelle à l’ancienne.
Route vers Ambositra
Nous reprenons la route.
Il nous faut 3 heures pour parcourir les 100 kilomètres nous séparant d’Ambositra.
Nous traversons plusieurs petites villes.
La route est à de nombreux endroits, creusée à cause des nids de poule qui ne sont pas recouverts.
Nous arrivons aux abords de la ville d’Ambositra.
Ambositra
La ville est assez grande.
Nous faisons une halte pour la visiter.
Comme dans les autres villes malgaches, beaucoup de gens dans la rue.
Aux côtés des petits magasins, de nombreuses personnes placent sur le sol, le matériel qu’elles veulent vendre.
Nous nous garons aux abords d’un atelier de menuiserie, dont la ville s’est fait la spécialité.
Dans un autre atelier, des ouvriers réparent avec dextérité, des fenêtres.
Alors que dans un autre, des artisans travaillent le bois pour fabriquer des objets décoratifs et liturgiques.
Nous retournons dans le premier atelier découvert afin de voir le travail d’un homme qui scie manuellement des centaines de pièces qu’il assemble ensuite dans le but d’en faire un puzzle.
Nous dormons dans une auberge de la ville ; le lendemain, nous prenons un bon petit déjeuner avant de repartir.
Mais avant cela, nous faisons quelques achats souvenirs ; à Madagascar, les prix étant faibles, une petite statue revient à 2 euros.
Route vers Fianarantsoa
Avant de partir; des femmes essayent de nous vendre des écharpes en soie ayant été travaillées à Ambalavao, une ville dans laquelle nous nous rendons.
Nous quittons la ville d’Ambositra.
Nous entrons complètement dans la partie Betsileo du territoire, les Betsileos étant une des 18 ethnies que compte le pays.
Sur le bas côté, de nombreuses petites maisons sont construites à même la route.
Non loin de la ville de Fianarantsoa, la route est de plus en plus mauvaise ; nous avons besoin de 6 heures pour parcourir les 200 kilomètres séparant les deux villes.
Nous faisons une halte pour découvrir des jeunes gens se lavant dans une rivière.
Nous reprenons la route ; nous apprenant que construire une maison à Madagascar ne coûte pas trop cher ; une brique est payée 0,014 centimes d’euros ; elles sont fabriquées avec de l’argile trouvé dans le sol ; l’argile est placé dans un moule ; la brique ainsi formée sera placée avec d’autres briques, agencées de manière pyramidale ; un feu sera allumé sous la pyramide et ce afin de durcir les briques.
Construction d’une maison
D’ailleurs, nous assistons à la construction d’une maison ; pour ce faire, tous les amis du couple ont été appelés ; la solidarité malgache permettra à la maison de sortir de terre en moins de 3 semaines.
Les gens nous accueillent chaleureusement.
Production d’huile essentielle de géranium
Un peu plus loin, nous nous arrêtons devant un alambic ; les ouvriers produisent de l’huile essentielle de géranium.
Gentiment, les ouvriers nous en expliquent le fonctionnement.
Nous rejoignons l’arrière site.
Les femmes qui trient les plants fraîchement coupés commencent de manière franche à chanter un chant traditionnel ; l’émotion est palpable.
Nous restons bien une heure à partager ce bonheur simple de la vie.
Route vers Ambalavao
Nous reprenons ensuite notre route.
Certaines maisons sur le bord de la route sont plus élaborées que d’autres.
Certains enfants nous demandent un peu d’argent ; nous essayons de répondre à la positive en leur donnant des gâteaux que nous avons acheter : ils nous appellent : les Vassaa, ce qui veut dire en malgache : les blancs.
D’autres enfants rebouchent les trous de la route ; ils font ainsi le travail des autorités et pour les récompenser, certains automobilistes leur donnent quelques sous.
Nous nous approchons de la ville d’Ambalavao.
Sur la route de plus en plus mauvaise, beaucoup de rencontres.
Nous traversons de nombreux petits villages. Le temps à l’extérieur est agréable.
Des paysages de toute beauté
Nous découvrons ensuite un magnifique point de vue.
Les rizières en étage laissent émerger un sentiment incroyable de sérénité.
Nous restons plusieurs minutes, ébahis devant un tel spectacle.
Nous franchissons un pont dangereux.
Ambalavao
Nous entrons dans la ville d’Ambalavao.
La ville est de taille moyenne.
Nous nous rendons au marché au zébu qui a lieu certains jours dans la semaine.
Nous faisons une halte dans une petite épicerie ; nous achetons une grande quantité de nourriture pour 4 euros.
La ville d’Ambalavao est connue pour le tissage de sa soie.
Nous en découvrons le savoir faire.
Route vers parc national d’Andringita
Nous prenons ensuite la route de nuit pour rejoindre le parc national d’Andringita. Plus précisément, le camp Catta, un camp d’hébergement qui s’en trouve le plus près ; mais pour cela, nous devons parcourir 32 kilomètres sur une mauvaise piste, ce qui nous prendra 2 heures.
Une arrivée tardive
Tard dans la nuit, nous prenons un repas bien mérité.
Le lendemain matin, nous nous réveillons dans un environnement naturel, au champ des lémuriens, facétieux qui sautent sur le toit de notre chalet de luxe que nous payons seulement 20 euros.
Le parc national d’Andringita
La vallée de Tsaronoro
Nous faisons la connaissance de notre guide pour la découverte de la vallée pour une journée. Il s’appelle Jean Claude et il va s’avérer être un guide émouvant, avec son envie de faire partager les nombreux savoirs qu’il possède.
Nous quittons le camp pour pénétrer dans la vallée de Tsaronoro ; l’entrée coûte 6 euros par personne et elle doit être payée à l’hôtel ; le guide quant à lui pour la journée est de 10 euros.
Quelques pas suffisent à en prendre plein la vue.
Nous découvrons avec attention le décor environnant.
Nous nous dirigeons vers la forêt sacrée.
Notre regard se perd autour de nous.
La forêt sacrée
Nous nous enfonçons dans la forêt.
Nous découvrons une faune et une flore riche.
Le guide nous abreuve de conseils.
Nous contournons les hauts sommets de la vallée.
Alors que le disciple du guide note scrupuleusement tous les conseils prodigués, nous testons les plantes : certaines pour ne plus avoir mal au ventre, d’autres pour couper la faim.
Nous faisons la connaissance d’un arbre parasite ; il s’accroche à un arbre vivant pour le tuer ensuite et prendre sa place.
De gros rochers sont sacrés pour contenir de nombreux ossements.
Nous faisons connaissance avec les fourmis géante.
La montagne caméléon
Nous quittons la forêt. Nous découvrons une vue à couper le souffle.
Face à nous, la montagne caméléon.
Avec notre téléphone portable ,nous présentons au guide, le monde dans lequel nous avons voyagé ; il est ému.
Patiemment, le guide nous laisse découvrir les moindres détails de la forêt.
Nous continuons notre avancée.
Nous découvrons un lézard bronzant sur un rocher.
Nous nous dirigeons ensuite vers les piscines sacrées.
Cela fait prés de 5 heures que nous marchons ; nous en profitons pour nous reposer un peu.
Face à nous, des plantes explosives.
Nous croisons de gros insectes.
Nous dépassons une tombe ouverte dans lequel, nous découvrons des ossements humains.
Nous continuons notre avancée.
Le guide nous explique comment trouver de la nourriture : en cherchant dans un rocher, une grosse blatte apparaît.
Les piscines sacrées
Nous apercevons aux abords de la piscine sacrée un agriculteur.
Nous en profitons pour nous baigner.
Nous reprenons notre route en direction des villages de la vallée.
La fatigue commence à se faire ressentir.
Nous arrivons à proximité d’un éleveur de zébu.
Le village est proche.
Nous jouons avec un caméléon assez peureux.
Un village de toute beauté
Nous pénétrons dans le village.
Nous faisons connaissance avec une chambre d’hôte, dans laquelle nous passerons la nuit.
Nous en profitons pour nous reposer pour le prix de 15 euros la nuit.
Les réservations peuvent se faire sur le 033 17 37 422 ou par mail.
Le départ
Le lendemain matin, notre guide vient nous chercher.
Un second village authentique
Nous reprenons notre route vers le prochain village.
Une famille nous invite à partager le thé.
Nous la quittons et nous nous enfonçons dans le village.
Le troisième village
Nous entendons des cris d’enfants.
Nous passons un agréable moment en leur compagnie.
Le père d’un des enfants nous invite à partager son métier : il est forgeron.
Non loin de là, une femme pétrit du riz pour en faire une fine farine.
Nous saluons nos hôtes et continuons notre route.
La vue au coeur de la vallée est exceptionnelle.
Le quatrième village
Nous entrons dans un autre village.
Le village est plus grand que le précédent.
Sur le sol, des arachides.
Un enfant nous invite à visiter sa maison.
Le retour au camp
Nous pouvons à présent rentrer au camp Catta.
Nous nous relaxons dans la piscine naturelle.
Nous avons la chance de découvrir les lémuriens du parc qui se sont regroupés autour de nous.
Facétieux, ils s’approchent de nous sans se méfier.
Route vers Ambalavao
Il est temps pour nous de reprendre la route vers Ambalavao.
Sur la piste, nous nous arrêtons pour passer un instant sur une charrette conduite par des zébus.
Nous reprenons notre route.
A plusieurs reprises, nous nous arrêtons pour partager un moment avec les habitants des villages alentours qui reviennent du marché d’une petite ville proche ; il faut savoir que tous ces gens effectuent en plein soleil, chaque jour au moins 10 kilomètres à pied pour vendre leurs récoltes. Quel courage.
Nous dépassons le village en question qui se trouve à mi-chemin entre la route principale et le camp Catta.
Nous traversons la dernière ville qui se trouve sur la piste.
Nous rencontrons toujours autant de personnes sur la piste.
Aux abords de la route, nous apercevons un attroupement ; nous nous arrêtons.
Le battage du riz
Nous assistons à un spectacle incroyable : le battage du riz.
La route principale vers Ranomafana
Nous arrivons à la route principale.
Nous nous dirigeons vers Ambalavao.
Nous dépassons plusieurs sites touristiques.
Les sites sont généralement entretenus par les villageois.
Après avoir dépassé de nombreux zébus qui se rendent dans la ville pour son marché célèbre, le panneau nous en indique l’entrée.
Toujours autant de monde dans les rues.
Nous nous dirigeons maintenant vers la ville de Ranomafana.
Nous faisons une halte dans la ville pour visiter l’église.
Nous reprenons notre route après avoir effectué une halte dans une petite épicerie locale.
Les gens sont toujours aussi gentils et généreux.
Fianarantsoa
Les villes malgaches s’étendent sur de nombreux niveaux. Les banlieues les contournent généralement. Nous entrons dans la ville de Fianarantsoa, capitale des Betsileos.
Nous nous arrêtons à un distributeur.
Nous continuons notre traversée de la ville.
La ville est embouteillée.
Des vendeurs essayent de nous proposer des fruits.
Nous nous arrêtons aux abords de la cathédrale de la ville.
Après avoir assisté à une messe de bénédiction, nous partageons un moment de liesse populaire lors d’un match de basket ou chaque supporter essaye de donner plus de voix que son voisin.
Nous refaisons le plein du véhicule.
Ranomafana
Nous prenons la première bifurcation en direction de Ranomafana, ville dans laquelle nous arriverons dans la nuit. Sans réfléchir et fourbu, nous allons nous coucher dans notre hôtel : l’hôtel Manja, un hôtel de bonne qualité pour une quinzaine d’euros la nuit.
Nous nous réveillons de bonne heure.
Face à nous, nous apercevons un décor somptueux.
Nous nous baladons dans la ville de Ranomafana.
Nous nous dirigeons vers les bains chauds de la ville.
Nous devons traverser un sentier boueux.
Nous franchissons un pont qui tombe en ruine.
Nous payons 2 euros par personne.
Nous nous dirigeons vers les bassins.
Une grande piscine d’eau à près de 40 degrés nous attend.
Nous ne restons pas longtemps à l’intérieur.
A côté de la piscine, nous découvrons l’endroit d’où sort l’eau à près de 70 degrés.
Nous retournons ensuite sur nos pas.
L’hôpital de campagne
Nous nous arrêtons dans un hôpital de campagne.
L’infirmier en chef nous accompagne pour une visite privative.
L’hôpital reçoit des aides d’une ONG américaine ; elle peut ainsi proposer la gratuité des soins aux futures mamans.
Le parc national de Ranomafana
Nous prenons la voiture pour nous diriger vers le parc national de Ranomafana ; il faut préciser que le parc se trouve tout autour de nous, mais pour rentrer dans le parc touristique, il faut payer 30 euros par personne ; il faut prendre également à part un guide obligatoire qui coûte 25 euros. Nous préférons découvrir le parc par nous mêmes.
Sur la route qui mène à Ranomafana, le parc révèle gratuitement ses plus beaux trésors ; nous faisons une halte pour découvrir une belle chute d’eau.
Le site est gratuit d’accès.
Il donne une vue impressionnante sur la forêt primaire.
Nous reprenons notre route sous la pluie ; il faut préciser que dans cette partie du pays, il pleut la majorité du temps. Un peu plus en amont, nous faisons une autre halte sur le bord de la route et nous découvrons une autre chute d’eau impressionnante.
Nous en profitons également pour nous enfoncer un peu dans la forêt primaire.
La balade est agréable.
Nous reprenons notre route et quittons le parc.
Un village surprenant
Nous nous arrêtons dans un village que nous traversons.
Une femme récupère de l’eau dans un puit. Son petit fils l’aide en lui portant les sceaux.
Nous suivons un forgeron qui a inventé un système mécanique pour raviver les flammes qui servent à chauffer le fer.
Il fait l’admiration du village pour sa trouvaille.
Nous partageons un moment avec des enfants qui avancent sur des échasses.
Scènes de vie fluviales
Nous reprenons la voiture ; après avoir parcouru une vingtaine de kilomètres, nous faisons une halte aux abords d’une rivière.
Les malgaches sont très propres, quand bien même ils ne possèdent pas pour la plupart, l’eau courante.
Route vers Antananarivo
Nous reprenons notre route en direction d’Ambositra.
Nous entrons dans la ville.
Nous la traversons.
Nous prenons le temps de la découvrir.
Nous nous arrêtons à l’hôtel Violette pour déjeuner. Le site est propre et inspire confiance ; nous commandons une pizza.
Les menus proposés sont peu chers. En plus, nous avons la chance de découvrir un groupe de musique malgache.
Ils proposent leur CD que les convives s’arrachent. Nous saluons le groupe.
A la sortie de la ville, nous croisons un vieil homme qui vend des ananas ; son visage en paix inspire à la sérénité.
Nous reprenons la route en direction d’Anbtsirabe.
Nous arrivons dans la ville après 2 heures de route.
Antenanarivo
Une nuit agréable
Nous continuons ensuite vers la capitale Antananarivo, dans laquelle nous arrivons tard dans la nuit ; nous logeons à l’hôtel Sakamanga, un hôtel de grande classe pour un prix modique de 20 euros.
L’hôtel comprend même une piscine chauffée.
Le restaurant de l’hôtel étant complet, nous mangeons dans le fast-food de l’hôtel ; la nourriture y est de bonne qualité.
Le lendemain matin, nous prenons le petit déjeuner.
Nous en profitons pour décompresser un peu dans l’hôtel, avant que le chauffeur vienne nous récupérer.
Nous rejoignons ensuite le centre ville de la capitale, qui n’est qu’à quelques minutes en voiture.
L’avenue de l’indépendance
Nous nous garons avenue de l’indépendance, l’avenue la plus célèbre du pays.
Nous découvrons la mairie de la ville.
Le centre-ville
De nombreux stands permettent de se nourrir pour quelques sous.
Nous longeons à pied l’avenue.
L’avenue est située non loin de tous les centres attractifs de la ville.
Nous assistons à certaines scènes de vie.
Le marché Anakely
Nous nous rendons ensuite au marché Anakely, le marché le plus célèbre de la capitale.
Néanmoins, le marché est aussi le lieu où les voleurs sont les plus nombreux.
Nous restons sur nos gardes.
Les couleurs sont vives.
Une sorte de liesse populaire plane sur le site.
Ici, tout se vend.
Les escaliers Anakely
Nous rejoignons les escaliers Anakely.
Le lieu est supposé être dangereux, mais nous ne rencontrerons aucun problème.
Grâce à eux, les gens peuvent rejoindre les hauteurs de la ville.
Nous retournons à notre véhicule.
L’ambiance de la ville est agréable. Nous devons prendre la voiture pour rejoindre le palais de la reine.
Pour ce faire, nous grimpons en hauteur.
De nombreux bâtiments sont en construction. Nous traversons un quartier résidentiel.
Nous entrons à présent dans un quartier administratif.
Nous nous trouvons dans la Haute ville.
Nous dépassons une église ainsi que la résidence du Premier ministre.
Le palais de la reine
Le palais de la reine se trouve face à nous. Nous payons 3 euros l’entrée et 6 euros, le guide.
Nous découvrons enfin le palais de la reine.
Le guide nous abreuve d’information ; il nous apprend entre autres que la circoncision est obligatoire dans le pays et qu’à partie de 4 ans, l’enfant doit se faire couper le prépuce par le médecin et que ce prépuce peut être mangé par le grand-père paternel avec du jus de banane, symbole de l’acceptation de son passage dans le monde adulte.
Les hauteurs de la ville
Nous découvrons une belle église.
Ainsi qu’une vue dégagée de la ville.
A perte de vue, les habitations se dégagent.
L’intérieur du palais de la reine
Nous retournons vers le palais.
Le guide nous fait l’honneur de nous faire visiter l’intérieur du palais, accès interdit.
Nous grimpons dans les étages ; le palais est depuis son incendie et alors qu’il était auparavant en bois, en béton.
La vue sur la ville est à 180 degrés.
L’endroit reste dangereux, car faute de financement, sa construction est inachevée.
Dans une arrière cour, nous découvrons le jardin royal.
Ainsi qu’une autre vue de la ville.
Nous restons plus d’une heure à contempler cette fourmilière humaine.
Nous redescendons ensuite.
Nous saluons notre guide.
Nous nous rendons à présent au zoo de la ville.
Le zoo de la capitale
Nous payons 3 euros par personne.
Nous découvrons de nombreux animaux.
Dont des crocodiles.
Les allées sont vastes et bien entretenues.
De nombreuses mares sont présentes sur le site.
Nous terminons par la découverte des lémuriens.
Nous découvrons également la volière du site.
Nous quittons le zoo.
Nous retournons au centre-ville.
Le départ vers l’aéroport
Nous décidons de nous reposer à l’hôtel en compagnie de notre guide.
En milieu d’après-midi, notre guide nous emmène à l’aéroport Ivato.
Nous retraversons la ville en une heure.
L’aéroport apparaît devant nous.
L’aéroport Ivato
Nous procédons à l’enregistrement de nos bagages ; en échange d’une pièce, un garde de la sécurité nous demande si nous désirons passer par une file spéciale.
Nous passons les contrôles sécurité.
Nous embarquons pour l’île Maurice avec la compagnie Air Mauritius.
Le départ du pays
Nous quittons un pays qui contrairement à la légende n’est pas dangereux, mais possède les gens, peut-être les plus souriants que j’ai rencontrés dans ma vie : un véritable trésor.