Nous nous trouvons dans la ville de San Jorges au Nicaragua.
Nous nous apprêtons à prendre un ferry pour nous rendre sur l’île d’Ometepe.
Nous payons 10 dollars la traversée qui dure 1 heure.
A bord, l’ambiance est détendue.
Nous découvrons le ferry.
Nous traversons le lac Nicaragua.
L’île d’Ometepe apparaît.
L’île fait partie du territoire du Nicaragua.
Nous posons le pied sur la terre ferme.
Nous trouvons un chauffeur qui accepte de nous conduire durant 2 jours ; il nous demande 40 euros par jour.
En sa compagnie, nous découvrons la ville.
La ville est pauvre.
Le chauffeur décide de nous présenter à son responsable.
Il nous faut quitter la ville et nous rendre à sa périphérie.
Nous faisons la rencontre de José René Tellez, patron de l’agence Pantera tour, qui organise des circuits de découverte sur l’île, pour un coût relativement optimal.
Nous reprenons notre route en direction de la pointe Jésus Maria.
La route est constituée pour une grande partie, de pavés.
A un moment, nous franchissons la piste d’atterrissage de l’aéroport local.
La route de pavé laisse la place à du goudron.
Nous empruntons un petit chemin de terre.
Nous payons 4 dollars l’entrée de la pointe.
La pointe est un des plus beaux sites touristiques de l’île.
La pointe permet d’avoir une vue dégagée sur le lac Nicaragua.
Nous nous avançons jusqu’au bout de la pointe.
En nous retournant, nous avons une vue magnifique sur un des volcans de l’île.
Le sable est volcanique, d’où sa couleur noire.
Face à nous, des centaines d’oiseaux.
Ces derniers s’envolent à notre approche.
Nous retournons à notre véhicule.
Nous nous arrêtons aux abords d’agriculteurs.
Nous reprenons notre découverte de l’île.
L’île est assez densément peuplée.
Nous nous arrêtons dans un petit village où nous louons pour la soirée, une petite guest house sans prétention. Le lendemain matin, notre chauffeur revient nous récupérer.
Nous traversons le petit village dans lequel nous avons dormi.
Il y a même un musée sur l’île.
Nous nous arrêtons dans un petit restaurant traditionnel afin de prendre un petit déjeuner.
Nous continuons notre route.
Quelques temps plus tard, notre chauffeur souhaite nous faire découvrir un plat local.
Nous sommes invités dans les cuisines.
Des hamacs permettent aux clients de se détendre après le repas.
Nous saluons nos hôtes après avoir testé la cuisine locale.
Sur la route, nous croisons nombre de cavaliers.
Notre chauffeur souhaite nous présenter à un ami agriculteur.
Cet ami nous conseille de nous rendre au coeur des champs, pour assister à un battage des haricots.
Le battage se fait encore à l’ancienne.
Nous repartons après avoir jeté un dernier coup d’oeil sur ces forcenés du travail, qui ne se plaignent jamais.
Nous nous dirigeons à présent vers le site Ojo de Agua, une spécificité de l’île.
Le site se trouve à 20 minutes de route.
Nous retrouvons une route de pavé.
Il nous faut emprunter à présent une autre route de terre pour rejoindre le site.
Le prix du site est de quelques dollars.
Nous devons faire attention à nos affaires.
Il s’agit d’un bassin d’eau thermale qui se trouve à température ambiante.
Une tyrolienne permet de retrouver nos âmes d’enfants.
Nous passons une bonne partie de la journée à nous détendre de la sorte.
Nous reprenons ensuite la route jusqu’aux confins de l’île.
Nous continuons notre route.
Nous faisons une halte à une belle plage.
Nous nous baignons.
Nous avons une vue formidable sur le volcan, quoiqu’un peu couvert par les nuages.
Nous nous rendons aux confins de l’île.
Nous nous rendons aux abords du parc national du volcan.
Face à l’impraticabilité de la route qui se transforme en chemin de terre, nous sommes obligés de faire demi-tour ; certains agences permettent néanmoins de participer à une excursion jusqu’à une chute d’eau et au volcan.
Nous retournons sur nos pas.
Sur le chemin de retour, nous faisons une halte dans une école.
La directrice nous autorise à participer à la mise en place d’un examen.
Les élèves préparent leur salle de classe à l’extérieur.
Quand d’autres restent à l’intérieur.
Tous les élèves planchent sur un examen de contrôle des connaissances équivalent au baccalauréat.
Nous repartons ensuite vers le port.
Nous arrivons peu avant l’embarquement du ferry qui mène vers les terres.
Nous patientons.
Nous payons 10 dollars par personne.
Nous admirons des tranches de vie.
Les habitants lavent leur linge dans le lac.
Nous embarquons.
Nous faisons la connaissance d’une femme qui accepte de nous conduire à Granada. Elle organise des excursions dans tout le Nicaragua.
Les côtes de l’île d’Ometepe s’éloignent.
Un dernier regard sur un paysage d’exception.