En provenance du Chili, nous entrons au Pérou.
En tant que ressortissant Français, nous n’avons pas besoin de visa. Pour importer notre véhicule, nous devons payer une dizaine d’euros et obtenir une autorisation temporaire. Pour le Pérou, notre assurance ne nous couvre pas ; nous n’en trouverons cependant pas d’autre sur place et conduirons sans durant toute la traversée du pays.
Nous entrons dans la ville de Tacna.
Tacna est une ville frontalière qui accueille de nombreux chiliens qui viennent sur place afin de faire des achats moins onéreux que dans leur pays.
Nous contournons une belle église.
Nous visitons la ville.
La place centrale est agréable.
Nous devons rejoindre la ville de Puno, à l’extrême Est.
Nous quittons la ville.
Dés les premiers kilomètres, nous grimpons dans les hauteurs de la Cordillère des Andes.
Plusieurs postes de péage sont présents sur la route.
Nous traversons un endroit assez vert.
Puis, le paysage change et laisse place à un désert.
A nouveau, le désert laisse la place à des champs.
La route est de bonne facture.
Le paysage autour de nous est magnifique.
Les paysages de verdure sont disséminés tout au long de la route.
Ils donnent un côté oasis intéressant.
Nous pénétrons dans une ville.
Nous en profitons pour nous restaurer.
Nous réservons une nuit sur place. Le lendemain matin, nous repartons.
La route grimpe dans les hauteurs.
La voiture a de plus en plus de difficultés à avancer ; elle broute et tous les 50 kilomètres, elle s’arrête. Nous devons attendre une bonne dizaine de minutes pour la faire repartir.
De nombreux camions nous obligent à les doubler.
Nous nous trouvons à près de 4000 mètres ; l’acclimatation est difficile.
Nous nous trouvons à présent au haut de la cordillère.
Les plus hauts sommets andins nous font face.
Il fait très froid.
Nous dépassons à présent les 4600 mètres.
Nous nous fatiguons beaucoup plus rapidement.
Nous nous arrêtons dans un petit village afin d’acheter des bonbons au coca.
Une femme très gentille nous accepte au sein de son foyer.
Le décor extérieur est pittoresque.
Nous repartons ensuite toujours en direction de Puno.
Le paysage est toujours aussi somptueux.
Nous traversons quelques petites villes sans prétention.
Les maisons ont des couleurs très vives.
Il n’y a à présent plus de voitures sur la route.
Nous avons la cordillère des Andes presque pour nous.
Ce qui n’est pas pour nous rassurer, tant la voiture broute de plus en plus.
C’est alors que nous apercevons les hauteurs de la ville de Puno, aux abords du lac Titicaca.
Nous pénétrons dans la périphérie de la ville.
Nous apercevons le lac Titicaca.
Nous souhaitons nous rendre sur les îles d’Uros ; pour ce faire, nous stoppons un conducteur de taxi et nous lui demandons de nous emmener à l’endroit d’où nous pourrons prendre un bateau.
Nous traversons toute la ville.
Le soleil commence à se coucher.
Sur place, aux abords du lac, un chauffeur de vélo pousseur nous enjoint à ne pas laisser notre voiture sur le parking.
Nous le suivons chez un de ses amis afin de mettre la voiture en sécurité pour la somme de 2 euros la journée.
Une fois la voiture en sécurité, nous pouvons repartir. Le conducteur nous emmène au port de la ville.
Il nous trouve un conducteur de bateau qui pour 15 euros peut effectuer la traversée de nuit pour nous ; mais avant cela, nous devons prendre un taxi pour rejoindre son bateau qui se trouve en dehors de la ville.
Nous arrivons sur une des îles de la communauté Uros tard dans la nuit ; nous payons pour 4 personnes la somme de 150 euros, mais ce tarif comprend tous les repas, les 2 nuitées et les visites.
Nous mangeons un délicieux repas. nous terminons notre soirée au coin du feu.
Le lendemain matin, encore emmitouflés dans nos couvertures tant il fit froid, nous nous levons.
Nous découvrons un décor fantastique ; les îles d’Uros sont nombreuses et disséminées sur le lac Titicaca, le lac le plus haut du monde.
L’île sur laquelle nous nous trouvons se nomme l’île Uros Aruma Uro.
Les îles d’Uros ont cette particularité d’être constituées de roseaux ; elles flottent donc.
Nous nous questionnons sur la possibilité pour de la paille de supporter ce poids.
Face à nous, un petit village s’est constituée au fil du temps.
Nous prenons notre petit déjeuner ; la propriétaire nous explique que la paille doit être constamment renouvelée, car elle s’imbibe d’eau et devient moins solide.
Nous nous préparons à une journée de découverte du lac.
Nous sommes appelés par un pêcheur traditionnel.
Nous l’accompagnons sur un bateau construit également avec de la paille.
Le pêcheur nous présente son outil de coupe.
Nous faisons connaissance avec d’autres pêcheurs.
La température est fraiche.
Les roseaux qui servent au maintien des maisons contiennent un coeur qui se mange ; nous goutons ce met local.
Tout en pêchant, notre guide ramasse quelques dizaines de roseaux afin de colmater une brèche de sa maison.
Nous passons la majeure partie de la journée à nous promener sur le lac.
Le lendemain matin, nous retournons sur le lac. Nous nous dirigeons cette fois-ci vers le village Uros voisin.
Nous grimpons sur l’île.
Une famille nous accueille.
Nous partageons en leur compagnie un moment de convivialité.
Nous retournons ensuite sur notre île ; un bateau épicerie s’arrête à notre hauteur.
Après avoir effectué quelques achats, nous repartons en direction de notre île.
Les femmes de la communauté préparent le repas face à un cygne domestique.
Les femmes sont chaleureuses.
Nous passons une partie de la journée à nous reposer.
C’est enfin le moment de quitter la communauté.
Nous nous dirigeons avec notre pilote en direction d’une autre île de laquelle nous prendrons un collectivo pour retourner à Puno ; le prix de la traversée est de 3 euros par personne.
Nous attendons le collectivo en découvrant l’île.
Un enfant de 12 ans conduit le bateau.
Nous nous trouvons en compagnie de familles amérindiennes qui rejoignent la ville afin d’effectuer quelques achats.
Les berges de la ville apparaissent.
Nous arrivons au port de Puno.
Nous retrouvons notre chauffeur de la veille qui nous donne son numéro de téléphone afin de le recontacter si besoin il y a : il est joignable au 938627673. Nous découvrons le port.
Les habitants de la ville aiment à s’y promener.
Il faut dire que l’endroit est sympathique.
Nous lions connaissance avec les habitants de la ville.
Nous retournons au centre ville.
Pour aller plus rapidement, nous réservons pour 2 euros un tuk tuk.
Nous récupérons notre véhicule et nous nous garons au centre ville.
Nous mangeons un morceau dans un restaurant de la ville.
Nous parcourons ensuite la ville à pied.
Nous fêtons l’anniversaire de notre fils dans une boulangerie du quartier. Nous payons un gros gâteau 4 euros.
Nous découvrons ensuite une petite place fort sympathique.
La ville bien que traditionnelle est assez vivante.
De nombreuses femmes sont vêtues de leur habit traditionnel.
Sur le chemin, nous croisons de nombreuses vendeuses ambulantes.
Nous découvrons ensuite le marché local.
Les Péruviens sont pieux.
Les croquettes pour animaux se mêlent aux produits alimentaires frais.
Nous grimpons dans les hauteurs du marché.
Nous prenons un autre tuk tuk pour rejoindre la cathédrale de la ville.
La place est agréable.
Nous nous mêlons à la population locale.
Nous parcourons ensuite les petites ruelles.
Nous arrivons sur une autre place assez colorée.
Nous terminons notre visite par quelques achats.
Sur le chemin, nous parlons avec un homme agréablement surpris de trouver des touristes qui voyagent en indépendant et non dans un groupe avec un tour organisé.
Nous rejoignons ensuite notre hôtel : La posada Vargas, un hôtel central.
Le soir, nous mangeons un morceau. Nous allons ensuite nous coucher.
Le lendemain matin, nous préparons notre départ ; nous posons nos valises dans la voiture stationnant devant l’hôtel ; juste le temps de payer la chambre, nous revenons, en quelques secondes les portes de la voiture ont été fracturées et ont disparu nos sacs d’habits et de médicaments ; les papiers importants n’ont pas été touchés car ils étaient avec nous, dans notre sac qui contient tous nos biens de valeur et duquel on ne se sépare jamais. Deux options s’offrent à nous : nous lamenter sur notre sort ou continuer comme si de rien n’était : sans réfléchir, nous décidons de continuer notre périple.
Nous quittons la ville de Puno. Nous nous disons pour nous détendre qu’un péruvien se balade à présent avec nos affaires et pourra se soigner à moindre frais.
Nous quittons le Sud du Pérou en nous engouffrant vers le centre du pays.