Nous approchons des côtes de Saint Christophe et Niévès.
Le soleil vient à peine de se lever.
Nous apercevons la ville de Basseterre, la capitale.
Nous descendons sur les quais du port.
En tant que Français, nous n’avons pas besoin de visa pour entrer dans le pays ; en outre, effectuant une croisière, nous n’avons même pas besoin de présenter notre passeport ; seule notre carte d’accès suffit.
Face à nous, nous croisons de nombreux taxis qui proposent des tours de l’île ; nous décidons de prendre un chauffeur pour la somme de 50 euros par personne pour la journée, ce qui nous donnera la possibilité de découvrir l’île dans son intégralité.
Nous roulons en direction de la capitale : Basseterre ; Saint Christophe et Niévès est composé de 2 îles : Saint Christophe, qui comporte la capitale et la petite île de Niévès, qui s’atteint en prenant un ferry ; il faut compter une heure trente de traversée.
A première vue, le pays semble pauvre.
Néanmoins, certaines maisons du centre sont intéressantes car possédant une architecture coloniale.
Notre chauffeur semble fatigué ; il faut dire qu’il est déjà âgé, prés de 70 ans.
Nous arpentons les rues du centre ville.
Nous garons notre véhicule et nous nous dirigeons en direction de la cathédrale.
La cathédrale possède une belle façade.
Nous la découvrons de l’intérieur.
Nous nous dirigeons ensuite vers le parc municipal. Il se trouve juste en face de l’édifice religieux.
A cette heure matinale, le parc est encore vide.
Seuls quelques travailleurs sont présents sur place afin de garder l’endroit propre.
Nous reprenons ensuite la route.
Certaines façades sont colorées.
Nous dépassons une autre église.
Nous nous arrêtons et découvrons le quartier administratif.
Nous quittons la ville.
Nous longeons la mer.
Nous pouvons apercevoir au loin, notre bateau Costa qui stationne à quai.
Nous quittons la périphérie de la ville.
A notre gauche, plusieurs facultés de médecine et de sciences.
Nous nous arrêtons aux abords d’une ancienne distillerie, qui n’est plus en activité.
Seules les chèvres qui broutent de l’herbe viennent perturber la quiétude ambiante.
Nous reprenons notre route.
Nous longeons la mer des Caraïbes.
Nous traversons nombre de petits villages.
Les maisons sont pour la plupart, construites avec des matériaux de récupération.
Nous découvrons la bloody river, une rivière qui a reçu ce nom suite au massacre de nombreux indigènes par les colonisateurs britanniques au 17 èm siècle.
Nous reprenons la route en direction du manoir Romney.
Nous rejoignons la vielle route coloniale qui est à elle seule une attraction dans le pays.
Les villages que nous traversons sont pauvres.
Certaines maisons sont délabrées.
En prenant la route du manoir Romney, nous apercevons une sorte d’école ; nous nous arrêtons.
Nous nous présentons à l’accueil.
La directrice accepte de nous faire partager un moment en leur compagnie.
Les enfants sont souriants.
Ils nous accueillent avec bienveillance.
L’école, le Week-end fait aussi garderie.
Les professeurs sont fiers de nous en présenter l’intérieur.
Nous assistons aux toilettes des enfants.
Nous quittons l’école ; la directrice nous demande de publier son adresse, et ce afin que les éventuels donateurs leur envoient du matériel scolaire et des jouets pour les enfants;
Nous reprenons la route en direction du manoir Romney.
Sur le chemin, nous nous arrêtons au Wingfield Estate, une ancienne distillerie.
Elle est exceptionnellement bien conservée.
Le bâtiment a été restauré pour le bonheur des voyageurs.
Le site est en accès libre.
A l’extérieur, dans des sortes de petits enclos, les différentes cultures de l’île : coton, canne à sucre et café.
Le bâtiment se trouve aux abords d’une forêt luxuriante.
Nous prenons la route ne direction du manoir Romney ou autrement appelé caribelle Batik.
Nous entrons sur le site.
Nous garons notre véhicule.
Après avoir payé 2 dollars par personne, nous découvrons le manoir dans lequel se perpétue une tradition séculaire : la peinture sur tissus, appelé également artisanat Batik.
Les jardins extérieurs sont bien entretenus et comportent nombre d’espèces végétales de l’île.
Il s’agit d’un haut lieu touristique de l’île.
Nous nous dirigeons vers les ateliers de fabrication.
Nous découvrons deux femmes qui travaillent de manière artisanale.
Les deux femmes essayent de perpétuer une tradition séculaire.
Les produits fabriqués sont exportés dans le monde entier.
Nous quittons le manoir.
Nous reprenons la route en direction du fort Brimstone Hill.
Nous devons circuler un peu plus de 20 minutes.
Nous traversons à nouveau de nombreux petits villages.
A plusieurs reprises, la vue sur la mer des Caraïbes est dégagée.
Nous arrivons aux abords de l’entrée.
Pour rejoindre le site, il nous faut grimper dans les hauteurs de l’île.
Nous payons 10 dollars par personne et devons rester dans la voiture pour rejoindre effectivement le site.
Encore quelques mètres.
Le parking se trouve à l’intérieur de la forteresse.
Nous garons notre véhicule.
Nous grimpons vers les hauteurs du fort.
Pour pénétrer à l’intérieur, il nous faut passer une porte secondaire.
L’intérieur du fort est agencé comme un musée.
Nous découvrons l’historique du site.
Nous nous dirigeons vers la cour intérieure.
Nous prenons notre temps pour découvrir chaque salle du fort.
Nous terminons ensuite par les plateformes extérieures.
Les canons sont disposés tels qu’ils étaient il y a plus de 100 ans.
Nous avons une vue dégagée sur toute l’île.
Nous rejoignons après une heure de visite, notre voiture.
Nous reprenons la route en direction de Black rocks.
Nous dépassons un village, qui laisse penser à travers la disposition de deux de ses rues au quartier de Time square à New York, du moins avec une grande imagination.
Nous continuons notre route.
Nous dépassons le site dans lequel se prend le train qui permet de visiter l’île en la traversant.
Nous ne nous arrêtons pas et continuons notre route.
Il nous faut 30 minutes pour rejoindre le site de Black rocks.
Nous traversons de nombreux champs ; l’agriculture est une part importante des activités de l’île.
Tout du long, nous longeons la mer.
Nous nous arrêtons un court instant aux abords d’un plage pour découvrir une vue magnifique sur une petite baie.
Nous arrivons aux abords du site.
L’accès au site est gratuit.
De nombreux touristes sont présents.
Nous découvrons une sorte de côte escarpée.
Les vagues se fracassent contre les rochers.
Tout autour du site, des bungalow vendent divers produits.
Nous repartons ensuite ne direction de Frigate bay.
Nous traversons une partie pauvre de l’île.
L’île n’est pas peuplée ; la majeure partie de ses habitants résident aux abords de la capitale.
Nous prenons la route qui mène à l’aéroport ; le décor change ; oublié la pauvreté de certains villages de l’île, en nous rapprochant de la capitale, nous découvrons des constructions récentes et un environnement fait pour accueillir le touriste.
De nombreux hôtels sont présents.
Nous arrivons au site de Frigate bay ; il s’agit de la séparation entre l’Océan Atlantique et de la mer des Caraïbes.
Nous faisons la connaissance d’Hollywood, un Jamaïcain qui propose contre quelques dollars, aux touristes de le prendre en photo avec son âne et des deux singes dressés.
La vue est splendide.
Nous ne nous lassons pas de cette fin des terres.
Quelques boutiques proposent des achats souvenirs aux voyageurs de passage.
En retournant sur la ville de Basseterre, nous sympathisons avec des ouvriers qui travaillent à rénover la route.
Il nous faut quelques minutes pour rejoindre la capitale.
Nous nous dirigeons vers le port ; nous nous arrêtons devant le guichet de l’agence qui propose pour 25 dollars US, la traversée pour l’île de Niévès ; malheureusement, il n’y a plus de départ dans la journée.
Nous nous promenons aux alentours du port.
Plusieurs vendeurs de rue proposent du poulet grillé pour 10 dollars US ; les prix sont un peu excessifs.
Certains quartiers de la ville sont peu reluisants.
Nous faisons quelques achats de base dans un supermarché.
Nous rejoignons ensuite le port dans lequel stationne notre bateau.
Nous quittons Saint christophe et Niévès, appelé aussi Saint Kitts.