Attention, ce récit de voyage est une photothèque chronologique qui sous près de 500 photos montre intégralement notre voyage au Salvador, sans rien vous cacher. Ce voyage effectué en 1 semaine présente notre tour du pays en vous présentant ses merveilles naturelles, architecturales et naturelles.
En provenance du Honduras, nous entrons au Salvador.
Nous passons la frontière en compagnie de notre chauffeur de taxi qui nous accompagnera durant 3 jours. Il s’agit d’un chauffeur exceptionnel, gentil, serviable qui propose des excursions dans tout le Salvador et au Honduras ; il coûte 80 dollars par jour, kilomètres illimités et il est joignable au 96716124 ; il s’appelle Jervil Leonel.
En tant que ressortissants Français, le visa n’est pas nécessaire ; les formalités administratives prennent 10 minutes.
Nous pénétrons sur le territoire du Salvador.
Nous nous dirigeons vers la ville de Suchitoto. Nous entrons dans la ville de La Palma.
Les maisons ont des façades dessinées.
La ville est agréable.
Nous nous trompons de route.
Nous faisons demi-tour.
Nous retournons sur nos pas et reprenons la route correcte, qui nous fait passer par la ville de El Paisnal.
Nous croisons sur la route un parc archéologique.
Nous pénétrons dans la campagne du Salvador.
Nous traversons plusieurs petits villages.
La route que nous empruntons à présent est une route départementale.
La route est assez abîmée, ce qui ne nous laisse pas la possibilité de conduire à vitesse normale.
Nous entrons dans la ville de Suchitoto.
La ville est pavée.
Un chemin nous fait sortir de la ville ; nous faisons demi-tour et retournons à l’intérieur.
Il nous faut rejoindre le centre ville.
La ville n’est pas grande.
Nous nous garons aux abords de la place centrale.
De nombreuses personnes sont assises en pleine rue.
Nous visitons le marché municipal.
Chaque vendeur propose à la criée ses produits.
Nous rejoignons ensuite la cathédrale de la ville.
Les habitants, peu habitués à voir des touristes nous parlent et nous sourient.
Nous arpentons la place qui se trouve aux abords de la cathédrale.
Nous mangeons ensuite une spécialité locale.
Nous faisons à pied le tour de la ville.
Nous reprenons ensuite la voiture pour nous diriger vers la capitale San Salvador.
Nous traversons des petites villes colorées.
Le conducteur nous demande à plusieurs reprises si nous sommes sûrs de vouloir entrer dans la capitale.
Nous lui indiquons alors que nous traversons une autre ville, que nous voulons visiter la capitale.
Le chauffeur nous indique que la capitale est dangereuse et qu’il s’agit d’une des villes les plus dangereuses au monde. Nous souhaitons tout de même la visiter.
Nous continuons notre route.
Nous reprenons la route principale.
Nous traversons les villes de la périphérie de San Salvador.
La route est une double voie de bonne qualité.
Nous faisons une halte pour mettre de l’essence.
Nous nous rapprochons de la banlieue de la ville.
Les maisons sont toutes protégées par du fil barbelé.
Nous entrons dans la ville.
La ville est si grande que le chauffeur se perd une nouvelle fois.
Nous devons nous arrêter pour demander notre chemin.
Il nous faut rejoindre la cathédrale.
La ville nous semble belle et bien entretenue.
Mais plus nous nous approchons du centre, plus la pauvreté se fait sentir.
Nous circulons à présent sur l’avenue principale.
Nous nous arrêtons pour découvrir le marché local qui se trouve sur la voie.
De nombreuses marques américaines sont présentes.
Nous reprenons notre route ; au loin, s’aperçoit la cathédrale.
Les gens sont souriants. Nous sentons une pauvreté dans les rues, mais pas de signe d’hyper violence.
Nous nous garons sur la place centrale ; elle est surveillée par des militaires et des policiers.
Nous arpentons la place.
C’est alors que 3 policiers de la police touristique se présentent à nous et souhaitent nous accompagner afin que nous puissions découvrir la ville en toute sécurité.
Nous découvrons le théâtre national.
Accompagnés des policiers, nous découvrons ensuite le quartier sensible d’où proviennent les maras, les membres de gangs.
Le quartier est assez pauvre.
Nous retournons ensuite à la cathédrale.
Nous en visitons également la crypte.
Nous retournons sur la place centrale.
C’est alors que prévenus de notre présence, près de 50 militaires ont rejoint la place.
Ils la circonscrivent ; nous avons l’impression d’être des personnalités hauts placées. Un peu comme une équipe présidentielle.
Nous saluons les policiers présents sur place et nous retournons à notre véhicule.
Après une nuit dans un petit hôtel, nous quittons la ville et prenons la route en direction de la Libertad, une ville côtière de l’océan Pacifique.
Il nous faut 1 heure pour rejoindre la ville. Une averse rapide s’abat sur nous.
La pluie s’arrête rapidement.
Nous continuons notre route à présent sous un soleil de plomb.
Nous entrons dans la ville.
La ville est assez touristique.
Nous nous dirigeons au Malecon.
Sur place, un groupe de fêtards nous invite à partager un verre en leur compagnie.
Nous rejoignons à quelques mètres, le front de mer.
Sur le Malecon, de nombreux restaurants permettent de manger pour peu cher.
Nous rejoignons le marché aux poissons sur la jetée.
Le marché est très fréquenté.
Les pêcheurs peuvent vendre immédiatement le produit de leur pêche.
L’ambiance est agréable.
Nous continuons notre avancée sur la jetée.
Face à nous, un point de vue sur la ville.
Un pêcheur découpe devant nous des requins qu’il vient de pêcher.
Nous rejoignons notre véhicule.
Nous empruntons la route du Pacifique.
La route longe l’océan.
Nous pénétrons ensuite au coeur du pays en circulant sur la route des fleurs.
La route empruntée traverse les montagnes du coeur du Salvador.
Nous devons monter en hauteur.
Il y a peu de circulation sur la route.
Nous traversons des villages peu touristiques.
Nous nous arrêtons dans un fast food pour manger.
Nous longeons à nouveau la ville de San Salvador.
Nous continuons notre route en empruntant une double voie de bonne qualité.
Les marques américaines sont vraiment omniprésentes.
Nous entrons dans la ville de Santa Ana.
La ville est une des plus grandes du pays.
Nous rejoignons le centre ville.
Nous traversons plusieurs avenues commerciales.
Nous sommes pris dans les embouteillages.
Nous nous garons aux abords de la place centrale.
Nous prenons le temps de découvrir la ville.
Face à nous, une belle cathédrale.
Autour de la place, les habitants se regroupent pour passer un moment de convivialité.
Nous visitons une autre église.
En reprenant la route pour nous diriger à notre hôtel, nous avons un accident ; le chauffeur de notre taxi grille un stop et percute une moto qui tombe sur le sol.
Les policiers arrivent rapidement sur place ; ils bloquent la voiture et prennent les dépositions.
Rien n’est déplacé. Le motard ne semble pas blessé ; notre conducteur qui réside au Honduras tente de négocier avec lui ; le motard accepte de ne pas porter plainte contre une somme de 50 dollars.
Une fois les 50 dollars en poche, il reprend sa moto un peu abîmée et repart. Nous pouvons repartir après une heure d’attente stressante.
Nous arrivons à notre hôtel : la villa Napoli.
Il s’agit d’un hôtel magnifique, pour 40 euros la nuitée.
Nous profitons de la piscine.
Ainsi que des talents de cuisinière de la patronne.
Le lendemain matin, la patronne accepte de nous faire visiter son pays. Nous patientons dans notre chambre.
Nous prenons un solide petit déjeuner. Mais avant cela, nous découvrons le jardin de l’hôtel.
Le tout, aux abords de la piscine.
Son assistante nous permet de la suivre et d’assister à la préparation du petit-déjeuner.
Nous pouvons enfin manger.
Une fois, rassasiés, nous rejoignons la patronne qui appelle un ami à elle et qui va nous conduire toute la journée.
Nous récupérons son ami et nous empruntons la route des fleurs en direction du lac de Coatepeque.
Il nous faut 1 heure pour rejoindre le lac.
Aux abords du lac se trouve également un volcan dont l’ascension dure plusieurs heures.
Nous arrivons au lac.
Nous avons une vue magnifique sur la vallée.
Nous repartons ensuite vers les chutes de Juayua.
Encore une heure de route à travers la route des fleurs.
Il nous faut nous rendre tout d’abord au village de Juayua.
Nous traversons plusieurs petits villages.
Nous entrons dans le village.
Nous nous dirigeons vers la place centrale.
Nous essayons de réserver un chauffeur de tuk tuk, mais ce dernier nous explique que nous pouvons nous y rendre avec notre véhicule.
Nous nous dirigeons vers les chutes qui sont bien indiquées.
Nous traversons le village.
Nous prenons la direction des chutes qui portent le nom de : Los Chorros de la Calera.
Nous arrivons sur un sentier de terre.
Nous nous garons sur un parking ; deux guides viennent nous voir ; ils nous demandent si nous avons besoin de guides ; ils prennent 20 dollars pour l’excursion à eux deux, cela plus les 5 dollars d’entrée. Nous acceptons, car emprunter le sentier qui mène aux chutes sans guide peut être dangereux ; deux voyageurs en ont ainsi fait les frais il y a quelques années, en se faisant braquer par un criminel qui les avait suivis lors de leur expédition en solo vers les chutes.
Nous quittons le parking.
Nous sommes partis pour une heure de promenade.
Le chemin n’est pas compliquée.
Les guides nous content leur vie au sein de ce petit paradis végétal.
Nous passons un grillage, ouvert.
Autour de nous, une végétation verdoyante.
A certains endroits, le chemin devient difficile d’accès.
Nous avançons avec prudence.
Les premières chutes se trouvent devant nous.
En tout, deux chutes sont à découvrir ; une troisième qui se trouve en contrebas de la vallée est interdite d’accès ; du moins, pour l’instant.
Les premières chutes sont les plus grandes du site.
Il nous faut continuer quelques mètres pour découvrir les deuxièmes chutes.
Mais ces deuxièmes chutes sont moins impressionnantes.
Nous retournons aux premières chutes.
Le site est magnifique.
Quelques locaux se baignent devant nous.
Nous nus contentons simplement d’admirer la puissance de l’eau.
Nous retournons ensuite à l’entrée.
Une voiture accepte gentiment de nous prendre avec elle.
Nous nous dirigeons à présent vers la frontière avec le Guatemala. Nous faisons une halte dans un restaurant;
Nous continuons notre route vers la frontière.
Nous traversons quelques petits villages.
Il nous faut 1 heure de route pour rejoindre la frontière.
Nous effectuons le change de notre monnaie.
Nous passons ensuite les contrôles migratoires en quelques minutes.
Nous embrassons nos amis.
Nous avons la surprise d’apprendre que nos amis ont réussi à la frontière à nous organiser un voyage en compagnie d’une voiture croisée sur place ; nous serons ainsi en toute sécurité pour rejoindre Guatemala city.
Nous quittons le Salvador, un pays fort intéressant et à l’accueil irréprochable.