Attention, cet article est une photothèque qui reprend en intégralité notre voyage en Tunisie, dans lequel nous avons passé plusieurs jours. Nous vous présentons ainsi le vrai visage du pays, plus précisément celui de la Tunisie du Nord.
Nous avons ainsi parcouru la Tunisie du Nord, afin d’en découvrir les merveilles touristiques.
Pour les lecteurs intéressés, venez découvrir notre récit de voyage complet sur l’île de Djerba au travers de ce lien.
Vous pourrez également découvrir notre article sur la récompense de l’influence touristique que nous avons gagné : le jasmin d’or.
Le lien suivant présente notre récit sur la découverte lors d’une escale de la ville de Tunis.
Le dernier lien concerne notre découverte du Sud de la Tunisie.
Pour les lecteurs friands de reportage, voici notre article complet sur les incontournables du Sud tunisien ainsi que notre article sur les merveilles de Djerba.
Le trajet vers Orly
En provenance de Paris, nous nous rendons à l’aéroport d’Orly.
L’autoroute est dégagée.
Nous suivons les panneaux indicateurs. Nous garons notre véhicule dans le parking.
L’aéroport d’Orly
Nous patientons pour procéder à l’enregistrement avec la compagnie Tunis Air.
L’aéroport est bien plus petit que l’aéroport Charles de Gaulle.
Nous procédons à l’embarquement.
Le vol vers Tunis
L’avion est vétuste.
L’aéroport de Tunis
Après deux heures et trente minutes de vol, nous arrivons tardivement à Tunis.
En tant que Français, aucun visa n’est requis.
Nous récupérons nos bagages.
Etant donné que le vol coûte à lui seul deux cents euros l’aller, nous avons préféré prendre une formule tout compris avec hôtel cinq étoiles, navettes, pension complète et vol aller et retour pour quatre cents euros par personne. Bien plus avantageux.
Nous prenons la navette pour l’hôtel, guidé par un comptoir où un employé de l’agence de voyage nous attendait.
Le TAJ sultan à Hammamet
Le lendemain matin, nous nous réveillons les pieds dans l’eau en Tunisie du Nord.
L’hôtel dans lequel nous séjournons est le TAJ sultan, à Hammamet, à une heure de Tunis.
L’hôtel est un cinq étoiles magnifique, splendide, digne des plus grands palaces européens.
Nous découvrons l’hôtel.
Il comprend toutes les attractions qui peuvent faire passer un bon moment à une famille.
Le hall d’entrée est luxueux.
Et il est décoré avec soin.
Nous refusons de prendre les attractions supplémentaires proposés par des sous-traitants de l’hôtel, mis à part la location de voiture, avec la société TLS location, joignable au 00 216 722 60 888 ou sur leur mail.
La location s’effectue dans le hall de l’hôtel. Elle revient à une trentaine d’euros par jour pour une voiture convenable.
Nous allons mettre de l’essence.
Nous ne perdons pas de temps et nous nous dirigeons vers la ville d’Hammamet, étant donné que l’hôtel se trouve à Hammamet Yasmine, à une quinzaine de kilomètres de la ville principale. Nous nous arrêtons sur le bord d’une plage afin d’effectuer une petite promenade en chameau.
Nous traversons la station balnéaire d’Hammamet Yasmine. La station est réputée pour son tourisme de masse et ses prix attractifs qu’il convient toujours de négocier.
Les hôtels sont omniprésents. Ainsi que les calèches pour les touristes. Même pas cinq euros pour un tour d’une heure.
Nous continuons notre route vers la ville d’Hammamet.
Nous suivons la direction de Tunis.
Hammamet
Nous arrivons dans la banlieue d’Hammamet, une grande ville de Tunisie du Nord.
Le pays est très propre. Les Tunisiens conduisent prudemment.
Tous ont le sourire, malgré un tourisme en berne du aux anciennes complications résultant du printemps arabe. Mais, le pays est sûr.
Nous arrivons à la médina. Nous garons notre véhicule.
La médina
La médina, également vieille ville est entourée par de hautes fortifications.
Nous entrons par la porte principale.
Dés l’entrée, nous apercevons les commerces artisanaux.
Tout se vend dans le souk.
Des habits traditionnels, contrefaits ou des épices.
Nous arpentons les allées de la médina.
Nous découvrons un foisonnement de couleurs.
Les mosaïques sont entreposées à l’extérieur des magasins.
Alors qu’en face se vendent des sacs de grandes marques. Contrefaits bien entendu. Une pratique courante en Tunisie du Nord.
Nous longeons les fortifications.
Nous découvrons un des cafés les plus renommés du pays : le Sidi Bou Hdid, un café qui propose de délicieux jus de fruits, thés ou collations. Le café est tenu par un homme charmant et ses serveurs sont dédiés entièrement à leurs clients.
Un véritable havre de paix. Nous dégustons un thé à la menthe.
Nous avons une vue privilégiée sur la Méditerranée.
Nous longeons le bord de mer.
Le front de mer
La vue y est splendide. La mer est attractive, malgré le froid.
Sur la plage, des petits bateaux traditionnels sont entreposés.
Ce décor donne lieu à de formidables prises de vue.
Nous prenons notre temps.
Route vers Hammam Jedidi
Nous reprenons ensuite la route. Nous nous dirigeons vers la ville de Hammam Jedidi. La direction principale est la ville de Zaghouan. En moins de dix minutes, nous quittons la ville.
La circulation n’est pas congestionnée. Nous pénétrons dans la campagne tunisienne.
Nous traversons de nombreux villages. Ces derniers possèdent tous une belle mosquée.
Sue le bas côté de la route, nous apercevons des cactus. Des bergers et leur troupeau.
Ainsi que des oliviers.
Nous faisons une halte dans un petit village.
Hammam Jedidi
Le centre-ville
La route est parfaitement entretenue. Nous arrivons dans la ville de Hammam Jedidi. La ville se trouve à une vingtaine de kilomètres de Hammamet.
Nous cherchons les thermes.
Un habitant nous indique le chemin.
La ville est pauvre au premier abord.
Il s’agit d’une petite ville typique de la campagne tunisienne.
La ville semble moins développée que les villes balnéaires. Certains bâtiments sont abandonnés. Nous arpentons la rue principale/
Nous devons nous diriger vers le fond du village.
Nous garons notre véhicule.
Les thermes
Les thermes de la ville sont connues des habitants de tout le pays.
Les entrées homme et femme sont séparées.
Nous payons un euro et cinquante centimes pour y pénétrer.
Nous découvrons des sources à plus de soixante degrés.
L’endroit, de primes abords, peu ragoutant est véritablement typique.
L’eau a des vertus purificatrices. Nous nous changeons dans le vestiaire dans lequel, les hommes mangent des œufs et des oranges.
Nous commandons un massage pour la somme modique de cinq euros. Nous nous détendons dans cet havre de paix.
Une soirée tranquille
Nous rentrons ensuite tardivement.
Dans l’hôtel, nous profitons d’une soirée dansante.
Route vers Tunis
Le lendemain matin, nous nous dirigeons vers la ville de Tunis. Nous rejoignons l’autoroute. Nous payons quelques dinars tunisiens. L’autoroute égale les autoroutes françaises.
Nous quittons l’autoroute en passant par un autre péage.
Nous arrivons dans la ville de Tunis.
Nous pénétrons dans la ville. Et dépassons une petite banlieue.
Les bouchons font leur apparition.
Tunis
Le centre-ville
Nous nous dirigeons vers le centre ville. Nous apercevons une haute tour.
Nous devons continuer tout droit.
De nombreux taxis circulent. Nous nous arrêtons sur le bas côté avant d’atteindre la médina.
Une longue rue piétonne sépare les deux côtés de la route. La ville est à taille humaine.
Et aux abords d’une autre place…
…nous découvrons la cathédrale, une des seules du pays.
Nous nous garons ensuite prés de la médina ; un ouvreur nous laisse sa place pour quelques dinars.
Nous effectuons les derniers mètres à pied.
De belles fontaines nous indiquent l’entrée du souk.
Le souk est moderne, tout en étant traditionnel.
La médina
Dés l’entrée, nous trouvons un foisonnement de produits proposés à la vente.
Il est l’un des souks les plus fameux du pays.
Les commerces côtoient les bâtiments administratifs.
Les hommes et les femmes sourient à notre passage.
Nous assistons au travail d’un artisan traditionnel.
Le résultat de son art : des objets qui seront vendus aux plus offrants.
Dans un coin reculé du souk, un homme fume la chicha.
Nous arpentons les ruelles de la vieille ville.
Nous arrivons devant une école coranique.
Nous la visitons.
Les étudiants y apprennent l’Islam.
Nous continuons notre chemin jusqu’au château, un lieu permettant de voir la ville avec hauteur.
Nous arrivons sur place.
La ville se dégage devant nous.
Une visibilité à 180 degrés.
Le minaret de la mosquée Zittouna émerge.
Nous prenons notre temps.
Nous parvenons jusqu’au fond du souk.
Les ruelles sont moins entretenues.
Nous arrivons ensuite devant la boutique de Losperfumistas, le parfumeur le plus célèbre de Tunis.
L’homme, un nez, nous fait partager son amour des senteurs.
La mosquée Zittouna
Nous visitons ensuite la mosquée.
Elle est magnifique.
Il y règne une formidable ambiance.
La visite de la médina
Nous continuons notre découverte du souk.
De nombreux travailleurs artisanaux conçoivent divers objets décoratifs.
Certaines ruelles sont noires de monde.
La quantité de produits disponibles donne le tournis.
Le charme de l’Orient.
Ainsi que sa dextérité.
Dans une boutique, nous admirons de beaux tapis.
Ainsi qu’un lit bien trop grand pour nos habitations occidentales. Un homme avec qui nous avons sympathisé se propose de nous faire visiter le souk.
Nous acceptons.
Nous nous rendons ensuite dans un restaurant traditionnel.
Nous nous asseyons sur la terrasse pour déguster un bon couscous.
Nous avons une belle vue sur les ruelles du souk.
L’endroit diffère des restaurants traditionnels du quartier.
Nous retournons à notre véhicule.
Route vers Sidi Bou Saïd
Nous quittons la ville de Tunis en direction de Carthage, une des attractions phares de Tunisie du Nord.
Nous roulons quelques kilomètres.
Sidi Bou Saïd
Le centre-ville
Nous décidons de faire une halte dans la ville de Sidi Bou Saïd.
Avant d’entrer dans la ville, nous visitons sa grande mosquée.
Elle est renommée dans tout le pays.
Elle est de construction récente.
Nous nous dirigeons vers le centre ville.
Des ruines s’aperçoivent gratuitement sur le bas côté.
Nous pénétrons dans le centre ville.
La ville est petite. Mais, le centre n’est pas attractif.
La vieille ville
Il faut se rendre à la vieille ville, célèbre en Tunisie du Nord. Et grimper dans ses hauteurs.
Après avoir payé un droit d’entrée de quelques dinars, nous stationnons notre véhicule.
Il s’agit d’une variante de la médina.
Nous découvrons les habitations typiques de couleurs blanches et bleues.
Ainsi qu’un magasin de poteries.
Et de mosaïques.
Il se trouve dans une vieille bâtisse.
Nous la visitons.
Nous continuons notre chemin.
Nous dépassons la place centrale.
Et continuons en direction du café des délices.
Nous franchissons certaines ruelles typiques.
Pour découvrir une des vues les plus fantastiques.
Vers le fond de la ruelle, nous apercevons le café des délices.
Un café rendu célèbre par le chanteur Patrick Bruel et sa chanson éponyme.
Nous profitons de cet endroit magique.
Et de cette vue…
…dont nous ne nous lassons pas.
Nous découvrons un faucon dressé qui se pose sur notre épaule. Ce dernier repart aussitôt.
Route vers Carthage
Nous reprenons la route en direction de la ville de Carthage.
Carthage est une ville particulière, puisqu’une dizaine de sites sont disséminés un peu partout dans la ville. Nous en visiterons les plus représentatifs.
Carthage
les ruines puniques
Le premier site visité contient les ruines puniques. L’entrée de dix euros permet d’avoir accès à tous les sites. Un droit d’un euros pour prendre des photographies est demandé.
Nous avançons au milieu d’un chemin de terre. Le site est bien entretenu.
Les premières ruines émergent.
Elles deviennent de plus en plus nombreuses.
Le site est merveilleux.
Il est chargé d’histoire.
Il a été laissé tel quel.
Et mérite d’être un peu plus connu.
Un chemin en pierres permet d’avoir accès à des anciennes maisons.
Nous pouvons y pénétrer à l’intérieur.
Les colonnes en marbre y sont merveilleusement conservées.
Nous continuons notre visite des lieux.
Nous avons une vue dégagée sur le site.
Nous quittons les ruines puniques.
Nous jetons un dernier regard sur la mosquée qui s’y trouve aux abords.
Nous nous rendons aux thermes d’Antonin en dépassant le palais présidentiel.
Les thermes d’Antonin
Nous présentons le ticket acheté précédemment.
Une allée boisée nous accueille.
En face de nous, un homme armé surveille un accès au palais présidentiel duquel on peut accéder par le site.
Le haut lieu du site se dévoile.
Une étendue chargée d’histoire.
Une ville dans la ville.
Nous découvrons un peu plus en amont, une tombe.
Dont il ne reste que les formes.
Nous découvrons le site de l’extérieur.
Une soirée détente
Nous quittons la ville de Carthage, avant de nous retrouver coincés dans les bouchons. Le soir, nous aspirons à un repos bien mérité.
Le lendemain matin, nous avons choisi un guide formidable : Salem Daknou, joignable au 00 216 92 16 29 35, qui pour la somme de 15 euros entraînera le visiteur dans les lieux les plus chargés d’histoire du pays. Il se trouve à l’intérieur du hall de l’hôtel Taj Sultan.
Nabeul
Accompagnés de notre guide, nous nous dirigeons vers la ville de Nabeul. Dés l’entrée de la ville ,nous croisons un peu partout, des magasins de poteries.
Il faut dire que la pierre est la spécialité de la ville, ainsi que les oranges.
Le guide nous amène vers la zone artisanale.
Nous dépassons le centre ville. Nous garons notre véhicule.
Nous arrivons dans un endroit qui ne paye pas de mine.
Mais, à l’intérieur, nous faisons connaissance avec un maître potier.
Qui enchaîne les pièces à une vitesse impressionnante.
Des pièces travaillées avec soin.
Un de ses collègues est spécialisé dans les poteries cylindriques.
Les poteries sont ensuite chauffées à haute température pour durcir.
Sans quitter la région de Nabeul, nous nous dirigeons à présent vers un tailleur de pierres.
Dés l’entrée, nous apercevons des pierres taillées avec soin.
L’artisan est à l’œuvre ; il nous transmet son savoir.
Route vers Korbous
Nous prenons à présent la route vers Korbous. Une cinquantaine de kilomètres nous sépare de la ville.
Pour ce faire, nous traversons la campagne tunisienne.
Même les routes secondaires sont de qualités.
Nous faisons une halte dans un petit village.
Nous mangeons des oranges fraîchement cueillies. L’agriculture est la ressource principale de la région. Certaines maisons colorées attirent notre attention.
Nous continuons notre avancée. La route devient épuisante. Un troupeau égaye notre vision.
Ainsi que la présence de son berger. Nous mangeons des figues de barbarie ; nous apprenons que ces fruits proviennent de certains cactus.
Nous prenons le thé dans un autre village.
Nous tournons à gauche.
Nous pénétrons dans la région de Korbous, célèbre en Tunisie du Nord. La région est vallonnée. Très rapidement, à l’approche de la côte, nous grimpons dans les hauteurs.
La vue sur la Méditerranée dans cette partie de la Tunisie du Nord y est d’une beauté rare.
Nous continuons notre route.
La température extérieure est de 25 degrés en ce mois de décembre.
Korbous
Nous garons notre véhicule.
Nous descendons vers la source d’eau chaude de la ville.
Une source de 60 degrés qui s’écoule dans la mer.
Une fumée chaude recouvre l’endroit.
De tout le pays, les gens arrivent en masse.
Certains, pour se baigner.
L’eau de la mer est à dix degrés.
Mais, la source permet d’y entrer.
Les plus frileux restent en hauteur, trempant leurs pieds dans un seau rempli d’eau chaude.
Ou en profitant simplement de cette étuve naturelle.
L’endroit est typique.
Face à un petit nain, un jeun homme se sèche.
Nous nous aventurons plus en contrebas.
Devant l’appel de cette mer, nous ne résistons pas.
Un homme me prête une serviette.
Je me lance.
L’eau un peu froide par endroit, surtout à cette période en Tunisie du Nord, un peu trop chaude à d’autres reste néanmoins agréable. Après une bonne baignade, nous nous rendons au restaurant qui se trouve à côté.
La nourriture est bonne, mais les prix y sont exorbitants.
Nous profitons tout de même d’un agréable moment avec notre guide, d’une gentillesse exacerbée.
Qui plus est, avec une vue formidable.
Route vers les grottes Al Haouaria
Nous nous dirigeons ensuite vers les grottes Al Haouaria. Une trentaine de kilomètres nous sépare des grottes. Nous traversons la campagne tunisienne. Nous nous dirigeons vers le Nord.
Nous traversons un village. La cohue des taxis freine notre avancée.
Les villes en Tunisie du Nord comportent majoritairement sur les façades des maisons, la couleur blanche afin de ne pas attirer le soleil.
La sécurité sur certaines camionnettes n’est pas le point fort des conducteurs.
Nous arrivons à nouveau aux abords de la mer. Nous nous dirigeons vers les grottes Al Haouaria.
Malheureusement, une grève en a fermé l’accès.
Nous essayons de contourner l’entrée.
Les grottes Al Haouaria
Un bateau échoué depuis fort longtemps a le mat dressé vers le ciel.
Alors que nous sommes en train de nous diriger vers les grottes, un gardien nous en bloque l’accès ; il ne veut rien savoir. Ce n’est qu’après l’intervention du restaurateur qu’il accepte de tourner le regard.
Nous sommes seuls sur le site.
Par ailleurs, les grottes viennent de rouvrir au public ; elles ont été fermées de longs mois, après qu’un touriste allemand a reçu une pierre sur le crâne.
Il n’en est pas mort, mais par souci de sécurité, les lieux ont été réaménagés.
Nous avons la chance de les découvrir tranquillement.
Nous retournons à la voiture chercher notre caméra.
Nous retournons ensuite aux grottes.
Elles font face à la mer.
Elles comportent de larges falaises abruptes.
Un vent marin souffle.
Absorbant le vent comme des caisses de résonnances, les grottes l’amplifient.
Nous atteignons une arche naturelle.
Et découvrons les inscriptions sur les pierres.
Nous ne pouvons aller plus loin.
Nous devons les admirer de l’extérieur.
Nous sommes sûrs qu’il existe une entrée qui permet d’avoir accès à l’intérieur. Mais de l’avis du gardien, cette entrée est une légende.
Kerkouane
Nous nous dirigeons à présent vers le site de Kerkouane. Ce dernier se situe à une dizaine de kilomètres.
Un panneau nous en indique l’accès.
Nous payons la somme de quatre euros par personne et un euro pour avoir le droit de prendre des photographies.
Nous découvrons un site archéologique qui se situe face à la mer.
Le site est bien entretenu. Et il est désert. Nous avançons dans les dédales de ruines.
Les murs des anciennes habitations en démontrent l’immensité.
Le site face à la mer est réellement particulier.
Il symbolise un véritable pan de l’histoire de la Tunisie.
Les constructions étaient côte à côte.
Certaines maisons possédaient un jardin.
Le fait qu’il soit désert donne à l’endroit un côté mystérieux.
Les rayons du soleil caressent les pierres.
Certaines colonnes datent de plusieurs siècles.
A travers sa vue d’ensemble, le site est encore plus intéressant. Surtout quand les vagues de la mer bercent nos oreilles. Certaines pierres sont érodées.
Une photo souvenir est nécessaire.
Nous apprenons en découvrant les panneaux indicateurs.
Nous reprenons la route en direction de Kelibia.
Kelibia
Encore une vingtaine de kilomètres à effectuer en voiture. Nous arrivons dans la ville en une dizaine de minutes. La ville ne présente pas d’attrait particulier.
Mis à part son port vers lequel nous nous rendons.
Nous découvrons la place centrale de la ville. Et longeons des habitations.
Nous pénétrons dans le port, un port important en Tunisie du Nord. Des dizaines de pêcheurs s’affairent sur leur bateau. Le port est important pour la ville.
Il permet aux habitants d’avoir un travail.
Certains pêcheurs guident les gros bateaux.
Une nuée d’oiseaux survolent ce domaine familier.
Des pêcheurs sont assis.
D’autres préparent le matériel qu’ils utiliseront plus tard.
Il s’agit de pêcheurs qui attendent l’embarquement et qui pêchent en Tunisie du Nord.
Le port est surplombé par le château fort.
Nous découvrons le dressage du filet.
Nous sommes bien accueillis par les pêcheurs qui n’hésitent pas à nous expliquer leur travail.
Nous rentrons ensuite à l’hôtel ; en ce jour de Noël, une tente a été dressée avec une crèche vivante.
Farniente à l’hôtel
Le lendemain matin, nous décidons de rester à l’hôtel ; nous faisons connaissance avec les animateurs. Puis, nous rejoignons à pied le centre ville d’Hammamet Yasmine.
De la plage, nous apercevons les hautes tours d’appartements.
La plage est calme.
L’endroit est agréable. Surtout au milieu des barques disséminées sur les berges de cette région de Tunisie du Nord.
Nous visitons ensuite le port de la ville.
De beaux bateaux stationnent ici à l’année.
Nous profitons de ce spectacle avant de retourner à l’hôtel.
Nous profitons un peu des attractions mises à disposition des voyageurs. Ici, un stand de crêpes.
Le soir, nous arpentons le centre ville et dînons dans un restaurant devant lequel, un barbecue traditionnel nous attire.
Nous retournons ensuite à l’hôtel, afin de profiter d’une animation de fakir.
Route vers Kairouan
Le lendemain matin, nous prenons la direction de la ville de Kairouan.
Nous nous perdons et devons faire demi-tour.
Kairouan
Il nous faut bien deux heures pour nous rendre dans la ville sainte. La route est un peu moins bonne que dans le Nord de la Tunisie. Sur les côtés, des cactus. Nous nous approchons de la ville de Kairouan……nous l’atteignons enfin.
Nous dépassons le premier rond-point. Une grande avenue nous accueille.
La ville est renommée dans tout le pays. Les bâtiments sont bien entretenus. Nous nous dirigeons vers la médina. Nous en apercevons les fortifications. Nous les longeons.
Nous nous garons devant l’entrée principale.
Un gardien nous guide pour quelques dinars.
Nous pénétrons dans la ville. Les ruelles sont anciennes.
Certaines façades sont délabrées, ce qui donne un charme naturel à l’endroit.
Nous visitons un métier à tisser.
Nous avançons dans les dédales de ruelles.
Nous nous approchons de la mosquée des trois portes.
Devant chaque monument, un panneau indicateur renseigne le visiteur.
La ville comprend plus d’une centaine de mosquées.
Elles sont reconnaissables avec leurs portes d’entrée.
L’endroit est désert.
Le guide qui nous accompagne nous conte l’histoire de la ville.
Ici, tout se découvre : aussi bien le sol que les airs. Certains bâtiments ont été rénovés. Surtout, ceux qui se trouvent prés de la grande mosquée de la ville.
Cette mosquée est l’un des lieux saints de l’Islam.
Le complexe de la mosquée est immense.
Les rues enjolivent l’endroit.
Nous pénétrons à l’intérieur de la mosquée.
Sur le sol, un récupérateur d’eau.
L’intérieur de la mosquée est orné de beaux tapis.
Les gravures s’étendent jusqu’aux plafonds.
Les matériaux ont été choisis avec soin.
Chaque tapis est luxueux.
Rien n’est trop beau pour les fidèles.
Les habitants sont fiers de leur ville ; ils le peuvent.
La cour principale est immense.
Nous apercevons le minaret, qui semble fendre le ciel.
Nous continuons notre visite. Nous nous sentons bien en cet endroit saint.
Nous quittons à présent la mosquée.
Et retournons à notre véhicule.
Nous découvrons de belles maisons.
Nous reprenons la route en direction de la ville de El Jem. Une soixantaine de kilomètres nous sépare de la ville.
El Jem
Et encore la campagne. Avant d’apercevoir au loin le Colysée, qui surplombe la ville. Nous arrivons enfin dans la ville de El Jem.
Le Colysée, un des plus grands au monde se voit de loin.
Il suffit simplement de le suivre.
L’amphithéâtre ressemble à s’y méprendre à celui de Rome.
Il est admirablement conservé. Nous stationnons notre véhicule.
Nous regardons le Colysée de loin.
Nous en profitons pour visiter un peu la ville.
Mais, nous préférons écourter cette visite pour en découvrir son monument le plus représentatif.
Nous payons une dizaine d’euros pour pénétrer à l’intérieur.
Nous avançons les yeux rivés vers les plafonds.
Nous prenons un peu de hauteur.
Nous découvrons le hall central.
De hauts gradins accueillaient la population.
Une grille couvre le sous-sol, là où les gladiateurs se préparaient avant d’entrer en scène.
Le symbole de la puissance de l’Empire romain.
Les pierres sont d’origine.
Le bâtiment est tel qu’il était, il y a deux mille ans.
Nous pouvons entendre les supplices de ces gladiateurs mis à mort.
Sur le simple vindicte populaire.
Jules césar proclamait que le population réclamait du pain et des jeux.
Pas si différent de notre époque contemporaine.
Le pouce levé en l’air en moins.
Nous quittons la place centrale.
Nous faisons le tour du Colysée.
Route vers Monastir
Nous reprenons la route en direction de la ville de Monastir.
Une soixantaine de kilomètres nous sépare de cette ville touristique.
La route est rectiligne.
Nous nous arrêtons dans une petite ville.
Nous en découvrons le marché.
Nous achetons quelques produits locaux.
Nous continuons notre route.
Monastir
Nous pénétrons dans la ville.
L’extérieur de la ville est peu intéressant.
De grandes avenues permettent d’avoir accès à la ville.
Nous contournons un rond-point.
Une belle place se trouve sur notre gauche.
Nous continuons notre route en direction du cimetière. Nous dépassons la médina.
Et contournons le mausolée de Bourguiba.
Nous stationnons devant le château fort de la ville. Les rayons du soleil caressent notre peau. Le bâtiment est en réfection.
De là où nous nous trouvons, nous avons une belle vue sur le port.
Ainsi que sur le front de mer.
Le vent marin balaie nos cheveux.
Nous nous dirigeons vers le mausolée de Bourguiba.
Le mausolée se trouve à côté du cimetière de la ville.
Les tombes se dressent à perte de vue.
Nous retournons à notre véhicule.
Quelques mètres sont à faire pour rejoindre le mausolée.
Le mausolée comporte les tombes de la famille du premier président de la Tunisie.
Ce dernier est très respecté pour ce qu’il a apporté au pays.
Deux tourelles percent le ciel.
Avec les rayons du soleil qui le caressent, l’endroit semble bien mystique. La tombe de l’ancien président se trouve en son centre. L’endroit est luxueux.
Il est tout de marbre vêtu.
De haut, le tombeau semble encore plus solennel.
Une autre pièce est dédiée à l’entretien de sa mémoire.
Un lustre en cristal renforce le caractère grandiloquent de l’endroit.
Route vers Sousse
Nous reprenons la route en direction de la ville de Sousse.
Et ce, après avoir découvert la médina de la ville.
Nous quittons la médina.
Nous repassons par la porte principale.
Nous refusons les propositions de dizaines de chauffeurs de taxi.
Sousse
Nous pénétrons dans la ville de Sousse, une grande ville de la Tunisie du Nord.
Ou du moins, dans sa périphérie.
La ville est une station balnéaire réputée.
Malheureusement, nous lui trouvons un charme moindre face à sa sœur Monastir.
Nous nous dirigeons vers le port de la ville. Nous en arpentons les berges.
Quelques gros tankers s’y trouvent.
Ils stationnent, remplis de containers qui proviennent du monde entier. De l’autre côté du port, en direction de la ville, de gros bateaux touristiques.
Nous nous dirigeons dans la médina.
Circonscrite par de hautes fortifications.
Nous pénétrons à l’intérieur.
Le souk est moins traditionnel que dans les autres villes de la Tunisie.
Le souk comprend surtout des magasins de vêtements. Ainsi que quelques stands alimentaires.
Nous visitons les halls aux produits frais.
Nous arrivons au fond du souk.
Nous retournons au port.
De grands bateaux touristiques restent à quai faute de touristes. Ils ressemblent aux voiliers d’antan.
Nous ne nous lassons pas du spectacle de ces géants des mer.
Stationnés à quai comme de vulgaires barques.
La Tunisie possède de véritables trésors. Ces trésors sont pourtant méconnus, à cause d’une mauvaise communication.
Alors, que le pays mérite beaucoup mieux que ces touristes qui ne sortent pas des hôtels, profitant d’une pension complète qui ne permet pas aux habitants des villages voisins de profiter de cette manne financière.
Le retour à Hammamet
Nous retournons dans la ville d’Hammamet Yasmine.
Nous mettons plus d’une heure à traverser la ville de Sousse.
Le soleil commence à se coucher.Nous empruntons l’autoroute. Nous payons quelques dinars pour passer le péage.
Le lendemain matin, nous profitons de ces jours de détente qui nous restent.
Le quad
Nous nous rendons au centre ville afin d’acheter des tickets de quad. Nous ne les prenons pas à l’hôtel, pour une raison de coût. 15 euros à l’extérieur, 50 euros dans le hall de l’hôtel.
Un minibus nous conduit à l’extérieur de la ville.
Une vingtaine de minutes de bus nous conduit à la destination finale.
Nous découvrons toute une série de quad de bonnes qualités.
Le propriétaire, un homme bourru au grand cœur : Nabil Chapuch peut se joindre directement, ce qui fera économiser une jolie somme, en évitant les intermédiaires. L’homme se joint au 00216 22194649.
Après une balade douce, nous arrivons dans la campagne tunisienne.
Nabil nous conduit dans un endroit surprenant en Tunisie du Nord.
Des chars de la seconde mondiale y pourrissent lentement.
Ou du moins, s’oxydent.
Nous grimpons sur ces monstres de fer. Nous pénétrons dans un de ces monstres figés. Nous accélérons le mouvement et nous nous arrêtons dans un café.
Deux hommes y fument la chicha.
Nous retournons au campement.
Détente à Hammamet Yasmine
De retour à Hammamet Yasmine, nous faisons un petit tour de calèche.
Pour la somme modique de cinq euros. Nous découvrons en profondeur la ville.
Nous nous rendons ensuite dans un des parcs d’attraction de la municipalité, un des plus grands de Tunisie du Nord.
Il s’agit de Carthage land, dont l’entrée coûte une dizaine d’euros.
Fin du voyage
Le lendemain après-midi, un bus nous conduit à l’aéroport de Tunis.
L’aéroport de Tunis
Nous procédons à l’enregistrement.
A l’extérieur, une foule compacte acclame un chanteur d’une émission de téléréalité.
Nous passons le poste d’immigration en payant une taxe de sortie de treize euros obligatoire, qui peut s’acheter dans les halls d’hôtel.
L’avion de la compagnie Tunis air est en retard. Nous arrivons tout de même sans encombre à Paris après deux heures trente de vol.