En provenance de Chios, en Grèce, nous empruntons un ferry afin de rejoindre Cesme en Turquie avec notre véhicule.

Nous avons réservé un ferry avec la compagnie Turyol ; la traversée dure moins d’une heure et coûte pour trois personnes et un véhicule 180 euros.

Nous approchons des côtes de la Turquie.

Nous débarquons.

Malheureusement, la voiture est au nom de ma femme. Les autorités turques refusent de nous laisser entrer dans le pays avec le véhicule.

Les autorités reprochent au directeur de la compagnie de ferry de nous avoir laissé embarquer avec selon eux les documents administratifs non en règle. Devant le fait accompli, le directeur négocie et nous obtient un sursis ; nous devons récupérer en France, une attestation de ma femme disant qu’elle me prête bien son véhicule et qu’elle m’autorise à entrer en Turquie avec. Cette lettre doit également être certifiée par un notaire, un huissier ou un avocat. Malheureusement, les notaires, huissiers et avocats français contactés refusent de voir l’urgence de la situation, voire même s’en moquent. Certains demandent même des sommes exorbitantes simplement pour la rencontrer sans garantir de leur volonté de certifier la lettre. Des incompétents et escrocs dans toute leur splendeur. Les responsables de la compagnie de ferry nous ouvre la porte de leurs locaux afin que nous puissions régler cette histoire dans des bonnes conditions en disposant du Wifi et de la climatisation.

La température extérieure est de quarante degrés.

En attendant que la situation se règle en France et alors que mon véhicule est bloqué dans le port de Cesme, nous décidons de faire un tour dans la ville afin d’acheter ce dont nous avons besoin pour notre séjour en Turquie.

Nous rejoignons le centre-ville à pied en passant par la marina de la ville.

Nous découvrons un site moderne.

Nous mangeons dans un fast-food.

Nous nous rendons ensuite dans le centre-ville.

Le centre est agréable.

Nous achetons une carte téléphonique.

Puis, nous nous rendons à la poste afin d’acheter une carte nous permettant de prendre les autoroutes turques. Nous payons 10 euros et devons fournir la carte grise du véhicule, le passeport, le permis de conduire et 10 euros.

Nous recevons alors un message de France. La mairie de notre ville a bien voulu nous certifier le document. Sans problème et gratuitement. Nous sommes soulagés de voir qu’en France outre les escrocs nombreux que l’on peut rencontrer chez les notaires et les avocats, la palme revenant aux huissiers, les fonctionnaires des services publics font un travail remarquable pour les concitoyens.

Pour nous dépêcher de retourner au port, nous prenons un taxi que nous payons 4 euros.

Nous récupérons notre véhicule et nous pouvons enfin quitter la ville de Cesme en direction d’Izmir.

Nous faisons le plein de carburant.

Une récompense s’impose pour la patience de l’attente du matin.

Nous faisons une halte rapide dans la ville d’Izmir, puis nous repartons en direction du site archéologique d’Ephèse.

Nous quittons l’autoroute.

Nous entrons dans la ville d’Ephèse.

Nous prenons la direction du site archéologique.

Nous nous garons sur le parking que nous payons 2 euros.

 

L’entrée coûte 5 euros. Mais possibilité est donnée pour les touristes d’acheter une carte qui donne accès à tous les musées du pays au coût de 30 euros.

Nous entrons sur le site.

La température extérieure est de 38 degrés.

Le site est fort intéressant.

Nous rejoignons la porte principale.

Il s’agit du monument phare du site.

Après trois heures passées à déambuler dans le site, nous prenons la route en direction de la ville de Pamukkale.

Le site de Pamukkale se trouve à 200 kilomètres, soit un peu moins de trois heures de route.

Nous traversons une petite ville.

Nous reprenons l’autoroute.

Nous quittons l’autoroute pour emprunter une nationale.

Nous circulons dans la campagne turque.

Le site de Pamukkale se trouve face à nous.

Nous entrons dans la ville de Pamukkale.

La ville comporte de nombreux hôtels.

Nous visitons un hôtel sans prétention ; le propriétaire qui nous arrête sur la route nous demande 30 euros pour la nuit.

Nous préférons rajouter 20 euros et continuer notre chemin pour rejoindre un hôtel 5 étoiles : le Colossae hotel.

L’hôtel se trouve à 5 kilomètres de la ville.

La demi-pension est intégrée à la chambre.

Après avoir bien mangé, nous retournons dans notre chambre.

Le lendemain matin, nous prenons un solide petit-déjeuner.

Nous nous dirigeons vers le site de Pamukkale.

Le site de Pamukkale est en réalité un site dans lequel trois attractions sont proposées : le site archéologique d’Hiérapolis, les piscines de Pamukkale et les thermes. Plusieurs entrées sont possibles. L’entrée la plus adaptée se trouve dans le secteur B, c’est à dire l’entrée qui se trouve un peu plus éloignée de la ville.

L’entrée coûte 10 euros par personne. Nous recevons un plan d’un agent d’accueil.

A l’accueil, de nombreux restaurants attendent de bon matin les touristes.

Nous entrons sur le site.

Le site est tellement grand, que nous décidons de prendre une voiturette de golf afin dans un premier temps de visiter Hiérapolis, la cité antique. Le coût est de dix euros.

Nous commençons notre visite du site.

Nous mettons 15 minutes pour rejoindre la fin du site selon notre entrée.

Nous bénéficions des explications de notre guide.

Nous faisons une halte dans une autre partie du site.

Des jardiniers sont à l’oeuvre pour rendre l’endroit irréprochable.

Nous faisons une halte un peu plus loin.

Le site d’Hiérapolis est un véritable trésor.

Il nous faut dix minutes pour rejoindre l’emplacement du théâtre.

Nous passons près de trente minutes sur place.

Le site s’étend au loin.

Face à nous, le musée.

Nous nous dirigeons à présent vers les piscines.

Nous devons enlever nos chaussures pour arpenter les piscines à pied.

Nous les rejoignons.

Le site est bondé.

L’eau s’écoule par une sorte de tunnel.

Mais contrairement à ce que nous pensions, l’eau n’est pas si chaude.

La vue sur la ville est exceptionnelle.

Nous profitons pleinement de cette découverte.

Nous restons près d’une heure sur place.

Les piscines naturelles s’étendent sur notre gauche ; généralement, il s’agit de la photographie type que les touristes aiment faire sur le site ; nous préférons rester en bas, au coeur des piscines.

Nous rejoignons à pied les piscines antiques ou autrement appelées les thermes dont l’entrée dans l’eau chaude coûte près de dix dollars.

Nous mangeons des spécialités locales.

Nous passons le reste de l’après-midi à nous baigner, même si nous trouvons que le prix demandé est un peu excessif.

Nous quittons ensuite le site pour rejoindre notre hôtel.

Le lendemain matin, nous quittons notre hôtel pour rejoindre le territoire de la Cappadoce. Nous prenons la direction de la ville de Kayseri. Nous faisons cependant une halte afin de prendre un petit-déjeuner local.

La Cappadoce se trouve à 600 kilomètres, soit à peu près 7 heures de route.

Nous suivons tout d’abord la direction de Konya.

La route est longue.

Sur la route, nous faisons une halte chez des agriculteurs qui nous accueillent les bras ouverts.

Ils ramassent des pommes de terre.

Les agriculteurs souhaitent nous offrir un sac de pommes de terre ; nous sommes obligés de refuser, n’ayant pas la possibilité de les faire cuire.

La route est l’occasion de faire des rencontres sympathiques.

Nous faisons une halte dans une station service.

Un thé nous est offert.

Nous reprenons la route. Nous faisons une halte dans un hôtel sans prétention. Le lendemain matin, nous repartons de bonne heure.

Deux manières de visiter la Cappadoce sont possibles : autour de Kaymakli ou dans le parc de Göreme. C’est ce dernier endroit que nous avons choisi.

Nous entrons dans la ville de Nevsehir.

Nous prenons la direction de Göreme.

Nous arrivons dans la ville de Uçhisar.

Nous nous garons sur un parking.

Nous avançons dans les dédales de la cité troglodyte.

La citadelle apparaît sous nos yeux.

Nous nous rendons ensuite dans un café afin de découvrir l’intérieur d’une maison ouverte au public.

Nous pouvons visiter la bâtisse librement.

Nous rejoignons l’extérieur.

Nous buvons un bon thé.

Nous restons plus d’une heure sur place.

Face à nous, une vallée de roches.

Nous prenons la route ensuite en direction de Göreme.

Nous faisons une halte d’une heure sur la route afin d’avoir un beau point de vue sur la région.

Le site est magnifique.

Les maisons troglodytes se comptent par centaines.

Nous avons également une belle vue sur Uçhisar.

Nous continuons notre route.

Nous entrons dans la ville de Göreme.

Nous rejoignons notre hôtel.

La ville de Göreme est le point de chute de tous les touristes souhaitant visiter la Cappadoce.

Nous arrivons au Tourist hôtel, un hôtel quatre étoiles que nous avons réservé pour deux jours pour la somme de vingt euros par nuit. A la réception, l’hôtesse d’accueil nous apprend qu’il y a eu une erreur lors de la réservation sur un site concurrent de Booking.com, le site sur lequel nous réservons habituellement, étant donné qu’il a été déclaré dans tout le pays illégitime et ne fonctionne plus. Le nouveau site de réservation que nous avons utilisé nous a donné un tarif de 20 euros par nuit, alors qu’il était trois fois plsu important ; l’erreur n’étant pas de notre fait, nous bénéficierons de ce tarif.

Nous passerons le reste de la journée dans la ville de Göreme.

Nous nous rendons dans le centre ville.

Göreme est une ville agréable.

Sa partie moderne s’est construite au coeur des maisons troglodytes.

Nous nous rendons dans le coeur de la ville.

Les bars sont nombreux.

Nous nous rendons ensuite dans un restaurant.

Tard dans la nuit, nous retournons à notre hôtel.

Le lendemain matin, nous prenons un petit-déjeuner complet.

Nous retournons dans la ville d’Uçhisar.

Nous nous rendons dans la ville de Cavusin.

Nous découvrons tout d’abord l’église de la ville.

Nous effectuons une petite balade aux alentours.

Nous prenons ensuite la route vers le coeur de la ville.

Nous pénétrons dans le centre historique.

Il nous faut rejoindre les hauteurs de la ville.

Le chemin est escarpé.

La vue est dégagée.

Nous pénétrons dans une ancienne église troglodyte.

Un habitant a insisté pour nous accompagner et nous servir de guide.

L’église comporte de nombreuses gravures.

En redescendant, nous faisons une halte dans un petit magasin.

Nous nous rendons en fin d’après-midi dans la ville de Pasa bagi.

Nous nous arrêtons dans un restaurant afin de manger un morceau.

Nous arpentons la cité troglodyte qui regroupe chaque jours des mariés qui aiment s’y faire photographier.

Nous approchons les formations rocheuses de près.

Nous croisons un jeune couple fraîchement marié.

Nous continuons notre découverte des lieux.

Le lendemain matin, après une bonne nuit à notre hôtel, nous prenons la route vers la ville de Bayburt qui se trouve à 1200 kilomètres. 12 heures sont nécessaires pour nous rendre sur place.

Nous faisons une halte dans un restaurant de viande qui se trouve sur le bord de la route.

Mais les prix étant trop élevés, nous nous rabattons sur un autre restaurant.

Nous quittons l’autoroute. Mais, nous circulons sur une belle route nationale, gratuite. La seule différence avec les autoroutes est la limitation de vitesse qui est beaucoup plus faible. C’est d’ailleurs cette même limitation qui entraînera un excès de vitesse de notre part, synonyme d’une amende de 45 euros pour 30 km/h au-dessus de la vitesse autorisée, sans compter les nombreux radars automatiques présents sur les routes aux abords des villes que nous traverserons.

La route est longue.

Nous faisons une halte dans une station service.

Nous traversons les paysages montagneux de l’Anatolie.

Nous prenons la route de la ville d’Erzincan.

Les kilomètres défilent.

A plusieurs reprises, nous sommes détournés par des routes secondaires.

Ce qui nous donne l’occasion de découvrir un peu plus en profondeur les paysages de la Turquie profonde.

Nous trouvons une chambre dans une guest-house locale ; le lendemain matin, nous reprenons la route.

Afin de faire ralentir les voitures, de nombreuses fausses voitures de police et de gendarmerie sont présentes sur le bord des routes.

Nous entrons finalement dans la ville de Bayburt après deux jours de route.

Malheureusement, en entrant dans la ville, nous ne voyons pas sur la route nouvellement construire une grosse pierre oubliée par les ouvriers. Nous explosons le pneu.

Nous arrêtons un chauffeur de taxi qui fait appel à un de ses amis. Alors qu’il a un client dans sa voiture, il nous aide à changer la roue, le temps que son ami arrive sur place.

Nous suivons son ami jusqu’à son garage.

Nous achetons deux pneus au prix unitaire de 45 euros.

Son ami, généreusement, nous conseille un des meilleurs restaurants traditionnels de la ville. Il nous accompagne.

Nous entrons dans le restaurant Sebat au coeur du centre ville.

Les plats arrivent et quel régal.

Le soir, nous découvrons une partie de la ville.

Nous sommes cependant si épuisés que nous rejoignons notre hôtel : le Buyuk hôtel, un hôtel trois étoiles pour un coût de 40 euros la nuit.

Nous embrassons notre sauveur qui nous a accompagné jusqu’à la porte de notre chambre puis nous allons nous coucher.

L’hôtel nous fait cependant porter des fruits pour nous remercier de séjourner dans l’établissement.

Le lendemain matin, nous prenons notre petit-déjeuner.

Nous visitons ensuite la ville.

Bayburt est une ville peu touristique ; pourtant elle possède de nombreuses attractions.

Après une heure de visite, nous quittons la ville.

Nous prenons la route vers la ville de Trabzon.

Nous quittons à un moment la route nationale pour rejoindre une route du réseau secondaire.

Nous pénétrons dans un paysage montagneux.

Puis nous empruntons une route dangereuse et en mauvais état, une sorte de route de montagne en piste.

Nous croisons de nombreux apiculteurs.

La route est dangereuse ; elle passe aux côtés de ravins sans barrière de protection.

Nous faisons une halte afin de parcourir un peu les environs.

Nous parvenons après deux heures de route à retrouver une chaussée goudronnée.

Le paysage est néanmoins splendide.

Nous faisons une halte dans une petite ville.

Nous mangeons dans une boulangerie locale.

Nous reprenons la route.

Nous rejoignons la route côtière de l’extrême Nord du pays.

Nous prenons la direction de la Géorgie.

La route est de bonne qualité.

Nous nous rapprochons de la frontière géorgienne.

Nous empruntons un dernier tunnel.

Nous arrivons à la frontière de Sarpi et nous apprenons qu’il y a approximativement 6 heures d’attente. Nous ne savons pas où nous placer. C’est alors qu’un membre de notre groupe saigne du nez à force d’attendre en plein soleil. Un homme nous conseille de doubler la file, ce que nous faisons ; le policier qui nous voit ne veut rien savoir et nous demande de nous mettre à la toute fin de la file, sans prendre en compte notre attente. C’est alors qu’un de ses chefs en nous voyant intervient. Il nous autorise à nous garer aux abords du poste frontière. Il fait également appel à une ambulance, qui une fois sur place souhaite nous emmener à l’hôpital ; nous refusons, estimant qu’un peu d’eau sera nécessaire pour arrêter un saignement de nez.

Les ambulanciers effectuent un compte rendu de la situation ; le chef nous autorise à franchir la frontière.

Nous quittons la Turquie pour rejoindre la Géorgie.

Près d’un mois plus tard, nous retournons en Turquie par le poste frontière avec la Géorgie. Nous empruntons cette fois-ci le poste frontière de Türkgözü dans le parc Posof Mesire Alani.

Dix minutes sont suffisantes pour passer le poste frontière ; nous sommes cependant ralentis car la douanière remarque que la carte grise du véhicule appartient à ma femme ; je lui présente le papier certifié par la mairie présenté lorsque nous sommes entrés en Turquie par la ville de Cesme ; elle le regarde et elle se demande comment se fait-il que nous ayons été accepté ; mais devant notre obligation de retourner en France, elle accepte de nous laisser passer.

Nous prenons la direction de la ville de Posof.

Nous prenons la route pour nous diriger vers la ville d’Istanbul. Près de 2 jours de route sont nécessaires.

Nous traversons la ville de Posof.

Nous prenons la direction de la ville d’Erzincan.

Nous nous trouvons encore une fois en plein coeur de l’Anatolie.

La route est longue.

Nous traversons les montagnes turques.

Nous faisons une halte dans une petite ville.

Nous repartons ensuite.

Après deux heures de route, nous nous arrêtons à nouveau afin de nous dégourdir les jambes.

Nous reprenons la route.

En fin de soirée, nous mangeons dans un restaurant local.

Le soleil es ten train de se coucher ; nous devons accélérer pour rejoindre Erzincan avant la tombée de la nuit.

Nous atteignons enfin Erzincan.

Pour 50 euros, nous dormons à l’hôtel Hilton Garden.

Le lendemain matin, après une bonne nuit de sommeil, nous prenons un bon petit-déjeuner.

Nous décidons de visiter la ville d’Erzincan.

La ville est peu touristique.

Après une heure de visite, nous quittons la ville.

Nous retrouvons la solitude des routes turques.

Nous prenons la direction d’Asmaya.

Nous faisons le plein de carburant dans une station service.

Nous repartons.

Après trois cents kilomètres, nous faisons un arrêt dans un restaurant afin de manger un morceau.

Nous nous engouffrons à présent sur la route qui nous mène à Ankara.

Nous refaisons le plein d’essence.

A partir d’Ankara, nous retrouvons l’autoroute.

Un arrêt s’impose.

L’autoroute étant en travaux, nous sommes malheureusement détournés par une route du réseau secondaire.

Plusieurs heures plus tard, nous parvenons jusqu’à la périphérie d’Istanbul.

Nous prenons la direction de la ville de Pendik.

Nous découvrons la mer de Marmara.

Nous assistons ainsi à un beau coucher de soleil.

De nombreux pêcheurs tentent leur chance.

Une femme et son mari nous invitent à partager leur barbecue.

Nous ne voulons pas les déranger et déclinons leur invitation.

Nous réservons un hôtel quatre étoiles pour la somme de 40 euros la nuitée.

A pied, nous rejoignons un restaurant traditionnel. Nous sommes autorisés à le visiter.

Les plats s’enchaînent.

Nous effectuons ensuite quelques achats.

Le lendemain matin, après un petit-déjeuner, nous prenons la route en direction d’Istanbul.

Il y a une possibilité de prendre un tunnel qui traverse la mer et nous emmène directement au centre de la ville, mais nous préférons prendre la route normale qui nous permet de traverser le Bosphore et ainsi quitter symboliquement la rive asiatique pour retrouver la rive européenne.

Il faut bien trente minutes sans embouteillage pour rejoindre le pont.

Nous empruntons enfin le pont.

Nous arrivons sur la rive européenne.

Nous prenons la direction du centre de la ville.

Nous avons la chance de ne pas subir d’embouteillages.

Notre premier arrêt concerne le Galata bridge qui permet de rejoindre le vieux Istanbul.

Notre vue est sublime sur le Bosphore.

Le pont est célèbre pour ses pêcheurs qui se regroupent en masse.

Nous passons un agréable moment.

Nous prenons ensuite la route vers le vieux Istanbul pour rejoindre le Grand Bazar.

Le secteur est embouteillé.

Fort heureusement, des placiers nous trouvent un stationnement.

Nous pouvons arpenter les rues du vieux Istanbul.

Le quartier est très animé.

Les vêtements proposés sont peu chers.

Nous nous dirigeons vers les abords du Grand Bazar.

Nous pouvons ainsi faire de bonnes affaires.

Nous entrons dans le Grand Bazar.

Il s’agit d’une ville dans la ville.

A chaque allée, ses vendeurs spécialisés.

Nous arpentons les allées des vendeurs d’épice.

Nous faisons des rencontres sympathiques.

Nous continuons notre découverte des lieux.

Nous quittons le Grand Bazar.

Nous mangeons un sandwich.

Nous prenons la route vers le secteur de Sultanahmet.

Nous quittons le vieux Istanbul. Nous nous garons rapidement pour découvrir le bazar aux épices.

Nous reprenons la route.

Nous longeons les remparts de Constantinople.

Nous prenons la sortie de Sultanahmet.

Nous parvenons à garer notre véhicule sur un parking privé.

Nous entrons dans le bazar Arasta.

Le bazar est moderne ; il est plus fait pour les touristes que pour les locaux.

Nous rejoignons la place centrale.

Nous nous rendons dans la mosquée bleue.

L’entrée est gratuite.

Nous nous rendons ensuite vers la mosquée Sainte Sophie.

La mosquée est majestueuse.

Nous nous rendons ensuite dans les réservoirs de Constantinople ; l’entrée coûte quelques euros.

Nous arpentons les rues du centre.

Un vendeur nous propose pour une dizaine d’euros un tour sur le Bosphore. Nous acceptons.

Nous avons ainsi un point de vue différent de la ville.

Nous retournons aux abords de la mosquée bleue afin de manger un morceau.

Il est temps pour nous de quitter Istanbul.

Nous prenons la direction de la Bulgarie.

Une dernière autoroute.

Nous nous dirigeons vers le poste frontière Aziziye.

Nous apprenons qu’il y a près de dix heures d’attente ; nous patientons deux heures ; seules deux voitures passent.

C’est alors que ma fille saigne à nouveau du nez à force d’attendre en plein soleil. Nous nous rendons à pied au poste frontière pour demander un peu d’eau ; le chef des policiers nous exhorte à venir avec notre voiture ; nous entrons dans le poste frontière ; c’est alors que les conducteurs tentent de s’engouffrer dans le poste ; une bagarre générale éclate ; les militaires sont appelés en renfort ; tous les conducteurs sont expulsés du poste frontière ; nous sommes autorisés à présenter nos papiers. Nous sommes soulagés.

Nous quittons ainsi la Turquie.