En provenance de Sydney, nous nous trouvons à bord d’un avion en direction du Vanuatu.
L’avion a plus de 2 heures de retard ; le vol doit normalement durer 3 heures et il coûte 300 euros.
Nous atterrissons tard dans la nuit à l’aéroport de Port Vila.
En tant que Français, nous obtenons un visa gratuitement sur présentation d’un billet retour qu’on ne nous demandera pas.
Nous récupérons nos bagages et passons les fouilles des douaniers.
A l’extérieur, étant donné qu’il fait nuit noire, nous prenons un chauffeur de taxi qui nous conduit pour 10 euros jusqu’à notre hôtel.
Nous arrivons tard dans la nuit à notre hôtel : le Waimelmelo guest house ; l’hôtel de basse facture coûte 35 euros la nuit.
Le lendemain matin, nous nous dirigeons vers l’aéroport.
Nous retournons sur la route principale.
La gérante de l’hôtel qui nous a accompagné arrête un bus qui nous conduira à l’aéroport pour 2 euros.
Les bus conduits jour et nuit appartiennent à des particuliers ; il n’y a pas de transports officiels sur l’île.
Plusieurs jours plus tard, nous rentrons de l’île de Tanna.
Dans l’aéroport domestique, nous avons loué pour 40 euros la journée, une voiture. La compagnie s’appelle Discount rentals ; elle est joignable au 23242 ou au 28037.
Nous nous dirigeons vers les cascades mêlées, les plus belles cascades de l’île.
Nous dépassons quelques petits villages.
Nous arrivons sur le site des cascades.
Nous payons la somme de 20 euros et pénétrons à l’intérieur.
Il nous faut marcher plusieurs minutes pour rejoindre le point le plus en hauteur.
Le décor est sublime.
Les fleurs donnent un côté reposant à l’endroit.
Plusieurs petites cascades se trouvent le long du chemin.
Nous traversons un petit parc.
Nous devons retirer nos chaussures pour traverser la rivière.
Puis, une autre.
Les cascades deviennent plus nombreuses, plus rapides.
Nous traversons une sorte de vestiaire.
Nous arrivons au point le plus éloigné des cascades.
Nous avons une vue d’ensemble.
Les cascades méritent le détour.
De nombreux voyageurs s’y baignent.
L’eau semble nous attirer.
Nous nous baignons.
L’entrée peut paraître excessive, mais le site est un atout indéniable de l’île.
Nous faisons la connaissance de Do, une jeune sud-coréenne avec qui nous sympathisons ; cette dernière nous invite à partager la table qu’elle a réservée afin d’assister à un show prisé par les voyageurs. Nous acceptons et la suivons jusqu’au Beach bar.
Nous commandons une pizza.
Le spectacle est un spectacle de feu.
Pendant prés d’une heure, les flammes se trouvent au coeur du show.
Les artistes maîtrisent leur art.
Ils alternent les différentes figures sans en louper une.
Nous embrassons notre hôte afin de la saluer et nous nous dirigeons vers un restaurant huppé de la ville ; nous avons rendez-vous avec le responsable de l’office de tourisme du pays. L’homme, d’une gentillesse sans égal nous présentera Sébastien, un jeune guide travaillant avec lui, qui nous aidera à découvrir, dés le lendemain, ce pays merveilleux.
Le soir, nous ne retrouvons plus la route ; il est déjà tard. Nous demandons à un bus de nous conduire à notre hôtel : le chauffeur accepte, mais nous précise qu’il doit d’abord terminer sa tournée ; c’est alors que deux personnes descendent du bus et alors qu’elles devaient se rendre dans la direction opposée, grimpent dans notre voiture pour nous conduire à l’endroit où nous devons nous rendre. Arrivées sur place, les deux personnes nous saluent et repartent dans la nuit ; nous les arrêtons pour leur donner un peu d’argent ou pour leur payer le taxi ; elles refusent. En allant nous coucher, nous nous questionnons sur le vrai rapport de la vie que nous entretenons dans nos sociétés occidentales et sur le fait de savoir si nous aurions fait de même. Ne pas avoir de réponse à cette question m’a mis profondément mal à l’aise.
Le lendemain matin, suite aux routes assez abîmées de l’île, nous remarquons que notre pneu est crevé ; un homme qui nous regarde faire s’approche et nous aide, gratuitement, bénévolement ; décidément, nous avons beaucoup à apprendre de ce pays et de ses habitants.
Nous nous rendons dans un garage où notre pneu est réparé pour 5 euros.
Nous nous dirigeons vers la capitale du pays : Port Vila.
Nous découvrons les rues de cette ville assez étendue.
Nous nous dirigeons chez Sébastien qui sera notre guide jusqu’à la fin de notre voyage.
Une fois Sébastien récupéré, ensemble nous nous dirigeons vers le coeur de la ville.
Nous nous garons à côté du marché municipal.
L’entrée dans le marché nous fait découvrir des senteurs parfumées.
Les couleurs sont vives.
Le marché se déroule tous les jours.
Ici, tout se vend.
Les prix sont généralement bas.
Les légumes sont récoltés par de petits agriculteurs.
Nous en arpentons les allées.
Nous nous rendons ensuite dans une pâtisserie afin de petit-déjeuner.
Nous nous rendons ensuite au marché aux fleurs.
Face au marché, la baie de Port Vila ; nous nous rendons sur place afin de réserver une excursion en bateau pour le lendemain.
La baie est magnifique.
Nous retournons à notre véhicule.
Nous reprenons la route en direction d’une petite ville située dans le Nord de l’île.
Nous nous arrêtons dans la ville. Des légumes sont en train de sécher dans un jardin.
Nous visitons l’église et nous nous faisons inviter à partager les joies d’un mariage.
Il s’agit d’un mariage mixte comme il y en a beaucoup sur l’île.
L’animateur met tout en oeuvre pour rendre inoubliable ce jour.
La mariée arrive aux bras de son père.
Le couple s’échange ses consentements.
Nous continuons d’avancer dans le village.
C’est alors que nous découvrons plusieurs femmes préparant la nourriture qui sera servi au banquet faisant suite à la cérémonie de mariage ; les femmes commencent à danser devant nous.
Le moment est unique et très chaleureux.
Elles sont d’une grande gentillesse et nous remercient de les prendre en photo.
Nous continuons notre route en direction du Tanna café.
Il s’agit d’un endroit unique dans le pays.
Les grains de café arrivent de l’île de Tanna.
Tout est préparé manuellement.
Les produits sont exportés dans le monde entier.
Malgré le cyclone qui a ravagé une partie de l’île de Tanna, les habitants ne se laissent pas abattre.
Le bâtiment est traditionnel.
Il faut dire que le café proposé est connu pour sa qualité supérieure.
Le bâtiment se trouve non loin de l’océan.
Le gérant nous invite à boire un café.
Nous sommes impatients.
Il s’agit à ce niveau d’un art.
Nous reprenons notre route.
Il est plus agréable de nous trouver à l’arrière du véhicule afin de profiter du soleil.
Nous grimpons dans les hauteurs de l’île.
Un parc magnifique accueille les visiteurs.
Les senteurs des fleurs embaument le site.
Nous découvrons la flore de l’île.
En redescendant, nous nous arrêtons afin de profiter d’une vue sublime.
Nous ne nous en lassons pas.
Malgré nous, nous reprenons la route.
En chemin en direction de l’embarcation qui nous permettra de nous rendre aux grottes du roi Mata, nous faisons une halte sur une plage magnifique qui comprend un restaurant traditionnel.
Le site est celui sur lequel a été tourné l’émission Koh Lanta saison Vanuatu.
Contrairement à ce que les spectateurs pouvaient penser, les décors ne sont pas toujours situés sur une île déserte.
Juste en face de nous se trouvaient les candidats.
Nous reprenons la route.
Nous nous arrêtons afin de prendre un bateau en direction de l’île qui comprend les grottes du roi Mata, classées aujourd’hui au patrimoine mondial de l’Unesco.
Nous embarquons avec des villageois des alentours.
L’océan n’est pas agité.
La balade est agréable.
Face à nous, l’île au chapeau, interdite d’accès car sacrée.
Nous sympathisons avec les voyageurs.
Nous débarquons sur l’île opposée.
Nous devons continuer à pied.
Nous sommes accompagnés par une villageoise qui s’est gentiment proposée de nous conduire sur le bon chemin.
Nous traversons son village et nous l’abandonnons en la remerciant.
Nous continuons notre avancée.
L’île au chapeau apparaît devant nous.
Nous arrivons aux abords des grottes. Un guide nous attend.
Ainsi qu’un responsable de l’Unesco et la directrice d’Interpol, qui nous regarde interloquée ; situation peu banale de trouver à cet endroit des touristes qui mitraillent le site avec leur appareil à photo.
Nous admirons les grottes de l’extérieur.
Puis nous pénétrons à l’intérieur.
Nous découvrons des inscriptions séculaires.
La grotte est bien conservée.
Nous nous enfonçons à l’intérieur.
Le guide nous donne toutes les explications nécessaires.
Nous retournons sur l’île d’Efaté.
Nous reprenons la route en direction des cascades de Lololima.
Nous traversons un dispensaire.
Nous continuons notre route à travers la campagne.
Nous avons la chance de trouver une porte qui n’est pas fermée à clef.
Ce qui nous donne la possibilité de ne pas avoir besoin de marcher.
Nous traversons une sorte de hameau.
Nous nous garons aux abords des cascades.
L’entrée est gratuite.
Nous descendons.
Le site est splendide.
Nous prenons notre temps pour le découvrir de fond en comble.
Le soleil commence à se coucher ; nous devons repartir.
Nous admirons le coucher de soleil dans les hauteurs de l’île.
Nous nous dirigeons vers le bord de l’océan.
Nous nous arrêtons dans un endroit particulier : une fabrique artisanale de Kava, la boisson locale.
Le Kava est une sorte de plante qui entraîne un bien être.
Le Kava ne contient pas d’alcool ; il est la boissons nationale.
Il est fabriqué à partir d’une plante.
Les racines sont broyées et mélangées à de l’eau.
Le kava est ensuite dégusté autour d’un feu.
La lumière blanche signifie que le bar à Kava est ouvert.
Après avoir ramené Sébastien chez lui, nous allons manger un morceau dans la ville de Port Vila.
Le lendemain, nous payons notre chambre et saluons les propriétaires.
Nous retournons au coeur de la capitale.
Nous prenons un petit déjeuner.
Nous nous rendons ensuite dans la baie de Port Vila afin de profiter de notre excursion en bateau.
Nous pénétrons dans la baie.
La découverte est intéressante.
De gros bateaux de pêcheurs sont présents.
Des villas de luxe sont à louer.
Sébastien, notre guide est un être formidable ; gentil et professionnel, il nous aura permis de profiter pleinement de notre découverte du pays.
Nous sentons un léger vent bercer nos cheveux.
Certains voiliers qui accostent dans la baie sont hors de prix.
Si nous avions le temps, nous n’ hésiterions pas à nous baigner.
Nous découvrons après être rentré au port, dans le coeur de l’île, un monument aux morts.
Sébastien veut nous présenter le premier lagon intérieur.
Ainsi que le deuxième dans lequel un hôtel classé s’est développé.
Le site est relaxant.
Le sable blanc a été transporté puis posé sur le sol.
Nous profitons à notre tour de ce moment de détente.
Les fleurs donnent un côté paradisiaque au site.
Nous nous régalons de ces plaisirs odorants.
…et visuels.
Nous quittons cet endroit à contre coeur.
Nous retournons dans un coin de la capitale que nous n’avions pas visité.
En face de nous, l’ancien palais présidentiel.
Ainsi que le palais du Premier ministre.
Et le palais présidentiel qui est moins grandiloquent que celui de son chef de gouvernement.
Nous rendons notre véhicule.
La gérante en effectue le contrôle visuel basique.
Nous nous rendons ensuite à l’aéroport afin d’embarquer avec la compagnie Air Fiji, pour les Fidjis.
Nous patientons quelques minutes.
Nous sommes appelés à l’embarquement.
Nous grimpons dans l’avion.
L’avion décolle.
Nous quittons un pays magique.