En provenance de Dhaka, nous nous rendons à Chittatong.

Nous traversons nombre de petites villes.

Nous faisons une halte dans un hôtel sans prétention.

 

Le lendemain, nous reprenons la route.

 

Dans les villes, la circulation est dense.

C’est alors que nous croisons trois ladyboys sur un rickshaw ; nous sommes surpris, car le Bangladesh étant un pays musulman, nous pensions que les transsexuels étaient interdits.

 

Nous nous arrêtons pour discuter un peu avec eux ; très souriants, ils nous gratifient d’une petite chanson locale.

Le conducteur accepte ensuite de nous laisser conduire le rickshaw.

Nous repartons ensuite. C’est alors que sur l’autoroute, nous freinons brusquement sous peine d’effectuer une collision avec un éléphant. Nous reculons pour le laisser passer ; nous nous arrêtons non loin de lui ; la scène qui suit est ubuesque, certainement dressé pour cela, l’éléphant nous réclame de l’argent. Nous lui glissons dans la trompe un billet, qu’il jette sur le sol ; en effet, pour le contenter, il en désire deux, que nous lui donnons. L’éléphant barrit de joie.

 

Nous reprenons la route.

Nous arrivons en fin d’après-midi à Khumira town, une petite ville en banlieue de Chittatong.

La ville se trouve dans le golfe du Bengale. Nous découvrons un attroupement : un vendeur de bijoux propose ses biens aux clients, qui en profitent pour écouter des paroles religieuses  dévoilées par une radio ancienne posée sur le sol.

Nous arpentons les allées du petit port de la ville.

Les pêcheurs reviennent de leur journée en haute mer.

 

L’eau s’étant accumulée dans leurs embarcations, ils essayent de la rejeter avec les moyens du bord.

 

Nous prenons part à la vie locale.

Nous offrons à un homme un vieux téléphone que nous avions emmené avec nous de France ; il en a les larmes aux yeux.

Nous entrons tard dans la nuit dans la ville de Chittatong.

Nous rejoignons notre hôtel ; il s’agit d’un hôtel de grande qualité pour la somme modique de 40 dollars la nuitée.

Le lendemain matin, nous nous levons de bonne heure.

Notre guide Russel nous a concocté un programme sur mesure ; pour ce faire, il nous faut prendre un rickshaw.

Nous arrivons au coeur de la ville de Chittatong. Le trajet coûte quelques centimes d’euros.

Nous arpentons les rues de la ville.

 

Nous pénétrons dans le marché aux poissons.

 

Les odeurs sont fortes, mais l’ambiance est unique.

Tous les habitants nous arrêtent pour nous prendre en photo.

   

Nous rejoignons les bas fonds du marché.

Nous croisons une échoppe qui vend des raies tachetées.

 

Après avoir assisté à la découpe des raies, nous prenons un rickshaw pour rejoindre les ateliers de sel, un peu plus au Nord dans la ville.

  

Il nous faut 20 minutes pour les rejoindre.

La ville est très animée ; il faut dire qu’il s’agit de la deuxième ville du pays.

   

Certains immeubles récents côtoient de véritables ruines.

 

Nous arrivons à destination.

   

Nous entrons dans une ruelle.

Notre première visite concerne un atelier artisanal de conditionnement du sel.

    

Plusieurs hommes remplissent à grande vitesse des petits sachets ; le sel est mélangé à une sorte de conservateur.

A l’extérieur, nous découvrons un autre atelier, mais de pesage du sel.

 

Notre troisième arrêt concerne une entreprise de récolte du sel ; le sel déchargé des bateaux est placé dans des sortes de casiers bétonnés et il est mélangé avec de l’eau ; après une sorte de décantation, il est recueilli.

 

Le travail est harassant.

Nous rejoignons ensuite le port qui se situe non loin des ateliers.

Le sel est déchargé par les hommes qui le placent sur des paniers. Ces paniers sont ensuite transportés sur la tête des ouvriers.

Les ouvriers chargent le sel et l’emmènent dans les ateliers afin qu’il soit traité.

Nous retournons en fin d’après-midi vers le centre ville.

 

Après une nuit passé à l’hôtel, le lendemain, nous retrouvons notre chauffeur.

Malheureusement, la voiture ne démarre pas ou très difficilement.

Nous suspectons un problème de batterie.

 

Le chauffeur doit acheter une nouvelle batterie. il doit pour ce faire, négocier avec le propriétaire de la voiture qui donne son accord.

Une fois la batterie changée, nous pouvons repartir en direction de Srimongol.

   

Mais, nous devons en premier rejoindre la ville de Comilla.

 

Il nous faut près de 5 heures pour rejoindre la ville.

  

La circulation est assez fluide.

   

Nous traversons de petites villes.

  

Nous entrons dans la ville de Comilla.

 

Après avoir mangé, nous repartons.

  

Dans les villes, la circulation est dense.

   

Nous quittons le Sud du pays.