En provenance de la Malaisie, nous nous rendons aux Maldives.

Dans l’avion, nous remplissons une carte d’immigration ; Les Maldives étant un état islamique, il ne faut pas emmener avec soi, des objets pornographiques et de l’alcool, entre autres.

Nous atterrissons à Malé, la capitale.

Nous passons rapidement les contrôles de l’immigration ; en tant que Français, le visa n’est pas nécessaire.

Au devant de l’aéroport, des dizaines de stands appartenant aux hôtels de luxe de l’archipel attendent les clients qui ont effectué des réservations.

Alors que nous cherchons des taxis, nous sommes attirés par une musique qui provient de la jetée qui fait face à l’aéroport ; nous assistons à un spectacle de musique.

La plupart des touristes ne verront rien des véritables Maldives ; à peine posé leur pied sur le sol, ils seront transférés par bateau sur l’île de leur resort. Nous avons réservé un hôtel basique sur l’île d’Hulhumale, l’île qui jouxte celle de l’aéroport. Nous pouvons y aller en voiture, mais néanmoins, nous ne trouvons pas de taxi.

Nous nous renseignons. Nous ne trouverons pas de taxi ; nous devons appeler notre hôtel afin qu’un chauffeur privé nous soit envoyé.

En attendant, nous mangeons un morceau ; le prix d’un menu basique dans une enseigne américaine coûte 12 dollars.

Le chauffeur que nous avons fait appeler arrive après 20 minutes.

Nous nous rendons à notre hôtel que nous avons payé 40 dollars la nuit ; mais avec les taxes diverses qui se rajoutent au prix de la chambre, nous atteignons 70 dollars.

Le lendemain matin, nous nous réveillons avec une vue sur les constructions d’hôtels qui pullulent dans le secteur.

Le lendemain, nous faisons appeler un taxi, qui nous conduit au terminal de ferry de Hulhumalé.

Nous découvrons sur le chemin, cette île artificielle qui jouxte l’aéroport, qui lui se trouve sur l’île d’Hululé.

Nous devons rejoindre l’île de Rashdoo, à trois heures de ferry de Malé, l’île principale qui comporte la capitale. Mais, avant de prendre ce ferry, nous devons nous rendre à Malé.

Les routes de l’île sont neuves.

Nous arrivons au terminal de ferry.

Nous patientons après avoir payé la traversée 2 dollars.

La traversée dure 25 minutes.

Nous découvrons le vrai visage des Maldives ; sur le ferry, nous sommes les seuls étrangers.

Nous apercevons la capitale.

Arrivés au ferry, nous prenons un taxi pour nous conduire au terminal de ferry qui nous permettra de nous rendre sur l’île de Rashdoo.

Nous découvrons la capitale ; à premières vues, contrairement à ce que les médias peuvent en dire, la capitale n’a pas l’air dangereuse ; les gens sont souriants ; nous y sentons une forte dynamique ; en outre, nous entendons de la musique ; les Maldives sont un état islamique, mais l’Islam pratiqué sur l’archipel est respectueux des autres religions ; en outre, la musique n’est pas interdite et l’ambiance semble agréable.

Nous traversons la ville.

Les deux roues sont omniprésents.

Nous arrivons au terminal de ferry ; nous payons notre ticket 5 dollars et en attendant le départ du bateau dans une heure, nous pouvons vaquer à notre découverte de la capitale.

Nous apercevons sur le chemin qui nous mène au centre ville, des centaines de deux roues garés le long du trottoir.

Nous visitons une mosquée proche.

La mosquée est belle.

Nous retournons à l’extérieur afin de prendre un petit déjeuner.

Nous nous rendons dans un café près du terminal.

A quelques minutes du départ, nous flânons dans le port.

Nous sommes appelés à l’embarquement.

Nous partons ; le ferry n’est pas plein.

Nous découvrons les ressorts qui se trouvent sur des îles privées. Sur ces ressorts, l’alcool est permis. Mais la nuit y est à plus de 1000 euros pour certains d’entre eux.

Nous profitons de la vue.

L’océan est calme.

Le bateau avance à grande vitesse.

Pour faire passer le temps, certains passagers lisent, d’autres consultent leur téléphone.

Nous quittons le secteur de Malé pour rejoindre l’île de Rashdoo.

Quelques jours plus tard, nous nous apprêtons à quitter Rashdoo pour rejoindre Malé ; cette fois-ci, nous ne prenons pas le ferry public, mais un bateau rapide privé, qui nous permet de faire le trajet en 1 heure au lieu de 3 h 30. Mais le prix est plus élevé : 40 dollars la traversée.

Nous démarrons.

Très rapidement, nous arrivons à Malé.

Nous saluons le capitaine et rejoignons la terre ferme.

Nous longeons le port.

Nous nous rendons sur la place centrale.

Nous traversons la route en faisant attention de ne pas nous fare écraser par des deux roues qui roulent dangereusement.

Dans le port, de nombreux bateaux militaires.

Un ouvrier sommeille à l’intérieur d’une grue.

Nous arrivons à la place centrale.

Face à nous, la mosquée la plus importante de l’île.

Nous faisons le tour de la place.

C’est alors que nous faisons la connaissance d’un homme qui se propose d’être notre guide pour la journée sur Malé ; en sa compagnie, nous nous rendons au marché aux légumes et aux fruits.

Nous arrivons rapidement sur place.

Une bonne odeur se dégage des étals.

Les vendeurs sont souriants.

Nous goûtons quelques fruits.

Les vendeurs insistent pour nous faire venir à leurs étals.

Nous rejoignons ensuite le port qui se trouve juste à la sortie opposée de notre entrée.

Il s’agit d’un petit port de pêche.

Nous entrons dans le marché aux poissons séchés.

Nous goûtons également plusieurs produits.

Les poissons séchés peuvent être conservés longtemps.

Nous rejoignons le port par une nouvelle sortie.

Le port est également un lieu d’accueil pour les plaisanciers.

Un pêcheur survient de nulle part, en tenant dans sa main un gros poisson qu’il vient de prendre avec sa canne à pêche.

Nous longeons les berges du port.

Nous faisons la connaissance d’autres pêcheurs.

Un d’entre eux tue une belle prise.

Nous nous rendons ensuite au marché aux poissons.

Un pêcheur découpe de gros thons.

Nous nous rendons ensuite au centre ville.

Nous découvrons une ville bruyante et à l’atmosphère bon enfant.

Malgré la loi islamique en vigueur, on ne ressent aucune pression.

Nous nous rendons aux abords de la mosquée principale de la ville.

Pour la visiter, nous devons nous recouvrir les jambes ; un gardien de l’édifice nous remet deux draps que nous accrochons autour de la taille.

La mosquée est vraiment très belle.

Les hommes viennent y rechercher un peu de tranquillité.

Nous la visitons dans les moindres détails.

Dans cet havre de paix, chacun vaque à ses occupations.

De l’extérieur, la mosquée est encore plus impressionnante.

Les minarets se dressent vers le ciel.

Nous nous rendons ensuite au magasin Gloria boutique, un des magasins d’artisanats locaux les plus intéressants de la ville.

Nous faisons quelques emplettes.

Nous nous dirigeons ensuite vers l’extrême Est de la ville. Vers le front de mer Rasfannu.

Nous parcourons les ruelles à pied.

La ville est assez moderne.

Les hommes et les femmes vivent ensemble ; tous se parlent, tous se côtoient.

Les immeubles de l’ancienne partie de la ville sont en réfection.

De nombreuses personnes nous saluent.

Nous arrivons à l’extrême Est de la ville.

Certaines parties du quartier sont imprégnées d’une ambiance archaïque.

Sur les murs, de nombreux panneaux vantent les mérites de tel ou tel professionnel.

Des petites échoppes comprennent des garages mécaniques spécialisés dans les deux roues.

Nous arrivons devant un front de mer.

Nous assistons à un beau coucher de soleil.

Tous les jours, les familles locales viennent s’y promener.

L’ambiance est bon enfant.

Il s’agit du quartier Rasfannu.

De nombreux parcs d’enfant permettent à tous de trouver leur compte.

Le temps pressant, nous essayons de trouver un taxi sans y parvenir ; durant plus de 20 minutes, les taxis considérés comme les plus mauvais chauffeurs que nous avons rencontré jusqu’à présent ne s’arrêtent jamais à nos sollicitations ; nous décidons de demander à deux conducteurs de deux roues de nous emmener jusqu’au ferry afin de rejoindre l’île d’Hulumalé, dans le but de retourner à notre premier hôtel afin de récupérer nos affaires que nous avions laissé pour notre périple à Rashdoo.

Après 20 minutes d’une conduite dangereuse durant laquelle nous avons failli subir de nombreux accidents, nous arrivons au terminal.

Nous achetons nos tickets pour 2 dollars pièce et patientons dans la salle d’attente.

Nous embarquons dans la foulée.

Le trajet dure 25 minutes.

Arrivés à Hulhumalé, nous ne trouvons toujours pas de taxi ; nous demandons à nouveau à deux jeunes garçons en scooter de nous emmener jusqu’à notre hôtel. Ils acceptent, mais conduisent cette fois-ci, plus prudemment que les deux précédents motards.

Avant de rejoindre notre hôtel, nous décidons de faire une pause et de manger un morceau dans un restaurant qui se trouve le long de la plage.

Nous retournons à pied à notre hôtel.

Pour 1à dollars, un chauffeur privé nous emmène à l’aéroport.

Nous retournons en France avec la compagnie Turkish airlines.

Nous récupérons nos billets avec une escale à Istanbul.

Nous passons sans encombre les contrôles de sécurité.

Nous en profitons pour souffler un peu.

Nous flânons dans l’aéroport. Nous flânons tellement qu’une hôtesse vient nous chercher. Nous avons failli louper notre vol qui a été avancé de 30 minutes ; mais étant donné que nous étions les derniers passagers présents dans l’aéroport, il n’était pas difficile de ne pas nous trouver.

Nous quittons les Maldives pour pénétrer dans notre avion.