Tôt le matin avec la compagnie de croisière Costa, nous arrivons aux abords de la ville de Castries.
Le bateau sur lequel nous nous trouvons ralentit.
Les côtes de Sainte Lucie permettent d’avoir une vue magnifique sur le pays.
Le bateau termine sa manoeuvre d’accostage.
Nous quittons le bateau vers 7 heures du matin.
Nous patientons l’arrivée du chauffeur.
En attendant l’arrivée du chauffeur, de nombreux prestataires proposent leurs services pour découvrir l’île, en voiture ou en bateau.
Etant donné que notre chauffeur est en retard, nous demandons à une personne que nous croisons dans la port de le joindre ; nous lui remettons son numéro ; il est sur le chemin.
Notre chauffeur arrive vers 8 heures.
Il s’appelle Patrick est est joignable au 001 758 450 0073 ou sur le 001 758 716 1333 ; son email est le cmtouring@gmail.com
Il faut préciser que notre voyage a été organisé par l’office de tourisme de Sainte Lucie, qui nous ont accompagné avec gentillesse et professionnalisme. Le site en France de l’office est joignable au : http://www.visitersaintelucie.fr
En compagnie du chauffeur, nous traversons la ville de Castries, la capitale dans laquelle nous reviendrons en fin de journée.
La ville commence à s’animer.
Nous prenons la direction de Marigot bay.
Nous pénétrons la campagne du pays.
A Sainte Lucie, la conduite se fait à gauche.
Nous traversons quelques petits villages.
Marigot bay, ou du moins sont point de vue se trouve à une vingtaine de minutes de route.
Nous nous garons en haut d’un promontoire.
Un artisan nous présente ses créations.
Nous repartons ensuite en direction d’Anse la Ray, un des plus beaux villages de l’île.
Il nous faut conduire 30 minutes.
Nous arrivons dans la ville.
Nous en rencontrons les habitants.
Nous traversons la route pour rejoindre la plage.
Un pêcheur vend les résultats de sa pêche du matin.
Nous arpentons le bord de mer.
Un rasta man entame la discussion.
Les gens sont vraiment agréables.
Nous repartons en direction du village Canaries, un autre village de pêcheur apprécié des touristes.
Sur la route, nous faisons une halte à la hauteur d’une sorte de charmeur de serpent.
Nous reprenons la route.
Nous arrivons à Canaries.
Nous visitons un peu la ville.
Nous traversons la Rainforest.
Avant d’arriver à la Soufrière, nous faisons une halte à un point de vue qui permet d’observer les volcans de l’île.
Le site est gratuit.
Nous continuons en direction de la ville La Soufrière.
Nous entrons dans la ville.
Nous garons notre véhicule.
La ville présente peu d’intérêt.
Nous nous rendons au marché aux poissons.
A la différence des autres villes du pays, les habitants sont peu enclin à accueillir des touristes qu’ils voient arriver en nombre pour visiter le site des volcans qui se trouvent non loin de là ; ils s’estiment lésés car écartés de cette manne financière dont ils ne profitent pas.
Nous découvrons la ville.
Nous effectuons quelques achats dans un magasin.
Nous achetons ensuite du pain dans une boulangerie traditionnelle.
Nous prenons ensuite la route du site de La Soufrière.
Nous nous approchons du parc Sulphur springs.
L’entrée se compose du site et des bains de boue ; pour avoir accès à l’intégralité des attractions proposées, il faut prendre un ticket combo à 12 dollars US.
Avec la voiture de notre guide, nous nous rendons tout d’abord au site.
Nous suivons un autre guide ; nous faisons une première halte à une chute d’eau.
Nous continuons notre montée.
Nous avons une vue sur les bassins bouillonnants.
Quelques photos s’imposent.
Le souffre nous fait du bien ; il dégage les poumons.
Nous nous rendons ensuite aux bains de boue.
L’eau est très chaude.
La boue naturelle est utilisée pour purifier la peau.
Nous reprenons ensuite la route vers une chute d’eau : la Diamond waterfall.
Nous traversons une nouvelle fois la ville de La Soufrière et prenons direction du Nord.
Nous nous garons aux abords de l’entrée du site.
L’entrée coûte près de 4 euros.
Pour rejoindre la chute, il nous faut traverser un jardin botanique.
Des bains privés se trouvent sur le chemin au prix de 7 dollars l’accès.
Nous nous baignons un peu dans ces bains et ensuite, nous reprenons notre avancée vers la chute.
La chute n’est pas spectaculaire, mais elle permet de passer un agréable moment.
Nous retournons à notre voiture avec laquelle nous nous rendons à une autre chute d’eau.
Nous entrons sur le site de Toraille waterfall. Le prix est de 3 dollars.
Nous restons sur place près de 30 minutes ; il est possible de s’y baigner.
Nous immortalisons ce moment.
Il faut dire qu’avec cette chaleur, ce bain fait du bien.
Il est ensuite l’heure de partir.
Nous retournons sur Castries.
Deux heures de route sont nécessaires pour rejoindre la capitale.
Nous en profitons pour nous reposer.
Nous faisons une halte sur le chemin pour visiter une distillerie.
Nous bénéficions d’une dégustation de différents alcools.
Nous en profitons pour visiter discrètement l’usine, étant donné qu’en cette période de l’année, cette dernière est fermée.
Les différents produits font de cette usine, une des plus prolifiques des Caraïbes.
Nous reprenons la route.
Nous traversons nombre de petits villages.
Nous arrivons aux abords de Castries.
Nous rejoignons le coeur de la ville.
Nous nous garons aux abords de la cathédrale.
Aux côtés de la cathédrale, se trouve un beau parc.
Le parc est très agréable.
Mais, la beauté de la ville réside en sa cathédrale, une somptuosité.
Nous arpentons les rues de la ville.
Nous rejoignons ensuite le marché municipal.
De nombreux produits sont proposés par les vendeurs.
L’odeur qui s’y dégage est fine et délicate.
Vers 17 heures, il est temps pour nous de retourner au bateau.
Un dernier coup d’oeil sur les produits locaux.
Il nous faut dix minutes pour rejoindre le port.
Nous dépassons des pêcheurs qui rentrent d’une journée de travail.
Nous apercevons notre bateau.
Nous le rejoignons à temps.
Le lendemain, nous entrons en Martinique toujours avec la croisière de la compagnie Costa.
Tôt le matin, nous arrivons au port de Fort de France.
Nous admirons cette vue magnifique.
Nous rejoignons le quai du port.
Pour cette journée de visite en indépendant, nous avons accepté la compagnie de quatre croisiéristes. de cette manière, en outre, le partage des frais de taxis réduira la facture.
Nous trouvons un chauffeur, qui pour 35 euros par personne accepte de nous conduire dans l’île. Il s’appelle Alain Quetty et est joignable au 06 96 26 40 35.
Nous partons en direction du Sud de l’île.
La route est de très bonne qualité.
Nous entrons dans la campagne martiniquaise.
Nous traversons plusieurs champs de bananes.
Nous arrivons aux abords de la distillerie Clément.
La visite coûte 12 euros et comprend une dégustation de rhums.
La visite débute par la découverte des jardins de la distillerie.
Mais, sur le site, aucun alcool n’est fabriqué ; la distillerie en fonctionnement se trouve à quelques kilomètres du site. Néanmoins, la distillerie est intéressante car elle permet d’effectuer une belle balade.
Nous continuons la visite.
Les anciennes machines ont été restaurées ; les visiteurs peuvent les découvrir dans leur intégralité.
Nous procédons ensuite à la dégustation de différents alcools.
Nous reprenons la route en direction de la plage des Salines.
Nous prenons la direction de Trinité.
Nous faisons une halte en haut d’une côte pour avoir une vue dégagée sur l’océan.
Nous reprenons la route ensuite.
Le paysage est verdoyant.
Sur le bord de la route, nous faisons une halte chez une vendeuse traditionnelle qui propose des spécialités locales.
Nous repartons ensuite.
Nous prenons la direction de Saint Anne.
Nous arrivons aux abords de la plage des Salines.
La plage est une des plus belles de l’île.
Nous passons la matinée à nous détendre et à profiter d’une eau à près de 30 degrés.
Nous partons ensuite en direction de Saint Anne.
Nous entrons dans la ville de Saint Anne.
Nous visitons un peu la ville.
Nous reprenons la route en direction du rocher du Diamant
Nous arrivons devant le site que l’on peut apercevoir de loin.
La vue est magnifique.
Nous nous dirigeons à présent dans la ville Le Diamant.
Nous nous garons sur la place centrale.
La place est très agréable.
Des enfants jouent au volley ball avec leur professeur.
Le cadre est magique.
Sur un ponton, nous partons à la rencontre avec des pêcheurs.
Nous retournons ensuite sur la place centrale.
Nous reprenons la route vers Fort de France.
Il nous faut 1 h pour rejoindre la capitale.
Nous nous dirigeons vers le centre ville.
Nous découvrons une belle église.
La ville est animée.
Nous visitons le marché local ; un homme dérangé nous agresse verbalement, nous reprochant le fait qu’à cause des métropolitains, il n’y ait pas de travail ; l’homme, vêtu d’un bleu est un commerçant ; nous lui répondons avec véhémence ; il se calme et doit répondre de son haussement de ton aux nombreuses personnes qui lui demandent de se taire.
Nous reprenons notre visite de la ville.
Nous découvrons de belles places.
D’une manière générale, les gens sont cordiaux.
Nous traversons un grand parc pour rejoindre à pied, notre bateau.
Mais nous prenons notre temps pour découvrir les belles statues qui ornent le parc.
Après 30 minutes de marche, nous rejoignons le port.
Nous devons passer par un contrôle de sécurité poussé.
Avant de rejoindre le bateau ,nous pouvons acheter au duty free, nombre de produits ; les prix sont avantageux ; nous faisons le plein.
Le lendemain, après notre croisière avec la compagnie Costa, nous retournons en Guadeloupe.
Sur le quai de débarquement, de nombreux professionnels patientent afin de proposer des tours dans l’île aux touristes : les prix débutent à une trentaine d’euros.
Dans la ville de Pointe à Pitre, des employés de la mairie conseillent les estivants.
Nous nous rendons au centre ville.
Les maisons sont typiques.
La vétusté de certaines rues donnent un charme fou à la ville.
Nous continuons notre route.
Nous admirons les jardins créoles de certaines maisons.
Nous arrivons aux abords du marché de la ville.
Il s’agit d’un marché aux fruits très coloré.
Les fruits sont frais.
Aux côtés du marché se trouve un marché aux poissons.
Nous nous dirigeons vers le parc proche.
Etant donné que je pars ensuite à Haiti, je demande un conseil à un homme qui travaille pour l’office de tourisme de la ville ; ce dernier, gentiment appelle un de ses contacts, qui après avoir téléphoné au ministère du tourisme parvient en quelques minutes à organiser mon début de voyage à Haiti.
Nous retournons ensuite au marché aux poissons.
Les poissonniers, très brillamment parviennent à créer des outils avec des associations de matériaux que nous n’imaginions pas fonctionner ensemble.
Nous continuons notre route vers le mémorial de l’esclavage.
Nous devons traverser une partie de la ville.
Le mémorial apparaît devant nous.
Nous le rejoignons.
Le mémorial acte est un musée dédié à l’esclavage.
Nous entrons à l’intérieur.
Mais, tout d’abord nous décidons de visiter l’extérieur du bâtiment.
Face à la mer, une oeuvre d’art éphémère représente des personnes inconnus désignées par leurs vêtements.
L’entrée dans le musée coûte 12 euros. Les photos sont par contre interdites ; nous avons dû discrètement les prendre.
Le musée est constitué de quelques pièces séparées les unes des autres, chacune représentant un pan de l’histoire de l’esclavage.
Face à nous, le code noir, le livre qui régissait l’esclavage.
Nous arpentons les couloirs du musée.
Sur le mur, des photographies sont émouvantes.
Nous continuons notre découverte du musée.
Nous quittons le musée après une heure de visite.
Nous retournons au centre ville.
Nous mangeons une spécialité locale dans une boucherie traditionnelle.
Nous retournons au marché aux légumes, et sympathisons avec une vendeuse locale.
Il est temps pour nous de retourner à l’aéroport. Nous trouvons un chauffeur agréable et qui à la demande, met son compteur, pratique peu utilisée par les taxis dans l’île. Il s’appelle Franck et peut être joint au 06 90 47 59 66 ou sur le 05 90 21 09 23.
Nous traversons le centre ville de Pointe à Pitre.
Nous nous dirigeons vers l’aéroport.
Nous nous dirigeons vers le comptoir d’embarquement de la compagnie Air France afin de procéder à la récupération de nos billets.
Nous profitons encore de la chaleur guadeloupéenne.
Nous passons les contrôles de sécurité.
Air France nous appelle à monter à bord de son avion en direction de Port au Prince en Haiti. Le vol dure 2 heures et coûte près de 600 euros.
Après avoir traversé tout le tarmac à pied, nous sommes autorisés à monter dans l’avion après 3 heures de retard.
En provenance de Guadeloupe, nous prenons un vol pour Port au Prince.
Le vol dure 2 heures et se déroule avec la compagnie Air France ; le prix est prohibitif : près de 500 euros en classe économique.
La qualité du vol est très faible ; le personnel est réellement antipathique.
Nous arrivons à l’aéroport ; nous devons payer normalement la somme de 10 euros en taxe d’entrée ; mais ayant été invité par le ministère du tourisme, nous serons exemptés du paiement de cette taxe.
Nous patientons dans un bureau, le temps de remplir la fiche d’entrée.
Nous franchissons les contrôles d’immigration en quelques minutes.
Dehors, un taxi nous attend ; nous suivons la conductrice jusqu’à sa voiture.
Nous rejoignons notre hôtel : La Renaissance, que nous payons 50 dollars la nuit.
Nous arrivons à l’hôtel en ayant été marqué par la présence nombreuse de personnes dans les rues, et ce même la nuit. Haiti est un pays qui ne dort jamais.
Dans l’hôtel se trouvent de nombreux jeunes qui travaillent pour des ONG. Nous apprendrons de la bouche d’officiels du pays, que nombre de ces travailleurs profitent de leur venue dans le pays afin de valoriser leur CV, sans mettre beaucoup d’entrain pour leurs tâches. Ils passent leur temps à faire des selfies qu’ils postent pour les réseaux sociaux. De la bouche même de ces officiels, leur départ serait souhaitable.
Nous mangeons un repas pour la somme de 7 dollars US ; durant notre repas, nous faisons la connaissance avec François, un Français installé sur l’île depuis plus de 10 ans ; ce dernier est un homme généreux, qui a développé de nombreux commerces dans le pays ; nous lui expliquons que nous souhaitons visiter le pays et que le ministère qui nous a invité a oublié de nous réserver un chauffeur ; il pioche dans ses contacts et tard dans la nuit, il parvient à nous trouver un chauffeur guide compétent qui viendra nous accueillir le lendemain matin.
Le lendemain, après une courte nuit, nous nous réveillons.
Notre chauffeur arrive à l’heure prévu ; il se nomme Kentz et connaît l’île comme sa poche ; il nous permettra de passer un agréable moment en sa compagnie et nous assurera tout au long de notre voyage, une présence et une attention irréprochables ; il a l’habitude de conduire des touristes et peut être joint au 36191438.
Nous nous trouvons en banlieue de Port au Prince.
Nous découvrons Haiti.
Les commerces sont omniprésents.
La population s’agglutine sur les trottoirs.
Il nous faut 1 heure pour rejoindre la ville de Port au Prince, la capitale que nous devons traverser.
Nous sommes pris dans les embouteillages.
Nous entrons dans la ville.
Les grandes marques sont toutes représentées dans le pays.
A certains endroits, la circulation s’aère.
Le gros problème du pays est sa capacité à traiter les ordures qui s’amoncellent dans de nombreux coins de la ville.
Haiti a un taux de chômage record de près de 85 %. Néanmoins, dans ce taux ne sont pas comptés tous les petits commerces indépendants. C’est à dire les gens qui achètent quelques produits et les vendent sur le bord de la route.
Nous traversons la capitale.
Nous circulons vers le Sud.
De nombreuses affiches électorales sont disséminées dans le pays.
Nous faisons une halte pour faire le plein.
Nous quittons la ville de Port au Prince.
Nous entrons à nouveau dans sa banlieue.
Des campements primaires sont disposés le long de la route.
Dans certains quartiers, les ordures sont entreposées en gros tas.
Mais ce problème des ordures concerne presque majoritairement les villes ; dans les campagnes, les ordures sont moins visibles.
Les salons de coiffure côtoient les garages mécaniques.
A certains endroits, les canalisations brisées laissent s’écouler de l’eau en grande quantité.
Les gens sont souriants ; contrairement à ce que les ministères des affaires étrangères affirment, le pays n’est pas du tout violent, ni dangereux.
Les habitants nous gratifient de nombreux sourires et de salutations ; il faut dire que nous sommes les seuls touristes dans le secteur.
Des personnes pataugent dans les ordures pour récupérer le plastique qu’ils trient et vendent ensuite.
Nous quittons enfin la banlieue de Port au Prince après 3 heures de trajet pour quelques kilomètres effectuées.
Nous prenons la route en direction de la ville de Jacmel.
Sur la route sont présents de nombreuses personnes.
La route se dégage.
Nous admirons cette vie qui grouille autour de nous.
Nous dépassons une sorte de décharge à ciel ouvert.
Nous traversons des petits villages.
Les bus sont bondés.
Nous pénétrons dans la campagne du pays.
Malheureusement, dans la ville de Tchwa, nous tombons en panne.
Nous en profitons pour visiter un peu la ville.
Nous repartons ensuite, après que le chauffaur a reçu de l’eau pour remplir à nouveau le radiateur.
Certaines parties de la route ne sont plus goudronnées.
Nous devons emprunter une route qui monte.
Nous arrivons dans la ville de Tomgato ; dés l’entrée de la ville, nous demandons à un habitant de nous faire visiter le marché ; nous rencontrons Atilis, qui peut être joint au 37951656. Il sera notre guide pour la somme de 2 dollars ; il faut préciser qu’en Haiti, il s’agit de la seule solution pour pouvoir prendre autant de photos souhaitées ; accompagnés d’un local, personne ne nous interdira de prendre des photos.
La viande est vendue à même les cartons ; elle arrive congelée et est découpée sur place.
Ici, tout se vend.
Toutes les parties des animaux trouvent preneurs.
Même les abats stockés directement sur le sol.
A un autre endroit du marché, un boucher récupère la moelle qui se trouve dans les os.
Avec du sang cuit, une femme propose une sorte de boudin.
Atilis décide de nous faire visiter sa ville.
Nous nous enfonçons dans des ruelles étroites.
Atilis nous ouvre ensuite la porte de sa maison.
Dans les jardins, de nombreuses cultures privées apportent aux habitants de quoi alimenter les étals des marchés.
Nous quittons Atilis.
Nous reprenons la route en direction de Jacmel.
Nous entrons dans le Sud du pays en provenance de Tomgato.
Sur la route, nous découvrons une vue magnifique.
Nous repartons ensuite.
Nous rejoignons, avant d’entrer dans la ville, la rivière en contrebas dans laquelle, de nombreuses scènes de vie pullulent.
De nombreux individus se lavent et prennent soin de leur engin motorisé.
Nous quittons la rivière pour nous rendre dans la ville de Jacmel proche.
Nous entrons dans la ville.
Nous parcourons quelques kilomètres pour rejoindre le centre.
Nous nous arrêtons pour demander notre route ; l’homme accepte d’être notre guide pour la journée.
Il nous conduit au front de mer.
La ville est assez densément peuplée.
Nous arrivons sur le front de mer.
Jacmel est une ville d’artiste. De nombreux tableaux sont exposés.
Nous arpentons le bord de mer.
Nous réservons une chambre au Colins hotel pour la somme de 80 euros la nuit ; il faut dire que dans le pays, les hôtels sont très chers.
Non loin de l’hôtel, nous faisons la rencontre d’artistes qui se sont regroupés en un collectif.
Nous assistons à une de leur séance de travail.
Nous nous dirigeons ensuite vers le bassin bleu, une des attractions touristiques du secteur. Je commence en outre à tomber malade ; j’ai des courbatures, de la fièvre et je tousse ; je crois que j’ai attrapé une vilaine grippe qui commence à m’épuiser de plus en plus ; mais je ne peux me reposer étant donné que notre planning est serré.
Nous traversons la ville par l’Ouest.
Nous faisons une halte au marché de la ville.
Comme pour Tomgato, notre guide nous permet de prendre des photos à notre aise.
Nous nous enfonçons dans le marché.
La rivière dans laquelle se baignent de nombreux enfants est très polluée.
Des enfants nous accueillent en chantant.
Une forte odeur émane du marché.
Pour rejoindre le bassin bleu, nous devons traverser en voiture une rivière.
Sur l’autre rive, aucune route goudronnée n’est présente.
Il nous faut près d’une heure pour rejoindre le bassin bleu.
La vue est splendide.
Nous garons notre véhicule.
Nous payons 3 dollars un guide qui nous accompagne.
Nous faisons connaissance avec les habitants locaux.
Accompagnés de notre guide de la ville, de notre chauffeur et du guide officiel du bassin bleu, nous avançons dans la campagne haïtienne.
Après 20 minutes de marche, nous entendons une source d’eau.
Nous arrivons au premier étage du site.
Nous continuons notre route en dépassant une grotte.
Nous pouvons voir de notre point de vue, le bassin bleu qui se trouve au deuxième étage.
Le bassin est magnifique.
Nous continuons jusqu’au troisième niveau, mais il faut nous déchausser et grimper le long d’une corde ; je décline l’offre, la grippe qui commence à me terrasser est trop violente.
La nuit tombe alors que nous sommes sur le chemin du retour.
Je décide, malgré la grippe, d’arpenter le front de mer.
Je regarde amusé, la vie locale profiter elle aussi d’un moment de bon temps où la musique poussée à son paroxysme amène de la bonne humeur.
Je mange quelques beignets.
Je rejoins ensuite mon hôtel.
Je passe ma soirée, malade et courbé dans mon lit ; le lendemain, mis à part quelques promenades à l’extérieur, je me reposerai.
Le surlendemain, toujours malade, je décide du départ de la ville ; notre visite du pays nous réserve de nombreuses merveilles à découvrir ; même malade, je ne peux manquer ça ; je prends sur moi et décide de continuer.
Nous reprenons la voiture en direction de Les Cayes, une ville qui se trouve à l’extrême Sud Ouest.
Il nous faut tout d’abord rejoindre la route nationale.
La voiture tombe à nouveau en panne.
Nous repartons.
50 kilomètres plus loin, nouvelle panne.
Nous reprenons la route, après que des habitants, qui pourtant ne possèdent pas grand chose se sont démenés pour trouver de l’eau au chauffeur.
Nouvelle panne ; nouvelle entraide.
Sur le sol aux abords de l’arrêt de bus, nous apercevons un sac de riz qui provient de l’aide alimentaire internationale.
La voiture est réparée en moins de 20 minutes.
Nous reprenons la route.
Nous retrouvons la route nationale.
En faisant une halte dans une station service, nous assistons au lavage d’un camion par deux ouvriers ; le prix du lavage complet est de 30 centimes d’euros.
Sur la route, nous nous arrêtons pour prendre un vieil homme en stop ; il a 76 ans et est tout fier de nous présenter son beau costume qu’il sort une fois par semaine pour se rendre à la messe.
Il se nomme Jean Claude et sa gentillesse est touchante ; discrètement, nous lui glisserons dans les mains en monnaie locale, 2 euros ; mais en réfléchissant et alors qu’il ne nous a rien demandé, nous lui demanderons qu’il nous rende notre billet et nous le remplacerons par une somme de 10 euros. L’homme nous regarde avec de grands yeux, ému aux larmes ; il nous explique qu’il pourra manger la semaine ; si seulement, nous pouvions faire plus.
Nous nous rendons ensuite dans un garage faire vérifier la voiture et trouver l’origine de la panne ; le problème est un tuyau menant au radiateur ; mais dans la campagne, aucune pièce n’est disponible ; il faudra faire avec.
Jean Claude nous accompagne toujours.
Nous reprenons ensuite la route.
Il nous faut 3 heures pour rejoindre la ville de Les Cayes.
Nous traversons des paysages somptueux.
Etant malade, je profite de ce moment en voiture pour me ressourcer.
Nous avons à plusieurs reprises, une vue dégagée sur les vallées qui se situent en contrebas.
Nous faisons une halte en pleine campagne.
Nous accompagnons un agriculteur traditionnel dans ses champs.
Nous reprenons la route.
Nous entrons dans la banlieue de la ville.
Nous cherchons l’adresse d’une distillerie : la distillerie d’huiles essentielles Bergot.
Nous entrons tout d’abord dans la ville.
La circulation est dense.
Les ouragans successifs qui se sont succédés sur cette partie de l’île l’ont ravagée en partie.
Deux hommes nous indiquent le chemin pour aller vers la distillerie.
Nous faisons demi-tour et en quelques minutes, nous parvenons à la distillerie.
Nous la visitons. L’odeur d’une plante locale est très agréable.
Nous grimpons sur le toit de la distillerie pour en voir son système de refroidissement.
Nous nous rendons ensuite dans un bidonville.
Nous faisons une halte aux abords d’une rivière.
Nous arpentons des ruelles à pied.
Dans la rivière, une vie quotidienne s’est créée.
Les habitants très pauvres nous accueillent avec le sourire.
Nous arpentons les rues du bidonville ; une petite fille attendrissante attire notre attention ; nous jouons un peu avec elle.
Des habitants jouent non loin à un jeu de société en plein air.
Nous reprenons notre route vers le centre ville.
Certaines maisons sont belles et bien entretenues.
Nous entrons dans le centre ville.
Peu de gens dans la ville.
Nous arrivons aux abords de la place centrale.
Nous croisons des petites vendeurs ambulants de livres.
La cathédrale fermée se dresse devant nous.
Nous arpentons le parc de la place centrale.
Nous reprenons la route en direction du bord de mer.
Il nous faut 5 minutes pour nous y rendre.
Nous découvrons un bord de mer typique jonché de détritus amenés par les vagues.
Face à nous, l’île à vache qu’il est possible de rejoindre pour 50 dollars ; mais le temps nous manque ; nous devons rejoindre Camp Perrin.
Nous nous promenons un peu dans la ville.
Nous repartons ensuite.
Il nous faut une heure pour rejoindre la ville de Camp Perrin, dans les hauteurs de la presqu’île.
La route est de bonne qualité immédiatement après la sortie de la ville.
Mais rapidement, la route devient difficile.
Après deux heures, nous entrons dans la ville.
notre première étape consiste à chercher un hôtel.
Nous parvenons à trouver l’hôtel Immaculée, dans lequel avec le gérant nous négocions la chambre à 50 euros au lieu des 80 euros demandés.
Le chauffeur, quant à lui parvient à avoir la chambre à 30 dollars la nuit.
Le soir, nous mangeons un bon repas.
Nous dégustons une spécialité du pays : du poulet cuisiné à la haïtienne et des légumes locaux.
Dans la soirée, nous apprenons que l’hôtel est aussi une discothèque ; des dizaines de personnes arrivent au gré de la musique qui se fait de plus en plus forte, ce qui nous ravit de partager ce moment de fête des habitants.
Le patron de l’hôtel nous présente aux musiciens, dont l’un d’eux est guide ; il nous attendra tôt le matin pour nous faire visiter les environs durant deux jours.
Le premier jour, le guide nous attend à 7 heures, malgré sa nuit blanche. Il s’appelle Constant Bonardo ; il ne demande que quelques euros par jour et est un guide incontournable pour la région ; il peut être joint au 0050944511154 ou sur le 00509 43765868 ou sur le constantbonardo777@gmail.com
Nous prenons la direction de la Piscine, une partie de la ville qui se trouve aux abords de la rivière.
Pour ce faire, nous devons traverser la ville.
La ville est agréable.
Nous empruntons des petites ruelles.
Nous arrivons à La Piscine.
Quelques personnes lavent leur linge.
Nous repartons en direction du centre ville.
Nous découvrons la ville.
Il nous faut près d’1 heure pour rejoindre le Saut Mathurine, une cascade magnifique de la région.
La route est catastrophique.
Le secteur est reculé.
Nous traversons nombre de petits villages.
Nous arrivons à l’entrée de la cascade. Le site est gratuit.
Il nous faut marcher quelques minutes pour rejoindre la cascade.
Nous descendons des escaliers.
Pour un dollar, deux adolescents sautent du haut de la cascade.
Après une journée sur place, nous reprenons la route vers camp Perrin.
Le lendemain matin, nous reprenons la route en direction de la ville Les Cayes.
Sur la route, nous prenons une auto-stoppeuse.
Notre guide de la veille a décidé de venir avec nous jusqu’à la ville de Port Salut. Il s’agit d’un jeune guide très intéressant. Il connaît la région comme sa poche et pour quelques dollars, il se propose d’accompagner tous les visiteurs.
Nous traversons Camp Perrin et empruntons à nouveau la mauvaise route que nous avions pris la veille.
Sur la route, les véhicules sont chargés à bloc.
Nous faisons une halte dans la campagne ; nous allons à la rencontre des agriculteurs.
Toute la journée, ils cultivent des céréales à la main.
Nous reprenons notre route en direction de la ville Les Cayes.
Nous entrons dans la banlieue de la ville.