En provenance des Fidji, nous embarquons en direction du royaume des Tonga.
Nous embarquons avec la compagnie Air Fidji ; le vol dure 3 heures et coûte 250 euros.
Les Tonga est le seul royaume du Pacifique ; nous en apercevons le sol.
Nous préparons l’atterrissage.
L’avion atterrit ; le sol se rapproche.
L’avion se pose sur le sol.
Nous rejoignons l’aéroport.
Nous passons les contrôles de l’immigration ; en tant que Français, nous bénéficions d’un visa gratuit ; nous devons être cependant titulaires d’un billet retour. Ce dernier ne nous sera pas demandé.
Nous rejoignons l’extérieur de l’aéroport.
Nous découvrons la carte de l’île.
Une société internationale propose des locations de voiture ; néanmoins, ces locations sont chères, plus de 100 euros par jour.
Pour le prix, nous faisons la rencontre d’un chauffeur qui nous servira de transporteur pour 60 euros tout compris. Nous louerons un véhicule le lendemain en plein coeur de Nuku’alofa pour un prix dérisoire.
Notre chauffeur peut être joint au 00 676 77 66 555.
Nous nous dirigeons vers le Sud de l’île.
Nous traversons nombre de petits villages.
Les cochons sauvages se promènent librement sur le bord du chemin.
Nous visitons un petit village.
Nous continuons notre route.
Nous nous dirigeons vers la Hina cave.
À l’intérieur du site qui est gratuit, nous faisons la connaissance avec des cueilleurs d’ananas.
La patronne du Beach hôtel nous accueille.
Nous rejoignons le bord de plage.
La vue est magnifique.
Nous suivons notre chauffeur à l’intérieur de ce qui semble être un restaurant de mer.
En réalité la cave se trouve à l’intérieur ; un homme nous remet la clef qui permet d’ouvrir la porte et pénétrer à l’intérieur.
La cave réceptionne souvent des spectacles traditionnels.
Nous rejoignons le parking et le véhicule de notre chauffeur.
Nous repartons.
Nous roulons pendant 20 minutes.
Les villages que nous traversons sont intéressants.
Nous arrivons à la grotte Anahulu ; l’entrée coûte 5 euros.
Devant nous, le responsable de la cave prépare du poisson frais à la manière tongaise.
Nous nous dirigeons vers la cave.
Pour y pénétrer à l’intérieur, nous devons rejoindre le bord de plage.
La grotte se trouve devant nous.
Nous pénétrons à l’intérieur.
Le site est splendide.
Des centaines de chauve-souris tournoient autour de nous.
Nous nous baignons.
L’eau est froide.
Mais le site majestueux vaut bien quelques claquements de dents.
A la surface, gratuitement, le responsable de la cave nous invite à manger du poisson frais.
Nous remercions notre hôte en lui remettant un petit cadeau et nous reprenons notre route vers le Nord de la côte Est.
Nous croisons nombre de cimetières.
Nous nous arrêtons à quelques reprises pour faire quelques achats.
Nous visitons une belle église ancienne.
Nous arrivons sur le site des tombes of Mu’a.
Il s’agit des tombes sacrées d’anciens chefs.
L’endroit inspire au recueillement.
Nous reprenons notre route.
Nous arrivons sur le site de Ha’amonga.
Il s’agit également d’un site historique et sacré.
Les vendeuses de souvenirs se reposent.
Pendant ce temps, nous découvrons le site.
Un guide nous explique les origines de la pierre qui servait de calendrier solaire.
Nous loin de là, nous visitons une école.
Les enfants enjoués de nous voir sont studieux.
Accrochés au plafond, les devoirs effectués.
Nous reprenons la route en longeant la côte.
Nous faisons une halte pour découvrir cet océan qui s’étire à perte de vue.
Face à nous, l’île d’Eua.
D’autres petites îles sont présentes.
Un homme revient de la pêche.
Pendant que sa femme travaille à préparer des fanions qui servirons lors de la traditionnelle visite du roi.
La baie recèle d’autres surprises : elle comprend des cochons sauvages chercheurs de poisson, les seuls au monde.
Nous continuons sur quelques mètres.
Un groupe de femmes attire notre attention.
Les femmes d’une grande gentillesse nous invite à découvrir leur métier.
Elles sont d’une gentillesse paroxysmique.
Nous continuons à présent en direction de l’extrême opposé : la côte Ouest.
Nous faisons le plein de carburant.
Le tabac est banni de l’île. Il est autorisé, mais mal vu.
Nous arrivons sur le site de Houma blowholes.
Il s’agit d’un lieu où les vagues se fracassent contre les rochers et se transforment en déferlantes de plusieurs mètres de hauteur.
Il faut cependant attendre quelques instants pour que les vagues surgissent.
Et surtout attendre le bon moment pour en prendre une photo.
Le site est splendide comme tous les autres.
Le royaume des Tonga recèle de véritables trésors naturels.
Nous nous régalons du spectacle.
Nous n’en perdons pas une miette.
Les éléments se déchaînent ensuite.
Nous repartons, mais découvrons que nous avons oublié une camera Gopro sur le site ; nous revenons après une vingtaine de minutes, sans grande conviction quant à sa découverte ; c’est sans compter sur la gentillesse et l’honnêteté des Tongais ; une femme l’a retrouvée et l’a mise de côté pour nous la remettre ; nous lui remettons un beau pourboire et la saluons chaleureusement.
Nous reprenons la route en direction de Nuku’alofa, la capitale.
Nous découvrons le château du roi qu’il est interdit de photographier.
Dans la capitale, face à une église royale, les tombes des anciens rois.
Nous arrivons à notre hôtel : Noah guest house ; le responsable s’appelle Mote Liava’a ; une nuit coûte 50 euros la nuit. Le petit déjeuner est compris dans le prix. Il s’agit du meilleur rapport qualité prix de l’île ; Noah est un homme exceptionnel, d’une grande gentillesse ; il n’hésitera pas à nous aider tout au long de notre séjour et son personnel est tout simplement adorable. Le site de l’hôtel est le www.noaenterprises.com et son téléphone, le 00 676 21 810 ; son mobile est le 00 676 874 7282
Notre chauffeur qui en attendant es tallé récupérer sa famille nous dépose dans un des grands restaurants de l’île.
Nous saluons notre chauffeur et le quittons ; le lendemain, nous récupérerons notre voiture de location réservé par Noah le patron de notre hôtel.
Le repas gastronomique nous coûte 15 euros.
Nous allons ensuite nous coucher ; pour ce faire, nous traversons une partie de la ville à pied.
Le lendemain matin, après un solide petit-déjeuner, nous sommes appelés à l’extérieur.
A notre demande, Noah nous a réservé une sortie en pleine mer afin de nager avec les baleines, une expérience inoubliable.
Le patron de l’agence nous conduit jusqu’au port.
Nous traversons une partie de la capitale.
La compagnie s’appelle Deep Blue cruises.
Nous payons les 130 euros que demande la sortie, puis 50 euros pour effectuer une plongée bouteille en plus du prix.
Nous embarquons après avoir récupéré notre matériel.
Le port de l’île de Tongatapu s’éloigne.
Nous faisons la connaissance de Grégory Liechti, le meilleur instructeur de plongée avec lequel nous avons travaillé ; il est également moniteur de ski au Japon durant l’hivers ; il est Suisse et peut être joint sur le greg4848@hormail.com ; son site Internet est le www.thrugregslens.com
En cours de chemin, nous effectuons notre plongée bouteille.
Le fond marin est riche.
Nous descendons à 15 mètres.
Nous nous régalons.
Nous sommes entourés par une faune riche.
Nous n’en perdons pas une miette.
Certaines espèces de poissons sont surprenantes.
La plongée se passe merveilleusement bien.
Greg nous fait signe qu’il est l’heure de remonter.
Nous aimerions rester des heures dans le coeur de l’océan.
Nous admirons une dernière fois les coraux.
Nous remontons à la surface.
En découvrant malgré nous la trace de l’homme jusqu’au fond des océans.
Mais le spectacle n’est pas encore terminé.
Un poisson espiègle s’amuse avec nous.
Nous remontons après avoir effectué les paliers de décompression exigés.
A la surface, la fille du patron qui est également monitrice de plongée nous attend.
Nous reprenons la mer.
C’est alors que le capitaine arrête les moteurs.
Face à nous, les baleines apparaissent.
Elles s’éloignent rapidement.
Nous nous jetons à l’eau.
Elles ont déjà disparu.
Les instructeurs scrutent l’horizon.
Elles réapparaissent devant le bateau.
Nous plongeons avec masque et tubas. Le spectacle est édifiant.
Nous remontons sur le bateau.
Nous plongeons une seconde fois ; alors que la monitrice nous demande de rester derrière elle, nous ne tenons pas ne place et nous nous rapprochons de la baleine ; nous nous rapprochons à quelques mètres ; nous sommes seuls avec l’animal.
Le mammifère est majestueux.
Il s’agit d’un véritable rêve éveillé.
La baleine tourne autour de nous.
Nous remontons sur le bateau.
Un groupe de baleines apparaît ensuite devant nous.
La monitrice de plongée nous apprend que nous allons retourner dans l’eau, mais que cette fois-ci, nous devons rester à une distance réglementaire de 20 mètres avec l’animal.
Nous écoutons, mais cette fois-ci, ce sont les baleines qui jouent avec nous en s’approchant.
La monitrice ne peut rien nous dire ; elle acquiesce et profite également du spectacle.
Nous retournons en fin de journée au port.
Accompagné de Grégory, nous mangeons pour quelques euros dans une sorte de restaurant rapide.
Nous faisons ensuite le tour des bars.
Le lendemain, nous découvrons la capitale : Nuku’alofa.
Nous nous dirigeons vers notre société de location de voiture afin d’en réserver une pour une trentaine d’euros par jour.
Nous retirons un peu de liquide.
Nous découvrons la ville.
Nous en visitons la cathédrale.
Le pays n’est pas très peuplé.
Les bâtiments sont traditionnels.
Nous longeons le bord de mer.
La ville se traverse rapidement.
Plusieurs ministères se trouvent dans des bâtiments qui ne payent pas de mine.
Dans une boulangerie, nous achetons quelques croissants.
Nous retournons dans le centre ville.
Nous nous arrêtons dans un café.
Nous nous dirigeons ensuite vers le marché central.
Dés l’entrée, les senteurs emplissent nos narines.
Les couleurs sont chatoyantes.
Les produits sont frais.
Et les sourires nombreux.
Les prix ne sont pas excessifs pour une île perdue au coeur du Pacifique.
Nous profitons de cette rencontre avec les habitants.
Nous goûtons quelques spécialités locales.
Nous nous éloignons de la capitale en nous dirigeant vers le centre de l’île.
L’île se parcourt en moins de 2 heures.
Sur la route, un attroupement nous interpelle.
Nous assistons à une compétition sportive entre filles.
Il s’agit d’une sorte de jeu de balle.
Nous reprenons la route.
Notre chemin nous mène sur la côte Ouest.
Nous traversons nombre de petits villages.
La route reste de bonne facture.
Nous faisons la connaissance d’un paysan manuel.
Il travaille avec ses enfants et sa femme.
Nous arrivons sur le site de Hufangalupe.
Nous garons notre véhicule.
Nous nous trouvons au bord de hautes falaises.
Derrière nous, le site de Hufangalupe.
Nous prenons de belles photos.
Nous nous dirigeons vers le site.
Quelques touristes sont présents.
Le site est une arche magnifique sous laquelle, l’océan vient s’engouffrer.
Le tout, dans un fracas assourdissant.
Un dernier regard.
Nous reprenons la route cette fois-ci à nouveau en direction des blowholes de Houma.
Nous y étions déjà arrivés lors de notre premier jour sur l’île.
Mais le site nous avais tellement plus qu’il méritait bien une deuxième visite.
En outre, l’océan étant déchaîné, les vagues se projettent à plusieurs mètres de hauteur.
Le spectacle est grandiose.
Nous nous trouvons au coeur de la nature.
Au coeur des éléments.
Nous quittons le site et continuons un peu vers l’Ouest.
Nous arrivons sur le site de Vaotu’u.
Nous arrivons dans le village qui comprend le site.
Nous garons notre véhicule.
Il s’agit de plusieurs piscines naturelles dans lesquelles nous pouvons nous baigner.
Quelques adolescentes s’y trouvent déjà.
Nous profitons de ce moment de détente.
Le rire des enfants est agréable à entendre.
Nous passons plus d’une heure à nous relaxer.
En reprenant notre route, nous nous arrêtons dans une sorte de complexe.
Nous visitons l’endroit, quand la famille de propriétaires, originaires de Nouvelle-Zélande nous invite à déjeuner.
En attendant que le déjeuner soit prêt, nous découvrons le site magnifique qui entoure l’hôtel.
Un véritable havre de paix.
La famille est d’une extrême générosité.
Il s’agit du White Sands Beach Resort, joignable aux numéros indiqués ci-dessous.
Nous reprenons la route.
Sur le chemin, nous nous arrêtons à une belle plage.
Le décor ressemble à celui d’une carte postale.
Nous arrivons enfin à l’extrême Nord de l’île.
Il contient plusieurs sites secondaires peu touristiques, mais au combien intéressants.
Nous retournons à Nuku’alofa.
Accompagné de Greg, nous achetons quelques bières.
Nous mangeons ensuite une pizza immense.
Le lendemain, nous nous dirigeons vers le port de Nuku’alofa afin de prendre quelques jours de repos sur l’île de Fafa.
Toujours dans les Tonga, nous nous dirigeons vers le port de l’île de Tongatapu. Nous traversons la capitale : Nuku’alofa.
Etant dimanche matin, nous ne trouvons personne dans les rues ; les gens en profitent pour rester en famille, ce jour étant considéré par les habitants comme sacré. Nous arrivons au port.
Pour 60 euros, nous avons réservé une expédition d’une journée sur l’île de Fafa, une des plus belles du pays. De nombreux touristes ont eu cette idée.
A 9 h précise, le capitaine nous enjoint à grimper dans son embarcation.
Assis sur le devant du bateau, un jeune homme tenant dans ses mains, un Ukulélé.
Le bateau démarre.
Les notes du Ukulélé bercent notre avancée, au rythme des vagues.
Il est agréable de profiter ainsi de ces paysages fabuleux. L’île de Tongatapu s’éloigne.
Le capitaine tient le manche.
Nous quittons après une dizaine de minutes, le port.
Le trajet dure plus d’une heure.
La couleur de l’eau change.
Nous apercevons les berges paradisiaques de l’île de Fafa.
Nous devons tous descendre sur une sorte de berge flottante.
Nous n’avons qu’une hâte : sauter à l’eau.
Mais à notre surprise, la berge flottante est guidée par une moteur.
Une sorte de radeau flottant d’une modernité sans égale.
Nous posons les pieds sur le sable chaud de l’île.
Nous faisons quelques pas.
L’île comprend un hôtel quatre étoiles ainsi que tous les équipements requis.
Nous en découvrons les installations.
Le réceptionniste nous convie à nous asseoir.
Nous déposons nos bagages.
Le directeur de l’hôtel nous invite à nous restaurer.
Nous dégustons un succulent repas compris dans le prix de l’excursion.
L’ambiance est festive.
Face à nous, une vue magnifique.
Même les oiseaux semblent ne pas se lasser de ce coin de paradis.
Les bords de plage s’étendent.
Nous pouvons apercevoir les différentes couches d’eau, les coins foncés représentant les coraux.
Et les coins plus clairs, une profondeur d’eau peu grande.
Nous terminons notre repas.
Nous laissons nos bagages à l’hôtel.
Nous nous dirigeons vers le fond de l’île.
Au choix, le chemin se fait par le sable ou les pieds dans l’eau.
Nous choisissons l’eau.
Nous pénétrons au coeur de l’île.
Et retournons les bords de plage.
Nous arrivons à un coin encore plus paradisiaque.
Le côté opposé de l’île est plus sauvage.
Des sortes de plaques de coraux recouvrent le sol.
Nous continuons notre avancée.
Le réceptionniste nous a conseillé un endroit dans lequel plonger.
Nous posons nos affaires. Nous nous plaçons à l’ombre de beaux palmiers.
Leurs grandes feuilles nous abritent du soleil.
Il faut dire que la température de 35 degrés est difficilement supportable.
Mais ainsi protégés du soleil, nous nous sentons bien.
Nous nous équipons.
Nous rejoignons cette eau qui nous a tant attiré.
Les fonds marins sont encore vierges de toute activité humaine.
Des centaines de poissons nous tournent autour.
Surpris de découvrir ces deux mammifères ainsi accoutrés.
Nous faisons attention de ne pas abîmer le corail.
Nous marchons à côté.
En essayant de ne pas tomber.
Effectuer du snorkelling est difficile lorsque le mouvement de l’eau empêche d’être statique.
Mais, nous parvenons malgré tout à profiter pleinement de ce spectacle.
Nous quittons ensuite l’île de Fafa pour retourner sur l’île de Tongatapu.
Nous revenons de Fafa island et nous nous dirigeons vers un cyber café.
Nous faisons connaissance avec un pêcheur.
Quelques jours de farniente plus tard, nous saluons Noah, le patron de notre hôtel.
Nous rendons notre véhicule à la compagnie de location de véhicule.
Nous traversons à pied la ville pour nous rendre à la gare des bus.
Nous ne payons pas le transport ; le chauffeur nous emmène gratuitement à l’aéroport.
Nous procédons à l’enregistrement de nos bagages en direction des Fidji avec la compagnie Fidji airlines.
Nous patientons dans l’aéroport.
Notre avion vient de se poser sur la piste.
Nous passons les contrôles de sécurité.
Un bus nous conduit sur la piste à notre avion.
Nous quittons le royaume des Tonga.
Nous faisons une brève escale aux Fidjis. En provenance des Fidji, nous embarquons pour Tuvalu.
Nous embarquons avec la compagnie Air Fidji, seule localisation possible pour rejoindre l’île ; le trajet dure 3 heures et coûte prés de 300 euros.
Dans l’avions, nous remplissons la carte d’embarquement.
Nous nous reposons un peu.
Un repas léger nous est offert. Nous passons le temps en regardant la vue de l’océan.
L’archipel apparaît sous nos pieds.
Nous atterrissons dans cet archipel très peu visité par les touristes ; au grand maximum, quelques Français tous les 2 ans.
Nous atterrissons ; nous rejoignons l’aéroport de Funafuti, Funafuti étant le nom de l’île et non celui d’une ville : l’archipel ne comporte pas de capitale.
Nous attendons de passer par le poste frontière ; en attendant, nous sommes autorisés à sortir de l’aéroport, sans avoir notre tampon d’autorisation d’entrée pour fumer une cigarette ou s’aérer. A plusieurs reprises, en attendant que la file se décongestionne, nous entrons et sortons. Il faut dire que l’aéroport est ouvert aux quatre vents.
Nous obtenons notre tampon d’entrée, gratuitement pour un mois. On ne nous demande même pas notre billet retour.
Nous récupérons nos bagages et rejoignons l’extérieur.
Pour ce faire, nous sommes obligés à nouveau de passer par le contrôle immigration ; on ne nous contrôle même pas.
Nous rejoignons immédiatement la seule banque du pays afin de faire le change de notre monnaie ; l’argent australien en ce qui concerne les billets a cours ; les pièces quant à elles sont de Tuvalu.
Nous faisons connaissance avec un chauffeur qui nous servira de conducteur toute la durée de notre séjour ; il nous demande 30 euros par jour, tout compris. Il s’appelle Nim et est joignable au 90 29 84.
Immédiatement, nous traversons Funafuti ville ou du moins, une ville sur l’île de Funafuti, le pays ne possédant pas de capitale.
Les maisons sont faîtes avec des tôles ondulées pour la plupart d’entre elles.
Quelques petits commerces sont disséminés sur la route.
Notre chauffeur est véritablement un homme d’une gentillesse extrême. Toujours attentif, il n’hésite pas à nous faire la présentation de son pays qui ne reçoit vraiment pas beaucoup de touristes ; le dernier Français qu’il a croisé remonte à 10 ans. Quel dommage puisque l’$ile est un véritable paradis.
Et contrairement à ce que les climatologues racontent, les Tuvalu ne disparaîtrons pas dans 40 ans avec une légère montée des eaux, le pays étant assez bien préparé pour résister à tout, comme il sait résister aux cyclones qui le frappent durant la saison des pluies.
Nous rejoignons le côté Nord de l’île.
Il faut 30 minutes pour rejoindre le point le septentrional.
Sur le bas côté, de nombreux cadavres de véhicules.
Ainsi que des maisons qui tiennent à peine debout.
Nous arrivons à la fin de l’île.
Le décor est splendide.
A perte de vue, une eau bleu turquoise.
Notre chauffeur nous accompagne.
Nous sommes vraiment seuls au monde.
Nous pouvons apercevoir le corail qui se dresse sous nos pieds.
Nous faisons connaissance avec un pêcheur au harpon.
Nous pouvons avancer loin en ayant toujours de l’eau jusqu’aux genoux.
Un autre pêcheur entre dans l’eau.
Nous reprenons la route.
Nous nous arrêtons après avoir aperçu une famille cherchant des coquillages.
Face à nous, la route principale du pays ; paradoxe, elle mesure la largeur du pays.
Nous nous arrêtons sur le bas côté. Nous nous lions d’amitié avec des travailleurs manuels.
Des bateaux se trouvent non loin du rivage ; ils traitent le sable afin d’augmenter artificiellement la taille de l’île.
Face à eux, un pêcheur.
Nous continuons notre route. Le décor alentour semble apocalyptique.
La gestion des déchets est difficile pour les fonctionnaires locaux.
Une grosse carcasse de bateau git sur le sable.
Nous l’admirons sous toutes les coutures.
Nous visitons un garage, le seul de l’île.
Nous nous dirigeons à présent vers le coeur de Funafuti.
Sur notre gauche, un cimetière. Il s’agit du seul cimetière de l’île, les habitants pouvant enterrer leur proche devant leurs habitations.
Des enfants se font engueuler car ils jouent avec les pierres qui ornent les tombes.
Nous reprenons notre route.
Nous nous dirigeons à présent vers le Sud de l’île.
Le chauffeur nous arrête dans un restaurant tenu par des chinois ; il s’agit de la population étrangère majoritaire de l’île.
Nous mangeons pour une dizaine d’euros.
Nous nous dirigeons ensuite vers l’hôtel de ville.
Nous faisons la connaissance de Chris, le responsable des rangers de la réserve du pays ; nous irons en bateau avec lui le lendemain et découvrirons un des plus beaux paysages au monde ; pour toute la journée, le tarif gouvernemental fixé est de 200 dollars australien.
Nous découvrons non loin de là, la cathédrale du pays.
Nous reprenons la route.
Nous arrivons sur la piste de l’aéroport, qui est à notre grande surprise, la route principale de l’île.
Face à elle, les bureaux du gouvernement.
Nous nous promenons sur la piste de l’aéroport. Un avion atterrit chaque semaine ; le reste du temps, la piste est un terrain de jeu grandeur nature.
Nous parvenons jusqu’au côté Sud de l’île.
Nous découvrons une sorte d’hôpital.
De l’aéroport, il nous faut moins de 10 minutes pour rejoindre le point le plus méridional de l’île.
Nous garons notre véhicule.
Nous effectuons le reste de notre découverte à pied.
De nombreux petits galets se trouvent sous nos pieds.
A notre gauche, l’île est frappée par de grosses vagues de l’Océan Pacifique.
Ce qui change radicalement avec le lagon qui se trouve sur notre droite.
Un sentiment de solitude nous domine.
Nous retournons sur nos pas ; nous discutons avec des habitants qui nous questionne, encore surpris de découvrir un voyageur étranger en ces lieux reculés.
Des travailleurs déchargent une barque.
En face de nous, un bateau qui retire le sel de l’eau.
Une jolie jeune fille possède une coiffe faîte en fleurs.
Nous marchons et faisons connaissance avec un homme qui symbolise son pays : la force tranquille.
Un peu plus loin, une femme dans la même position.
Des travaux étant entrepris sur la route, la seule et l’unique ; nous devons attendre 20 minutes avant d’être autorisés à passer.
Nous croisons un garçon de bas âge, maquillé comme une fille ; le chauffeur nous raconte que sur l’île et souvent dans le Pacifique, si une famille a eu plusieurs garçons, le quatrième sera considéré comme la fille de la maison afin de pouvoir aider aux charges quotidiennes ; dés son plus jeune âge, il sera accoutré et maquillé en tenant le rôle de cette fille qu’ils n’ont pas eue.
Nous faisons quelques emplettes dans un supermarché local.
Nous rejoignons l’aéroport : il est devenu un terrain de jeu.
Tous les sports sont représentés.
Les motos sont le moyen de déplacement le plus facile de l’île ; les touristes peuvent également en louer.
L’ambiance est bon enfant.
Les gens sont heureux.
Nous retournons au centre de l’île.
Nous découvrons notre auberge : le Wamasiri lodge, réservée pour une trentaine d’euros la nuit.
L’auberge qui ne paye pas de mine reste acceptable.
Une fois nos affaires déposées, nous partons à la rencontre de l’île à pied. Nous effectuons quelques achats de produits de premières nécessités.
Nous passons un agréable moment dans un bar.
Et nous tuons le temps face au lagon en attendant que le soleil se couche.
Dans la nuit noire, nous rentrons à l’auberge.
Nous nous arrêtons dans une boulangerie traditionnelle après avoir senti une bonne odeur de pain chaud.
Nous avons l’auberge pour nous.
Le lendemain matin, un chauffeur vient nous chercher sur sa mobylette.
Nous retrouvons Chris, notre rangers : il s’agit d’un homme exceptionnel qui va nous faire vivre en une journée, une expérience formidable et unique : il peut être joint au 20 489 ou 902 489.
En l’attente du départ, nous arpentons les ruelles des maisons qui semblent constituer un petit village.
Un homme travaille sur une légère embarcation.
Le collègue de Chris prépare le bateau qui nous servira la journée.
Nous grimpons à bord.
Durant cette journée, Chris en profitera pour pêcher à l’ancienne.
C’est alors que des dauphins sauvages nous accompagnent.
Chris quant à lui, pêche.
Nous apercevons la première île sur laquelle nous allons accoster : l’île Tepuka.
Nous nous approchons de l’île.
Nous posons pied sur le sable.
La végétation est dense.
Les couleurs de l’eau sont idylliques.
Une véritable vie animale s’est développée sur l’île.
Le décor est celui d’une carte postale.
Nous décidons de plonger à la découverte des fonds marins.
Un vieux canon rouillé traîne près du bord.
Le corail est magnifique ; il s’étend à perte de vue.
Nous retournons sur l’île.
Nous rejoignons le bateau.
Nous quittons malgré nous cet endroit.
Nous profitons d’un soleil de plomb. Mais, en l’espace de deux heures d’exposition, nous serons victimes d’un coup de soleil violent, un des plus forts jamais ressentis par nos corps. Il nous faudra au moins 2 semaines pour nous en remettre.
En l’attente, nous profitons de ce spectacle grandiose.
Surtout, lorsqu’en frappant la coque du bateau, des milliers d’oiseaux s’élèvent dans les airs.
Nous reprenons notre route ; sur le chemin, à deux reprises, Chris parviendra à pêcher deux gros poissons.
Nous arrivons à présent sur l’île de Fualupa.
L’eau est encore plus transparente que sur l’île précédente.
Chris et son acolyte s’enfoncent sur l’île.
Chris m’indique que son travail dans la zone de protection consiste à protéger les espèces vivantes.
Il m’indique les traces laissées par une tortue géante.
Il creuse et des oeufs de tortues apparaissent.
Il doit les extirper afin de les changer d’endroit.
Et ce, dans le but de les compter et de les protéger des prédateurs.
Durant une demi-heure, les oeufs sont extirpés du sol délicatement.
Il en comptera près de 102, malgré quelques oeufs brisés.
Il les replace en terre juste à côté.
Nous passons prés d’une heure sur l’île.
A nouveau, des oiseaux s’élèvent dans le ciel.
Nous ne résistons pas à l’envie de plonger dans la mer.
Le corail est encore plus beau que lors de notre précédente plongée.
Nous faisons attention de ne pas le casser ; il est fragile.
En outre, le corail permet le développement d’une biodiversité unique.
Les poissons aiment particulièrement s’y retrouver afin de se nourrir et se protéger des prédateurs.
Nous reprenons la route.
Plusieurs couches de bleu correspondent à différentes profondeurs de l’eau.
L’île de Quafatu apparaît devant nous.
Nous y accostons.
Nous nous y baignerons après.
Avant une autre plongée, Chris veut nous préparer à l’ancienne le poisson qu’il a pêché auparavant.
Il récupère des feuilles de cocotiers séchées.
Il se désaltère.
Et trouve sur cet îlot perdu, une paire de lunettes de soleil.
Le soleil cogne fortement.
Le poisson est posé sur une grille naturelle.
Après nous être régalé, nous effectuons une petite séance de snorkelling.
Le fond marin nous attire.
Nous reprenons le chemin.
Au coeur du lagon, nous replongeons.
Nous naviguons dans le lagon.
Nous apercevons les restes rouillés d’une machine.
C’est à ce moment que Chris nous enjoint de nous jeter à l’eau.
Nous nous exécutons et assistons à un des plus formidables spectacles que nous ayons vu dans notre vie.
Face à nous, une raie manta majestueuse qui tourne autour ed nous et se laisse filmer sous toutes les coutures.
Elle s’éloigne de manière majestueuse en battant des nageoires, un peu comme un oiseau.
Il est à présent l’heure de rentrer.
Il nous faudra une heure de navigation pour rejoindre Funafuti.
Après une bonne nuit de sommeil, le lendemain nous passons une journée de farniente.
Le surlendemain, nous découvrons un peu plus en profondeur l’îlot de Funafuti.
Le soir, nous rentrons à l’auberge.
Nous mangeons de manière traditionnelle à même le sol.
Le lendemain matin, nous nous dirigeons vers l’aéroport afin de prendre notre vol en direction des Fidji. Nous découvrons près de l’aéroport, un quartier moderne, le seul de l’île.
Notre vol est à midi ; il est 9 heures ; nous avons le temps d’arpenter l’île.
Les différentes îles sont indiquées.
Face à nous, le bureau des télécommunications. Il faut préciser que nos portables européens ne passent pas sur l’île.
Nous nous rendons à l’aéroport afin de procéder à l’enregistrement de nos bagages.
La délivrance de nos billets se fait de manière manuelle.
Quelques panneaux égayent l’endroit.
Un seul bar est disponible dans l’aéroport ; nous y goutons quelques spécialités locales.
Nous traversons la piste de l’aéroport.
Un camion de pompier inspecte la piste.
Nous traversons une sorte de zone industrielle.
Un jardinier coupe l’herbe sur l’unique pelouse du pays.
La côte Est de l’île est battu par des vents violents, rien à voir avec la côte Ouest qui borde le lagon.
Nous retournons à l’aéroport.
Sur les arbres, des bouteilles recueillent le jus des palmiers.
Un garde sécurité dans l’aéroport sépare les arrivées des départs. Nous lui conseillons de noter sur les panneaux qu’il a du mal à agencer correctement, des numéros afin de ne pas être en difficulté à chaque montage.
Le camion de pompier à présent laisse retentir sa sirène. La piste est vidée de tout occupant.
Nous faisons connaissance avec un Sud africain mandaté par une entreprise locale ; après 3 mois, il trouve le temps long.
Le camion de pompier s’arrête.
Un avion atterrit là où quelques heures auparavant, la vie foisonnait.
Des passagers en descendent.
Nous passons le contrôle de l’immigration ; une simple formalité.
Nous embarquons dans l’avion.
Nous décollons.
Tuvalu s’éloigne.
Nous pouvons enfin nous reposer.
Nous faisons une brève escale aux Fidjis. En provenance des Fidji, nous embarquons en direction des Samoa. Nous prenons un vol avec la compagnie Air Fiji ; le vol décolle de Suva et dure 3 heures ; il coûte 300 euros.
Nous remplissons notre carte de débarquement.
Nous survolons les Samoa.
Nous nous apprêtons à atterrir.
L’avion entame sa descente.
Les roues se posent sur le sol.
Nous pénétrons dans l’aéroport et sommes accueillis par un musicien traditionnel.
Nous passons les contrôles de l’immigration ; en tant que Français, un visa nous est délivré gratuitement. Nous ne sommes pas contrôlés par les douaniers.
Nous faisons connaissance avec un chauffeur privé, un homme exceptionnel, marrant et généreux ; il s’appelle Elekosi Evagelia et il est joignable au 685 778 4522.
Il demande 70 euros par jour, voiture et essence compris pour se déplacer dans toute l’île ; il est un chauffeur inoubliable qui est responsable en grande partie de la réussite de ce voyage.
Notre chauffeur nous conduit jusqu’à son véhicule, un grand van.
Nous prenons la route en direction de l’Est de l’île.
Les maisons défilent.
Nous arrivons dans un beau village.
L’île est fleurie.
Chaque village comprend une église, une école et des tombes qui se trouvent devant les habitations, le gouvernement dans le pays n’étant pas propriétaire des terres.
Nous nous arrêtons sur la route afin de découvrir une école.
Le personnel enseignant nous accueille avec le sourire.
Non loin de l’école représentant une sorte de collège, une école primaire.
Nous reprenons la route.
Nous traversons nombre de petits villages.
Chaque maison comprend une sorte de hall traditionnel dans lequel les membres de la famille se regroupent en cas d’évènements exceptionnels.
Les enfants sur le bord du chemin nous accueillent avec de beaux sourires.
Nous nous arrêtons dans une épicerie afin de faire quelques achats ; les prix sont approximativement équivalents à ceux de la France.
Nous arrivons à proximité de la première chute.
La chute s’appelle Togitogiga.
Nous payons quelques euros l’entrée.
Nous continuons de rouler sur un petit chemin de terre.
Nous garons notre véhicule.
Nous continuons à pied.
La chute s’étend sur plusieurs niveaux.
Les arbres qui l’entourent donnent une touche de fraîcheur à l’endroit.
Nous reprenons notre route.
Nous nous dirigeons vers un des sites les plus touristiques de l’île.
Nous découvrons nombre de belles églises.
Nous arrivons sur le site de To Sua, un trou d’eau géant, ce qui est appelé ici : un giant hole.
L’entrée est de 20 euros.
Nous rejoignons en quelques minutes le trou géant.
Il est très profond.
A l’intérieur, des visiteurs se baignent.
Nous lisons quelques consignes de sécurité.
Nous découvrons les alentours.
Nous descendons. D’abord par des escaliers.
Puis par une échelle horizontale.
Nous nous empressons de plonger.
L’eau située dans cette sorte de cuvette est chaude.
Nous ne perdons pas une miette du site.
Nous nous lançons à l’eau.
Le site est unique.
Le soleil parvient à éclairer le trou en pénétrant par tous les chemins possibles.
Nous plongeons.
A certains endroits, nous pouvons apercevoir de gros poissons.
Nous remontons et découvrons les alentours du trou géant.
Nous reprenons la route ; nous nous dirigeons vers le Sud Ouest.
Nous traversons l’île en son centre ; nous arrivons aux chutes Sopoaga.
Trois euros par personne sont nécessaires pour entrer sur le site.
L’endroit est joliment fleuri.
Les chutes sont magnifiques.
Nous ne pouvons malheureusement pas descendre en contrebas.
Nous devons les admirer en hauteur.
Ce qui n’est pas plus mal pour les photographies.
Notre chauffeur nous explique ensuite la vie dans son pays ; il nous montre comment fabriquer de la crème de noix de coco.
Nous faisons connaissance avec une famille que l’on rencontre sur le site.
Nous continuons notre route en direction du Nord de l’île.
Le paysage est forestier et montagnard.
La route est en bon état.
Nous faisons une halte aux chutes Falefa.
Il s’agit de petites chutes entourées par de hauts arbres.
L’endroit n’a rien d’exceptionnel, mais il reste agréable.
Les chutes tombent dans un fleuve qui se jette dans la mer.
Nous reprenons la route ; sur le côté, les poubelles sont placées sur des supports où elles sont récupérées un jour par semaine.
Nous continuons notre route.
Nous traversons la ville de Piula.
Nous nous arrêtons aux abords de la Piula cave.
Nous payons 5 euros pour l’entrée.
Nous avons le site juste pour nous.
Nous n’hésitons pas à la parcourir.
L’intérieur de la cave est magnifique.
Des reflets ocres ornent les murs.
Nous nous enfonçons dans les profondeurs du site.
L’eau reste fraîche.
Nous nous dirigeons ensuite vers Apia.
Apia est une ville agréable.
Nous longeons le bord de mer.
La ville comporte de belles églises.
Nous nous dirigeons vers notre hôtel.
L’hôtel est situé non loin du centre.
Nous avons réservé une chambre au Samoan outrigger ; la chambre coûte 40 euros.
A l’intérieur de l’hôtel, nous louons une chambre dans une habitation traditionnelle.
La nuit tombe.
Nous nous rendons au Scalinis restaurant, un restaurant haut de gamme.
Nous dormons ensuite à l’extérieur.
Nous nous rendons demander conseil pour la visite de l’île de Savai’i à la réceptionniste.
Il fait nuit noire.
Après une journée de farniente, deux jours plus tard, nous retrouvons notre chauffeur qui nous conduit en plein coeur de la ville d’Apia.
Tôt le matin, nous visitons le marché aux poissons.
Ainsi que le port.
Nous nous rendons non loin de l’aéroport, plus précisément au port de l’île.
Nous devons circuler vers l’Ouest.
Nous arrivons au port.
Nous payons un ticket pour le prix de 15 euros le ticket. La bateau nous permettra en 1 heure de rejoindre l’île de Savai’i.
Nous récupérons notre billet.
Nous grimpons dans le bateau ; le bateau a une rotation d’un par heure approximativement ; il n’est pas nécessaire de réserver en avance.
Les gens se pressent à l’intérieur.
Nous découvrons ce ferry immense.
Le départ est donné.
Les voyageurs en profitent pour se reposer sur le pont supérieur, un léger vent frais soufflant.
L’île d’Upulu s’éloigne.
Nous apercevons au loin l’île de Savai’i.
Nous nous laissons bercer par les vagues ; d’une manière générale, la mer est calme.
Le bateau accélère la cadence.
De nombreux voyageurs effectuent la traversée avec leur véhicule ; mais le prix est d’approximativement 100 euros l’aller.
Les côtes se rapprochent.
Les ouvriers se préparent au débarquement.
Nous posons le pied au sol.
Nous resterons 2 jours sur place ; pour ce faire, nous trouvons un chauffeur qui accepte pour 80 euros par jour de nous servir de chauffeur guide. Soit, bien moins cher que si nous avions loué une voiture, en payant la traversée ainsi que l’essence.
Il s’appelle Olive Setemat et il peut être joint au 685 773 2072.
Nous quittons le port.
Les bus sont chargés à ras-bord.
Un policier gère la circulation comme il peut.
Nous nous dirigeons vers le Sud de l’île.
Nous retirons un peu de liquides au distributeur.
Nous arrivons à l’entrée des chutes Afu Au.
Nous payons 5 euros par personne.
Nous garons notre véhicule.
Il nous faut marcher quelques instants pour rejoindre la chute principale.
Il faut dire que plusieurs chutes intermédiaires parsèment l’endroit.
Une petite guérite permet de se changer.
Le décor est somptueux.
Nous admirons le spectacle.
Nous dépassons une autre guérite.
Une dernière chute intermédiaire.
Nous arrivons à la chute principale.
Le bruit de l’eau est assourdissant.
Quelques résidents de l’île en profitent pour se baigner.
Nous nous dirigeons ensuite vers les blowholes.
Sur la route, des chants nous attirent.
Il s’agit d’un enterrement ; sans nous connaître, les proches de la défunte nous invite à partager ce moment de tristesse. Il faut préciser qu’un enterrement aux Samoas est partagé entre le recueillement et l’allégresse. L’évènement donne aux villageois de se regrouper et de partager ce moment. Les chants sont entrecoupés de périodes de fêtes où la nourriture coule à profusion.
Nous rejoignons un groupe qui s’affaire à préparer à manger.
Nous sommes marqués par la gentillesse des gens qui nous considèrent comme des membres de leur famille.
Ils nous invitent à manger et nous accueillent avec respect.
Nous les quittons, l’estomac encore noué d’avoir reçu un tel accueil.
Nous arrivons aux abords des blowholes.
Il nous aura fallu 2 heures de trajet depuis le port pour rejoindre ce site magnifique.
Nous tournons à gauche.
Il s’agit des blowholes Pa Sopoia.
Un petit chemin de terre nous conduit jusqu’à l’entrée principale.
Nous payons 5 dollars l’entrée.
Nous longeons le bord de mer.
Nous devons effectuer le reste du chemin à pied.
Nous pouvons découvrir déjà la puissance des vagues qui s’éclatent contre les rochers.
Le vent souffle fortement.
Les palmiers sont penchés, et ce du à la force du vent.
De gros rochers sont dispersés tout du long du bord de mer.
Encore quelques instants.
Les blowholes apparaissent.
Les vagues font plusieurs mètres de hauteur.
Nous sommes humidifiés par de nombreux embruns.
Le spectacle est magique.
Il nous faut être patients pour saisir la photo au bon moment.
Nous reprenons le chemin du retour.
Nous retournons au port pour cette fois-ci aller au Nord de l’île.
Nous nous arrêtons pour découvrir les paysages magnifiques qui nous entourent.
Nous achetons quelques boissons fraîches.
Et arpentons le bord de mer.
Un barbecue traditionnel nous procure une sensation de bien être.
Nous reprenons la route.
Nous arrivons dans le Nord de l’île.
Sur le chemin, de nombreuses habitations ouvertes ; il s’agit en réalité de constructions familiales dans lesquelles se tiennent les réunions importantes pour la vie en communauté.
Chaque famille en possède une.
Nous nous dirigeons à présent vers le lagon des tortues du Pacifique.
Il s’agit sur l’île d’une activité phare, unique au monde.
Nous traversons un brin de mer.
Nous pénétrons sur le site.
L’étendue d’eau est située dans un cadre naturel.
Nous payons une dizaine d’euros et sommes seuls sur le site.
Nous apercevons les premières tortues.
Pour le prix, nous avons le droit d’aller dans l’eau et de nager avec ces animaux majestueux.
L’eau est un peu froide.
Les tortues s’avancent vers nous.
Nous les voyons évoluer sous l’eau.
Le spectacle est magique.
Un véritable rêve d’enfant.
Nous partageons durant de longues heures ce moment.
Nous pouvons les admirer sous toutes les coutures.
Le ballet aquatique est surprenant.
Elles n’hésitent pas à se rapprocher de nous, voire à nous toucher.
Une trentaine de tortues sont présentes.
Nous quittons les animaux et reprenons la route.
Sur le chemin du retour, nous nous arrêtons sur le site de Lava fields, un site naturel de roches magmatiques sèches.
L’île de Savai’i est constituée en majorité de cet élément volcanique.
Nous reprenons la route en direction du port, là où se trouve notre hôtel.
Nous nous arrêtons quelques instants pour découvrir le coeur de l’île.
Nous retournons sur le bord de mer.
Les habitants que nous croisons sont généreux.
Le chauffeur souhaite nous arrêter à un endroit apprécié des touristes.
Il s’agit de la plage Toelan.
Après une courte baignade, nous reprenons la route.
Sur le bas côté, un attroupement nous interpelle : il s’agit d’un concours de chant à la manière de l’émission télévisuelle : Incroyable talent.
Nous nous dirigeons ensuite après avoir partagé ces chants et danses locales, à notre hôtel : Lusia’s accomodations, un hôtel de bonne qualité. Nous réservons un chalet face à la mer pour une somme de 50 euros la nuit, petit-déjeuner compris.
Nous procédons à l’enregistrement de notre présence.
Nous nous dirigeons vers notre chalet.
Le chalet est confortable.
Mais le plus surprenant reste la vue que nous avons sur l’océan.
Après une bonne nuit de sommeil, nous en profiterons pour passer une journée de farniente avec repos, repos et repos.
Le soir, nous retrouvons notre coucher de soleil.
Le lendemain matin, pour la somme de 5 euros, un chauffeur de taxi nous emmène jusqu’au port voisin.
Nous repayons 12 euros pour l’achat d’un ticket nous permettant de retourner sur l’île d’Upulu.
Nous grimpons sur le pont du ferry.
Nous quittons l’île de Savai’i.
Après une heure de traversée, nous arrivons sur Upulu.
Nous posons le pied sur le sol.
Nous retrouvons notre chauffeur pour continuer notre visite de l’île principale d’Upulu.
Nous faisons quelques emplettes dans un magasin.
Nous nous dirigeons vers le centre ville d’Apia.
Nous découvrons la ville en profondeur.
Nous visitons les abords du Parlement.
Puis nous longeons le bord de mer.
La température extérieure est de 35 degrés.
Etant donné que nous sommes dimanche, les rues sont désertes.
Mis à part quelques commerces, la plupart des magasins sont fermés.
Le centre semble fantôme.
Nous nous dirigeons vers la cathédrale.
Nous faisons connaissance avec le village traditionnel du pays.
Face à nous la cathédrale.
A sa gauche, le port.
Nous visitons les alentours.
Et découvrons ces constructions artisanales qui font la renommé du pays.
Nous entrons ensuite dans la cathédrale.