En provenance de la Turquie, nous passons le poste-frontière géorgien à Sarki.

L’attente à la frontière turque peut durer jusqu’à 6 heures. Du côté géorgien, tout est beaucoup plus fluide. Seul le conducteur reste dans son véhicule ; les passagers doivent descendre et emprunter le passage réservé dans le bâtiment. En tant que Français, le visa est gratuit.

La policière nous laisse passer, mais elle nous enjoint à nous garer un peu plus loin et à prendre une assurance pour notre véhicule. Nous payons une vingtaine d’euros pour un mois.

Nous nous garons une nouvelle fois un peu plus loin et faisons le change de notre argent.

Il est temps pour nous de prendre la route vers la ville de Batoumi.

Nous traversons une petite ville.

Nous entrons dans la périphérie de Batoumi.

La ville est une des plus grandes du pays.

Nous prenons la direction du centre historique.

Nous rejoignons notre hôtel : le Premium residence que nous négocions à 50 euros la nuit.

Il est temps pour nous de découvrir la ville.

Dans le centre historique, nous découvrons notre premier monument : une cathédrale orthodoxe.

Face à la cathédrale, se trouve une des plus belles places de la ville.

Nous prenons une petite collation.

A pied, nous rejoignons le Waterfront.

Des ouvriers s’affairent à rénover la route.

Un beau parc nous permet de nous détendre.

Nous empruntons une route qui nous emmène à un autre secteur touristique de la ville.

Nous découvrons une autre place sur laquelle se trouvent de beaux monuments.

De nombreux touristes se massent atour de guides qui proposent leurs prestations.

Nous continuons tout droit.

Nous dînons dans un restaurant de la ville.

Nous en profitons pour une quinzaine d’euros de nous faire masser afin de nous détendre de ce passage de la frontière compliqué et qui nous a épuisé.

Nous rejoignons ensuite notre hôtel.

Le lendemain matin, nous prenons la route vers les plages de la ville.

Nous passons la journée à la plage qui possède un long Waterfront dynamique.

Batoumi est une des villes les plus touristiques du pays.

Le sol ne comporte cependant pas de sable.

Le soir, nous assistons à un beau coucher de soleil.

Il est temps pour nous de rejoindre une guest-house que nous avons réservée au prix de 10 euros la nuit.

Nous faisons une halte dans un magasin afin d’acheter quelques fruits.

Nous rejoignons notre guest-house.

Le lendemain matin, nous repartons de bonne heure en direction de la ville de Gori.

Nous sortons de la ville.

Nous entrons dans la campagne géorgienne.

Nous faisons une halte dans une station service afin de faire le plein de carburant.

Nous faisons la connaissance d’un groupe de touristes géorgiens qui remarquent notre plaque française ; ils testent leur Français en notre compagnie.

Nous effectuons quelques achats de base dans un supermarché.

Nous reprenons la route.

Nous circulons ne direction de Samtredia.

Nous prenons ensuite la route vers la grotte Prometheus.

Nous entrons dans la ville de Tskaltubo.

La grotte Prometheus est bien indiquée.

Nous faisons connaissance avec un pêcheur.

Nous reprenons notre route.

Nous faisons une halte dans la ville.

Nous nous arrêtons dans un petit marché local.

Les gens sont accueillants et sympathiques.

Les vendeurs nous arrêtent pour nous offrir des pommes et d’autres fruits.

Nous reprenons notre route.

Nous prenons une dernière bifurcation.

Nous nous garons sur le parking des grottes.

Nous entrons dans le centre pour les visiteurs.

Nous payons un peu plus d’une dizaine d’euros par personne, prix réduit par deux pour les moins de 18 ans et les étudiants.

Après avoir été rejoints par notre guide, nous pouvons descendre vers l’entrée de la grotte.

Situé dans le village Kumistavi, dans la région Tskaltubo, la grotte est longue de 20 000 mètres. Ce qui fait d’elle la grotte la plus longue d’Europe.

L’histoire de la grotte remonte au mythe grec de Prométhée enchaîné dans le  Caucase et le voyage des Argonautes en Colchide pour la Toison d’Or.

Prométhée est un dieu, qui a passé 30000 années dans la grotte suite à l’ordre de Zeus.

Ainsi, cette grotte exprime le monde plus mystérieux et merveilleux des Argonautes et Prométhée.

La grotte possède différents labyrinthes nommés selon le mythe. Prometheus Cave se compose de 5 salles : la Colchide, Médée, Amour cave, col cave et Prometheus cave.

Prometheus cave est rempli avec des nuances et des pierres de forme irrégulière. La grotte de Prométhée appartient à la formation spéléologiques Karst, qui ne se développe pas dans de nombreux endroits.

Le ticket d’entrée donne droit à la visite de quelques salles ; pour parfaire cette visite, certains visiteurs peuvent acheter une option de découvrir une autre partie de la grotte en bateau.

Nous entrons dans le hall of love.

La grotte est magnifique.

Les lumières projetées sur certaines cavités donnent à l’endroit un côté mystérieux.

Il faut bien trois heures pour visiter la grotte en groupe.

Nous quittons enfin la grotte en fin de mâtinée.

Un minibus nous emmène à notre point de départ.

Nous prenons la route en direction de Koutaïssi.

Sur la route, nous faisons une halte dans un restaurant local.

Nous prenons ensuite la route vers le parc Sataplia.

Pour ce faire, il nous faut prendre la route vers Koutaïssi ; nous aurions pu visiter les gorges non loin de la grotte Prometheus, mais en été, le débit de l’eau n’est pas important ; il nous a paru plus judicieux de découvrir ce parc.

Nous nous garons sur le parking du parc.

Nous payons une dizaine d’euros l’entrée.

Un guide nous attend et nous emmène tout d’abord dans une salle où sont conservées des traces de dinosaures.

Nous découvrons le parc.

A plusieurs endroits, des dinosaures factices ont été placés.

Nous rejoignons ensuite la Sataplia cave.

Il nous faut bien marcher trente minutes pour la rejoindre.

Nous entrons à l’intérieur et passons de 35 degrés à 15 degrés. Le choc thermique est violent.

La grotte bien entretenue est intéressante.

Les murs sont recouverts d’une lumière qui essaye tant bien que mal de les mettre en valeur.

Nous quittons la grotte après trente minutes de visite.

Nous rejoignons l’extérieur. Nous dépassons un restaurant.

Dans une salle, un squelette de dinosaure est placé sur des pierres ; néanmoins, le squelette est faux.

Nous rejoignons un pont suspendu en verre.

Nous avons une vue dégagée sur une forêt boisée.

Le lendemain matin, après une nuit dans une guest house locale, il est temps pour nous de prendre la route vers la ville de Koutaïssi.

Nous entrons dans la périphérie de la ville.

Nous prenons la direction du centre.

Le centre-ville se trouve autour d’un rond-point fort intéressant.

Nous nous garons sur un parking aménagé aux abords de ce rond-point.

Nous parcourons les rues du centre.

Puis nous découvrons un beau petit parc.

Nous apprécions notre balade.

Sur les côtés du parc, un monument commémoratif.

Nous retournons au rond-point central et découvrons la basilique orthodoxe de la ville.

Nous prenons la route après avoir mangé un morceau dans un fast-food local.

Nous quittons la ville et faisons route vers la ville de Gori.

Nous faisons une halte dans une station service.

Nous reprenons la route.

Sur la route, nous croisons de nombreux bus qui effectuent la liaison vers Soukhoumi, la capitale de l’Abkhazie, un état sécessionniste du pays.

Il nous faut deux heures pour rejoindre la ville de Gori.

Nous entrons dans la périphérie de la ville.

Nous prenons la direction du centre.

Nous nous garons aux abords de la place centrale.

Nous nous rendons aux abords de la cathédrale de la ville.

Plus en hauteur, nous pouvons apercevoir le château.

Nous rejoignons la place centrale de la ville.

De nombreuses vendeuses proposent des jouets afin d’arrondir leurs fins de mois.

Au coeur de la place, une vieille fontaine essaye tant bien que mal de cracher un mince filet d’eau.

Nous retournons aux abords de la cathédrale afin de nous rendre dans un restaurant qui nous semble moderne.

Il est temps pour nous de rejoindre notre hôtel.

Nous avons réservé à l’hôtel Leader, une chambre pour 30 euros la nuit.

Le lendemain matin, nous prenons un petit-déjeuner avant de prendre la route vers la ville de Mtskheta.

Nous quittons la ville.

Nous prenons une autoroute en bon état.

En moins de trente minutes, nous arrivons dans la périphérie de la ville.

Nous prenons la route vers le centre-ville.

Nous nous garons le long d’une rue ; nous nous rendons à pied vers le centre historique.

Nous arrivons face à une belle cathédrale orthodoxe.

Nous la visitons.

Une messe y est donnée.

Nous rejoignons l’extérieur de la ville.

La ville comporte une belle rue piétonne.

Dans de nombreuses boutiques, sont vendues les Chourchkhéla, ces desserts en forme de longue tiges multicolores.

Nous nous asseyons afin de déguster des spécialités locales.

Les pelménis appelés également « khinkali »- sont des raviolis à la géorgienne fabriqués avec des farines de céréales autres que le blé. La pâte à raviole est étalée finement et découpée en ronds avec un verre sur lesquels est déposé son contenu. Il s’agit soit d’une farce composée de poivre, de fines herbes, d’oignons, de viande hachée de mouton ou de porc.

Une fois rassasiés, nous repartons en direction de la capitale : Tbilissi.

Nous entrons dans la périphérie de la ville.

Nous prenons la direction du centre historique.

Pour ce faire, nous nous garons sur un parking gratuit aux abords du centre.

Nous arpentons tout d’abord la rive Est du centre.

Le centre est historique ; de nombreux monuments séculaires l’habillent.

Nous découvrons une belle église orthodoxe.

Chaque bâtiment présente un intérêt architectural.

A la fin de la rue, nous retournons sur nos pas.

Nous assistons à une activité prisée des touristes : l’ouverture de l’horloge.

Nous nous dirigeons à présent vers le pont centra de la ville.

Nous approchons du pont de la paix, un des plus beaux de la ville.

Du pont, nous avons une vue dégagée sur plusieurs bâtiments de la ville.

Nous rejoignons ensuite le côté de la rive Ouest.

La rue comprend de nombreux bars.

Nous nous rendons ensuite à la cathédrale de Sion.

Dans une des rues de la ville se trouve un beau marché local.

En repartant vers notre voiture, nous faisons la connaissance d’une grand-mère surprenante à qui nous offrons de l’eau pétillante.

Nous quittons la ville.

Il nous faut bien trente minutes pour sortir de la ville.

Nous faisons une halte sur la route qui nous mène vers l’Azerbaïdjan.

Nous prenons la route ne direction de la ville de Sakobo.

Il nous faut près d’une heure et trente minutes pour rejoindre la frontière.

Nous entrons dans l’extrême Est du pays.

Nous traversons une petite ville.

A la sortie de la ville, nous faisons une halte pour observer un éleveur.

Nous repartons ensuite.

Nous arrivons enfin à la frontière avec l’Azerbaïdjan.

Trente minutes d’attente sont nécessaires pour passer le poste-frontière de la Géorgie.

Nous quittons le pays.

Nous retrouvons la Géorgie du côté du poste frontière de Tekali, soit dans l’extrême Sud Est du pays, une semaine plus tard après notre découverte de l’Arménie. Mais le passage vers l’Arménie durera moins d’une heure sans arrêt dans le pays. Par contre, près de deux semaines plus tard, nous entrons une nouvelle fois en Géorgie par le poste frontière de Bavra pour rejoindre cette fois-ci la Turquie. Etant donné que nous avons déjà notre assurance, les formalités durent moins de cinq minutes.

Le poste frontière étant surtout emprunté par des locaux, les routes sont en mauvais état.

Le paysage alentour est beau.

Nous mettons près de trente minutes pour effectuer quelques kilomètres.

De nombreux véhicules en panne se trouvent le long de la route.

Nous prenons la direction de la Turquie et faisons une halte dans une petite ville afin de manger un morceau.

Nous reprenons la route.

Un plein de carburant s’impose.

Nous reprenons la direction vers la ville de Akhaltsikhé.

Le paysage extérieur est sauvage.

La frontière turque se rapproche.

Nous circulons à nouveau dans la campagne géorgienne.

La frontière se rapproche.

Des miradors marquent la frontière.

Nous prenons avec nous un vieil homme qui fait du stop.

Après avoir déposé à la frontière notre auto-stoppeur, nous présentons nos papiers ; le contrôle dure moins de 5 minutes. Nous quittons le pays.