En provenance d’Ukraine, nous nous rendons en Biélorussie.

Le vol depuis Kiev dure 1 h 30 et coûte 100 euros par personne en  aller-retour.

En tant que Français et en arrivant par avion, le visa n’est plus obligatoire et peut être effectué à l’aéroport.

         

Nous nous approchons de Minsk, la capitale.

Nous atterrissons.

  

Nous passons les contrôles de sécurité rapidement.

 

Nous cherchons un chauffeur qui pourra nous conduire durant les trois jours, durée de notre visite du pays.

 

En attente, nous effectuons le change de notre monnaie.

Nous faisons la connaissance d’un chauffeur qui accepte de nous conduire pour la somme de 90 euros par jour, essence comprise. La voiture de location étant à 70 euros, le prix nous semble correct.

   

Nous entrons dans la ville de Minsk.

 

Nous nous dirigeons vers notre hôtel.

Dans toutes les voitures est présente une caméra embarquée.

Nous continuons notre route.

Nous découvrons pour 60 euros la nuit, un hôtel magnifique.

Une grande piscine accueille les voyageurs qui souhaitent se détendre.

Le soir, nous nous rendons dans le restaurant de l’hôtel.

  

Nous profitons d’une vue magnifique sur la ville.

   

Le lendemain matin, notre chauffeur vient nous récupérer de bonne heure.

   

Nous traversons la ville de Minsk.

    

Nous nous dirigeons tout d’abord vers le château de Niasvij qui se trouve à une cinquantaine de kilomètres.

     

Nous quittons le centre ville.

Nous entrons dans la banlieue de Minsk.

   

Nous quittons la périphérie de la ville.

    

Nous faisons une halte dans une station service.

Nous entrons dans la campagne biélorusse.

Le pays est très boisé.

De belles statues ornent le bas côté de la route.

Nous traversons des petites villes.

      

De nombreux champs sont présents autour de nous. Nous traversons une autre petite ville.

 

Nous faisons une halte autour d’un lac.

Nous faisons la connaissance d’un pêcheur.

 

Le lac permet une belle balade.

 

Le pêcheur nous appelle pour nous montrer sa prise de la journée.

 

Nous nous arrêtons un peu plus loin dans un champ.

Des ouvriers essayent de nous parler dans un Anglais approximatif.

   

Nous reprenons la route en direction de Niasvij.

Nous entrons dans la ville et prenons la direction du château.

 

Nous découvrons une belle église aux abords du château.

Nous nous garons.

Nous achetons nos tickets 5 euros par personne.

Nous rejoignons l’entrée du site.

Nous devons longer un lac pour rejoindre le château.

 

Le site comprend de nombreuses activités.

Nous arrivons aux abords de la tombe d’un soldat.

Le château se trouve face à nous.

   

Nous entrons dans le château.

   

Il est bien entretenu.

Nous entrons à l’intérieur.

 

L’histoire du château est racontée au travers des objets qui se trouvent en exposition.

 

Nous rejoignons l’extérieur du château.

Nous quittons ensuite le site. Nous prenons ensuite la route vers Doudoutki, une sorte de musée à ciel ouvert.

Tous les panneaux sont en cyrilliques. Il nous faut une heure de route pour rejoindre le site.

     

Aux abords d’une forêt, nous faisons la connaissance avec un bucheron.

Nous reprenons notre route.

Doudoutki ou Dudutki se trouve à deux kilomètres.

   

Nous nous garons.

 

Nous payons la somme de 10 euros par personne, mais étant donné qu’il n’y a pas de contrôle, nous aurions pu faire l’économie d’une telle visite, surtout que les tickets sont seulement demandés pour effectuer une dégustation de fromage.

Le site tend à montrer une vision réaliste du pays le siècle précédent.

Nous effectuons la dégustation de fromage.

Nous reprenons la visite du site.

 

Nous décidons cependant de manger un morceau dans le restaurant local du site.

 

Nous visitons ensuite une ferme.

 

Puis une fabrique traditionnelle d’eau de vie.

Dans de nombreux stands, nous croisons des artisans locaux.

Il est temps pour nous de quitter le site et de rejoindre la ville de Minsk.

Nous retournons dans la ville après une heure de route.

Nous nous dirigeons vers un de ses quartiers de banlieue proche.

Le secteur est constitué de hautes barres d’immeubles.

 

Nous découvrons un marché local.

Les produits sont frais.

Les vendeurs nous appellent pour déguster leurs produits.

Nous prenons la direction du centre ville.

  

La ville est composée de plusieurs secteurs touristiques.

Nous nous arrêtons aux abords d’un lac.

Nous traversons un jardin public.

Nous nous rendons à la place centrale de la ville.

  

 

Nous prenons ensuite la direction du centre ville.

 

Il s’agit du centre dans lequel se trouvent les cathédrales les plus en vues de la ville.

 

Nous buvons un café.

Nous allons visiter le secteur.

La place est magnifique.

 

Face à nous plusieurs cathédrales.

Nous visitons la cathédrale orthodoxe.

Normalement, les photos sont interdites, mais nous en prendrons avec discrétion.

Nous descendons par une sorte d’escalier ; nous assistons à une messe donnée par un prêtre orthodoxe.

   

Nous retournons dans le hall de la cathédrale.

Nous rejoignons le centre ville.

Nous avons une vue dégagée sur la ville.

Nous en visitons le centre.

Nous prenons ensuite un chauffeur pour nous conduire jusqu’à notre hôtel.

Notre hôtel se trouve un peu excentré.

L’hôtel que nous avons réservé est différent de celui que nous avions la veille ; il se trouve à proximité du monument de l’indépendance.

 

Nous avons réservé dans l’hôtel Planeta, pour la somme de 50 euros la nuit.

Le lendemain matin, notre chauffeur prend la direction de la ville de Brest.

    

Il souhaite nous faire visiter une petite ville qui comprend une belle église.

 

Nous entrons dans un petit supermarché.

Nous prenons la capture d’une plaque minéralogique pour notre galerie personnelle.

Nous arrivons aux abords de l’église. Nous allons la visiter.

   

Nous faisons connaissance avec une bergère qui élève des chèvres.

  

A une certaine distance, l’église est encore plus belle.

Nous visitons l’église.

Exceptionnellement, nous sommes autorisée à grimper à son sommet.

  

Nous avons une vue dégagée sur la ville.

 

Nous remercions chaleureusement Serguei, un Russe qui nous a permis d’obtenir ce droit de visiter les hauts de l’église.

Il est temps pour nous de reprendre notre route vers un site majeur du pays : la ligne de Staline.

Nous entrons dans le site.

Nous payons cinq euros l’entrée.

Le site est unique en son genre ; il expose l’intégralité des armes utilisées par l’armée soviétique durant la seconde guerre mondiale.

Nous entrons sur le site.

Nous découvrons d’abord les véhicules terrestres.

 

Puis, nous découvrons les armements balistiques.

Les missiles sont gigantesques.

L’endroit est d’une richesse culturelle inégalée.

Jamais, nous n’avions approché d’aussi près un missile.

Nous découvrons ensuite les avions.

Nous avons ensuite la chance d’assister à une exhibition de l’armée nationale.

 

Alors que nous nous apprêtons à partir, nous entendons des coups de feu.

Nous nous dirigeons vers une partie excentré du site.

Il s’agit du lieu d’exposition des chars et des tanks.

    

Nous traversons cette partie du site et nous avons la chance de voir des militaires étrangers tester les armes.

Un officiel nous demande de nous éloigner.

 

Mais, l’occasion étant trop belle d’assister à des tests réels, je parviens à m’approcher discrètement. J’assiste à cet exercice à balles réelles.

 

Il est temps pour nous de quitter le site.

Nous prenons la route vers un village fantôme, détruit par les nazis durant la seconde guerre mondiale.Il s’agit du village de Khatyn.

Il nous faut une heure pour rejoindre le site de Khatyn.

Nous nous garons.

 

Le site est aujourd’hui un mémorial.

 

En son centre, une grande statue représente un home tenant le cadavre d’un de ses frères.

Toutes les minutes, des cloches sonnent.

Le site est poignant ; sur le sol, des centaines de caveaux vides représentent les victimes de ce massacre.

Des moines orthodoxes prient.

Il est l’heure de quitter le site.

Nous faisons une halte dans une station service.

Nous reprenons la route en direction de l’aéroport.

Nous nous rendons faire enregistrer nos bagages.

Nous patientons ensuite.

  

Nous passons le temps comme nous pouvons en effectuant des aller-retour avec l’extérieur.

Nous faisons quelques achats de dernières minutes.

L’aéroport est grand ; il permet de faire de nombreux achats.

Un bus nous conduit jusqu’au tarmac.

Nous quittons la Biélorussie.