Alors que nous sommes à Rome, nous nous rendons au Vatican.
Dans la ville italienne, les panneaux indicateurs sont nombreux.
Le Vatican est entouré de grandes murailles. Nous les longeons.
Nous dépassons une grande porte frappée des armoiries du pays.
L’entrée principale de la place Saint Pierre se trouve devant nous.
Nous entrons dans le Vatican.
Nous devons avant tout subir une fouille de nos sacs comme tous les pèlerins qui souhaitent entrer dans le pays ; l’attente dure près de trente minutes.
Nous entrons dans le pays.
Nous nous dirigeons vers la Basilique Saint Pierre.
Une messe spéciale du pape est annoncée ; la basilique est bondée.
Une ferveur incroyable se dégage de l’endroit.
Soudainement, le pape arrive ; nous voyons le Saint homme pour la première fois.
Nous décidons de nous enfoncer un peu plus dans la basilique.
Nous faisons le tour de la basilique.
Face à nous, des pèlerins entrent dans les confessionnaux.
Nous écoutons la messe avec des points de vue différents.
Au fond de la basilique, il reste quelques places assises.
Après avoir écouté en partie la messe, nous sortons de la basilique.
De nombreux garde-suisses sont présents aux endroits stratégiques de la place.
La basilique est magnifique.
Etant donné que de nombreuses personnes se trouvent dans la basilique, la place est aérée.
Nous pouvons nous déplacer sans trop de grandes difficultés.
Nous faisons le tour de la place.
Sur le sol, des signes nous indiquent la localisation cardinale.
Au coeur de la place, une grande obélisque se trouve.
Sur des écrans géants, la messe en cours est projetée.
Il est venu le temps pour nous de quitter le pays.
Nous nous dirigeons vers la frontière symbolique qui sépare le pays de la ville de Rome.
Nous franchissons la frontière.
Nous nous dirigeons vers quelques magasins de souvenirs afin de faire quelques achats.
Nous en profitons pour boire un café.
Nous quittons le Vatican.
Nous en longeons à nouveau les murailles.
Nous nous trouvons à présent au coeur de la ville de Rome.
Il y a quelques années de cela, nous avions déjà visité le Vatican. En voici le récit de voyage.
Nous nous levons particulièrement tôt pour traverser la ville de Rome et pénétrer, après avoir longé les murailles du Vatican, en son sein. Nous le découvrons au loin, en plein cœur de la ville de Rome et nous avançons vers cette enclave insérée au cœur de la capitale italienne.
Nous découvrons l’extérieur de la cité du Vatican, circonscrite par de simples grilles.
Nous continuons notre route.
Puis nous pénétrons à l’intérieur en quelques minutes, sans poste frontière apparent.
La place est bondée de monde.
Nous n’avons pas le temps de traîner ; nous devons nous rendre aux abords de l’entrée du musée du Vatican, seule solution nous permettant de visiter la chapelle Sixtine, lieu de réunion du conclave. Sur place et très tôt le matin, il y a déjà une demi-heure de file d’attente. Nous patientons, lorsqu’un garde privé, ventru au regard torve fort de son pouvoir nous oblige à ne pas avancer avec la file qui se dirige vers l’entrée et nous menace de nous placer à la fin de la queue, qui a bien grossi de un kilomètre en l’espace de quelques minutes en cas de désobéissance. Nous ne nous laissons pas faire et suivons le mouvement, devant son air interloqué, surpris de n’avoir pas été entendu. Après une demi-heure de patience, le musée ouvre ses portes et contemplant derrière nous la file d’attente, qui à huit heures du matin comprend bien trois kilomètres de queue, nous pénétrons à l’intérieur et alors que nous nous trouvions parmi les premiers visiteurs, nous sommes encore obligés de patienter plus de vingt minutes pour accéder aux caisses. En remarquant les prix d’entrée, nous prenons conscience que le musée est un chantre du mercantilisme. Pas de tarifs réduits pour les journalistes non accrédités par le Saint-Siège, ni pour les anciens combattants. Des ventes de souvenirs et d’objets pieux partout et si la file n’avance pas assez rapidement, un garde oblige les bavards ou les récalcitrants à circuler. Nous payons 15 euros par tickets, ce qui nous donne le droit, sans un remerciement, ni un bienvenue, de pénétrer dans les salles des collections.
Nous sortons prendre l’air dans une des nombreuses terrasses extérieures, permettant également de consommer des produits courants, qui s’ils ne sont pas saints, sont démesurément couteux.
Le site est beau, bien entretenu.
Néanmoins, nous devons dire que le musée possède des collections uniques en leur genre, collections agencées pléthoriquement à travers des corridors, donnant à l’endroit paradoxalement, une atmosphère hiératique.
Le musée comprend des pépites.
En nous rapprochant de la chapelle Sixtine, les corridors se font plus précieux, avec des dorures qui s’étendent des murs jusqu’aux plafonds.
Nous admirons les plafonds.
Pour découvrir ensuite au détour d’un chemin, les appartements du pape, contenu au sein d’un jardin d’été.
La chapelle Sixtine, solennelle et fastueuse se présente aux visiteurs dans son plus simple appareil. Comment imaginer que dans ses murs, se prennent les décisions les plus importantes du conclave, sorte de magistère qui sert d’élection au nouveau pape lors de vacance du pouvoir.
Les photographies sont interdites ; des gardes en civil font scrupuleusement respecter la règle, mais après une inspection fugace et concise de leur localisation, nous parvenons à figer dans notre appareil, la beauté du décor.
En face de nous, nous admirons une belle fresque.
Nous descendons ensuite l’escalier à double hélice, qui nous permet de rejoindre après quelques instants, la place Saint-Pierre que nous avions quitté le matin même.
Il nous faut tout de même quelques minutes, après avoir longé les quelques kilomètres de file de visiteurs patientant pour entrer dans le musée.
De longues minutes plus tard, nous arrivons sur cette place célèbre, de laquelle, les pratiquants peuvent, les jours de messe, écouter en direct, le pape, accolé à son balcon.
Sur la place, nous pouvons découvrir la basilique, l’obélisque du Vatican, ainsi que deux fontaines, le tout circonscrit par des colonnades servant d’ellipse à la place, un peu comme si les différents papes voulaient s’extirper de la tutelle de leur encombrant voisin romain.
Nous avançons vers le centre de la place et pouvons découvrir l’obélisque du Vatican, qui à l’origine marquait le milieu de la spina, murs épais contenant des statues et autres marbres. Mais, au XVI èm siècle, lors de la construction de la basilique, l’obélisque fut transféré à l’endroit qu’il occupe encore aujourd’hui et qui est censé symboliser le centre de l’état.
Nous découvrons l’obélisque.
Nous faisons le tour de la place.
Il s’agit là d’une des plus belles places du monde.
Nous prenons quelques instants pour nous enivrer de l’immensité de la place et pouvons ressentir les voix du passé, qui semblent encore accompagner le voyageur de passage en lui contant les aventures parfois tonitruantes, souvent sibyllines des édiles catholiques ayant vécu en ces lieux chargés d’émotion.
Après une nouvelle attente au milieu des visiteurs, nous pénétrons dans la basilique Saint pierre, pour découvrir la magnificence de l’entreprise, édifié et restructuré tout au long des siècles, qui l’ont vu aussi bien naître que se sublimer.
Après avoir eu le temps de s’imprégner des vitraux et du dôme sur lequel a travaillé entre autres, Bramante et Michel-Ange, nous nous recueillons sur la tombe de Jean Paul II, qui figure à présent sur la liste des papes s’étant succédés en ces lieux.
Nous découvrons son tombeau.
La visite se termine dans la crypte, dans laquelle, les anciens papes sommeillent, en silence, veillés par Saint-Pierre, premier du nom, dont les ossements sont gardés précieusement à l’intérieur d’un caveau, scellé pour l’éternité.
La crypte est particulièrement bien aménagée, avec de grands couloirs qui permettent aux visiteurs de ne pas se marcher dessus ; il y règne une ambiance placide, calme, laissant une part belle à la sapience, bien éloignée du fourmillement commercial rencontré dans la chapelle Sixtine.
L’endroit est empli de mystères.
Nous quittons enfin la crypte et retournons sur la place Saint-Pierre, satisfaits d’avoir pu partager quelques moments de ces lieux magiques, mais néanmoins, dénués de tout contact humain, paradoxe hérétique, lorsque le nombre de touristes affluent par dizaines de millions chaque année.