Nous approchons des côtes de la République Dominicaine.
La ville de Saint Domingue se dresse devant nous.
Le soleil se lève à peine en cette heure matinale.
Le bateau de croisière sur lequel nous nous trouvons effectue les manoeuvres d’approche.
Après une heure de manoeuvres, nous nous approchons du quai.
Le temps de prendre une dernière photo, nous descendons au niveau 0 du bateau.
Nous posons les pieds sur le sol dominicain. Nous descendons en compagnie de quatre passagers qui ont souhaité nous accompagner dans notre visite de l’île.
Un Français qui entre en République dominicaine peut obtenir dés son arrivée, un visa au poste frontière ; en tant que passagers sur un bateau de croisière, nous n’avons pas besoin d’effectuer cette formalité ; seule la présentation de notre carte d’accès à bord du bateau suffit.
A l’extérieur nous nous dirigeons vers les chauffeurs de taxi. Nous trouvons un chauffeur qui possède un minibus ; il accepte de nous emmener la journée complète pour la somme de 40 euros par personne.
Nous nous dirigeons vers la ville de Saint Domingue.
En cette heure matinale, la circulation est dense.
Nous découvrons la périphérie de la ville.
A l’entrée de la ville, la circulation se fluidifie ; nous nous dirigeons vers le monastère de San Francisco.
Le monastère se trouve dans la zone coloniale.
La zone coloniale est la partie la plus touristique de la ville.
Les maisons ont des façades de couleurs vives.
Des fils électriques pendent le long des rues.
Certaines maisons sont décrépies.
Nous nous garons aux abords du monastère.
Le monastère est relativement bien conservé.
Il est malheureusement fermé au public ; seul l’extérieur se visite.
Aux abords du monastère, la vie suit son cours.
Nous rejoignons à pied la zone coloniale.
Nous nous arrêtons dans une épicerie traditionnelle.
Nous continuons en direction de la place Christophe Colomb.
La place comporte un musée ainsi que de nombreux restaurants.
Nous nous asseyons pour boire un verre.
Nous continuons ensuite vers la cathédrale.
Les immeubles rénovés côtoient les maisons plus anciennes.
Nous arrivons aux abords de la place.
Les locaux aiment s’y détendre.
Face à nous, la cathédrale.
Aux abords de la place, le centre commercial Colon.
Nous retournons vers notre véhicule.
Sur un banc, nous croisons un vieil homme qui lit son journal ; il nous sourit.
Nous dégustons une spécialité locale dans une boulangerie sous-jacente à une épicerie.
Les rues sont typiques et la balade est agréable.
Nous arrivons au centre ville, dans un des plus grands marché local du pays.
Ici, tout se vend.
Les locaux consomment sur place des sortes de sandwichs.
Haiti n’étant pas loin, sur les étals, on trouve des objets qui servent au vaudou haïtien.
Les fruits sont appetissants.
Nous découvrons chaque stand.
A l’intérieur des stands, nous trouvons une statue catholique.
Nous longeons le marché.
De l’autre côté de la rue, les stands sont encore mieux achalandés.
Les produits sont fabriqués localement.
Les senteurs sont agréables.
Nous humons chaque parfum.
Nous nous enfonçons à l’intérieur du marché.
A l’intérieur d’une rue parallèle, nous découvrons un magasin qui vend de l’alcool.
Nous retournons à notre véhicule.
Nous nous dirigeons vers l’église dédiée à Christophe Colomb.
Notre chauffeur qui ne parle que l’Espagnol fait de son mieux pour nous donner des explications sur sa ville.
Nous traversons plusieurs quartiers de la ville.
Nous arrivons à l’église la plus célèbre du pays.
Nous rejoignons ensuite la route nationale en direction du parc Los Haitises.
En République Dominicaine, les routes nationales sont payantes.
Nous traversons le pays du Sud vers le Nord.
Sur la route, nous faisons une halte dans une station service qui comporte un restaurant.
C’est alors que nous voyons arriver deux grosses voitures aux vitres teintées.
Il s’agit de la garde présidentielle.
Nous saluons un des conseillers en chef du président.
Nous continuons notre route.
Le décor que nous découvrons est sublime.
Nous approchons du parc, un des plus fameux du pays.
Nous entrons dans le parc en empruntant la première route à droite.
Nous arrivons dans une zone qui comprend un petit village et qui normalement n’est pas ouverte au public.
Néanmoins, les locaux nous ouvrent leurs portes te décident de nous faire visiter le parc dans un secteur dans lequel les touristes n’entrent pas. Les touristes qui visitent le parc le font généralement depuis la baie de Samana et en bateau.
Nous faisons la connaissance de Miguel, un éleveur de cochons.
Il nous présente ses bêtes. Il s’agit de cochons sauvages qu’il a domestiqués.
Il nous demande ensuite de le suivre.
Nous admirons une dernière fois les cochons.
Nous commençons notre trek.
Durant plus de 2 heures, nous arpentons le parc.
La montée est à plusieurs reprises, difficile.
C’est alors qu’au sommet, une des membres de notre groupe marche sur un clou. La blessure n’est pas trop grave ; la plaie est lavée avec les moyens du bord.
Nous continuons à nous enfoncer dans la forêt dense.
Nous en découvrons la faune te la flore locale.
Nous retournons ensuite à notre véhicule après qu’un autre membre est tombé sur le sol après avoir glissé. Le poignet est douloureux mais pas cassé.
Nous prenons la direction de la baie de Samana, à l’extrême Nord du pays. C’est alors qu’une terrible averse nous tombe dessus.
La pluie ne s’arrête pas durant de longues minutes ; l’averse est terrible, ce qui n’a pas l’air d’inquiéter notre chauffeur qui pousse la chansonnette.
La pluie redouble d’intensité.
Mais après la pluie, vient le beau temps.
Nous tournons sur notre droite.
Nous traversons de beaux petits villages.
Sue la route, nous nous arrêtons à l’intérieur d’une école primaire.
Les enfants jouent avec innocence ; les cris et les rires s’entremêlent.
Nous passons un agréable moment en compagnie des enfants.
Nous continuons notre route en direction de Samana.
Nous arrivons aux abords de la ville après 200 kilomètres parcourus depuis le matin.
Samana est une ville très touristique.
La ville comporte nombre de restaurants et de bars.
Nous sommes alpagués alors que nous sommes ne train de conduire par un homme qui nous propose une agence pour découvrir des baleines dans la baie de Samana.
Nous le suivons.
Nous arrivons aux abords de la baie de Samana.
Nous découvrons les rues alentours.
La baie est une des plus belles du pays.
Nous prenons le temps de l’admirer alors que notre chauffeur négocie un tour en bateau pour admirer la baie et éventuellement des baleines.
Nous ne loupons pas une miette du spectacle.
Nous parvenons à négocier un tarif de 30 euros par personne.
Le bateau à moteur dans lequel nous avons embarqué s’éloigne.
La mer est assez agitée.
Nous nous dirigeons vers la haute mer.
Les côtes s’éloignent.
Nous apercevons une île sur laquelle se rendent nombre de touristes.
A plusieurs reprises, furtivement, nous observons des baleines.
Nous sommes secoués par les vagues.
Nous décidons après une heure de rentrer. Nous croisons quelques pêcheurs qui nous saluent.
Nous stationnons près de l’île paradisiaque croisée auparavant.
Nous retournons ensuite au port.
Nous admirons un pont magnifique.
Nous sommes surpris par l’entente d’une musique à fort volume.
Il s’agit d’une course cycliste ; nous sommes invités à assister à l’évènement.
Les organisateurs nous offrent des boissons et des gâteaux locaux.
Nous rentrons ensuite ; malheureusement, il nous reste 200 kilomètres à parcourir et nous n’avons pas fait attention à l’horaire ; le bateau part vers 22 heures et il est déjà 20 heures ; une averse tropicale s’abat subitement sur nous et la voiture s’arrête net. Les phares ne fonctionnent plus et les voyants rouges sur le tableau de bord clignotent comme une guirlande de Noël. A près de 130 km/h dans des virages avec une voiture qui ne tient pas la route, nous ne sommes pas prêt d’arriver à destination. Les passagers de la voiture commencent à paniquer surtout lorsque la voiture chasse dangereusement.
Nous ne savons par quel miracle, nous parvenons au port de Saint-Domingue à temps.
Nous saluons notre chauffeur et nous pénétrons dans le bateau à la minute prés de la fin des embarquements. Nous quittons ainsi la République Dominicaine.