Attention, ce récit photographique n’est pas un article, mais une photothèque qui reprend de manière chronologique l’intégralité de notre séjour à Paris. Cette photothèque sera complété progressivement par nos autres séjours dans la capitale.
Nous arrivons, après 900 kilomètres sur l’Ile de Ré, en façade atlantique et nous nous arrêtons prés de la Flotte.
Nous nous rendons jusqu’à la pointe de l’île, découvrir l’étendue d’eau qui nous entoure.
Nous revenons sur nos pas et nous arrêtons à Saint-Martin de Ré, la capitale de l’île.
Le paysage extérieur est à couper le souffle.
Nous nous arrêtons afin de profiter des marais salants de l’île.
Le responsable du site nous en explique le fonctionnement ; l’eau salée parcours les différentes digues afin de sécher au soleil ; l’eau s’évaporant, seul le sel reste ; il est ensuite traité et tamisé.
Le soir même, nous nous arrêtons à Lagord, une petite ville dans laquelle, nous avons réservé une chambre à l’hôtel du château, un hôtel-spa agréable.
Le lendemain, nous nous rendons sur l’île d’Oléron, que nous traversons afin de nous rendre à la Morelière, afin de trouver le phare du bout de la terre.
Nous nous arrêtons au sein de cet endroit touristique, afin de déjeuner.
Puis, nous revenons sur nos pas, afin de visiter le château d’Oléron.
Qui se trouve face à la mer.
Et dont les douves sont impressionnantes.
Nous continuons notre visite.
Et reprenons notre véhicule, en longeant un cours d’eau, qui mène à des bassins huitriers.
Nous décidons de choisir une chambre sur l’île ; nous sommes attirés par l’hôtel le grand large, un hôtel quatre étoiles, dont la responsable est d’une gentillesse à toutes épreuves.
Nous avons une vue splendide sur l’océan.
Et pouvons profiter de la plage.
Et du SPA de l’hôtel.
Avant de bénéficier d’un dîner gastronomique.
Le lendemain, nous nous dirigeons vers la ville de Fourras, de laquelle, nous pouvons apercevoir le fort Boyard, célèbre pour son émission télévisée éponyme.
L’ambiance extérieure donne une vague sensation de fin des terres.
Nous profitons de l’air marin.
A marée basse, l’eau se retire.
Et nous nous rapprochons du fort.
Nous quittons Fourras et connaissons maintenant l’origine de la provenance du sage du fort. Nous nous arrêtons sur le bord de la route, afin de déguster des huitres pêchées il y a peu.
Elles sont fraiches et délicieuses, légèrement relevées d’une pointe de citron.
Nous atteignons ensuite la ville de La rochelle, préfecture de Charente-Maritime et peuplée de 75 000 habitants.
Nous apercevons une des tours du vieux port.
Puis, nous nous dirigeons sur la place centrale de la ville.
L’ambiance est agréable.
Le vieux port se laisse découvrir.
Nous pénétrons la vieille ville.
Célèbre pour ses nombreuses statues.
Nous découvrons la cathédrale.
Ainsi que les façades traditionnelles de certaines maisons d’habitation.
Nous quittons la ville, en profitant de l’océan une dernière fois.
Nous rejoignons, après 200 kilomètres, le parc du Futuroscope, qui se situe derrière la ville de Poitiers.
Le parc est splendide et rarement, nous aurons fait connaissance avec un personnel aussi dévoué.
Le Futuroscope est comme son nom l’indique, dédié à la connaissance scientifique.
Mais, il reste accessible à la jeunesse, tant il sait se renouveler d’un point de vue ludique.
Chaque attraction étant la possibilité pour les visiteurs d’allier plaisir et didactique.
Nous n’en manquons pas une miette.
Les yeux grands ouverts, nous retombons nous aussi en enfance.
Chaque décor a été pensé pour se fondre dans le paysage.
Les pièces d’un puzzle unifié.
Les attractions se succèdent.
Et nous ne pourrons jamais assez remercier le personnel du parc, pour leur disponibilité qui nous a fait passer une exquise journée.
Nous arrivons en gare de Nice, chef-lieu du département des Alpes maritimes et peuplée de 344 000 habitants.
Nous nous dirigeons vers le centre ville.
La place centrale est un lieu d’achoppement.
Nous rejoignons ensuite le vieux Nice, avec ses restaurants ouverts jusqu’à tard le soir.
Nous avons la chance d’avoir réussi à réserver une chambre à prix promotionnel à l’Exedra, un palace 5 étoiles de la ville.
Dont les prix sont normalement près de 10 fois celui payé lors de notre réservation.
Nous passons devant un beau monument.
Puis nous rejoignons le bord de mer.
Et arrivons à la célèbre promenade des anglais.
Que nous parcourons à pied.
Nous pouvons dire qu’elle s’étend sur plusieurs centaines de mètres.
Le soir même, nous prenons de la hauteur afin de découvrir la ville dans son ensemble.
Ce qui nous permet d’en mesurer l’étendue.
Le lendemain matin, après une heure de train, nous arrivons dans la ville de Cannes, peuplée de 73 000 habitants et se trouvant toujours dans le département des Alpes maritimes.
Nous arrivons pendant le festival de Cannes et nous avons la chance d’être accrédités, ainsi que nous l’avons été il y a deux ans.
La plage est somptueuse.
Nous découvrons les cocktails de Cannes, avec l’alcool qui coule à profusion. Du champagne en l’occurrence.
Vêtus de tenues de soirée, nous arpentons les marches de Cannes, pour la séance de 19 h 00 ; il faut savoir qu’il y a environ cinq montées des marches journellement, mais que celle de 19 h 00 est la plus demandée, du au fait essentiellement à la présence des nombreux photographes et sa retransmission à la télévision en direct.
Sur le tapis, l’effervescence règne.
La sélection est draconienne et il faut une invitation en bonne et due forme, infalsifiable afin d’obtenir ce privilège.
Les stars sont ostentatoires.
Nous présentons notre invitation officielle.
Et accédons à ces marches tant désirées. Malgré la pluie, nous profitons de ce moment unique.
Nous découvrons cette allée empruntée, passage oblige par les plus grands de ce monde. Et nous nous baignons de cette ferveur, qui ne reste que de l’ostentatoire.
Nous nous protégeons de la pluie au haut des marches.
Nous faisons la connaissance d’Alain Prost.
Le lendemain matin, nous continuons de découvrir le festival de Cannes.
Et pénétrons au marché du film, le sanctuaire des sorties de film de l’année, que les professionnels du cinéma découvrent en avant-première.
Nous arpentons le bord de plage.
Et le soir, profitons de l’ambiance des fêtes cannoises.
Avec une fête jusqu’au bout de la nuit. Une fête où l’alcool coule à flot.
Nous réussissons à entrer dans le petit Carlton, l’endroit le plus sélect de la nuit, grâce à notre réseau.
Lorsque nous sortons, nous découvrons des voitures à plus d’un million d’euros, Cannes étant une ville de la démesure. En nous promenant dans la ville.
Nous sommes agréablement surpris de découvrir un feu d’artifice, qui dure bien une quinzaine de minutes, avec un final majestueux.
Le lendemain matin, nous arrivons à Marseille, après deux heures de train. Marseille est la deuxième ville la plus peuplée du pays avec ses 1,6 millions d’habitants et elle est le chef lieu du département : les Bouches du Rhône.
Nous nous rendons au vieux port de la ville.
Nous rejoignons ensuite notre hôtel : le Sofitel, un palace cinq étoiles que nous avons réservé à un prix défiant toute concurrence.
Le vieux port est l’endroit phare de la ville de Marseille.
Avec une vue imprenable sur Notre dame de la garde.
Nous nous baladons à pied le long du port.
Et nous nous rendons dans un restaurant, découvrir la spécialité de la ville : la bouillabaisse traditionnelle, que peu savent réellement cuisiner. Avec une vue imprenable sur le château d’If. Après avoir mangé, nous reprenons la route en longeant le bord de mer.
La vue est magnifique.
Nous passons devant la cathédrale Sainte Marie majeure.
Et rejoignons Notre Dame de la Garde.
De laquelle, nous avons une vue étendue sur la ville.
Le ville semble telle qu’elle est : immense. Et rejoignons la Canebière, l’avenue la plus célèbre de la ville.
Nous retournons ensuite au vieux port.
Avec une vue sur son célèbre château.
Le décor est figé. Une carte postale se dessine devant nous.
Le lendemain, nous quittons le vieux port.
En jetant un dernier coup d’œil sur cette ville formidable et dans laquelle, nous ne nous sommes jamais sentis en insécurité.