Attention, ce récit de voyage est une photothèque chronologique qui sous près de 300 photos montre intégralement notre escapade dans le Nord et le Sud de l’Italie afin que vous puissiez voir le vrai visage de ce territoire magnifique. Plus précisément, nous vous présentons au sein de cet article, une petite présentation du meilleur du pays.
Nous avons ainsi découvert une partie du pays durant cette escapade dans le Nord et le Sud de l’Italie et nous vous en présentons ses trésors touristiques.
Venise
Après une longue route, nous commençons notre escapade dans le Nord et le Sud de l’Italie et entrons dans la ville de Venise.
Nous visitons une petite église.
Nous rejoignons la place Saint-Marc.
Nous effectuons une balade en gondole.
Verone
Nous quittons Venise et rejoignons Verone.
Nous passons une soirée agréable.
Le lendemain matin, nous découvrons une autre perspective de la ville.
Nous découvrons la maison de Juliette.
Milan
Plusieurs centaines de kilomètres plus loin, nous entrons dans la ville de Milan.
Les Alpes italiennes
Nous découvrons les Alpes italiennes.
Florence
Nous nous rendons ensuite à Florence.
Nous nous rendons dans la cathédrale.
Nous grimpons au sommet.
Nous continuons notre découverte de la ville.
Pise
Nous entrons dans la ville de Pise.
Livorno
Nous rejoignons ensuite la ville de Livorno.
Rome
Nous nous rendons ensuite à Rome.
La ville est agréable.
Nous entrons dans le panthéon.
Face à nous, la fontaine de Trevise.
Nous arpentons à pied la ville.
Nous visitons le Colysée.
Naples
En provenance de Rome, nous nous rendons sur Naples pour démarrer notre Week-End en Italie du Sud.
Nous arrivons dans la ville de Naples, connue pour sa très célèbre : Camorra, mafia calabraise, dont nous ne verrons pas la présence, tout au long de notre découverte de la ville. L’entrée dans la ville se fait par une route pavée, tout d’abord avec un flux de circulation fluide ou du moins acceptable. Mais rapidement, les voitures sortent de nulle part et nous circulons à cinq sur une voie réservée à deux voitures ; les passages entre les véhicules se font à quelques millimètres et nous sommes soulagés de rejoindre notre hôtel, afin de garer notre véhicule et de faire le reste du trajet à pied. De notre chambre, nous avons une vue dégagée sur la ville. Et en grimpant dans les étages supérieurs, une terrasse nous donne la possibilité de la découvrir avec plus de précision.
Nous avons ainsi une vue sur le château Dell’Ovo,
Nous ne nous lassons pas du spectacle.
…que nous rejoignons, une fois dans la rue. En longeant le port, nous découvrons le charme de la ville. Les températures augmentent. Dont de vieilles pierres travaillées qui ont su préserver leur authenticité durant les siècles.
Mais nous découvrons également, une autre spécificité de la ville : les poubelles jetées à même le sol, situation perdurant depuis de longues années étant donné qu’un conflit entre la ville et les sociétés de récupération des déchets couve, sans parvenir à une amiable solution. Un triste spectacle.
Mis à part ce problème visible, Naples est une ville tranquille et typique d’Italie avec ses ruelles étroites, pleines de vie et desquelles permettent de découvrir de nombreux monuments. Nous aimons beaucoup cette ville.
La ville regorge de trésors. Nous continuons notre chemin. Et au détour des ruelles que nous empruntons, des monuments se dévoilent.
Nous levons les yeux vers le ciel.
Nous avançons dans les ruelles.
Une fois, la route principale rejointe, nous pouvons remarquer à quel point cette ville de prés de un million d’habitants est chargée.
Nous remarquons néanmoins l’authenticité de certains quartiers qui ont gardé leurs immeubles de teintes claires d’antan.
Nous hélons un taxi, afin de nous faciliter la visite de la ville. Nous arrivons, accompagnés de notre chauffeur, devant la cathédrale de Naples. Un seul mot : majestueux.
Nous observons chaque détail. Nous reprenons la route. Le chauffeur nous arrête devant la galerie Umberto 1 er, une galerie commerciale typique et célèbre de la ville. Nous remarquons son dôme proéminent, laissant passer une lumière naturelle, agrandissant encore l’édifice. Pour enfin découvrir un des monuments les plus majestueux de la ville : l’édifice catholique San Francesco Di Paola.
Un édifice splendide, intégré au cœur de deux demi arches, qui lui donnent, aux abords d’une place située en son sein, un ostentatoire à peine masqué.
Le chauffeur de taxi nous dépose enfin à notre destination finale : le château Nuovo.
Nous longeons les alentours du château, et décidons de manger dans un des restaurants qui se trouvent à l’intérieur.
L’université de la pizza
Nous retournons à l’hôtel et quittons la ville, dés le lendemain matin. Naples étant au centre d’un parc touristique assez vaste, il ne nous est pas obligé de parcourir nombre de kilomètres pour rejoindre notre hôtel se situant sur la côte calabraise. Nous faisons cependant un petit détour pour rejoindre une petite ville qui comprend une université de la pizza, met populaire d’origine calabraise. Nous nous asseyons dans le restaurant et après avoir commandé une pizza au mètre, le serveur se présente à nous, en nous servant le met comme s’il s’agissait d’un plat gastronomique : avec respect aussi bien pour le produit que pour le consommateur.
Nous découvrons la côte calabraise et ses petites villes situées aux flancs même des falaises longeant la mer.
Une soirée agréable
Des côtes qui comprennent de nombreux petits villages. Avec une vue sur le Vésuve, le mont calabrais par excellence, responsable à travers ses éruptions successives, de la destruction à plusieurs reprises des villes alentours dont Pompéi. Nous nous trouvons dans un lieu chargé d’histoire. Nous arrivons enfin à notre hôtel et découvrons la vue sublime sur le Vésuve.
Herculanum
Le lendemain matin, nous partons en direction d’Herculanum, une cité antique détruite par l’éruption du Vésuve en 79, conservée pendant des siècles dans une gangue volcanique et remise au jour à partir du XVIIIe siècle. La ville se situe dans une sorte d’enclave dans laquelle, nous pénétrons par un dénivelé important.
Ses remarquables vestiges apportent cependant une considérable connaissance de terrain : les fouilles ont livré un matériel archéologique exceptionnel, en particulier en bois, et également des œuvres littéraires inconnues.
Nous longeons ce que nous pouvons considérer comme des remparts.
La cité avait une superficie de 12 hectares, dont environ 4,5 ha ont été dégagés de terre, et une population estimée à quatre mille habitants.
Et parvenons dans les rues de la cité.
Nous laissant découvrir des chefs d’œuvre artistiques antiques
Les rues sont pavées.
Et les maisons, ouvertes aux visiteurs, qui peuvent s’approcher au plus près de la vie d’antan.
Les briques rouges ont été laissées apparentes.
Et chaque maison révèle son potentiel architectural.
Avec toujours en fond d’écran des pièces de musée à l’air libre.
Nous arpentons les dédales de ruelles.
Nous quittons Herculanum, cité méconnue, mais au combien riche.
Le Vésuve
Nous nous rendons ensuite en voiture au Vésuve, que nous atteignons en une demi-heure environs. Nous stationnons au plus prés de la bête et devons marcher une bonne demi-heure supplémentaire pour atteindre le sommet.
Tout autour de nous, nous avons une vue sur la montagne, ainsi que sur les montagnes alentours ; nous apprenons que lors des précédentes éruptions, certains flancs des montagnes se sont soulevés de plusieurs mètres, ce qui a changé à jamais la topologie du paysage.
Le froid se lève. Par contre, nous avons également une vue étendue sur la plaine en contrebas. Le vent souffle fortement. Lorsque nous arrivons enfin au sommet, nous en découvrons le cratère.
Le cratère est immense.
Ainsi que les fumerolles qui en sortent périodiquement, plusieurs fois par heure.
Les guides avec qui nous avons sympathisé, nous proposent gentiment de nous redescendre en voiture, nous évitant ainsi de devoir refaire la route en sens inverse et perdre à nouveau une heure.
Les Italiens sont merveilleux.
Les plages du Vésuve
Nous faisons ensuite une halte avec notre véhicule dans une des villes sous-jacente au Vésuve afin d’apercevoir les plages de sable noir, résultante des différentes éruptions volcaniques successives qui ont changé la nature du sable initialement présent.
La plage est splendide.
Nous effectuons une petite balade les cheveux dans le vent.
Le vent souffle fort, mais la température extérieure est un véritable bonheur pour la peau.
Pompéi
Nous ne nous baignerons pas. Nous retrouvons l’intérieur des terres et nous dirigeons non loin de là, dans la ville de Pompéi. Nous traversons la ville moderne de Pompéi, qui est une petite ville italienne comme les autres, et rejoignons le site antique de Pompéi. Nous garons notre véhicule, un peu obligé par un rabatteur de parking privé, présent avec ses confrères en nombre sur le site, avec qui nous négocions un tarif de trois euros pour la demi-journée.
Pompéi est une ville de Campanie située aux pieds du Vésuve. Fondée vers 600 avant JC, elle est célèbre pour avoir été détruite à la suite d’une éruption du volcan en 79 après JC.
Les cendres qui ont brûlé tous les tissus vivants, s’y sont déposées, créant à la fois une gaine protectrice et un moule de l’objet. Sans oublier la couche de cendre d’une hauteur de sept mètres, qui a protégé les vestiges de l’effet dévastateur du temps et des pillages.
Le site est très touristique.
Figés d’abord par les cendres et lapilli qui ont recouvert la cité, les habitants de Pompéi le furent ensuite par des moulages en plâtre, et on peut les voir aujourd’hui dans l’attitude où la mort les a surpris.
Le soleil cogne fort.
Depuis 1748, quelque 1 100 corps ont été retrouvés à Pompéi. Les touristes peuvent en apercevoir certains, dans des positions encore effrayées, comme si leur surprise avait été figée pour l’éternité.
Un endroit magique.
Et c’est au milieu d’allées spacieuses, que nous découvrons le site.
Le site se découvre en arpentant de longues avenues romaines, en pierres taillées.
Le site est agréable.
Tout au long de ces avenues, des vestiges du passé émergent en revêtant la forme de colonnes.
Certaines ruelles sont plus exiguës. Et nous permettent de rejoindre la grande place de Pompéi.
La vue est dégagée.
Avec le mont Vésuve en arrière plan. Nous nous répétons alors sans cesse. Et si ? Dans certains bâtiments, nous pouvons observer les momifications des victimes, du moins celles qui ne sont pas dans un musée.
Certaines dorment paisiblement.
Quelques-unes semblent patienter
D’autres semblent attendre.
Ce qui est sûr, c’est que personne n’est épargné.
Les jarres sont admirablement conservées, tout comme l’intérieur des maisons.
Un véritable pan de l’histoire de ce pays se laisse découvrir. D’ailleurs, afin de sortir des sentiers de visites traditionnelles, nous nous éloignons du groupe que nous suivons et pénétrons dans les maisons. Nous y découvrons des lieux de vie, encore imprégnés du quotidien d’antan.
Les plafonds sont hauts. Nous découvrons l’amphithéâtre de la ville Et regardons une dernière fois derrière nous, admirant le spectacle ambiant.
La baie de Capri
Nous quittons la ville de Pompéi et rejoignons la ville de Sorrente, dans laquelle nous allons naviguer dans la baie de Capri, non loin de Naples. Nous louons un bateau et découvrons, seuls au monde, cette baie qui a fait chanter Hervé Villar.
Le soleil brille.
Premiers pas dans les Pouilles
En avion, nous nous rendons dans les Pouilles, une région située dans l’extrême Sud du pays.
Sur place, nous louons une voiture typique italienne : la Fiat Uno et nous nous rendons dans les petites viles le long de la côte. La température extérieure est de quarante degrés.
Avec ses places et rues typiques.
Les gens y sont très chaleureux.
La côte est superbe ; la mer d’un bleu cristallin.
Un décor de carte postale. Nous obligeant à donner de notre personne afin de faire parti de ce décors de carte postale.
Alberobello
Nous longeons la côte ; le paysage semble façonné dans une peinture exposée dans une galerie. Nous nous enfonçons ensuite dans les terres afin de rejoindre le village d’Alberobello, classé au patrimoine mondial de l’Unesco.
Et ses constructions particulières aux toits concaves. Une merveille.
La campagne italienne
Nous nous arrêtons ensuite dans un petit village. Le Sud de l’Italie résonne comme dans un poème.
Les Italiens parlent bruyamment.
Bari
Nous arrivons à Bari, plus grande ville et accessoirement chef lieu de la région des Pouilles, forte de ses 600 000 habitants. Nous arrivons au petit port de Bari avec une vue sur le fortino. Nous découvrons ensuite les abords du port.
Dont certaines de ses rues sont pavées d’époque.
Tout comme certaines vieilles pierres.
Avant de rejoindre le véritable port.
Nous empruntons les ruelles de la ville.
Et découvrons les portes d’entrée dans la vieille ville.
Avant de nous présenter devant la basilique Saint-Nicolas, l’ami des enfants, qui est originaire de la ville ou du moins, de l’empire byzantin, avant d’émigrer dans le Sud de l’Italie.
L’intérieur paraît de prime abord, austère, mais il révèle quelques trésors culturels. Puis, nous descendons dans la crypte, qui contient la tombe du Saint.
Nous nous recueillons en silence.
Fin de notre escapade dans le Nord et le Sud de l’Italie
Et sommes surpris de le découvrir noir et longiligne, alors que nous l’avons toujours imaginé gros et blanc, variante du père Noël. Nous aurait-on ainsi menti depuis des décennies ?
Nous empruntons une petite ruelle et rejoignons à présent la cathédrale Saint Sabin de Bari, qui présente certaines similitudes avec la basilique Saint Nicolas, dont l’intérieur. Nous découvrons la cathédrale et pénétrons à l’intérieur. Certains monuments sont véritablement typiques de la ville.
Nous allons nous coucher assez tardivement pour profiter le plus possible de cette ambiance sereine et le lendemain matin, un avion nous éloigne de cette région qui ne mérite que de se faire découvrir par un plus grand nombre. Ce départ signe la fin de notre Week-end en Italie du Sud.