Attention, ce récit de voyage est une photothèque chronologique qui sous près de 400 photos montre intégralement notre découverte du Haut-Karabagh (Artsakh / Nagorny Karabakh) afin que vous puissiez voir le vrai visage de ce territoire en guerre. 

Nous avons ainsi découvert ce pays qui n’est pas reconnu par la communauté internationale et nous vous en présentons ses trésors touristiques.

Le poste frontière avec le Haut-Karabagh (Artsakh / Nagorny Karabakh)

En provenance d’Arménie, plus précisément de la ville de Goris, nous nous arrêtons à la frontière avec le Haut-Karabagh (Artsakh / Nagorny Karabakh).

Nous venons de franchir une sorte de No man’s land de plusieurs kilomètres. Nous nous arrêtons à un poste frontière où des militaires ne font que prendre notre identité. Ils nous remettent également une feuille sur laquelle se trouve l’adresse de la section du ministère des affaires étrangères à Stepanakert la capitale, dans laquelle nous devrons récupérer notre visa au prix d’une dizaine d’euros pas personne, les enfants en étant exemptés.

Entrée dans le pays

Nous entrons sur le territoire du Haut-Karabagh, un état qui n’est pas reconnu par la communauté internationale depuis qu’il a fait sécession à l’Azerbaïdjan voisin. Néanmoins, étant peuplé principalement d’arméniens, il s’en accommode grâce au soutien de l’Arménie voisine qui lui fournit une grande partie des liquidités nécessaires à son fonctionnement.

Nous prenons la route en direction de la ville de Souchi, distante d’une trentaine de kilomètres.

Nous traversons une petite ville.

Le cueilleur de mûres

A la sortie de la ville, nous faisons une halte pour faire connaissance avec un cueilleur de mûres.

Nous en profitons pour découvrir également un beau paysage montagneux.

Route vers Chouchi

Nous reprenons notre route et traversons la ville de Larçin.

Le paysage devient à nouveau montagneux.

Arrivés à une intersection, nous prenons la bifurcation qui se situe à notre droite.

La ville de Chouchi

Entrée dans la ville

Nous entrons dans la ville de Chouchi.

Nous nous dirigeons vers la cathédrale, le centre de la ville ne présentant que peu d’intérêts.

Le centre-ville

Nous nous trouvons dans le centre.

La cathédrale

Nous entrons dans l’église.

Le baptème

Nous avons la chance d’assister à un baptême orthodoxe de deux jeunes adultes.

Le départ de la ville

Nous quittons ensuite la ville de Chouchi.

Route vers Stepanakert

Nous prenons la direction de la capitale Stepanakert appelée également Xankendi.

Stepanakert

Entrée dans la ville

Nous entrons dans la périphérie de la ville.

Nous nous dirigeons vers le centre-ville.

La périphérie de la ville

Avant de rejoindre le centre, nous découvrons une partie de la ville qui n’est pas touristique.

Nous reprenons notre chemin.

Le visa

Après nous être garés aux abords de la place centrale, nous décidons de prendre un chauffeur de taxi afin de rejoindre le ministère des affaires étrangères pour effectuer notre visa ; le chauffeur nous demande trois euros pour nous y emmener et nous attendre.

Nous entrons dans le ministère.

On nous demande de patienter quelques instants.

Sur les murs, de nombreux cadres mettant le pays en avant au travers de ses attractions touristiques.

Les statues Nous sommes nos montagnes

Après avoir récupéré notre visa, le chauffeur de taxi souhaite nous emmener au monument le plus représentatif du pays : les statues Nous sommes nos montagnes. Les statues se trouvent en sortie de ville. Nous continuons tout droit.

Après moins de trois minutes de route, nous arrivons sur place.

De nombreux commerçants proposent de l’artisanat local.

L’entrée du site est gratuit.

Le chauffeur, très compétent et très compétitif nous remet son numéro de téléphone ; il est joignable au 097 322 668.

Le chauffeur nous emmène à notre voiture.

La place centrale

Nous rejoignons la place centrale.

Après avoir salué notre chauffeur, nous nous rendons dans un bar afin de manger un morceau.

Nous visitons le centre de la ville. Le rond-point en est l’attraction touristique majeure.

Autour d’une belle fontaine, les locaux aiment se reposer.

Le centre-ville

Nous continuons notre découverte de la ville.

Nous découvrons le parlement du pays.

La ville reste agréable.

Nous décidons de rejoindre notre hôtel, un établissement trois étoiles à 50 euros la nuit sans prétention.

Route vers Askeran

Le lendemain matin, nous décidons de quitter la capitale pour rejoindre la ville d’Askeran.

Askeran

Après 20 minutes de route, nous rejoignons la ville d’Askeran.

La forteresse dont il ne reste que les vestiges se trouve à l’entrée de la ville ; son entrée est gratuite.

Route vers le monastère de Gandzasar

La ville d’Askeran ne présentant pas d’intérêt particulier, nous rejoignons le monastère de Gandzasar à 40 kilomètres de là.

Pour ce faire, il convient de traverser le pays du Sud vers le Nord.

A certains moments, la route est vraiment en mauvais état.

Nous faisons une halte dans une station service afin d’effectuer quelques achats.

Nous repartons ensuite.

Gandzasar

Nous entrons finalement dans la ville de Gandzasar.

Pour rejoindre le monastère, il convient de continuer tout droit.

Le monastère de Gandzasar

Nous nous garons aux abords du monastère.

Le monastère se trouve au sommet d’une montagne ; il nous donne ainsi la possibilité de bénéficier d’une vue superbe.

Nous entrons dans le jardin du monastère.

Nous visitons ensuite l’intérieur du monastère.

Nous profitons un peu d’un autre point de vue sur la vallée qui se trouve en contrebas.

Route vers la frontière arménienne

Il est temps pour nous de repartir.

Nous prenons la route vers l’Arménie en prenant une autre route que celle utilisée pour entrer dans le pays la veille.

Nous prenons la route en direction de la ville de Vardenis en Arménie.

De longs canyons

Nous traversons de nombreux canyons.

Le poste-frontière

Nous arrivons au poste-frontière appartenant au Haut-Karabagh (Artsakh / Nagorny Karabakh) dans lequel nous présentons notre visa d’entrée ; un contrôle de quelques minutes suffit.

Nous quittons le territoire sans avoir besoin de passer à un contrôle d’un quelconque poste arménien.