En provenance du Guatemala, nous entrons au Belize.
En tant que ressortissant français, nous n’avons pas besoin de visa ; les formalités d’entrée durent quelques minutes ; nous retrouvons la voiture de location de nos amis Allemands qui étaient partis du Belize pour faire escale à Tikal au Guatemala. Nous continuerons notre voyage en leur compagnie.
Nous prenons la route en direction de Belmopan, la capitale.
Il fait approximativement 30 degrés.
Nous faisons une halte sur la route afin de manger dans un restaurant. Le prix est de 5 euros le plat de poulet. En outre, un karaoké sur place nous permet de passer un agréable moment en écoutant les convives chanter.
Nous nous dirigeons ensuite vers le site archéologique proche de Xunantunich ; malheureusement, nous arrivons trop tard pour prendre le bac manuel qui permet de traverser la rivière.
Un homme à la seule force de son poignet permet au bac de rejoindre l’autre rive. Le trajet est gratuit.
Nous nous dirigeons alors vers Belmopan, la capitale du pays.
Sur la route, de nombreuses habitations.
Les maisons sont de type caraïbe.
Nous rencontrons un hamish germanophone ; il accepte de nous faire monter dans sa charrette. Il nous explique qu’il vit à l’ancienne et rejette toute forme de modernité.
Nous continuons notre route vers Belmopan.
Nous entrons dans la banlieue de la ville.
Quelques maisons sont disséminées.
Belmopan nous donne une impression bizarre : la capitale est différente des autres capitales que nous avons croisées jusqu’à présent.
Nous entrons dans le centre ville.
La ville semble peu peuplée.
Elle est assez étendue et très verdoyante.
Nous dépassons une petite église.
Nous rejoignons le coeur de la ville.
Nous nous garons aux abords d’une autre église.
Aux côtés de l’église, la place principale qui ressemble à la place d’un petit village.
Nous faisons quelques achats dans l’unique supermarché de la ville. Les produits vendus sont tous américains et sont importés des Etats Unis.
Nous décidons de visiter la ville à pied.
Nous entrons sur une des avenues principales.
Nous repartons ensuite. Nous avons réservé un hôtel non loin de là.
Après une heure de route, nous arrivons à la guest house : Belize bird rescue que nous avons réservée pour la somme de 60 euros la nuit ; le prix n’est pas excessif pour le pays, les hôtels étant majoritairement chers.
Nous mangeons le soir de bonnes pâtes faites maison.
Le lendemain, nous nous réveillons dans un cadre idyllique.
Nous quittons notre hôte provisoirement et nous nous dirigeons vers la Saint-Herman cave.
Mais avant de rejoindre la cave, nous décidons de retourner au Xunantunich site.
Nous traversons de petits villages.
Nous décidons de prendre une collation chez l’épicier chinois du coin.
Nous retournons au site archéologique.
Nous traversons le bac avec la voiture.
Nous payons 10 dollars l’entrée.
Le Belize est un pays peu touristique ; pourtant, il regorge de trésors.
Nous entrons sur le site.
Nous visitons gratuitement le musée du site, qui raconte l’origine du peuple Maya.
De nombreuses photos égayent notre découverte.
Nous entrons sur le site.
Le site est agréable ; il ne nous faut pas marcher beaucoup pour rejoindre la pyramide principale.
Elle apparaît devant nous.
L’accès au site est cher, mais il en vaut le détour.
En plus, nous sommes seuls pour en profiter à notre guise.
Nous reprenons ensuite notre route vers la Saint Herman’s cave.
Il nous faut conduire 1 heure pour la rejoindre.
Nous nous arrêtons tout d’abord au Blue hole national park ; l’entrée du site nous donnera également la possibilité de découvrir plus tard, le Blue hole.
Une fois, nos tickets de 10 euros achetés, nous pouvons rejoindre la grotte.
Nous devons emprunter un sentier.
Les moustiques ne nous laissent pas une minute de répit.
Il nous faut marcher près d’une demi-heure sur un sentier balisé.
Sur le chemin, nous pouvons nous arrêter pour nous reposer.
Nous arrivons à l’entrée de la grotte.
Nous entrons à l’intérieur, grâce aux lampes que nous avons louées à l’entrée.
Nous nous enfonçons dans la cave.
Un mince filet de lumière nous guide.
Nous sommes ensuite plongés en pleine nuit.
Nous quittons la grotte et en fin d’après-midi, nous rejoignons le Blue hole, qui se trouve un peu plus loin.
Nous traversons un parc aménagé.
Une traversée du parc de 5 minutes est nécessaire.
Le site est paradisiaque.
Nous en profitons le reste de l’après-midi.
Il est entouré de verdures.
Il s’agit d’un site apprécié des habitants nationaux.
Nous rejoignons notre guest house pris la veille ; le lendemain matin, nous repartons en direction de la ville de Hopkins, dans le Sud du pays.
Pour ce faire, nous devons traverser le pays en son coeur.
La route est bonne.
Autour de nous, la jungle.
Nous croisons ici et là, quelques maisons.
Le cadre est agréable.
Le pays est vallonné.
Le coeur du pays semble tout de même pauvre.
Nous continuons notre route.
Les palmiers donnent au pays un côté de vacance non négligeable.
Il nous faut près de 2 heures pour rejoindre la ville de Hopkins.
Nous prenons une bifurcation à gauche.
La forêt laisse la place à des champs.
Puis à des marécages.
Nous entrons dans la ville de Hopkins.
La ville est belle, mais néanmoins, une ambiance lourde se fait sentir.
Nous nous approchons du bord de mer.
Nous garons notre véhicule.
Nous parcourons le reste de la ville à pied.
Les habitants que nous croisons sont antipathiques ; certains sont même agressifs.
Nous nous dirigeons vers le bord de mer.
La plage est quant à elle, magnifique.
Nombre des habitants ne travaillent pas et méprisent les touristes, se sentant écartés du cycle touristique que certains habitants ont développé.
Quelques autres habitants sont sympathiques tout de même.
Néanmoins, nous ne nous sentons pas à notre aise.
Nous décidons de partir et nous nous rendons à Belize city.
Il nous faut à nouveau parcourir tout le chemin.
Après 3 heures de route, nous arrivons en périphérie de la ville.
La ville Belize city est la capitale économique du pays.
Elle présente à la différence de Belmopan, toutes les caractéristiques d’une capitale.
Nous traversons un grand cimetière.
Les tombes se trouvent sur notre gauche et sur notre droite.
Nous entrons dans la ville.
Quelques vendeurs ambulants proposent leurs produits.
Nous nous dirigeons vers le centre ville.
Les maisons sont faîtes en bois pour la plupart.
Les rues sont désertes.
La ville est tout de même colorée.
Contrairement à ce que les guides expliquent, la ville n’est pas dangereuse.
En outre, les gens à la différence de Hopkins sont accessibles.
Nous nous garons aux abords de la place principale.
Face à nous, le port de la ville.
Il s’agit de la plus belle partie de la ville.
Nous souhaitons ensuite nous rendre à Ambergris, qui fait partie d’un archipel d’îles qui entourent les côtes du Belize ; pour ce faire, nous devons prendre un ferry qui rejoint Caye Cauker et continuer encore un peu en bateau ; mais pour rejoindre les deux îles, il s’agit du même ferry.
Nous payons le ticket aller 30 dollars, approximativement. Sur le site, nous pouvons également prendre un bus pour rejoindre le Guatemala, ainsi que le Mexique au travers de la ville de Chetumal, pour rejoindre ensuite la ville de Cancun ; le mieux est cependant de prendre un bateau rapide d’Ambergris vers Chetumal. Pour cette raison, nous ne prendrons qu’un aller.
Nous discutons avec des passagers qui patientent.
Nous faisons connaissance avec Paschal’s, un guide local qui propose des excursions clefs en main dans tout le pays.
Le ferry arrive sur place ; il y a plusieurs ferrys par jour.
Nous devons patienter jusqu’à la fin de débarquement des passagers qui arrivent de Caye Cauker.
Le capitaine nous autorise exceptionnellement à grimper au haut du bateau.
De là, nous avons une vue magnifique sur la ville. Nous quittons le Belize continental.