Attention, cet article est un récit photographique chronologique qui sous près de 500 photos montre intégralement notre découverte de la Bolivie afin que vous puissiez voir le vrai visage de ce territoire magnifique d’Amérique du Sud.
Nous avons ainsi découvert la Bolivie et nous vous en présentons ses trésors touristiques.
Passage de la frontière de la Bolivie avec le Chili
En provenance du Chili, nous entrons en Bolivie. Afin de pouvoir visiter dans de meilleures conditions le pays, nous avons pris une expédition de plusieurs jours dans le Sud et le centre du pays ; nous avons pris l’expédition à San Pedro de Atacama au Chili. Nous traversons la frontière en groupe.
Nous avons laissé notre véhicule personnel à San Pedro de Atacama, en espérant pouvoir le retrouver lors de notre retour.
Nous sommes en haute altitude dans cette partie de la Bolivie, à près de 4000 mètres ; la température extérieure est de -10 degrés ; un vent violent souffle, ce qui nous fait ressentir une température encore plus froide.
De nombreux 4/4 patientent les étapes migratoires ; tous conduisent des groupes de touristes dans l’altiplano de la Bolivie.
Après une heure d’attente, nous présentons nos passeports ; en tant que ressortissant français, le visa n’est pas obligatoire. Nous devons cependant payer une taxe d’entrée de 15 euros.
Un douanier à la denture dorée souhaite prendre une photo avec nous, étant donné qu’il n’a pas l’habitude de voir des familles complètes passer ce poste frontière.
Nous attendons ensuite les autres membres du groupe qui se trouvent encore dans la file d’attente pour entrer en Bolivie. En attendant, la compagnie que nous avons pris pour 300 euros pour 4 jours et 4 personnes nous a préparé le petit-déjeuner.
Une fois que tous les membres du groupe sont arrivés, soit 28 personnes au total, des groupes de 7 personnes sont constitués ; nous choisissons de nous mettre avec trois filles sympathiques qui voyagent au travers de toute l’Amérique du Sud.
Nous partons ensuite.
Avant de pénétrer dans le Sud de la Bolivie, nous devons payer la somme de 20 euros par personne pour l’entrée dans le parc…ou du moins ce qui s’en apparente. Ce paiement est obligatoire, car nous serons contrôlés à deux reprises.
La Laguna Blanca
Nous nous dirigeons immédiatement vers la Laguna Blanca ; il s’agit d’une lagune avec une vue magnifique sur une montagne.
La température a encore baissée.
Malgré le froid, le décors est somptueux.
Nous faisons le tour à pied de la lagune.
Le paysage semble figé.
De la glace recouvre l’étendue d’eau.
Route vers la Laguna Verde
Nous rejoignons le groupe.
Nous nous dirigeons vers le coeur de l’altiplano.
La Laguna Verde
Nous arrivons à présent aux abords de la Laguna Verde.
Le chauffeur nous abandonne.
Il n’y a en ce jour pas de flamands sur le lac.
Le décor est encore plus beau que le précédent.
Nous n’hésitons pas à immortaliser cette découverte.
Nous repartons ensuite. Le paysage défile devant nous.
Le désert de Dali
Nous nous arrêtons ensuite dans le désert bolivien.
Le décor est lunaire.
Nous admirons l’horizon.
A perte de vue, des roches.
Nous continuons notre route sur une piste creusée par les passages des véhicules nous précédant.
Les thermes de Polque
Nous arrivons ensuite aux thermes de Polque.
Il s’agit d’un bassin d’eau à 35 degrés.
L’eau s’écoule et se régénère au travers d’une source souterraine.
Il fait bien trop froid pour tenter une baignade ; nous préférons admirer le paysage qui nous entoure.
Une fine croute de sel recouvre le sol.
Nous profitons de la chaleur dégagée par la source pour nous réchauffer un peu les mains.
Nous attendons les derniers retardataires avant de partir.
Les geysers Sol de Manana
En nous dirigeant vers les geysers, nous admirons le paysage. Nous arrivons sur le site des geysers. A cause du froid ambiant, des fumerolles émergent.
Nous devons avancer avec précaution.
La nature dans toute sa splendeur.
Malgré ce décor, notre tête tourne de plus en plus ; il faut dire que nous avons encore gagné en altitude.
La boue est à plus de 80 degrés.
Les geysers Sol de Manana ne sont pas éruptifs.
Mais, sans aucun doute, le site mérite le détour.
Un dernier regard sur le site.
La fatigue nous envahit tous.
Vue globale sur la Laguna Colorada
Il nous faut rouler 2 heures pour rejoindre la lagune Colorada.
Nous pouvons l’admirer de loin.
Le guide préfère tout d’abord nous emmener au refuge voisin afin de nous restaurer.
En outre, dans le prix de notre voyage, tout est compris : les repas, les hôtels et les visites, mis à part l’entrée du parc national.
Nous contournons la lagune.
Nous circulons sur des plaques de sel qui recouvrent le sol.
Le refuge
Nous apercevons le refuge.
Le refuge comprend plusieurs bâtiments, chacun tenu par une famille bolivienne.
Nous découvrons nos chambres faîtes de bétons, jusqu’aux lits. Construction courante dans cette partie de la Bolivie.
Nous faisons connaissance avec la famille qui va s’occuper de nous.
Non loin du refuge, nous nous rendons dans l’épicerie du secteur afin d’acheter quelques bonnets et bouteilles d’eau. Nous n’oublions pas les feuilles de Coca afin de pouvoir mieux supporter l’altitude en Bolivie.
Le repas est local.
Une fois rassasiés, nous repartons.
Escapade à la lagune Colorada
Nous nous garons aux abords de la lagune Colorada, une des plus belles de la Bolivie.
Nous avons deux heures devant nous.
La lagune est somptueuse.
Un véritable bonheur pour les yeux.
Nous n’en perdons pas une miette.
Au loin, nous apercevons des flamands roses.
Rencontre avec des alpagas
C’est alors que surgissent une colonie de lamas et d’alpagas.
La scène est magique.
Ici, tout n’est que pur bonheur.
La préparation d’un repas traditionnel
Nous retournons au refuge. Nous assistons à la préparation du repas.
Une nuit tranquille
Nous ne tardons pas à nous endormir ; le lendemain matin, nous nous réveillons, revigorés, mais encore un peu chafouin, à cause du froid qui a régné en maître dans la chambre la nuit durant.
Nous quittons le refuge après un solide petit déjeuner.
Un paysage de toute beauté
Nous nous dirigeons à présent vers l’opposé de la lagune Colorada, afin d’admirer un de ses plus beaux points de vue.
Il est vrai que cette vue est somptueuse.
Nous semblons attirés par l’endroit.
A nos pieds, une véritable osmose avec la nature se dessine.
Nous repartons ensuite car le programme de la journée est chargé.
La forêt de pierres
Nous circulons jusqu’à la forêt de pierres.
Il s’agit d’une particularité naturelle de la Bolivie.
Le vent, en soufflant sans discontinuité a ainsi façonné ce paysage.
Les roches semblent avoir été taillées par l’homme.
Sous la force du vent, certains s’effritent plus que d’autres.
Le site est assez étendu.
Nous repartons ensuite ; nous grimpons encore en altitude, ce qui a pour effet de faire saigner du nez certains voyageurs.
L’altiplano bolivien
Nous faisons une halte au coeur de l’altiplano bolivien. Nous pouvons admirer la faune locale.
Sur un rocher, nous apercevons un lièvre ou du moins une sorte de lièvre.
Face à nous, un paysage abrupt.
La Laguna Honda
Nous nous dirigeons ensuite vers la Laguna Honda. Nous nous arrêtons aux abords de la lagune. Nous en faisons le tour à pied.
Chaque pas nécessite un effort particulier.
Mais le spectacle vaut le détour.
Nous nous approchons d’une colonie de flamands rose.
La Laguna Hedionda
Nous repartons ensuite vers la Laguna Hedionda.
Nous arrivons d’abord à son extrémité Est. A pied, nous rejoignons l’hôtel qui se trouve en son centre.
L’hôtel est assez cher, mais il faut dire qu’il est le seul présent dans la zone.
La lagune est magnifique.
Les flamands sont nombreux.
En outre, nous pouvons les approcher à quelques mètres.
Route vers la Laguna Canyapa
Nous nous dirigeons vers la Laguna Canyapa.
Le guide nous prépare un repas sur place.
Il s’agit d’un repas froid fait à base de salade. Nous faisons attention à ne pas manger de légume cru, seulement des pommes de terre et du thon ; en effet à ces altitudes, l’eau n’est pas traitée et les conséquences d’une ingestion d’eau polluée pourrait avoir des conséquences dramatiques.
En attendant, nous prenons notre repas en compagnie de Néerlandais qui ont décide de faire un tour d’Amérique.
Nous repartons ensuite.
Les abords d’un volcan
Nous nous arrêtons quelques minutes après aux abords d’un volcan.
Nous pouvons l’admirer à notre guise.
Nous sommes aux alentours de 5000 mètres ; l’acclimatation est difficile.
Route vers le Salar de Chiguana
Nous reprenons la route en direction du Salar de Chiguana.
Nous redescendons en altitude.
Immédiatement, notre organisme répond à la positive.
Le Salar de Chiguana
Nous arrivons au salar.
Nous pouvons le parcourir en partie à pied.
Une voie ferrée le traverse.
Nous arpentons un cimetière perdu dans le désert de sel.
L’endroit est spécifique.
Une petite photo s’impose.
Route vers San Pedro de Quemes
Nous repartons ensuite en direction de la ville de San Pedro de Quemes, une ville de l’altiplano.
San Pedro de Quemes
Nous arrivons dans la ville.
Nous la visitons à pied.
Nous faisons connaissance avec les habitants.
Dont une femme qui trie le Quinoa.
Nous effectuons quelques achats à l’épicerie du coin.
Une nuit reposante
Nous rejoignons ensuite notre hôtel de sel.
Le soir, nous prenons un solide repas.
Le repas de la veille s’étant terminé tardivement, nous nous levons encore fatigués. Mais pas le temps d’attendre ; le salar d’Uyuni nous attend.
Le salar d’Uyuni
Nous arrivons aux abords du salar. Nous avons la chance d’assister au lever du soleil. Nous stoppons le véhicule.
Nous profitons du spectacle.
Il s’agit du désert de sel le plus grand au monde.
Le désert de sel recouvre une grande partie du centre du pays.
Les plaques forment des hexagones.
L’île Incahuasi
Nous repartons ensuite à l’île Incahuasi. L’île est particulière dans le sens où elle émerge de nulle part.
De nombreux voyageurs y font un stop.
Nous entrons à l’intérieur de l’île.
Son entrée est payante : quelques euros.
Nous sommes entourés par les cactus.
Nous en faisons le tour en admirant des cactus géants.
Sur place, se trouve une boutique de souvenirs.
Les plus grands cactus font près de 5 mètres.
Au sommet de l’île, nous avons une vue dégagée sur le salar.
Nous profitons de ce moment de détente.
En marchant, nous faisons attention de ne pas nous blesser.
Retour dans le salar d’Uyuni
Nous retournons ensuite dans le salar.
Un garde national accepte de me prendre sur son quad.
Après avoir découvert le salar en quad, nous repartons vers son coeur. Nous nous arrêtons et avons quartier libre durant 2 heures.
Les photos souvenirs sont nombreuses.
Le sel a un goût assez fort.
Nous nous éloignons un peu du groupe.
A certains endroits, il y a près de 5 mètres de profondeur de sel.
Le point de passage du Paris Dakar
Nous rejoignons ensuite un hôtel de sel au coeur du salar.
Il s’agit du point de passage du Paris Dakar.
Le socle marquant la célèbre course automobile se trouve devant nous.
Mais, en l’instant, nous préférons nous restaurer.
L’hôtel est constitué de blocs de sel, aussi durs que du béton.
Un magasin de souvenirs propose de l’artisanat local.
Tout ici n’est constitué que de sel.
Après un bon repas, nous nous dirigeons vers le passage du Paris Dakar.
Le passage est immortalisé par une statue de plusieurs mètres de hauteur.
Le site d’extraction de sel
Nous repartons ensuite vers un site d’extraction de sel.
Le sel est placé sous forme de mottes séchant au soleil.
Nous reprenons la route en direction de la ville de Colchany.
La ville de Colchany
Nous entrons dans la ville.
Nous nous garons aux abords du marché local.
Le marché est magnifique.
Les gens sont gentils et accueillants.
Les couleurs sont vives.
Nous faisons connaissance avec les locaux.
Nous pouvons acheter pour pas cher, de nombreux produits locaux.
Nous repartons ensuite en direction de la ville d’Uyuni. Nous retrouvons de la route goudronnée.
La ville se dresse devant nous.
Uyuni
Nous pénétrons à l’intérieur par sa périphérie. Nous suivons un chemin de terre.
Nous nous dirigeons vers le cimetière de train de la ville.
Le cimetière de train
Il nous faut rouler quelques minutes pour rejoindre le site.
Nous nous arrêtons à proximité.
Le décor est apocalyptique.
Les trains sont rouillés et laissés à l’abandon.
Mais nous profitons pleinement du spectacle.
Nous pouvons grimper dans les machines.
Le vent a poli les façades extérieures des trains.
Après une heure sur place, nous repartons.
Le centre-ville
Nous nous dirigeons vers le centre ville d’Uyuni.
La ville se trouve à 10 minutes du cimetière de trains.
Dans la voiture, une des passagères est malade, suite à l’ingestion d’un produit cru qu’elle a mangé la veille.
La ville est petite.
Nous avons quartier libre pour le reste de l’après-midi.
Nous allons manger un morceau.
Nous faisons connaissance avec les habitants.
La ville est agréable.
La ville ressemble à une ville du Far West, les saloons en moins.
Nous profitons de rires d’enfants dans le parc qui se trouve à proximité.
Nous décidons de profiter ed la Wifi d’un bar local.
Nous rejoignons ensuite le siège de la société qui s’est occupée de notre périple ; celle-ci est mandatée par la société chilienne que nous avons pris à San Pedro de Atacama, mais en comparant les prix, ces derniers sont moins élevés en prenant paradoxalement l’intermédiaire chilien. Le voyage coûte pour 4 jours, une centaine d’euros par personne après négociations.
Néanmoins, la société bolivienne peut se joindre directement au 68532131 ou sur son mail.
Route vers le Chili
Il est temps pour nous de quitter la ville.
Vers la fin de journée, un autre chauffeur nous est mis à disposition dans une plus grosse voiture pour rejoindre la frontière bolivienne, étant donné que nous avons pris à la différence de nombreux autres voyageurs, le package : retour au point de départ. En effet, nous devons retourner à San Pedro de Atacama afin de récupérer notre véhicule.
La route que nous empruntons est différente de la route prise les jours précédents ; elle est plus directe et le chemin de terre, en meilleur état.
Tard dans la nuit, nous apprenons que l’hôtel qui avait été réservé a fermé ; en urgence, le guide parvient à nous en trouver un autre.
Le confort est spartiate.
Nous profitons d’un repas bien mérité. Le lendemain matin, très tôt, nous partons.
Nous roulons pendant près de 3 heures pour rejoindre la frontière avec le Chili.
Le guide travaille en indépendant ; il est mandaté pour remplacer des chauffeurs au pied levé en Bolivie.
Nous nous arrêtons dans un refuge afin de prendre un bon petit déjeuner.
Le chauffeur du retour peut être contacté directement et il proposera des circuits différents des autres agences de voyage qui suivent généralement le même périple. Il est en plus gentil et accessible. Il est joignable sur son mail ou par téléphone au : 00 591 73336851.
Nous arrivons enfin au poste frontalier avec le Chili et quittons la Bolivie.