Attention, ce récit de voyage est une photothèque chronologique qui sous près de 500 photos montre intégralement notre découverte du Canada afin que vous puissiez voir le vrai visage de ce territoire magnifique. Plus précisément, nous vous présentons au sein de cet article, l’Est du Canada.
Nous avons ainsi découvert le pays et nous vous en présentons ses trésors touristiques.
Pour les lecteurs intéressés, découvrez la première partie de notre séjour au Canada, grâce à notre récit de voyage sur le Québec.
Route vers l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle
Nous nous rendons à Louvigny, afin de prendre un TGV en direction de l’aéroport Roissy Charles De Gaulle.
Le TGV arrive avec 5 minutes de retard. Il doit nous mener à l’aéroport Roissy Charles de Gaulle.
Une nuit aux abords de l’aéroport
Nous arrivons à l’aéroport tard dans la nuit. Nous prenons une navette pour rejoindre le Terminal 3.
Nous louons une chambre au Citizen hôtel, pour un prix de 75 euros.
L’hôtel est moderne ; il laisse la part belle aux voyageurs afin de procéder aux modalités d’enregistrement. Facilité tout de même par les employés qui les accompagnent à leur demande.
L’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle
Le lendemain matin, très tôt, nous rejoignons notre Terminal 1 ; notre vol est à 08 h 40. Nous passons les SAS de contrôle.
Nous patientons une heure avant d’être appelés à l’embarquement.
Vol vers Toronto
Nous grimpons dans l’avion. Le vol dure 08 h 00 afin de rejoindre la ville de Toronto, au Canada.
Nous survolons le Groenland.
Puis, le Nord du Québec qui se trouve dans l’Est du Canada.
Sous nos pieds, de la glace. La banquise s’étend à perte de vue.
L’aéroport de Toronto
Nous arrivons vers 11 h 30, heure locale. Le pilote a réussi à rattraper les quelques minutes de retard qu’il avait accumulées lors du décollage.
L’aéroport de Toronto est un grand aéroport, un des plus grands du Canada. Après de nombreux dédales, nous présentons nos passeports ; aucun billet de départ du Canada ne nous est demandé ; pour les Français, le visa n’est pas obligatoire. Un simple tampon est apposé sur nos passeports, avec un sourire de l’officier de l’immigration.
Nous quittons l’aéroport.
Nous rejoignons l’extérieur de l’aéroport.
Route vers Toronto
Nous nous dirigeons vers la société Avis, réservée par le biais de la société Authentique Canada, qui s’occupe de l’administratif et peut organiser des voyages sur mesure ; la compagnie se trouve à Montreal et peut être appelée au 001 514-769-0101. La structure est sérieuse, professionnelle et disponible. A travailler avec les yeux fermés.
Nous suivons les panneaux indicatifs.
Nous rejoignons la structure de location. La voiture que nous avons loué est une Hyundai, marque omniprésente au Canada ; la location revient à 300 euros par semaine ; la voiture est non fumeur ; fumer à l’intérieur peut coûter jusqu’à 250 dollars. Mais, un fumeur qui fumerait dans le véhicule et qui le nettoierait un jour avant de la rendre pourrait passer sans écueil les contrôles de restitution, étant donné que ces derniers ne sont pas poussés. La société Avis Canada prend également une caution de 350 dollars pour palier les éventuelles contraventions reçues par l’automobiliste ou les frais de deux péages, interdits. Le nom des autoroutes est donné par la société lors de la location.
Nous recevons notre GPS, indispensable au canada lors d’une location et prévenons que nous nous rendrons aux Etats Unis. Le passage de la frontière se fera sans frais supplémentaire.
Nous nous rendons dans le centre ville de Toronto, une des plus grandes villes du Canada située à une trentaine de minutes en voiture.
La circulation est fluide. Les bouchons apparaissent en bordure de la ville.
Toronto
Nous en profitons pour découvrir le décor alentour. Face à nous, un grand stade. Nous entrons dans la banlieue de la ville.
Nous passons sous un pont, synonyme de notre entrée dans la ville.
Centre-ville
Toronto est la capitale économique du Canada.
Nous découvrons le centre de convention de Toronto.
Ainsi qu’à ses côtés, la tour CN.
Il s’agit de la plus haute tour de la ville. Nous découvrons le Rogers centre.
Ainsi qu’une longue file de bus. La ville est magnifique. Elle comporte un coeur financier similaire à celui de Wall street aux Etats-Unis. Les immeubles qui accueillent les bureaux de nombreuses entreprises sont récents. Nous avançons dans le centre ville.
Le regard tourné vers les airs. La vue ne nous déçoit pas.
En face de nous, le Fairmont royal York.
Nous passons devant le Air Canada centre, un centre sportif célèbre.
Nous rejoignons ensuite le waterfront.
Quartier financier
Nous traversons le quartier financier, un secteur important au Canada.
La ville n’est pas saturée en voitures.
Contrairement à ce que nous aurions pu penser.
Nous continuons notre route et faisons connaissance avec John, un canadien qui nous propose de nous garer dans son parking.
Waterfront
Il faut dire que les places de parking sont rares dans le centre ville. Nous arrivons au Waterfront.
Nous en effectuons le tour.
En cet éveil du printemps, en cette fin d’avril, les promeneurs arpentent le long des berges.
La vue sur la ville est fantastique.
Nous ne nous en lassons pas.
Quelques petits bateaux viennent accoster dans le port.
La tour CN est encore plus majestueuse.
Plusieurs compagnies proposent de faire le tour du waterfront pour la somme de 30 dollars par personne.
Le bateau taxi
Nous décidons d’éviter les circuits organisés et prenons un bateau taxi, qui nous propose la somme de 10 dollars par personne.
Il nous conduit vers Toronto island.
Nous avons la plus belle vue de la ville.
Les îles de Toronto se dressent devant nous.
Certaines d’entre elles comportent de grosses entreprises.
Notre regard est captivé par le front de la ville.
Le chauffeur de taxi navigue prudemment.
Nous stationnons pendant une demi heure avec cette vue sensationnelle.
Nous prenons le temps d’admirer la vie nautique de la ville.
Une photo s’impose.
Le chauffeur nous conduit sur les îles.
Après une demi heure, nous lui demandons de rentrer.
Nous sommes un peu fatigués par le décalage.
Nous retournons au centre ville.
Les immeubles se rapprochent.
Nous sommes émus de cette découverte.
Nous saluons notre capitaine éphémère.
Nous touchons terre.
Nous arpentons les berges de ce petit port.
Une découverte qui se prolonge
Nous nous rendons ensuite à pied dans le centre aperçu auparavant.
Nous longeons les immeubles.
Nous entrons dans une petite pizzeria ; nous achetons une part pour la somme de 3 dollars.
Nous retournons ensuite au centre financier.
Le centre financier est le coeur actif de la ville.
Les nombreux centres sportifs qu’il possède amène un flux continu de piétons.
Les centres commerciaux tournent à plein régime.
Il ne s’agit pas du seul quartier de la ville, bien au contraire, la ville est immensément grande. Mais, il s’agit d’un des quartiers centraux, là où tout se passe, là où il faut être.
C’est d’ailleurs à cet endroit que le prix au mètre carré des appartements est le plus excessif. Nous nous dirigeons vers le Air Canada centre.
La surveillance policière est visible.
Mais, le touriste ne se sent pas oppressé.
Nous découvrons le centre sportif ; un match de basket ball se prépare à y être joué.
Nous retournons ensuite au waterfront.
Arrivés sur place, nous entrons dans un magasin.
Il fait parti d’une chaîne célèbre pour la qualité de ses produits.
Il est vrai que les fruits sont frais.
La disposition des stands est soignée.
Les pris restent similaires à ceux pratiqués en France.
Mais, le magasin possède des produits dont en Europe, nous ne soupçonnons pas l’existence.
Nous arpentons les allées du magasin.
Nous effectuons quelques provisions.
En sortant du magasin, nous sentons une bonne odeur de pâtisserie.
Nous nous retournons et tombons sur la chaîne Tim Hortons, la chaîne des Donut’s ou autrement appelés Baggles.
Ce sont les meilleurs donut’s au monde. Six pour le prix de 4 dollars. Imbattable.
Nos gourmandises en poche, nous rejoignons notre véhicule. Nous nous dirigeons à présent vers le distillery district. Nous sommes accompagnés par de hauts immeubles qui s’éloignent à notre passage.
Le distillery district
Le district se trouve à deux kilomètres de notre emplacement. Mais, il est bien indiqué. En arrivant aux abords du district, nous remarquons un changement dans l’architecture du quartier. Il n’y a plus de gratte-ciels et les habitations sont de couleurs ocres.
Nous trouvons un parking.
Nous arpentons le district à pied.
Il s’agit d’un des quartiers les plus traditionnels et touristiques de la ville.
Là où se déroulent les animations de Noël.
Quelques résidences.
Quelques arbres. Quelques points de vue intéressants. Mais surtout, une tradition ancienne sur laquelle, le quartier joue. Nous découvrons un vieux véhicule rouillé.
Ainsi que de nombreux bars.
L’endroit laisse place tout de même à une tour de verre.
Mais cette dernière se marie agréablement dans ce décor du début du siècle.
Nous dépassons une charrette ancienne.
Nous nous engouffrons dans le district.
Nous en pénétrons le coeur.
Une horloge orne une grande place.
L’horloge fait face à une oeuvre d’art contemporaine.
L’endroit est agréable.
De nombreux petits commerces design sont présents tout au long de la rue principale.
Nous nous asseyons quelques instants.
Nous quittons le district ensuite.
Route vers Niagara falls
Nous prenons la route en direction de Niagara falls. Nous quittons la ville de Toronto. Nous longeons de beaux bâtiments, dont le fort York. Ainsi que le lac Toronto. De nombreux promeneurs en arpentent les berges.
Nous empruntons une petite route afin d’éviter les bouchons.
Nous rejoignons l’autoroute. Etant donné que nous sommes plus de deux dans le véhicule, une voie à gauche nous est réservée. Nous franchissons quelques ponts. La circulation est fluide. La ville de Niagara se rapproche ; il faut deux heures de route pour la rejoindre depuis Toronto.
Nous arrivons en bordure de la ville. La ville est à taille humaine.
L’entrée dans Niagara falls
Nous franchissons une banlieue cossue. Par malchance, chaque feu passe au rouge à notre passage. La ville est très touristique. Mais pour en apercevoir la gesticulation humaine, il nous faut rejoindre le centre.
Les premiers hauts hôtels se découvrent au fur et à mesure de notre avancée.
Les hôtels sont nombreux.
Nous arrivons aux abords du Sheraton on the falls.
Nous garons notre véhicule pour une somme de 20 dollars la journée.
Notre hôtel est imposant ; il est également le mieux situé de la ville.
En face de l’hôtel, à pied sur quelques mètres, nous rejoignons un petit parc.
Les chutes du Niagara
Il permet de rejoindre en peu de temps, les chutes du Niagara, les chutes les plus importantes du Canada.
Nous nous éloignons de l’hôtel.
Nous nous approchons des chutes.
Le bruit des chutes s’entend parfaitement.
Nous traversons la route.
Avec cette perspective, l’hôtel révèle son potentiel.
A gauche, le Raimbow bridge, le pont qui permet de rejoindre les Etats-Unis.
C’est alors que nous découvrons les chutes du Niagara.
De l’autre côté, les chutes canadiennes. Une photo s’impose.
Une fine brume apparaît.
Face aux chutes, de nombreux hôtels.
Les chutes principales sont les chutes américaines.
Juste à leur droite, les petites chutes se nomment : les chutes du fer à cheval.
En face, une tour, qui du côté américain permet de rejoindre les nombreux bateaux qui permettent de naviguer au plus près des chutes.
La ville est très dynamique.
De gros blocs de glace sont encore présents.
Les chutes font parties des merveilles naturelles du monde.
Elles sont situées dans une grande cuvette.
Le soleil commence à se coucher. Les touristes désertent le site. Il faut préciser que plusieurs points d’observation se trouvent le long des chutes. Suivant la perspective, les chutes changent de visage.
Nous profitons du spectacle. Durant de longs instants, nous sommes figés dans le temps.
Mais la luminosité qui faiblit nous oblige à préparer notre retour à l’hôtel.
Un dernier regard. Nous nous dirigeons vers le centre ville. Nous passons devant une belle statue.
Niagara falls by night
La ville de Niagara falls revêt ses habits de soirée.
Les chutes sont encore bien visibles, même à cette distance.
Nous rejoignons notre hôtel.
Nous avons, pour la somme de 130 euros, pris une chambre avec une vue sur les chutes.
Nous rejoignons l’extérieur de l’hôtel.
La ville est une sorte de Las Vegas pour les familles.
Partout, des spectacles.
Des casinos.
Des jeux.
Les enfants sont enchantés.
Nous mangeons dans un fast-food.
Nous arpentons les rues de la ville.
Nous entrons dans des salles de jeux.
Nous sommes happés par cette frénésie.
Les néons ne s’arrêtent pas.
La ville es tun pur moment de plaisir.
Nous assistons à un spectacle.
Des sosies plus vrais que nature.
Nous entrons dans le musée des records du monde.
Les rues s’emplissent progressivement.
Fatigués par une journée tant chargée, nous rentrons à l’hôtel.
Nous découvrons notre chambre.
Ainsi qu’une vue directe sur la plus haute tour de la ville : la tour Skylon.
Le soir, les chutes sont éclairées, ce qui renforce leur côté envoutant.
De hauteur, la ville semble s’étendre à perte de vue.
La fête bat son plein.
Jusque tard dans la nuit, l’ambiance est festive.
Les chutes, le soir sont un véritable bijou.
Nous ne nous lassons pas de cette vue.
Une grande roue se trouve à proximité d’un parc découverte.
Et la tour Skyloon est plus belle que jamais.
Nous restons des heures à contempler cette vue.
Pour ce faire, nous bravons un vent glacial.
Nous nous endormons avec une des plus belles vue au monde.
Un réveil aux aurores
Le lendemain matin, l’ambiance à changé. Les chutes sont recouvertes, à l’instar de la plupart des matins, par une épaisse couche de brume.
La tour éteinte, le paysage est radicalement différent de la veille au soir.
Silencieuse, même la ville semble éteinte.
En outre, le fait de ne pas apercevoir, mais d’entendre le tonitruant ronflement des chutes accentue le mystère.
Nous préparons nos affaires. Nous quittons l’hôtel.
Départ et retour au Canada
Nous franchissons la frontière.
Nous récupérons notre voiture et après un long périple aux Etats-Unis et au Québec, nous retournons au Canada, par le pont séparant la ville de Gatineau à Ottawa, la capitale du pays.
Ottawa, la capitale
Entrée dans la ville
Dés notre entrée dans la ville, nous devons faire avec un long bouchon.
Nous apercevons un haut bâtiment.
Que nous contournons pour nous rendre aux chutes des chaudières.
Nous dépassons de nombreuses ambassades.
Nous garons notre véhicule dans un parking à proximité d’une ancienne usine électrique.
Chutes de la Chaudière
Nous avons une vue dégagée sur l’autre côté de la rive. Nous longeons une sorte de lac. La vue se dégage.
Nous ressentons une légère brume.
A notre gauche, les chutes de la chaudière.
Les chutes sont violentes.
Le débit de l’eau est important.
Une pluie fine commence à tomber. La vue est splendide.
Nous nous dirigeons sur le pont qui surplombe les chutes.
Nous avons une vue unique sur ce torrent bruyant.
Les chutes sont appréciées des visiteurs.
Qui plus est, leur accès est gratuit.
Nous prenons le chemin vers le centre ville.
Nous passons par le quartier des résidences des gouvernants.
Le centre-ville
Nous sommes suivis discrètement par la police secrète. Nous quittons ce quartier sensible. Nous enjambons un autre pont. Nous arrivons aux abords de la cathédrale de la ville. Nous garons notre véhicule. Une statue se nommant Mama nous fait face ; elle représente une grosse araignée.
Elle se trouve en face de la basilique cathédrale Notre Dame de la ville. Le drapeau du Canada flotte fièrement.
A proximité immédiate, un musée d’art.
Nous avons une vue au loin sur le parlement.
Nous profitons encore un peu de la statue.
Puis du musée.
Qui est assez grand et étendu. Nous reprenons la route. Nous dépassons le centre des conventions.
Et nous nous garons au parking du château Laurier.
Le château est un hôtel reconnu.
Il se trouve au coeur de la ville.
De notre point de vue, nous avons accès à tous les monuments les plus importants de la ville.
Une partie du parlement est bien visible.
Nous nous dirigeons vers le monument aux morts. Nous traversons la route.
Le château Laurier se révèle.
Il est magnifique.
Nous retraversons la route afin de découvrir le canal rideau qui se trouve à ses côtés.
Une des plus belles vues de la ville.
Avec à notre droite le château Laurier.
Puis à notre gauche, le parlement.
Et en face, le monument de la commémoration avec la tombe du soldat inconnu. Nous rejoignons le monument de la commémoration. Deux gardes le surveillent quotidiennement. Nous assistons au changement de la garde au son de la cornemuse.
En 2014, le monument a été attaqué, du moins ses gardes, abattus lâchement par un homme qui a été ensuite neutralisé, alors qu’il se rendait au parlement situé juste en face afin de commettre d’autres méfaits.
Dés lors, le monument et ses gardes font l’objet d’une surveillance renforcée.
Imperturbables, les gardiens de la mémoire se relaient sans compter leurs pas.
Ils sont impavides. Imperturbables.
Nous rejoignons ensuite le centre ville.
Mais avant cela, nous faisons un petit détour afin d’avoir une vue dégagée sur le centre des conventions. Le bâtiment est tout en verre. Son rayonnement dans la ville surprend.
Nous retournons au centre ville.
Le centre-piéton
Nous longeons une sorte de palais des festivités. Ottawa est une capitale à taille humaine.
Elle est méconnue et pourtant si agréable.
Délaissée au profit de Toronto et de Montréal.
Il est agréable de s’y promener.
Les immeubles en verre se marient parfaitement avec les immeubles plus anciens.
Nous arpentons les nombreuses boutiques du centre.
Le parlement du Canada
Nous arrivons devant le parlement du Canada.
Il s’étend sur plusieurs bâtiments.
Nous n’hésitons pas à prendre une photo.
Nous admirons la flamme centenaire.
Nous assistons à une manifestation de canadiens en faveur de la journée de la terre.
Le site est touristique.
Des quatre coins du monde, les touristes se pressent pour profiter de cette découverte, ce symbole du Canada.
Le château Laurier
Nous rejoignons le château Laurier, un des plus beaux hôtels du Canada.
A l’intérieur, nous buvons un café.
Tout n’est que luxe et finesse.
Nous sortons par l’arrière pour voir une autre facette de la ville.
Nous dépassons une sculpture contemporaine.
Nous découvrons un bâtiment administratif.
Le quartier commercial
Nous arrivons dans une partie commerciale de la ville.
De nombreux commerces se font face.
L’endroit est réservé plutôt à une clientèle d’habitués. Les édifices sont beaux.
Les couleurs sont vives.
Nous arpentons les différents magasins. Et profitons d’un moment afin de nous restaurer.
Nous retournons ensuite au centre ville.
Nous empruntons un autre chemin.
Le centre des conventions
Ce qui nous amène aux pieds du centre des conventions.
Les vitres ont besoin d’être nettoyées.
Nous pénétrons à l’intérieur.
Le bâtiment accueille de nombreux séminaires.
De l’intérieur, la vue sur l’extérieur est dégagée. Nous grimpons au dernier étage.
Nous assistons à la présentation publicitaire d’une assurance.
Une nuit tranquille
Nous rejoignons ensuite l’hôtel Westin dans lequel nous avons réservé une nuit.
Nous en profitons pour nous reposer.
Les gorges du diable
Le lendemain, nous continuons notre visite de la ville.
Nous nous dirigeons vers la zone industrielle. Pour ce faire, nous devons traverser le centre ville. Nous découvrons une petite église. Ainsi que la cour suprême du pays. Nous garons notre véhicule.
Nous arrivons à un endroit méconnu des touristes : la gorge du diable.
De nombreux trous d’eau empêchent toute remontée de ce qui tombe à l’intérieur, humains compris.
De nombreux suicides ont eu lieu à cet endroit, sans que les autorités ne retrouvent jamais les corps.
Nous nous dirigeons ensuite vers des chutes qui charrient une eau violemment.
Le décor est dangereux. Seuls les oiseaux se trouvent en sécurité.
Ils ont trouvé refuge au coeur de cette vallée abandonnée.
Une vallée industrielle qui autrefois fonctionnait à plein régime.
La nature semble reprendre ses droits.
Gananoque
Nous quittons ensuite la ville d’Ottawa en nous dirigeant vers la région des mille îles. 250 kilomètres nous séparent de la ville de Kingston. Nous longeons le fleuve Saint Laurent. Nous sortons par la ville de Gananoque. Il s’agit de la porte d’entrée vers les mille îles.
La ville est petite.
Mais, elle permet de rejoindre le ferry qui transporte les passagers sur Howe island, une des plus célèbres îles des mille îles.
La ville de Gananoque est peuplée de 5200 âmes.
On y sent une atmosphère sereine. Nous passons devant de beaux bâtiments.
Nous découvrons un ancien théâtre. Nous prenons la direction du ferry qui permet de rejoindre Howe island. La région des mille îles est magnifique. Les couleurs du ciel semblent surnaturelles.
La région des mille îles
Le prix au mètre carré dépasse celui des grandes villes.
Il faut dire que l’endroit aspire à la quiétude.
Nous apercevons le ferry arriver.
Ferry vers Howe island
Nous payons la somme de 6 dollars pour embarquer notre véhicule.
La traversée donne l’occasion de profiter d’une belle balade.
La traversée dure 10 minutes.
Howe island
Nous arrivons sur Howe island.
Nous débarquons ; nous en profitons pour admirer le paysage alentour.
Les côtes escarpées révèlent leur charme.
Nous pénétrons à l’intérieur de l’île sur laquelle nous passerons deux journées. Les maisons sont cossues.
Le paysage est sauvage. Il y règne un silence incroyable. Nous avons l’impression de ne faire qu’un avec les éléments. Nous découvrons une petite église. La route s’étend au coeur d’un désert végétal. La lumière est unique. Les moindres détails suscitent l’émerveillement. Nous continuons vers le ferry qui nous mène à Kingston.
Il se présente à nous.
Nous préparons l’embarquement.
Ferry vers Kingston
Nous n’avons pas besoin de payer un autre passage ; les six euros de départ suffisent à couvrir le trajet.
Nous nous laissons naviguer.
Nous admirons un coucher de soleil flamboyant.
Nous sommes quelques véhicules à attendre d’accoster.
Nous arrivons à destination.
De nouvelles voitures embarquent. Nous profitons du spectacle.
Ainsi que du paysage.
Une fois le ferry parti, nous nous retrouvons seuls.
Ce qui ne nous déplaît pas.
Nous prenons la route en direction de la ville de Kingston.
Kingston by night
Une quinzaine de kilomètres à parcourir. La ville apparaît.
Kingston est la quatrième ville préférée des canadiens.
Il faut dire qu’elle offre de nombreux atouts.
Des hôtels bon marchés, une vie agréable, un waterfront magnifique. Nous décidons de séjourner dans l’hôtel Résidence Inn by Mariott Kingston. Nous avons la chance de payer 100 euros avec le petit déjeuner compris.
Le soir, nous nous rendons dans un restaurant japonais. Pour 20 dollars, nous avons accès à volonté à toute la carte.
Les sushis que nous mangeons sont les meilleurs que nous ayons goûtés jusqu’à là.
Une véritable pépite gastronomique dont nous ne connaissions pas le concept. A recommander sans hésiter. Une fois rassasiés, nous nous promenons dans le centre désert.
Kingston
Le lendemain matin, nous découvrons la ville de Kingston.
Le waterfront
Nous prenons un solide petit-déjeuner. Nous nous dirigeons ensuite vers le Waterfront. Nous ne sommes pas déçus.
Nous avons une vue dégagée sur l’ensemble de la baie.
Au loin, nous apercevons des éoliennes.
De nombreux canadiens pratiquent leur jogging du matin.
Nous ne les suivrons pas et préférons rejoindre le centre ville.
Nous dépassons des immeubles de résidence.
Nous nous arrêtons à une autre partie du Waterfront. Nous pouvons apercevoir à droite la tour Murney qui se trouve dans le fort Frédérick.
Nous ne nous en lassons pas.
Un léger vent frais parcourt nos visages.
Nous reprenons notre véhicule.
Le centre-ville
Nous nous garons devant l’hôtel de ville.
Le bâtiment est impressionnant. Il est situé juste en face d’un parc agréable.
Derrière nous, une réplique de la tour Murney.
Kingston est une ville dans laquelle se regroupent une forte concentration de militaires. Nous reprenons notre véhicule. Nous arrivons dans le centre de la ville.
Le fort-Henry
Nous prenons la première à droite en direction du fort Henry. Les remparts apparaissent. Nous avons une vue en hauteur sur la ville.
Ainsi que sur la vallée environnante.
Le fort était censé protéger la ville de toute invasion.
Sa constitution s’est avérée solide.
Nous visitons le fort.
Nous retournons à notre véhicule.
Nous souhaitons avoir une vue d’ensemble sur le fort. Ce qui est le cas de notre position.
Nous quittons ensuite le fort et retournons dans le centre de la ville.
Route vers Toronto
Nous en découvrons une autre facette.
Nous continuons dans les rues résidentielles. Les maisons sont agencées le long de la route.
Nous découvrons une belle église. Traditionnelle, elle resplendit au milieu des maisons.
Nous continuons sur la rue principale.
Au loin, nous pouvons apercevoir une autre église plus imposante.
Nous quittons la ville de Kingston.
Nous en traversons sa petite banlieue. Nous dépassons des industries. Ainsi qu’une centrale électrique. Nous nous arrêtons dans la zone commerciale afin de prendre un café. Nous prenons ensuite la direction de Toronto. Nous rejoignons l’autoroute. Sur le chemin, nous nous arrêtons dans une sorte d’hypermarché.
Le commerce se trouve dans une zone commerciale prés de la banlieue de Toronto.
Les biens vendus sont excessivement chers.
Près de 4 dollars le paquet de chips.
Par contre, nous découvrons une nouvelle variété de chips : au chocolat.
Nous reprenons ensuite la route. Nous arrivons aux abords de l’aéroport Pearson. Nous suivons les panneaux indicatifs nous permettant le retour du véhicule. Avant cela, nous nous arrêtons dans un steak house.
Nous mangeons un vrai steak, grillé devant nous.
Nous faisons le plein et rendons le véhicule.
L’aéroport Pearson
Nous devons traverser tout l’aéroport afin de rejoindre notre terminal.
Nous passons devant un grand distributeur de Coca. La démesure américaine.
Nous prenons une navette.
Nous rejoignons notre terminal.
Nous procédons à l’enregistrement.
Nous passons le SAS de contrôle ; nous apprenons qu’au Canada, il n’y a pas de contrôle de sortie des passeports.
Vol vers la France
Nous patientons dans la salle d’attente. Nous grimpons dans notre avion. Nous retournons en France avec la compagnie Air Transat pour 07 h 30 de vol. Une heure de moins que l’aller étant donné que les vents vers l’Est nous sont plus favorables.
L’avion avance sur le tarmac.
Sur les pistes, beaucoup de monde.
L’avion accélère.
Il prend son envol.
Nous survolons la France.
Le Canada est à présent derrière nous. Un pays merveilleux.