En provenance de l’Equateur, nous nous rendons en Colombie.
Nous nous présentons à l’accueil des bureaux de l’immigration ; étant donné le nombre important de personnes, la grille d’entrée est fermée ; en tant que touristes, le gardien nous ouvre tout de même la porte ; nous patientons à l’intérieur du site ; en l’espace de quelques minutes, un homme nous invite à couper la queue. Nous le remercions. En quelques minutes, nous présentons nos passeports ; en tant que Français, le visa n’est pas nécessaire.
Un chauffeur de taxi nous propose ses services pour 60 euros la journée. Nous acceptons. Cela nous permettra de nous mouvoir en toute liberté ; en outre, le secteur frontalier est considéré par le ministère des affaires étrangères Français comme étant dangereux ; nous ne souhaitons pas prendre de risque.
Nous nous dirigeons vers le sanctuaire de Las Lajas.
Le sanctuaire est un des plus beaux édifices religieux du monde.
Le sanctuaire se trouve à 20 minutes de la frontière.
Nous nous arrêtons afin de le voir de haut.
Nous reprenons notre route.
Nous garons notre voiture sur le parking à l’entrée du site du sanctuaire.
Il nous faut rejoindre le sanctuaire à pied et marcher près de 30 minutes.
Sur le chemin, de nombreux stands proposent des objets religieux à la vente.
La pointe du sanctuaire se dresse devant nous.
Sur les murs, se trouvent de nombreuses plaques de catholiques remerciant ce lieu saint de les avoir guéris.
Nous arrivons aux portes du sanctuaire.
Nous pénétrons à l’intérieur et assistons à une messe.
L’ambiance est très pieuse.
Les paroles du prêtre laissent la place à des chants religieux.
Nous rejoignons l’extérieur.
Le sanctuaire est magnifique.
De là où nous nous trouvons, nous avons une vue sur la vallée.
Nous remontons ensuite.
La montée est difficile. Il faut dire que nous nous trouvons encore en altitude.
A l’entrée du site, nous mangeons un morceau dans un restaurant.
Nous nous dirigeons ensuite en direction d’Ipiales.
Dans un petit village, nous nous arrêtons dans un restaurant de couilles ; il s’agit d’un restaurant qui cuisine ce que nous appelons communément cochons d’Inde.
Nous nous rendons ensuite dans un autre restaurant ; les cochons d’Inde sont cuits à la broche.
Nous nous dirigeons ensuite à Ipiales.
Nous rejoignons notre hôtel, une petite guest house sans prétention. Le lendemain matin, notre chauffeur vient nous récupérer.
Nous nous arrêtons aux abords de la place centrale de la ville.
De nombreux amérindiens sont présents dans la ville.
Nous visitons les ruelles alentours.
Nous découvrons un autre secteur de la ville.
Nous nous rendons chez le cousin de chauffeur afin de changer de véhicule.
Le chauffeur prend son véhicule personnel. Le chauffeur s’appelle Miguel Rodriguez ; il est joignable au 3163861122 ou sur le migue3kr@hotmail.com
Nous prenons la route en direction de la campagne colombienne.
Nous faisons une halte dans une ferme.
Les agriculteurs nous présentent leur élevage de couilles, des cochons d’Inde élevés pour être consommés.
Nous continuons notre visite de différents villages.
Nous en admirons les places et les églises.
Nous arrivons à Tuquerres, tard dans la nuit ; notre chauffeur nous trouve un autre chauffeur, qui pour 40 dollars nous emmènera au volcan Azufral, le lendemain.
Nous faisons quelques courses dans un hypermarché de la ville.
Nous rejoignons ensuite notre hôtel.
Dans notre chambre, nous faisons l’inventaire des affaires du voleur équatorien qui a essayé de nous dérober notre caméra en Equateur, mais qui s’est fait avoir à son propre piège.
Le lendemain matin, nous nous réveillons de bonne heure et rejoignons dans le hall de l’hôtel, le chauffeur croisé la veille.
Le chauffeur s’appelle Juan Karlos ; il est joignable au 3158817258. Il est disponible et professionnel.
Nous visitons tout d’abord la ville en sa compagnie.
Nous nous rendons ensuite en direction du volcan Azufral.
Il nous faut conduire 1 heure sur une route de terre assez compliquée pour rejoindre l’entrée du volcan.
Nous garons notre véhicule et payons 5 euros par personne ; à l’entrée, des cavaliers proposent de se rendre au sommet en cheval ; la pente étant prononcée, nous préférons parcourir à pied les 6 kilomètres qui nous séparent de la lagune.
Nous commençons notre avancée.
Le chemin est difficile.
Le vent souffle fortement.
Une pluie fine commence à tomber.
Après nous être reposés en acceptant de monter sur un cheval sur une courte distance, nous nous approchons du sommet.
Nous arrivons enfin au sommet, frigorifiés.
Le brouillard rend impossible toute vue sur la lagune ; nous pourrions encore parcourir 1,5 kilomètre pour descendre jusqu’à la lagune, mais la fatigue présente ne nous en donne pas l’envie ; surtout qu’il faut à présent marcher à nouveau en direction de l’entrée du site.
Nous repartons ; nous sommes transits de froid ; en outre, l’altitude ne nous aide pas à reprendre correctement notre souffle.
Après 2 heures de marche, nous retournons à notre voiture qui nous arrête à Tuquerres, dans un restaurant. Nous mangeons un morceau.
Nous rejoignons ensuite la station de bus.
Nous remercions notre chauffeur.
La station de bus est un véritable marché ; les chauffeurs rivalisent d’imagination pour faire grimper dans leur véhicule, les clients ; nous en choisissons un qui nous explique que le trajet sera direct, dans une voiture qui comprend moins de place qu’un bue ; le somme est de 7 euros par personne.
Le véhicule est confortable.
Une fois que le véhicule est rempli, nous partons.
Nous nous dirigeons vers San Juan de Pasto.
Nous découvrons la campagne colombienne.
Il nous faut 2 heures pour rejoindre Pasto.
Nous entrons dans la ville.
Nous dépassons le stade.
Nous nous arrêtons au terminal de transport.
Nous nous pressons afin de trouver un autre moyen de locomotion pour nous rendre dans la ville de Popayan.
Nous empruntons une sorte de minibus, pour la somme de 15 euros par personne.
Il nous faut 6 heures pour rejoindre la ville.
Nous faisons une halte dans une station service pour nous restaurer.
Tard dans la nuit, nous nous arrêtons dans un restaurant.
Nous rejoignons le terminal de bus de la ville de Popayan, duquel nous prenons un taxi pour nous conduire jusqu’à notre hôtel.
Nous profitons d’une bonne nuit de sommeil.
Le lendemain matin, nous demandons à la réception, le numéro de téléphone d’un chauffeur guide du secteur : est appelé Wilson, un guide touristique qui est également chauffeur.
Nous attendons le guide à l’extérieur de l’hôtel ; nous laissons nos affaires à l’hôtel, puisque nous retournerons dans l’hôtel deux jours plus tard.
Le guide s’avèrera être d’une gentillesse sans égal.
Nous parcourons les rues de la ville.
Le guide nous abreuve de son savoir.
Popayan est une ville magnifique.
Nous quittons la ville pour nous diriger vers le Nord, en direction de la ville de Piendamo.
Nous nous arrêtons au coeur d’une petite ville.
Nous reprenons notre route.
Le guide souhaite nous montrer une champ de café, dans lequel il nous explique, certains paysans produisent de la coca, feuille grâce à laquelle, la drogue est produite.
Nous dégustons sur place un bon fromage artisanal.
Nous reprenons notre route en direction de Piendamo.
Nous entrons dans la ville.
Nous découvrons une fête populaire.
L’ambiance est agréable.
Nous dégustons un jus de citron frais.
Nous reprenons la route en direction de la ville de Sylvia, qui se trouve dans une région amérindienne.
Le paysage est beau à regarder.
Il nous faut 1 heure pour rejoindre la ville.
Nous faisons une halte pour découvrir la vallée de Sylvia.
Nous continuons notre route.
Nous entrons dans cette petite ville.
Nous garons notre véhicule au centre.
Nous parcourons la ville à pied.
Nous nous rendons dans le coeur de la ville.
Nous découvrons notre guest house.
Nous prenons un café traditionnel.
Nous découvrons ensuite la ville.
La place centrale est dynamique.
Les bus traditionnels sont colorés.
Le lendemain matin, notre chauffeur nous récupère afin de nous diriger un peu plus dans la campagne.
La route que nous empruntons se transforme en chemin de terre.
Nous faisons la connaissance avec des amérindiens en plein travail.
Nous continuons notre chemin.
Nous nous arrêtons dans un petit village traditionnel.
Nous rejoignons de là, un restaurant particulier ; il s’agit d’un restaurant où les clients peuvent consommer le produit de leur pêche ; en l’occurence, des truites.
Nous assistons à la préparation des repas.
Les pêcheurs peuvent s’adonner à leur passion dans la rivière proche ou dans des bassins placés à disposition.
Une fois le repas terminé, le guide nous conduit chez une amérindienne qui nous reçoit chez elle.
Nous nous dirigeons ensuite vers un laboratoire qui travaille les plantes de la région.
Nous visitons le laboratoire.
Nous découvrons des plants cachés de cannabis dans le jardin du domaine.
Nous reprenons la route en direction de Piendamo.
Nous empruntons une autre route qui nous fait passer par de nombreux autres petits villages.
Le route en se rapprochant de la ville devient goudronnée.
Nous entrons à nouveau dans la ville.
Nous nous garons aux abords du marché municipal.
Nous découvrons le quotidien réel des habitants.
Nous repartons ensuite, le guide souhaitant nous faire découvrir les thermes de Coconuco qui se trouvent à deux heures de route.
Nous devons dépasser à nouveau Popayan.
Nous pénétrons dans la ville, après une longue route de montagne.
Nous suivons les panneaux.
Nous garons notre voiture sur le parking.
Après avoir payé 5 euros par personne, nous entrons.
Les bassins se trouvent à des températures différentes, dont l’un qui fait presque 40 degrés.
Revigorés, tard en soirée, nous entrons à Popayan.
Le lendemain matin, nous pouvons découvrir la ville blanche.
Nous nous rendons aux abords d’une belle église.
Nous entrons dans l’église et accompagnons des parents qui sont venus faire baptiser leur enfant.
Nous assistons à une partie de la messe.
Nous arpentons les rues de la ville.
Nous nous rendons au parc central.
Un homme y lit son journal.
D’autres habitants se détendent.
Nous visitons une autre église.
Nous nous dirigeons vers le Nord de la ville.
Nous continuons notre découverte des petites ruelles de la ville.
Une autre église nous accueille.
L’église est magnifique.
Nous rejoignons à présent le Sud de la ville.
La ville comporte de nombreuses églises.
Ainsi que des rues d’une grande beauté.
La ville est une des plus intéressantes du pays.
Nous rejoignons un autre secteur.
Nous continuons notre route vers la partie de la ville qui n’est pas touristique.
Il nous faut traverser plusieurs places.
Nous empruntons un pont.
Nous quittons les limites de la ville blanche.
Un chauffeur ed taxi nous emmène à la station routière.
Nous achetons un billet de bus pour Cali.
Nous payons 10 euros le trajet en minibus.
Le trajet dure 3 heures.
Nous découvrons une autre facette du pays.
Nous faisons plusieurs haltes pour nous restaurer.
Nous entrons dans la ville de Cali, une des plus grandes villes du pays.
Nous prenons un taxi pour nous conduire jusqu’à notre hôtel.
Nous découvrons cette capitale de la salsa, la danse typique colombienne.
Nous sommes un peu pris dans les embouteillages.
Nous nous approchons de notre hôtel.
Nous avons loué, pour 50 euros une chambre dans l’hôtel Vizcaya.
Nous appelonsr un chauffeur de taxi pour nous conduire au centre ville.
Nous demandons à être conduit à la cathédrale.
Il nous faut 10 minutes pour nous y rendre.
La ville considérée comme dangereuse est intéressante.
Le chauffeur nous abandonne à la place centrale.
Les gens sont sympathiques.
Nous quittons la place Caicedo pour rejoindre une des rues qui l’entourent.
Nous rejoignons l’autre place importante de Cali.
Nous croisons de jeunes rappeurs qui improvisent une chanson mettant en honneur la France.
Nous traversons un pont qui mène à un autre parc.
Les habitants s’agglutinent autour des fontaines.
Nous continuons notre avancée.
Nous nous rendons vers l’artère commerciale de la ville.
Nous mangeons un morceau.
Nous retournons ensuite à notre hôtel ; le lendemain et ayant passé une mauvaise nuit, tranquillité perturbée par le bruit de l’hôtel, nous décidons de changer d’hôtel.
Nous nous rendons à l’hôtel Dann Cali, un hôtel de la même classe pour presque le même prix ; néanmoins, le confort est tout autre. Nous réservons 1 nuit.
Nous nous dirigeons ensuite vers un quartier résidentiel, que nous devons traverser pour rejoindre les hauteurs de la ville.
Nous découvrons de belles demeures.
Nous grimpons sur une colline.
Une belle église nous accueille.
Nous arpentons les ruelles qui entourent le secteur résidentiel.
Nous atterrissons dans une rue moderne, aux restaurants de qualité.
Un chauffeur de taxi s’arrête à notre signe de la main. Nous lui demandons à présent de nous emmener au Christo Rei, qui ressemble au Christ rédempteur de Rio de Janeiro.
Nous payons 15 euros la course ; en outre, nous avons négocié avec le chauffeur qu’il nous attende lors de notre visite.
Il nous faut trente minutes pour rejoindre les hauts de la ville.
Nous découvrons sur le chemin, nombre de peintures murales.
La route est sinueuse.
Nous nous garons sur le parking.
Le Christ apparaît devant nous.
Il mesure plusieurs dizaines de mètres de hauteur.
Face à nous, l’immensité de la ville.
Les photos pleuvent devant ce monument gigantesque.
Nous passons près de 2 heures sur le site.
Les touristes sont également nombreux.
Nous retournons en centre ville.
Nous nous promenons au travers de rues protégées par des gardes de sécurité.
Nous arpentons les commerces.
Nous mangeons un morceau dans un des nombreux restaurants du secteur.
Nous retournons ensuite à l’hôtel ; nous nous sentons bien ; nous décidons de réserver une nuit supplémentaire.
Nous nous détendons le reste de la journée.
Le lendemain matin, nous décidons de nous rendre dans le plus grand centre commercial de la ville.
Le centre est moderne.
Toutes les grandes marques mondiales sont représentées.
Nous prenons un chauffeur qui nous conduit à notre hôtel.
Nous mangeons une pizza dans un restaurant branché.
Le lendemain matin, nous nous rendons au centre ville.
Nous faisons une halte dans une pharmacie, puis nous repartons avec notre chauffeur réservé le matin même pour le coeur de la ville. Malheureusement, Malheureusement, nous remarquons que nous avons oublié un de nos téléphones dans la pharmacie dans laquelle nous avons acheté de la crème solaire auparavant. Le chauffeur nous conduit en urgence dans la pharmacie. Le pharmacien avait récupéré le téléphone ; il essayait de nous joindre pour nous prévenir ; quelle honnêteté !
Sur la place centrale, nous faisons connaissance avec des écrivains publics, un métier en disparition dans de nombreux pays du monde.
Ils tapent la journée durant à la machine à écrire, les lettres demandées par les clients.
Nous visitons ensuite la plus belle basilique de la ville.
Le bâtiment religieux est un des plus beaux au monde.
A l’extérieur, nous dégustons du pur jus de canne.
Nous découvrons ensuite le marché qui s’étend sur plusieurs rues.
Les produits qui s’y vendent sont peu chers.
Nous mangeons un morceau.
Un chauffeur nous emmène jusqu’à notre hôtel.
Nous visitons un peu le quartier, puis nous retournons nous reposer à notre hôtel, avant de partir pour l’aéroport.
Un chauffeur nous emmène pour 30 euros.
En 1 heure, nous arrivons à l’aéroport.
Nous nous dirigeons au comptoir d’embarquement afin de prendre nos tickets pour le Panama.
C’est alors que nous avons la surprise de nous voir rembourser 300 euros sans que nous ne savions d’où.
Nous nous dirigeons vers le hall d’embarquement.
Nous patientons.
Nous sommes appelés à l’embarquement.
Nous quittons la Colombie et l’Amérique du Sud, pour la fin de la première partie de ce périple inoubliable.