Attention, ce récit de voyage est une photothèque chronologique qui sous près de 500 photos montre intégralement notre découverte des Fidji afin que vous puissiez voir le vrai visage de ce territoire magnifique. Plus précisément, nous vous présentons au sein de cet article, l’île principale de Viti Levu.
Nous avons ainsi découvert les Fidji et nous vous en présentons ses trésors touristiques.
Pour les lecteurs intéressés, découvrez la suite de notre voyage aux Fidji, grâce à notre récit sur l’archipel des Yasawa.
Le vol vers les Fidji
En provenance du Vanuatu, nous nous dirigeons vers les Fidji.
Nous embarquons avec la compagnie Fidji airlines ; le vol dure 3 heures et coûte 200 euros.
Nous nous posons sur le sol. Nous descendons pour rejoindre l’aéroport de Suva, la capitale de l’île de Viti Levu.
L’aéroport de Suva
Nous entrons dans l’aéroport.
Nous passons les contrôles de sécurité ; en tant que Français, nous n’avons pas besoin de visa ; un tampon gratuit nous est apposé sur notre passeport.
Route vers Suva
A l’extérieur, nous sommes attendus par la responsable de la société Hertz chez qui nous avons loué une voiture pour la somme de 60 euros par jour.
Etant donné que la voiture n’est pas encore disponible; elle décide de nous servir de chauffeur dans la visite de la ville de Suva.
Nous nous dirigeons vers le centre ville alors qu’une pluie fine commence à tomber.
Un petit bouchon se forme sur la route en travaux. Le paysage de l’île côté Est est assez verdoyant.
Nous grimpons dans les hauteurs de Suva.
Nous longeons une série de maisons. Notre conductrice laisse la place à son mari qui devient notre guide.
Suva
Centre-ville
Nous nous dirigeons vers le centre ville de Suva.
Il nous faut circuler encore une vingtaine de minutes. Suva est une ville de taille moyenne. Elle est assez moderne.
Nous entrons dans la ville. En ce jour de dimanche, de nombreux commerces sont fermés. Nous visitons un peu la ville. Nous nous dirigeons vers le port.
Avant cela, nous nous arrêtons pour boire un café. Nous visitons le port.
La fête chrétienne
Soudain, une musique nous attire ; il s’agit d’une fête chrétienne où sont regroupés les habitants de la ville.
Dans une formidable ferveur, les pèlerins écoutent attentivement parler un prêtre.
C’est alors que des danseurs arrivent sur la piste.
Les gens les rejoignent en entrent en transe ; certains ont les yeux révulsés ; une sorte de béatitude emplie l’endroit.
Le parc
Nous repartons en fin d’après-midi. Nous rejoignons le parc de la ville qui en termine notre visite.
Route vers Nadi
Nous recevons notre voiture ; nous signons les papiers.
Nous partons en direction de Nadi. Pas loin de 300 kilomètres nous sépare de cette ville aux antipodes de l’île.
Après avoir mangé un morceau sur le bord de la route, nous rencontrons dans la ville de Korolevu, un homme qui est guide. Il s’appelle Inoke Qarau et il est joignable au 00 679 867 44 23. Il nous propose également de nous héberger ; ne voulant pas déranger, nous refusons et le saluons.
Nous trouvons sur la route pour une cinquantaine d’euros, un hôtel de confort modeste. Nous y séjournerons pour la nuit.
Un réveil tranquille
Nous nous réveillons dans un cadre enchanteur.
Nous reprenons la route en direction de Sigatoka.
Après nous être arrêtés quelques instants pour profiter de l’océan, nous nous rapprochons de notre objectif.
Une femme au grand sourire nous guide.
L’école traditionnelle
Sur la route, nous nous arrêtons aux abords d’une école. Le directeur vêtu de son pagne traditionnel se propose de nous en faire la visite.
L’école est bien entretenue. Sur les murs, de nombreux apprentissages.
Un professeur nous accueille. Nous visitons de manière très complète l’école.
Derrière l’école, des enfants apprennent à jardiner.
L’école comprend plusieurs niveaux, mais s’arrête au collège.
L’érudition est le maître mot de son fonctionnement.
L’école, malgré son bon fonctionnement manque de matériel scolaire.
Nous assistons à une classe. Pour des enfants de cet âge, les programmes sont plus avancés qu’en France.
Nous reprenons la route.
Une plage magnifique
Nous nous arrêtons sur le bord d’une plage que nous croisons.
Nous reprenons notre route.
Sigatoka
Nous entrons dans la ville de Sigatoka.
Sigatoka est une ville touristique de l’île.
Elle comprend de nombreux hôtels ainsi des des sociétés de location de voitures.
Nous faisons une halte dans la ville ; nous louons une chambre dans une auberge sans prétention. Le lendemain matin, nous continuons notre visite de la ville, qui ne présente cependant que peu d’intérêt. Nous nous dirigeons vers le bureau d’entrée au Sigatoka dune sand, l’attraction de la région.
Sigatoka dune sand
Rejoindre les dunes peut se faire gratuitement, mais elles sont difficiles d’accès ; il vaut mieux rejoindre le bureau du site afin qu’ils mettent un guide à disposition. Du bureau, les dunes peuvent également être jointes en deux heures de marche ; l’entrée se trouve derrière le bureau.
Notre guide arrive.
Nous revenons sur nos pas, car le guide nous donne un chemin connu seulement de quelques initiés locaux ; il permet d’entrer par un itinéraire bis en voiture jusqu’aux dunes, évitant ainsi une longue marche.
Nous traversons un petit village.
Nous garons notre véhicule.
Après avoir grimpé une longue dune, nous nous trouvons en hauteur.
Nous avançons dans le sable.
Nous arrivons aux abords de l’océan.
Le spectacle que nous découvrons est de toute beauté.
Notre guide est d’une gentillesse à toute épreuve.
Route vers Nadi
Nous passons prés d’une heure sur le site ; nous reprenons notre véhicule après avoir déposé notre guide au bureau d’entrée et nous continuons notre route.
Des paysages exceptionnels
L’île de Viti Levu, contrairement à ce qu’on pourrait penser, aux Fidji est très montagneuse.
Nous traversons un paysage splendide.
Le champ de canne à sucre
Nous nous arrêtons aux abords d’un champ de canne à sucre. Nous y croisons trois ouvriers qui acceptent de nous faire partager leur art.
La canne à sucre est récoltée à la main, puis envoyé à des usines qui les transforment en sucre.
Le chef des ouvriers nous fait goûter ce met délicieux.
La reprise de la route vers Nadi
Nous continuons notre route en direction de Nadi.
La ville apparaît.
Le temple Sri Siva Subramaniya
Mais avant de la découvrir, nous nous arrêtons au temple Sri Siva Subramaniya situé à l’entrée de la ville.
L’entrée au temple est gratuite.
Il est intéressant à découvrir.
Nous quittons le temple après avoir assisté à une procession.
Nadi
Nous entrons dans le centre ville.
Nous garons notre véhicule ; nous parcourons la ville à pied.
Les parcmètres datent des années 1970. Nadi est une ville de laquelle les voyageurs peuvent atteindre l’archipel de Yassawas ; la ville compte également un aéroport international.
Nous découvrons le marché local de l’artisanat.
Nous en profitons pour manger un morceau.
Nous reprenons notre véhicule.
Route vers le coeur de l’île
Nous nous dirigeons vers l’aéroport pour bifurquer à gauche vers le coeur de l’île.
Nous nous trompons de chemin et revenons sur nos pas.
Nous demandons sur le chemin à une femme notre direction ; cette dernière monte avec nous et nous conduit chez elle : son frère est guide et il peut nous accompagner ; il s’appelle Luke Qanaika et est joignable au 861 85 68 ou sur son mail.
Après avoir dégusté une noix de coco, nous prenons la route.
Nous pénétrons dans le coeur de l’île.
Village Tamoulo
Nous découvrons le village Tamoulo.
Nous nous trompons de chemin et devons faire demi-tour.
Une débrouillardise essentielle
Sur le chemin, un homme nous demande d’emmener sa femme ; nous acceptons.
En la déposant, un autre homme nous demande de le prendre avec nous ; la débrouillardise est essentielle dans cette contrée où le nombre de voitures est limité.
L’homme monte avec nous ; il est un fermier qui cultive du tabac frais ; il s’occupe souvent des touristes qui lui en font la demande : il s’appelle Kumar et il est joignable au 8464903.
Route vers village Navala
Nous nous dirigeons vers le village Navala ; il se trouve à 50 kilomètres de Nadi mais par cette route, il faut bien 5 heures pour s’y rendre.
Il y a bien une autre route qui longe l’océan, mais le chemin au coeur de l’île est d’une splendeur rare.
Nous traversons quelques petits villages.
La route est en mauvais état.
La découverte d’une ferme traditionnelle
Kumar le fermier nous fait visiter sa ferme.
Le coeur de l’île
Nous le saluons et continuons notre route.
Nous croisons quelques cavaliers.
Ainsi que de beaux petits villages perdus.
Nous demandons notre route à un homme accompagné de son chien.
Nous bifurquons à gauche.
Nous grimpons en altitude.
La route se rétrécit.
Nous arrivons à la partie moderne du village.
Nous garons notre véhicule.
Village Navala
L’entrée coûte 20 euros ; nous sommes présentés au chef du village ; et nous devons le préciser, il s’agit de notre expérience la plus décevante ; en premier lieu, le village ne mérite pas son prix d’entrée ; ensuite, le chef et ses sous-fifres sont de véritables personnages cupides et désagréables ; ils nous demandent de payer 50 euros pour pouvoir prendre des photos ; nous visitons le village sans payer et nous prendrons des photos en cachette.
Les maisons sont traditionnelles, mais le village est uniquement destiné au tourisme.
Le retour à Nadi
Nous reprenons notre route.
Nous continuons en direction de la ville de Ba ; nous découvrons une usine de sucre qui n’autorise plus les visites depuis peu : en effet, deux ouvriers sont décédés dans un accident et les autorités ont considéré que pour les non initiés cette visite était trop dangereuse.
Nous continuons en direction de Lautoka.
Le soleil commence à se coucher.
Nous avons le temps à Nadi d’assister à un entraînement de rugby.
Une soirée agréable
Nous rendons ensuite notre véhicule à l’aéroport.
Le responsable de la société Hertz, pour quelques euros nous emmène sur l’île de Denarau afin de faire valider notre ticket de ferry, puis il nous conduit à notre hôtel : Aquarius on the beach. Le lit coûte dans un dortoir 20 euros, mais des chambres doubles sont disponibles pour 60 euros avec le petit déjeuner compris.
Nous arrivons à notre hôtel.
Un réveil agréable
L’hôtel est idéalement situé et il est très propre et adapté aux petits budgets.
Le départ vers Denarau
Un bus vient nous chercher et nous conduire le lendemain matin à l’île de Denarau, afin de prendre notre ferry pour l’archipel des Yasawa.
Le retour aux Fidji
Plusieurs jours plus tard, nous retournons à l’hôtel Aquarius on the beach, dans lequel nous séjournerons plusieurs jours pour un moment de détente et de farniente.
L’aéroport de Nadi
Nous nous rendons dans la soirée à l’aéroport de Nadi.
Après notre séjour, un matin très tôt, un taxi nous emmène à l’aéroport.
Nous attendons notre vol pour le royaume des Tonga.
Nous embarquons.
Le départ des Fidji par Nadi
Nous survolons et quittons les Fidji.
Le retour aux Fidji par Suva
Nous revenons des Tonga.
L’atterrissage à Suva
Nous atterrissons à Suva.
Nous trouvons un chauffeur de taxi, qui pour 10 euros nous emmène à notre hôtel : le Col I Suva.
L’hôtel se trouve au coeur d’une forêt et il coûte 50 euros par nuit.
Le lendemain, notre chauffeur nous emmène à l’aéroport.
Nous procédons à un petit retrait pour payer le chauffeur.
L’aéroport de Suva
Nous enregistrons nos bagages avec la compagnie Air Fidji en direction des Tuvalu, un pays méconnu.
Nous sortons prendre le frais.
Le départ des Fidji
Nous embarquons et quittons les Fidji.
Le retour aux Fidji par Suva
Plusieurs jours plus tard, nous atterrissons à nouveau à Suva en provenance des Tuvalu.
Notre chauffeur nous emmène dans le même hôtel : Colo I Suva.
Il fait jour ; nous pouvons ainsi découvrir le parc alentour.
Mais nous devons rentrer précipitamment lorsqu’un gros orage arrive sans prévenir.
Le départ définitif des Fidji
Le lendemain matin, pour une énième fois, nous retournons à l’aéroport de Suva.
Nous embarquons cette fois-ci en direction d’Apia, dans les Samoa. Nous quittons les Fidji.