Attention, ce récit de voyage est une photothèque chronologique qui sous près de 500 photos montre intégralement notre découverte du Koweit afin que vous puissiez voir le vrai visage de ce territoire magnifique.
Nous avons ainsi découvert le Koweit et nous vous en présentons ses trésors touristiques.
Pour les lecteurs intéressés, découvrez notre article sur les incontournables du pays.
L’aéroport de Koweit city
En provenance de l’Iran, nous arrivons à Koweit city.
Le vol avec la compagnie Air Iran s’est merveilleusement déroulé ; le prix du billet est de 80 euros par personne pour 1 heure de vol. Nous pouvons en descendre.
Nous devons monter à l’étage afin d’une part de retirer de la monnaie du pays et d’autre part, faire nos visas sur place pour la somme de 10 euros par personne.
Le visa nous est octroyé sur une feuille volante ; il est écrit en Arabe. Nous récupérons nos bagages.
Nous avons réservé avec la compagnie Sixt ; le prix de la location est de 50 euros par jour. Cependant, aucun vendeur de la société n’est présent.
Pour le trouver, il faut le joindre sur son téléphone portable. En effet, afin de réduire les coûts, il ne possède pas d’agence, mais se déplace toute la journée avec son outil administratif sur lui ; à chaque appel, il arrive à la rencontre des loueurs pour effectuer les démarches administratives de la location et remettre les clefs du véhicule.
Premiers pas au Koweit
Nous quittons l’aéroport ; une légère pluie fine tombe.
Koweit city
Le centre-ville
La pluie redouble d’intensité ; le brouillard est présent ; le sale temps est rare dans le pays : quelques jours de pluie par an.
Nous découvrons le coeur de la ville de Koweit city.
Nous circulons en respectant les panneaux de signalisation. D’une part, les Koweitiens roulent très mal ; d’autre part, les radars sont omniprésents : un tous les 100 mètres.
Nous nous dirigeons vers le souk Al Mubarakeya. La circulation est dense.
En face de nous, la tour de la libération.
La tour de la libération est recouverte par un épais nuage. Nous continuons notre route.
Les bâtiments modernes côtoient les immeubles plus anciens.
Le souk Al Mubarakeya
Nous arrivons aux abords du souk ; nous nous garons.
Les vendeurs de vêtements proposent de belles étoffes.
Une partie du souk, du moins le bazar est situé en son entrée.
De nombreuses boutiques sont tenues par des Indiens et des Bangladais qui représentent une part importante de l’immigration ; les Koweitiens ne veulent pas exercer de nombreux métiers : l’immigration est ainsi massive, ce qui n’est pas sans poser de problème sur l’identité des résidents du pays puisque les immigrés ont dépassé, comme à l’instar de nombreux autres pays du golfe, le nombre de citoyens d’origine.
Nous continuons notre découverte du bazar.
Les magasins d’habits et de chaussures sont cependant tenus par des Koweitiens pur souche.
Nus continuons notre route en direction du marché des épices.
Le marché aux fruits
Nous arrivons dans le hall central réservé aux fruits.
Le marché aux poissons
Nous nous dirigeons ensuite vers le marché aux poissons.
L’odeur est très forte, mais l’endroit respire la fraîcheur.
Le marché aux épices
Nous découvrons enfin les fameuses épices vendues par kilos ; leur odeur embaume les lieux en leur donnant un côté inimitable.
Les commerçants nous invitent à manger des dates ; nous acceptons leur invitation.
Nous quittons le souk en nous dirigeant vers les restaurants traditionnels.
Un restaurant en bout de file attire notre attention. A l’intérieur, tout est fait maison ; nous nous régalons en choisissant plusieurs plats typiques ; le propriétaire nous fait visiter les lieux.
Le pain est fabriqué à l’ancienne.
Nous reprenons notre véhicule.
Face à nous, et prés de la grande mosquée du Koweit, le palais Seif.
Nous effectuons une belle promenade. Nous découvrons également la grande mosquée.
Le palais Seif
Nous découvrons la grande mosquée de la ville.
La mosquée est la plus grande du pays.
Route vers Doha
Nous reprenons ensuite notre véhicule. Nous repassons devant le palace Seif et nous nous dirigeons vers la ville de Doha.
La pluie redouble d’intensité.
La ville de Doha se trouve à 25 kilomètres.
Doha
Nous arrivons au port de Doha dont l’accès est réglementé.
Nous décidons ensuite de découvrir les quartiers de Doha en construction.
Une ville complète sort de terre. Plusieurs districts se trouvent dans le même état.
Nous faisons la connaissance de deux ouvriers indiens qui font partie des milliers d’autres travailleurs de l’ombre.
L’ambiance de fin du monde que nous découvrons est pesante.
Nous retournons vers le centre ville de Koweit city.
La nuit vient de tomber.
Les immeubles s’illuminent. Nous mangeons un morceau.
Koweit city by night
Nous faisons un tour de nuit.
La baie de Koweit city
Le brouillard se dissipe. Nous en profitons pour découvrir la baie de Koweit.
Nous pouvons apercevoir au loin les tours de Koweit.
Le brouillard s’est complètement dissipé ; la pluie a cessé de tomber.
Une nuit tranquille
Nous nous rendons dans notre hôtel : Suite home hôtel pour la somme de 50 euros par nuit, afin de déposer nos bagages.
L’hôtel est agréable pour un prix relativement bas. Nous y resterons plusieurs jours. Nous nous rendons immédiatement ensuite vers les tours de Koweit que nous découvrons de nuit.
Les tours sont magnifiques. Une légère lumière bleutée vient les sublimer.
Nous faisons ensuite un tour dans le centre ville.
Nous admirons les grands buildings qui changent de couleur. Les rues sont désertes.
La corniche de Koweit city à l’aube
Le lendemain matin, après une bonne nuit de sommeil, nous reprenons notre voiture en direction de la corniche.
Nous pouvons profiter pleinement de ce moment de détente.
Le soleil pointe son nez.
Nous nous rendons ensuite vers les tours de Koweit que nous avions découvertes la veille de nuit.
Le port de plaisance
Juste à côté, nous nous dirigeons vers le centre commercial.
Nous avons une vue magnifique sur la ville.
Le centre commercial est situé aux abords d’un port de plaisance.
Le tout, face à la mer.
Nous nous baladons sur le front de mer.
Nous reprenons ensuite notre véhicule.
Route vers Al Ahmadi
Nous prenons ensuite l’autoroute en direction de la ville d’Al Ahmadi.
Le plein ne nous coûte que 5 euros.
Après nous être restaurés, nous reprenons la route.
Al Ahmadi
Nous arrivons dans la ville d’Al Ahmadi.
La ville ne présente que peu d’intérêt. Mais nous devons la traverser pour rejoindre le désert. Nous arrivons à une route qui longe une série de fils barbelés ; il s’agit de l’entrée de la route pétrochimique, interdite à la prise de photographies.
Premiers pas dans le désert
Nous rejoignons l’autoroute en direction du désert. Là aussi, les photos sont interdites ; nous en prenons discrètement. La route est intéressante ; des deux côtés, les usines qui travaillent le pétrole tournent à plein régime.
Après quelques kilomètres sur cette autoroute qui nous mène vers le Sud du pays, à notre gauche, nous apercevons une sorte de désert de roche.
Au-dessus de ce désert de roche, des dizaines de cerfs-volants que nous ne nous attendions pas à trouver dans cette partie du globe.
Nous rejoignons la tente centrale ; une femme nous invite à boire le thé.
Les cerfs-volants
Nous découvrons ensuite ce spectacle magnifique.
Nous faisons connaissance avec le propriétaire des lieux : un homme mondialement connu pour la mise ne scène de ses cerfs-volants.
Les cerfs-volants sont de toutes les formes, de toutes les tailles.
L’homme : Abdulrahman Al Farsi a déjà gagné de nombreux prix à travers le monde, dont en France.
Il nous fait partager son savoir.
Nous pouvons grimper à l’intérieur d’un cerf-volant ; l’expérience est surprenante.
Nous profitons de ce moment de détente.
Pour nous rendre hommage, il déplie un cerf-volant représentant la France.
Conduite du buggy
Il nous prête ensuite un buggy afin que nous puissions découvrir le désert de roche dans lequel nous nous trouvons.
Cette détente nous fait du bien. Nous conduisons l’engin chacun notre tour.
Les Koweitiens s’amusent avec leur 4/4 sur un parcours d’obstacle.
Nous faisons de même.
Nous retournons ensuite au camp de base.
La découverte du désert
Abdulrahman a une surprise pour nous ; il nous met à disposition un de ses collaborateurs qui connaît comme sa poche le désert de sable situé non loin de là. L’homme, un passionné de photographie se nomme Mohammad Alkanderi ; il peut aider les voyageurs à découvrir le désert et il est joignable au 0096599478877 ou sur son mail.
Nous partons en sa compagnie.
Nous longeons à présent le désert de sable.
Sur le côté, un long pipeline de pétrole.
Nous le longeons jusqu’à pouvoir pénétrer dans le désert.
L’élevage de dromadaires
Nous faisons une halte dans un élevage de dromadaires.
Nous en côtoyons les animaux de prés.
Autour de nous, de nombreuses tentes : il s’agit soit de bédouins, soit de Koweitiens qui possèdent une sorte de résidence secondaire.
Un homme nous apprend à traire une femelle dromadaire.
La femelle ne se laisse pas faire ; le lait fraîchement recueilli lui est rendu juste après la traite.
Afin d’éviter que la femelle ne bouge durant la traite, ses jambes sont attachées.
Suite de la découverte du désert
Nous continuons notre excursion dans le désert.
Nous croisons une caravane de dromadaire sauvage.
Les animaux ne se laissent pas approcher.
Nous faisons connaissance avec de jeunes Saoudiens.
Le décor à certains endroits est surprenant.
Rencontre avec des bédouins
C’est alors que nous tombons sur un bédouin, qui nous invite à partager un moment dans sa tente.
Un autre bédouin arrive alors avec un faucon que nous pouvons porter. Pour éviter que les faucons s’envolent, une sorte de casque leur est posé sur la tête.
Nous entrons dans la tente.
Tout est mis à notre disposition pour assurer notre confort.
Nous buvons du thé et mangeons des dattes. Les bédouins sont d’une gentillesse extrême.
Le responsable de la tente : Japr peut aider les touristes à découvrir son mode de vie : il peut être joint au 0096596082020.
Nous passons un moment formidable.
Le thé coule à flot.
Les bédouins nous font essayer une sorte de bois qu’ils brûlent et qui dégage une sorte de fumée purificatrice.
Nous sommes ensuite appelés à l’extérieur.
Un dromadaire vient de saillir une femelle ; de sa bouche, sort une sorte de boule contenant son excitation ; le spectacle est surprenant.
Nous passons ensuite un moment à nous amuser avec le faucon.
Sur le sol, de l’herbe et autour de la tente, des barrières : c’est à ces caractéristiques que sont reconnaissables les vraies tentes de bédouins, à la différence des résidences secondaires.
Fin du séjour dans le désert
Nous saluons nos hôtes et retournons au camp de base.
Sur le chemin, des centaines de personnes profitent du beau temps pour s’amuser dans le désert : les jeux sont divers.
Nous remercions Abdulrahman, qui nous a même acheté à manger : des hamburgers cuits dans le désert.
Nous prenons ensuite la route vers l’aéroport.
L’aéroport de Koweit city
Nous arrivons sur place et rendons notre véhicule. Nous procédons à l’enregistrement de nos bagages avec la compagnie Jazeera en direction de Bahreïn.
Nous découvrons l’aéroport.
L’aéroport est moderne et accueillant.
Nous passons les contrôles de sécurité.
Nous nous dirigeons vers notre porte d’embarquement.
Quelques instants à patienter.
Nous embarquons et quittons le Koweit.