En provenance de Hong Kong, nous pénétrons dans le ferry rapide qui nous mènera dans la ville de Macao.
L’heure de navigation se déroule dans le calme.
La ville de Macao apparaît.
Nous franchissons l’immigration, sans avoir besoin de visa, étant ressortissant Français.
Nous quittons le pont.
Et sortons du port. Nous rejoignons l’extérieur et faisons connaissance avec notre guide : un francophone professionnel Michel Chang Kong Mou, joignable au 00 85 3668 14647 ou sur le macau200@yahoo.com.hk
Il nous accompagne vers son véhicule climatisé.
Nous démarrons.
Et rejoignons, une sorte de vestige d’obédience occidentale. Le guide nous avoue à demi-mot, que la construction est récente et provient des fonds d’un casino de la ville.
Macao est constitué de petites îles, dont deux principales : une au Sud et une autre au Nord, rattachée au continent chinois. C’est sur cette dernière que sont regroupées les plus belles merveilles architecturales du pays. Dont de grands gratte-ciels.
Ainsi que la plus haute tour de la ville. Le pays est baignée par la mer de Chine Méridionale.
Nous découvrons le musée des sciences.
En face de la baie de Macao ;
La température extérieure est de 43 degrés.
Ce qui entraîne l’apparition d’un brouillard opaque.
Le pays est néanmoins irréprochable d’un point de vue propreté.
Pas un papier ne traîne sur le sol. Nous découvrons également un des célèbres ponts qui permet de joindre les deux îles.
Nous continuons notre visite. Nous avons une vue sur un des casinos les plus hauts au monde.
Ainsi que sur le mont qui contient une des plus vieilles églises du pays.
Nous nous dirigeons vers ce point d’accroche.
Nous longeons la baie.
Nous stationnons sous la tour la plus haute de la ville. Nous nous en éloignons, une fois que nous l’avons visitée.
Le casino central de la ville, un parmi des dizaines d’autres surplombe la ville.
Nous rejoignons l’église.
Nous faisons face à la Chine.
Reconnaissable à la proximité de ses habitations.
Le pays fait face à Macao.
Le guide nous apprend que tous les jours, des centaines de chinois arrivent sur le sol de Macao pour travailler.
Macao étant un pays riche, les recettes provenant des nombreux casinos de la ville. Nous retrouvons ainsi la Chine.
Ou du moins, nous nous en approchons à nouveau.
Nous continuons notre montée à pied.
Les inspirations portugaises sont omniprésentes.
Le tour de Macao ne nous quitte pas.
L’église est typique du Portugal, avec ses vieilles pierres travaillées avec soin.
De ce promontoire, une jolie vue se dégage.
Sur les ponts du pays.
Le ciel se couvre.
Mais par chance, nous évitons l’orage.
Les panneaux sont à la fois en portugais et en cantonais, la langue officielle du pays. Nous nous dirigeons ensuite vers le temple d’A Ma
Il s’agit d’un temple bouddhiste.
Dans lequel, les habitants viennent se recueillir.
Il est entouré de verdure.
Et comprend un temple principal.
Ainsi que de nombreuses boutiques afin de pouvoir faire des offrandes.
Le parc est bien décoré.
Et comprend toujours les petits tissus rouges qui contiennent des prières.
Toute la journée, des femmes d’un certain âge accueillent les pèlerins.
Qui se ressourcent tout en priant. Nous nous dirigeons ensuite vers un fort.
Transformé en hôtel.
Une terrasse agréable permet de boire un bon café.
Tout en s’abritant du soleil.
Nous nous dirigeons vers le centre de la vieille ville.
Les immeubles sont plus, disons voir : anciens.
Des petits parcs attirent l’œil.
Présents sous les pieds des casinos.
Nous arrivons aux abords de la forteresse Del Monte. Nous la longeons.
Le taxi se gare à proximité.
Juste assez prés des ruines Saint Paul.
Avec en contrebas, la vieille ville qui se dessine.
Nous nous aérons l’esprit au cœur de la forteresse.
Le chauffeur nous conduit ensuite à notre hôtel : le Sofitel, un hôtel de luxe classé cinq étoiles.
Il représente un des plus beaux hôtels dans lesquels nous avons pu séjourner.
Et comprend un casino réputé.
Tout n’est que dorure et luxe.
De notre chambre, nous avons une vue panoramique sur la ville.
Nous nous détendons à la piscine.
Et admirons le coucher de soleil. Qui caresse les vieux bateaux du port.
Le soir même, nous nous aventurons dans les rues de la ville. Nous découvrons un monde bariolé de couleurs.
La chaleur extérieure reste supportable.
Et nous permet de flâner au grés de nos envies.
Nous arrivons jusqu’à la place centrale de la ville.
Celle qui donne accès à tous les casinos.
Elle comprend une fontaine aux relents polychromatiques.
Mais, l’endroit phare reste ce bâtiment administratif aux mille couleurs.
Nous arpentons les pavés blancs et noirs et retournons à notre hôtel.
Nous prenons le temps de nous essayer à la langue : le cantonais, quand bien même quelques personnes parlent le mandarin ou le portugais.
Bonjour. Hou Néih.
Comment allez-vous? Néih Hou ma?
Quel est votre nom? Néih giu māt’yéh mèhng un?
Mon nom est Ludovic. NGOH aller Meng giu Ludovic.
Ravi de vous rencontrer. Hahng’wúih.
S’il vous plaît. Ching.
Merci. Mh’gōi.
Soyez le bienvenu. Mh’sái Haak-hei.
Excusez-moi. Mh’hóu yisi
Je ne peux pas parler le cantonais. NGOH mh’sīk Gong Gwóngdōngwá.
Parlez-vous anglais? Mh-de-sik Néih Gong Yīngmán un?
Y at-il quelqu’un ici qui parle anglais? nī douh yáuh Mouh Yahn Sik Gong Yīngmán un?
Désolé. Deui-mh-jyuh.
Je ne comprends pas. Mh’mìhng Ngoh.
Au revoir. Bāaibaai.
Nous nous asseyons à la table d’un restaurant. Nous avons le choix entre :
Les fruits de mer ;
Le canard laqué ;
Les légumes coupés en rondelles ;
Les raviolis aux crevettes ;
Les fondues ;
Le barbecue chinois, constitué de viande de porc, d’oie ou de bœuf.
Le galinha africana picante (poulet à l’africaine), original dans son excellente sauce à base d’ail, noix de coco, pâte de cacahuètes, tomate et piment.
Le caldo verde (soupe de légumes).
Le peixe assado a portuguesa (poisson à la portugaise).
Les sardinhas assadas (sardines grillées).
Le pombo assado (pigeon rôti).
Le lendemain matin, nous prenons un petit déjeuner gargantuesque.
Puis, nous nous dirigeons vers l’aéroport situé sur l’île la plus méridionale. La circulation est fluide.
Et après une dizaine de minutes, nous arrivons à destination.
Notre vol Air Macao est à l’heure.
Les contrôles d’immigration et de sécurité sont vite passés et un bus nous conduit sur le tarmac.
Nous quittons Macao, avec un agréable souvenir. Nous n’avons pas vu, ainsi que les contes urbains le mentionnent, de mafias ou d’insécurité. Au contraire, Macao est un pays dans lequel, il fait bon vivre.