Nous nous approchons des côtes martiniquaises.
Nous arrivons de Dominique avec le ferry express ; le trajet coûte 70 euros et dure 2 heures.
Les côtes de Martinique se rapprochent.
Nous arrivons à proximité du port de débarquement.
Nous descendons du bateau ; nous passons les contrôles de sécurité ; en tant que Français et la Martinique étant une collectivité française, nous n’avons pas besoin de visa pour entrer sur l’île.
Nous rejoignons l’extérieur du port ; nous sommes accueillis par Kareen Dongar, un membre du Comité de tourisme de l’île ; Kareen est une femme délicieuse et professionnelle ; elle organisera en compagnie de sa responsable, notre programme de visite et nous permettra de découvrir une île fantastique à la chaleur humaine inégalable. Ses habitants, tous des trésors humains sont fiers de leur île et nous gratifieront de sourires sincères à notre vue. Une véritable bouffée d’oxygène.
Le site de l’office de tourisme de la Martinique peut être accessible sur le : http://www.martinique.org et son numéro de tel est le +596 596 61 61 77. Il donne une mine d’or d’informations pour réussir son séjour sur une île splendide.
Nous circulons en direction de l’aéroport prés duquel, nous avons réservé une voiture chez Avis location. Pour un prix de 40 euros par jour.
Nous arrivons au siège d’Avis.
Nous laissons la voiture sur place ; nous la récupèrerons plus tard ; en l’instant, nous nous rendons dans la voiture de Kareen et nous nous dirigeons vers le village des potiers.
Une fine pluie commence à tomber.
Après 30 minutes de route, nous parvenons jusqu’au village, qui n’est pas à proprement parler un village, mais plutôt un regroupement d’artisans de l’île.
Nous nous garons sur le parking.
Nous visitons le site à pied.
Nous faisons connaissance avec l’unique forgeron de l’île.
Nous visitons ensuite Mike, un potier.
L’homme met une grande application à exercer son art.
Il nous présente ensuite son travail qu’il a consigné dans un livre.
Nous mangeons un morceau dans une pâtisserie qui se trouve sur place.
Nous repartons ensuite vers l’anse Dufour.
C’est alors qu’une averse tropicale nous tombe dessus.
La pluie tombe en trombe.
Nous arrivons aux abords de l’anse.
C’est sous la pluie que nous la rejoignons.
La tempête qui s’abat sur nous donne à l’endroit un charme mystérieux.
Certains vacanciers ne profitent pour jouer aux cartes.
Nous continuons notre route vers l’Anse noire que nous atteignons en quelques minutes.
La plage est une plage de sable noir.
Le vent violent qui souffle remue la mer.
Les vagues se projettent contre le rivage.
Nous continuons notre route en direction du Sud de l’île.
Nous nous arrêtons dans un petit port.
Nous nous dirigeons ensuite vers un autre petit port qui se trouve dans la petite Anse.
De nombreux petits bateau de pêcheurs sont stationnés.
L’endroit est splendide.
Nous reprenons notre véhicule et nous arrivons jusqu’au rocher du diamant.
Le rocher perdu au coeur de la mer est une particularité de l’île.
Nous dépassons un cabanon dans lequel dorment des SDF.
Nous nous arrêtons au mémorial cap 110, un mémorial contre l’esclavage.
Le site laisse à penser à certains lieux de l’île de Pâques.
Ces statues dirigées vers la mer ont le regard vide.
Nous continuons notre route vers une plage qui permet d’apprécier la vue sur le rocher.
Nous reprenons la voiture vers Fort de France.
Nous assistons à un spectacle de danse traditionnelle.
Une grande ferveur se dégage de l’endroit.
Nous mangeons ensuite un hamburger dans un fast-food local.
Nous rejoignons notre hôtel pour la somme de 70 euros ; l’hôtel est pauvre et les conditions d’hébergement sont insuffisantes.
Le lendemain matin, nous nous dirigeons vers la ville de Tartane.
Nous dépassons plusieurs villes.
Sur le chemin, nous apercevons des coupeurs de canne à sucre.
Nous nous arrêtons pour discuter avec eux.
Ils nous expliquent leur métier, au combien difficile.
Nous reprenons ensuite la voiture.
Nous arrivons dans la ville de Tartane.
Tartane est une ville de pêcheurs.
Non loin de là, un vieil homme prépare ses casiers de pêche.
Alors que d’autres utilisent des cannes.
Nous profitons de ces instants de calme.
Nous sommes rejoins par notre guide : Sylvain, un être d’une grande gentillesse qui a voyagé un peu partout dans le monde. Il peut être joint au 06 96 27 84 50 ou sur le vit-fait@orange.fr
Nous repartons ensuite vers le château Dubuc.
En arrivant sur les hauteurs de l’île, nous croisons un convoi de militaires à l’arrêt.
Nous nous garons aux abords du château.
L’entrée coûte quelques euros par personne.
Le château était un haut lieu de la traite négrière dans les Caraïbes.
L’endroit dégage un sentiment étrange.
Le site est malgré tout bien conservé.
Nous reprenons notre route.
Nous nous arrêtons de telle sorte à avoir une vue magnifique sur la bai en contrebas.
Nous reprenons notre route.
Nous nous arrêtons à nouveau un peu plus loin.
Etant donné que nous avons faim, nous nous arrêtons chez Sylvia, qui nous prépare un sandwich local.
Nous reprenons la route.
Le guide nous arrête sur une colline qui nous permet d’avoir un autre point de vue sur l’océan.
Nous sommes seuls sur le site.
Un bouc s’approche de nous.
Nous continuons en direction de la ville de Saint Pierre.
Nous faisons face au rocher Delahousse.
Puis, nous rejoignons le Tombolo.
Le site, unique au monde permet de rejoindre une sorte d’île lorsque la marée est basse.
De nombreux touristes tentent l’expérience.
L’îlot est composé de deux parties attachées l’une à l’autre.
Nous continuons notre route ne direction de Saint Pierre.
Nous traversons une petite ville.
Elle ne présente que peu d’intérêts.
En rejoignant la côte Caraïbe, le décor change.
La température augmente.
Nous nous arrêtons dans un petit village pour boire un café.
Nous en arpentons les rues.
Nous repartons ensuite et grimpons dans les hauteurs de l’île.
La végétation est luxuriante.
Les bananes poussent en nombre.
La route monte.
Nous arrivons aux abords de Morne Rouge.
La ville est la plus élevée de l’île.
Elle nous permet de rejoindre Saint Pierre.
Nous faisons une halte dans une distillerie.
Mais nous préférons continuer notre chemin.
Certaines maisons que nous croisons sont anciennes.
Nous arrivons aux abords du site de l’église de Saint Pierre.
L’église fut détruite en même temps que la ville lors de l’éruption de l’île ; à l’intérieur de l’église, était célébrée une communion ; personne n’en réchappa.
C’est pour cette raison que le lieu est un site de mémoire.
Les pierres sont disposées sur le sol.
L’agencement des lieux donne à la ville, un air suranné.
Nous attendons que notre guide termine sa petite commission.
Nous nous dirigeons au coeur de la ville.
La ville est très agréable.
Elle comporte un beau petit marché traditionnel.
Nous faisons une courte promenade.
Nous nous arrêtons à la sortie de la ville afin de découvrir une belle plage.
Juste un peu plus loin, se trouve une autre plage qui présente la particularité d’avoir inspiré le peintre Gauguin.
Encore un peu plus loin en direction du Carbet, nous découvrons une autre plage.
Nous arrivons au Carbet.
Nous traversons la ville.
Nous entrons dans la distillerie Nelsson.
La distillerie organise des visites gratuites.
Nous commençons la visite par l’embouteillage du rhum.
Deux salariés y travaillent à temps plein.
Nous découvrons les grandes cuves du cuivre qui servent à stocker le précieux liquide.
Nous découvrons ensuite le broyage de la canne à sucre.
La canne à sucre est découpée.
Le liquide résultant de sa compression est stocké.
Un homme s’affaire à la sélection des morceaux qui serviront à la fabrique du rhum.
Une fois broyés, les copeaux sont brulés.
En l’attente, les copeaux sont stockés dans une sorte de hangar.
Nous faisons le tour du propriétaire.
Nous faisons une halte ensuite dans une agence de voyage locale.
Nous continuons notre découverte de l’île avec une visite de bassins d’écrevisses.
Le site est tenu par André, un ancien professeur de Philosophie.
L’homme nous explique que les écrevisses sont stockées naturellement dans des bassins, qui sont vidés une fois par an.
Les écrevisses qui sont arrivées à maturité sont ensuite placées dans un autre bassin dans lequel, elles seront choisies.
Nous rejoignons ensuite le Carbet pour découvrir le travail d’un grand chef de l’île.
Le restaurant Le petibonum se trouve sur la plage Pelican.
Le chef nous ouvre les portes de ses cuisines.
Nous assistons à la maîtrise de son art.
Le restaurant est un des meilleurs restaurant de l’île.
Le chef et sa brigade gèrent aussi bien les viandes que les poissons.
Avec une grande dextérité, son équipe gère l’arrivée des commandes.
Le chef nous invite ensuite à découvrir sa cuisine.
Le résultat est surprenant.
Nous passons un merveilleux moment.
Nous retournons ensuite à Fort de France.
Nous traversons nombre de beaux villages.
Nous nous arrêtons vers les hauteurs de la ville afin de découvrir une vue magnifique.
Le décor est sublime ; le beau temps valorise encore l’endroit.
Nous entrons ensuite dans la ville.
Fort de France est une ville agréable.
Le centre de la ville est bien conservé.
Les rues sont propres.
Nous en faisons le tour.
De nombreux bars se trouvent face à la mer.
Nous nous rendons vers le fort de la ville.
Après avoir visité la ville, nous nous dirigeons vers l’aéroport afin de rendre notre véhicule.
Un camion de chez Avis nous dépose ensuite à l’aéroport.
Nous procédons à l’enregistrement de nos bagages avec la compagnie XL airways ; le vol dure 8 heures et coûte 300 euros.
L’aéroport est bien entretenu.
Nous embrassons notre guide qui s’est avéré formidable ; nous passons les contrôles de sécurité.
Nous embarquons dans notre avion ; le pilote mettra en réalité 7 heures pour rejoindre Paris. C’est ainsi que nous quittons la Martinique, une île magnifique qui nous laissera des souvenirs impérissables.
Six mois plus tard, nous retournons en Martinique avec une croisière de la compagnie Costa.
Tôt le matin, nous arrivons au port de Fort de France.
Nous admirons cette vue magnifique.
Nous rejoignons le quai du port.
Pour cette journée de visite en indépendant, nous avons accepté la compagnie de quatre croisiéristes. de cette manière, en outre, le partage des frais de taxis réduira la facture.
Nous trouvons un chauffeur, qui pour 35 euros par personne accepte de nous conduire dans l’île. Il s’appelle Alain Quetty et est joignable au 06 96 26 40 35.
Nous partons en direction du Sud de l’île.
La route est de très bonne qualité.
Nous entrons dans la campagne martiniquaise.
Nous traversons plusieurs champs de bananes.
Nous arrivons aux abords de la distillerie Clément.
La visite coûte 12 euros et comprend une dégustation de rhums.
La visite débute par la découverte des jardins de la distillerie.
Mais, sur le site, aucun alcool n’est fabriqué ; la distillerie en fonctionnement se trouve à quelques kilomètres du site. Néanmoins, la distillerie est intéressante car elle permet d’effectuer une belle balade.
Nous continuons la visite.
Les anciennes machines ont été restaurées ; les visiteurs peuvent les découvrir dans leur intégralité.
Nous procédons ensuite à la dégustation de différents alcools.
Nous reprenons la route en direction de la plage des Salines.
Nous prenons la direction de Trinité.
Nous faisons une halte en haut d’une côte pour avoir une vue dégagée sur l’océan.
Nous reprenons la route ensuite.
Le paysage est verdoyant.
Sur le bord de la route, nous faisons une halte chez une vendeuse traditionnelle qui propose des spécialités locales.
Nous repartons ensuite.
Nous prenons la direction de Saint Anne.
Nous arrivons aux abords de la plage des Salines.
La plage est une des plus belles de l’île.
Nous passons la matinée à nous détendre et à profiter d’une eau à près de 30 degrés.
Nous partons ensuite en direction de Saint Anne.
Nous entrons dans la ville de Saint Anne.
Nous visitons un peu la ville.
Nous reprenons la route en direction du rocher du Diamant
Nous arrivons devant le site que l’on peut apercevoir de loin.
La vue est magnifique.
Nous nous dirigeons à présent dans la ville Le Diamant.
Nous nous garons sur la place centrale.
La place est très agréable.
Des enfants jouent au volley ball avec leur professeur.
Le cadre est magique.
Sur un ponton, nous partons à la rencontre avec des pêcheurs.
Nous retournons ensuite sur la place centrale.
Nous reprenons la route vers Fort de France.
Il nous faut 1 h pour rejoindre la capitale.
Nous nous dirigeons vers le centre ville.
Nous découvrons une belle église.
La ville est animée.
Nous visitons le marché local ; un homme dérangé nous agresse verbalement, nous reprochant le fait qu’à cause des métropolitains, il n’y ait pas de travail ; l’homme, vêtu d’un bleu est un commerçant ; nous lui répondons avec véhémence ; il se calme et doit répondre de son haussement de ton aux nombreuses personnes qui lui demandent de se taire.
Nous reprenons notre visite de la ville.
Nous découvrons de belles places.
D’une manière générale, les gens sont cordiaux.
Nous traversons un grand parc pour rejoindre à pied, notre bateau.
Mais nous prenons notre temps pour découvrir les belles statues qui ornent le parc.
Après 30 minutes de marche, nous rejoignons le port.
Nous devons passer par un contrôle de sécurité poussé.
Avant de rejoindre le bateau ,nous pouvons acheter au duty free, nombre de produits ; les prix sont avantageux ; nous faisons le plein.