En provenance du Costa Rica, nous passons la frontière avec le Nicaragua.
Les formalités d’usage durant 10 minutes, nous réservons un chauffeur de taxi pour nous rendre dans la ville de San Jorges, ville de laquelle nous prendrons un ferry pour l’île d’Ometepe.
Nous prenons ainsi la direction de Rivas, la grande ville qui se trouve aux abords du lac Nicaragua.
Sur le chemin, le long du lac, de nombreuses éoliennes sont présentes.
Un grand camion nous ralentit ; il est difficile de le doubler.
Nous entrons dans la ville de Rivas.
Mais, la nuit commençant à tomber, nous ne nous y arrêtons pas.
Nous prenons un carrefour sur notre droite et nous arrivons à San Jorges.
La ville est petite.
L’embarcation du ferry étant close, nous devrons dormir dans la ville ; avant de trouver un hôtel, nous découvrons la ville.
Nous faisons connaissance avec une famille qui lave son linge dans le lac Nicaragua.
Nous assistons à un splendide coucher de soleil.
Nous assistons ensuite à un match de basket.
Nous continuons notre visite de la ville.
Nous mangeons dans un restaurant des produits locaux.
Nous partons ensuite à la recherche d’un hôtel ; nous en visitons 2 ; ils ne nous conviennent pas.
Nous en visitons un autre ; ce dernier est bien trop cher.
Finalement, nous en trouvons un juste à côté du port pour 35 euros la nuit ; nous aurions pu trouver des chambres d’hôte pour 5 euros la nuit, mais ces dernières étaient vraiment trop spartiates.
Le lendemain matin, nous nous levons et rejoignons le port.
Un garde nous ouvre les portes du port pour rejoindre le ferry.
Après avoir pris nos tickets, nous embarquons et quittons la ville pour rejoindre l’île d’Ometepe.
Plusieurs jours plus tard, alors que nous sommes de retour vers San Jorges, nous faisons la connaissance d’un chauffeur qui accepte de nous conduire à Granada pour une somme assez faible. En outre, il accepte de nous faire visiter Rivas et fera une escale à San Juan del Sur, une des plus belles villes balnéaires du pays.
Arrivés au port de San Jorges, nous avons un rendez-vous avec un conducteur qui accepte de nous servir de chauffeur durant plusieurs jours pour visiter le Nicaragua ; nous payons 60 euros par jour, tout compris, soit le même prix qu’une voiture de location ; en outre, nous ne devrons pas payer l’essence, ni le guide.
Nous repartons en direction de Rivas.
Nous prenons un peu le temps de découvrir la ville.
La ville comporte une belle place centrale.
Nous assistons à une fête populaire.
Nous reprenons ensuite la route vers San Juan.
Il nous faut 1 heure pour rejoindre la ville.
La ville se trouve aux abords de l’océan Pacifique.
Nous empruntons une petite route départementale.
Nous arrivons aux abords de la ville.
Nous entrons dans la ville.
Nous rejoignons immédiatement le bord de mer.
Nous arpentons le front de mer.
Le soleil commence à se coucher.
Les couleurs deviennent vives.
Nous en profitons pour manger un morceau dans un des restaurants de plage.
Du jaune, la teinte du ciel passe à l’orangée.
Le décor est majestueux.
Tard dans la soirée, nous prenons la route en direction de la ville de Granada, située à deux heures de Rivas.
Nous saluons notre chauffeur et réservons l’hôtel La Pergola. Le prix est de 50 euros la nuit.
Nous décidons de visiter ensuite la ville de Granada, en nous méfiant, car la nuit, les vols et agressions ne sont pas négligeables en nombre.
La ville est très touristique.
L’ambiance est bonne.
L’avenue est centrale pour les habitants de la ville.
Nous assistons à plusieurs concerts de rue.
Nosu décidons de nous rendre à pied à la place centrale, mais l’ambiance lugubre de la place ne nous inspire pas confiance ; nous sommes constamment sur nos gardes.
Nous retournons ensuite à l’hôtel profiter d’un bain de minuit revigorant.
Le lendemain matin, nous sommes rejojnts par notre chauffeur.
Il nous fait découvrir tout d’abord la ville de Granada.
La ville est coloniale.
Les maisons sont de couleurs vives, toutes accolées les unes aux autres.
Nous pouvons à la différence de la veille, découvrir la place centrale en toute tranquillité.
Les habitants vivent pour la majeure partie d’entre eux sur la place dans laquelle, ils travaillent où se promènent.
Nous visitons la cathédrale de la miséricorde.
Après 2 heures de visite, nous repartons en direction de la ville de Massaya.
Pour ce faire, nous traversons la ville de Granada et la quittons vers l’Ouest.
Nous pouvons en admirer ses secteurs reculés.
Granada est une des villes les plus visitées du pays.
Certains secteurs de la ville comportent de véritables trésors architecturaux.
Sur les façades des maisons, les balcons qui rajoutent du charme à la ville.
Nous longeons l’avenue principale.
Nous quittons la ville.
Une double voie nous mène directement à Massaya.
Le guide souhaite nous emmener tout d’abord à la lagune Apoyo, qui se trouve sur le chemin.
Nous croisons nombre de petits villages.
Nous devons descendre en voiture jusqu’à la lagune après avoir quitté la route principale.
Nous rejoignons les abords de la lagune.
De nombreux hôtels sur place proposent des chambres peu chères.
Nous nous dirigeons vers la lagune.
Le site permet de se détendre et de faire des jeux aquatiques.
Nous ne nous baignons pas et profitons du spectacle.
Nous repartons ensuite en direction de Massaya.
La route est directe.
Nous entrons dans la ville.
Nous nous dirigeons vers le centre.
La circulation est plus dense.
Les maisons ressemblent à celles de Granada.
Le Nicaragua comporte nombre de villes coloniales.
Les couleurs sont agencées de telles sortes à rendre la ville dynamique.
Nous arrivons dans le centre historique.
Il nous faut garer notre voiture.
Nous nous rapprochons du marché municipal.
Nous nous garons dans une ruelle.
Nous nous promenons dans les rues de la ville, mais nous apprenons que le marché se trouve un peu plus au Nord.
Il nous faut reprendre la voiture.
Nous arrivons à la place centrale.
Les boutiques sont de plus en plus nombreuses. Nous prenons un hôtel pour la nuit. Le lendemain, nous nous rendons au marché.
Le marché est très coloré.
Il commence dans la rue.
Nous parcourons les ruelles qui entourent le marché et pénétrons ensuite dans le bâtiment principal.
La vie suit son cours.
Nous mangeons un morceau pour pas cher.
Les gens sont accueillants et attachants.
Nous retournons à notre voiture.
Nous nous dirigeons à présent au marché artisanal.
Nous devons conduire une dizaine de minutes.
Malheureusement, les embouteillages nous ralentissent.
Nous nous garons aux abords du marché artisanal.
Des jeunes enfants nous tiennent compagnie.
Le marché artisanal vend de nombreux produits locaux.
Nous rejoignons notre hôtel et le lendemain matin, notre chauffeur vient nous récupérer ; en sa compagnie, nous partons vers la direction du volcan Massaya, un volcan facile d’accès et très prisé des touristes.
Le volcan se trouve sur la route en direction de Managua, la capitale.
Nous quittons la ville.
Les indications sont claires et précises.
Nous entrons dans le parc national.
Nous devons effectuer une halte pour acheter les tickets d’entrée.
Après avoir payé quelques euros par personne, nous reprenons notre voiture pour grimper au sommet.
Il nous faut une vingtaine de minutes pour parcourir les quelques kilomètres de montée.
Nous profitons d’un décor splendide.
La route est en bon état.
Nous garons notre véhicule sur le parking et pouvons rejoindre le volcan qui se trouve à quelques pas de là.
Nous avons une vue directe sur le cratère.
Etant donné les émanations de gaz, nous avons le droit de rester une quinzaine de minutes.
Mais, nous négocions avec les gardes le double.
Le site est bien aménagé.
Nous pouvons ressentir la chaleur de la lave qui s’écoule dans le cratère.
Nous repartons ensuite en direction de Managua, la capitale.
Nous entrons dans la périphérie de la ville.
La ville est propre.
Comme dans de nombreuses capitales américaines, la périphérie regroupe de nombreux commerces et usines.
La circulation est fluide.
Nous nous dirigeons vers le centre ville.
Quelques embouteillages nous ralentissent, mais sans plus.
La ville est moderne.
Nous empruntons une sorte de rocade.
Nous rejoignons le centre ville.
Il nous faut traverser un quartier résidentiel.
Avant de rejoindre un secteur plus moderne de la ville.
Nous entrons dans le centre historique, le lendemain, après avoir dormi dans un hôtel sans prétention.
Les maisons au centre semblent plus vieilles qu’à l’entrée de la ville.
Plusieurs artisans travaillent à même le trottoir.
Les épiceries traditionnelles pullulent.
Nous arrivons au bord du lac Managua, lieu où se trouve le centre historique.
Nous contournons une grande place.
Il nous faut encore parcourir quelques mètres.
Nous garons notre véhicule aux abords de la vieille cathédrale.
La cathédrale se trouve aux abords d’un musée contenu dans un ancien palais.
Nous rejoignons un monument aux morts.
L’ancienne guerre civile sous la dictature est encore dans toutes les mémoires.
Les soldats tombés pour la patrie lors de la guerre d’indépendance sont célébrés en héros.
Le centre historique est contenu en une grande place qui comprend tous les monuments importants de la ville.
A proximité de la cathédrale, se trouve un groupe de jeunes détenus qui travaillent pour l’intérêt général.
Nous reprenons ensuite notre voiture pour nous diriger vers le Malecon proche, une sorte de front de lac sue lequel se regroupent de nombreux restaurants.
Il nous faut rouler 5 minutes pour rejoindre le Malecon.
Nous payons l’entrée en voiture, 2 dollars.
Nous découvrons de nombreux restaurants.
Le lieu est agréable.
Face à nous, le lac Managua.
Nous mangeons un morceau dans un des restaurants du site, et ce malgré les prix excessifs des plats. Près de 15 euros pour un steak, soit bien plus que les prix moyens du pays.
Nous nous dirigeons à présent vers les plages d’El Transito, un coin magnifique sur la côte Pacifique.
Nous devons traverser la ville vers l’Ouest.
Sur la route, des hommes proposent à la vente des oiseaux.
Nous quittons la route principale pour emprunter une petite route vers la côte.
Il s’agit d’un chemin de terre.
Nous entrons dans un petit village de pêcheur.
Il s’agit d’un secteur seulement connu des locaux.
Nous nous garons aux abords d’un restaurant de plage.
Nous pouvons enfin apprécier ce moment de détente.
Les plages sont magnifiques.
Elles sont presque désertes.
Nous nous baignons dans une eau chaude.
Nous apercevons des pêcheurs qui partent au loin.
Nous passons l’après-midi sur place.
Nous nous dirigeons à présent vers la ville de Léon.
Il nous faut 2 heures de route pour rejoindre la ville.
Nous entrons en périphérie de la ville.
La ville est une des plus belles villes coloniales du pays.
Toujours les mêmes maisons typiques coloniales.
Nous nous dirigeons vers la cathédrale.
Nous découvrons aux abords de la cathédrale, un beau marché.
Plusieurs églises sont présentes dans la ville.
Nous arpentons en voiture de belles petites ruelles.
Les façades témoignent d’un riche passé culturel.
Au moment de payer le chauffeur, celui-ci nous réclame le double de la somme ; nous refusons d’accéder à sa demande et devant son insistance, l’affaire se finit à la gendarmerie ; les gendarmes tiennent avec nous ; pour ne pas faire d’histoire, nous lui donnerons un billet de 10 dollars en plus ; il part, mécontent de ne pas nous avoir soutiré bien plus que la somme qui était convenue.
Nous pouvons enfin profiter de la ville comme nous l’entendons.
Nous mangeons directement au marché.
Nous visitons ensuite la cathédrale.
Nous pénétrons à l’intérieur.
Le pays est catholique.
Derrière la cathédrale, la place centrale sur laquelle il fait bon vivre.
Nous profitons de la place.
Les habitants sont chaleureux.
Un bus de transport local s’est adapté pour devenir une attraction touristique.
Nous nous rendons ensuite dans un des cafés de la place.
Le soir, nous rejoignons notre hôtel.
L’hôtel La Perla coûte 50 euros la nuitée.
Il s’agit d’un bel hôtel à proximité du centre historique.
Le lendemain matin, pour 40 euros, nous commandons un taxi pour rejoindre la frontière avec le Honduras.
Il nous faut 2 heures de route pour rejoindre la ville frontalière.
Nous admirons la campagne alentour.
Le Nicaragua est un pays sûr.
Nous entrons dans la ville de Chinandega.
Nous continuons notre route.
A plusieurs reprises, la route laisse place à un chemin de terre, praticable tout de même.
De nombreux champs nous entourent.
Nous arrivons aux abords de la frontière.
Nous traversons un pont.
De nombreux honduriens viennent au Nicaragua profiter de prix plus faibles.
Il nous faut encore rouler quelques mètres pour rejoindre le poste frontière effectif.
Les embouteillages sont synonymes d’arrivée.
Un tuk tuk nous permet d’éviter de marcher entre les deux postes frontières pour la somme de 2 dollars.
Mais, il faut tout d’abord présenter notre passeport pour quitter le pays.
Le chauffeur nous conduit à la police d’immigration.
Les formalités dureront près de 1 heure. Durant tout ce temps, notre chauffeur de tuk tuk nous attendra. Nous pouvons enfin quitter le Nicaragua.