Attention, ce récit de voyage est une photothèque chronologique qui sous près de 400 photos montre intégralement notre découverte de Singapour afin que vous puissiez voir le vrai visage de ce territoire magnifique.
Nous avons ainsi découvert le pays et nous vous en présentons ses trésors touristiques.
Vol vers Singapour
En provenance du Sri Lanka, nous embarquons pour Singapour.
Le vol avec la compagnie Sri Lanka airlines est un vol de nuit ; il dure 5 heures. Les premiers rayons du soleil nous réveillent.
Nous apercevons le sol singapourien.
Nous atterrissons à l’aéroport de Singapour. Alors que l’avion est désinfecté, nous descendons.
L’aéroport de Singapour
Nous franchissons un sas. A la police de l’immigration, en tant que Français, nous bénéficions d’un visa gratuit d’un mois. Nous passons ensuite les douanes qui fouillent chaque bagage ou du moins, nombre d’entre eux ; les autres sont passés simplement aux rayons X. Il faut préciser que la législation singapourienne est une des plus répressives du monde. L’importation de tabac est strictement contrôlée et les quantités, limités à l’extrême.
L’aéroport comprend sur le sol de la moquette.
Pas un papier ne traîne par terre. Les amendes sont dissuasives : prés de 1500 dollars pour un papier jeté par terre ; la même amende pour fumer hors des endroits prévus à cet effet. Mâcher un chewing-gum est interdit, tout comme le sont les revues pornographiques. Avoir de la drogue sur soi fait risquer à son auteur la peine de mort et avoir fumé du cannabis hors du pays, mais étant contrôlé sur le sol laisse entraîner la même peine qu’une consommation locale.
Nous ressentons immédiatement, quand bien même nous n’avons rien à nous reprocher, une pression, une sorte d’épée de Damoclès au-dessus de la tête. Pourtant, les officiels et les gens sont d’une grande gentillesse.
Nous nous dirigeons vers la sortie de l’aéroport.
Nous traversons un hall flambant neuf.
L’aéroport est moderne.
Nous pouvons fumer dans une sorte de carré délimité.
Nous patientons au niveau des taxis ; pour deux jours, nous ne réserverons pas de véhicule et essayons de trouver un chauffeur.
L’entrée dans Singapour
Nous en rencontrons un ; il nous demande 100 dollars par jour ; nous ne trouverons pas moins cher dans le pays. En outre, il va nous servir de guide. Nous nous dirigeons vers le centre ville. Sur le sol, il n’y a pas un papier par terre.
Notre chauffeur : Vincent est agréable. Il nous détaille la vie sur place et vante son pays ou du moins, sa cité état, Singapour n’étant qu’une grande ville, un peu comme l’est Hong Kong. Il peut se joindre au 00 65 98762406 ou sur son mail.
Un bouchon se forme subitement.
Sur les côtés, une voiture est en feu.
Nous continuons notre route. La température extérieure est de 40 degrés.
La Fountain of wealth
Nous nous arrêtons à la place de la Fountain of wealth.
La fontaine se trouve en face de nous.
Les buildings sont impressionnants. Nous ne savons où donner la tête. Quelques arbres donnent une petite touche naturelle non négligeable au milieu de ces tours de béton et de verre.
Nous découvrons les environs.
La place est un centre majeur pour les entreprises.
Il s’agit d’un des quartiers économiques principaux de la ville.
Les bâtiments ne se ressemblent pas tous.
Nous arpentons les rues de la ville.
Après une heure de découverte, nous quittons la place.
Nous nous dirigeons vers la Marina bay.
Les abords de la marina bay
Nous pouvons apercevoir au loin, le bâtiment emblématique de la baie. Il s’agit d’une sorte d’immeubles constitués de trois grandes parties reliées entre elles par le toit. Un sentiment de petitesse nous emplit. Le bâtiment est sublime.
Nous avançons. Nous garons notre véhicule un peu plus loin.
C’est à pied que nous découvrons le secteur. Derrière nous, de hauts buildings. En appuyant sur un bouton, le feu passe très rapidement au vert pour les piétons. Notre guide nous accompagne.
Les immeubles semblent pousser comme des champignons.
Il est vrai que la ville est propre. La sécurité est le mot d’ordre pour les visiteurs comme pour les citoyens et résidents.
Les 3 arches
Malgré tout, un sentiment d’oppression reste présent.
Et ce, quand bien même, la surveillance n’est pas rédhibitoire. Nous avançons vers les trois arches.
A ses pieds, un grand centre commercial.
L’entrée secondaire est fermée ; il nous faut emprunter l’entrée principale.
Nous ne nous lassons pas de découvrir ce bâtiment moderne.
Nous pénétrons dans le centre commercial.
Un grand plafond de verre illumine l’endroit.
Le centre comporte de nombreuses boutiques de luxe.
Franck Muller…
Boucheron…
Sur le sol, à l’étage inférieur, un bassin dans lequel baignent de nombreux poissons.
Nous traversons le centre.
Nous arrivons à l’extérieur,
Le Merlion parc
Face à nous, le Merlion parc.
En face, l’esplanade du théâtre.
Avec ses constructions futuristes.
Nous avons une vue panoramique de la ville.
Il s’agit de l’endroit touristique phare de la ville.
Nous découvrons également le garden of the bay. Chaque bâtiment est unique.
Nous faisons le tour de la baie. Nous ne nous lassons pas de ce spectacle.
Avec une seule envie : sauter dans l’eau. Mais à Singapour, la démarche est interdite.
La marina bay
Nous continuons d’arpenter la baie.
Nous profitons de ce moment de détente, les quais étant déserts.
Seuls quelques touristes vaguent à l’âme. Nous nous décidons à rentrer. Nous sommes épuisés par cette journée de visite.
Nous faisons à nouveau une halte au centre commercial.
Nous visitons d’autres boutiques.
Il y a plusieurs niveaux.
Nous descendons au sous-sol.
Nous nous restaurons ; les prix sont assez élevés.
Nous quittons le centre.
Le jardin botanique
Après une nuit dans un hôtel sans prétention, le lendemain matin, nous nous dirigeons vers le jardin botanique.
L’extérieur est gratuit, mais l’intérieur est payant. Nous découvrons les arbres futuristes.
Des centaines de plantes différentes accueillent les visiteurs.
Mais les éléments phares restent ces arbres. La nuit, ils s’illuminent.
Nous avançons les yeux rivés vers le ciel. La promenade est agréable.
Un dôme située devant nous contient à lui seul, des milliers d’espèces de plantes tropicales.
Les arbres sont géants. Nous nous sentons à nouveau petits.
Route vers l’île de Sentosa
Nous allons à notre auberge qui ne paye pas de mine ; après une nuit revigorante et un petit-déjeuner complet, notre chauffeur nous récupère pour la suite de la visite. Il nous emmène à présent sur l’île de Sentosa.
L’île peut être jointe par un téléphérique. Pour s’y rendre en voiture, il faut traverser la ville. Le matin, il y a peu de circulation.
Assez rapidement, nous parvenons en périphérie de la ville. Les voitures respectent les limitations de vitesse.
L’île de Sentosa
Nous entrons sur l’île. L’île comprend de nombreux parcs d’attraction, dont un aquarium géant.
Nous découvrons également le lion, emblème du pays.
Nous continuons notre route vers les hauteurs de l’île.
Nous dépassons quelques ambassades. Des commerces sont dispersés le long de la route. En pénétrant le coeur de l’île, la circulation est plus dense.
Des bouchons commencent à apparaître.
Notre chauffeur connaît un emplacement très demandé.
La vue panoramique
Il s’agit du point le plus haut de la ville. A notre gauche, une construction futuriste.
Mais, le spectacle se situe à notre droite.
La vue est la même que sur une skyline. Et l’endroit est gratuit.
Les immeubles d’habitation s’étendent au loin.
Nous faisons demi-tour après quelques minutes.
Nous reprenons notre véhicule.
Route vers Chinatown
Nous nous dirigeons vers le quartier Chinatown. Il nous faut à nouveau traverser la ville.
Les bâtiments semblent moins modernes. Les rues sont plus espacées. La circulation, fluide.
Notre attention est constante. Nous ne voulons rien louper de ces immeubles des années 1970.
Mais superbement bien conservés.
Et ce, au milieu d’autres bâtiments plus modernes. Notre chauffeur nous annonce notre arrivée imminente.
Chinatown
Le chauffeur gare le véhicule.
Nous continuons à pied. Les rues de Chinatown sont colorées.
Les immeubles de petite taille ont su conserver leur identité. Nous découvrons les quartiers sous-jacents, dont le quartier indien. Ainsi que le temple Sri Veeramakaliamman. Nous retrouvons notre chauffeur qui nous emmène dans une autre partie de Chinatown.
Nous garons notre véhicule et continuons à pied.
Nous découvrons les sous-sol du quartier : il s’agit d’une série d’échoppes qui comprennent des centres de massage, voire plus si affinités ou du moins, argent sonnant et trébuchant.
Dans les sous-sols, également des marchands de travailleurs que les singapouriens peuvent choisir sur catalogue : une birmane, 200 par mois, une philippine, le double.
Nous sommes les seuls touristes du sous-sol. Nous remontons à la surface.
Une pluie fine commence à tomber.
Nous nous abritons sous un porche.
Le quartier est une attraction de la ville.
Le décor change radicalement avec ce que nous avons découvert jusqu’à là.
Les produits made in China inonde les rayons.
Mais, qu’il est agréable de flâner sans but précis.
Ici tout se vend.
Et tout s’achète.
Nous continuons notre visite.
Nous nous dirigeons vers la partie culinaire du quartier.
Les produits exposés ne nous donnent pas envie.
Les rues sont bondées malgré la pluie. De nombreux lampions sont accrochés.
Et ce, tout au long des ruelles.
Nous décidons à présent de rentrer.
Nous retraversons le hall d’entrée.
Et le quittons par une autre sortie : nous découvrons des vendeurs de rue, à qui nous achetons des spécialités appétissantes.
Route vers la frontière malaisienne
Nous retournons à notre véhicule. Le chauffeur nous emmène à la frontière avec la Malaisie.
Nous empruntons une autoroute. Le guide a été durant ces deux jours, d’un grand professionnalisme. Nous quittons l’autoroute.
Nous prenons la direction de Woodlands.
Le poste de douane apparaît devant nous. Nous remercions notre chauffeur.
La traversée de la frontière
Il nous dépose face au poste des douanes ; nous pouvons prendre un train jusqu’à Kuala Lumpur, la capitale de la Malaisie, mais nous décidons de passer la frontière à pied. Le poste de douane se dresse devant nous.
Une fois les formalités d’usage effectuées, après une marche de 30 minutes dans des dédales de couloirs, nous quittons le territoire de Singapour.
Pour rejoindre le poste frontière de la Malaisie, nous devons prendre un bus. Il nous permet de rejoindre la ville de Johor, ou du moins, sa périphérie.
Le bus est gratuit.
Nous traversons le pont qui sépare les deux pays. Nous pénétrons dans les douanes de la Malaisie ; nous venons de quitter Singapour.