Nous entrons dans le Nord du pays en provenance de Chittatong.

Nous sommes toujours accompagnés de Russel, notre guide, un des plus performants du pays. Il nous remet alors que nous sommes attablés, toutes ses coordonnées ; il s’avère être un guide d’un grand professionnalisme, marrant et toujours enclin à satisfaire nos demandes, sans jamais rechigner, ni se plaindre. A conseiller sans retenue. Il est joignable au 01718604347 ou sur le russel@communityecotour.com

Soudainement, à Bhuchirong town, notre chauffeur percute de plein fouet une moto conduite par un jeune homme d’une trentaine d’années. ce dernier, immédiatement après le choc se relève et s’excuse. Nous sommes choqués que personne ne pense à lui demander s’il va bien, mais plutôt à lui crier dessus, suite à l’accident ; or, il s’avère que notre chauffeur était en tort.

Très rapidement, un attroupement se forme ; la police arrive rapidement sur place ; la loi du plus fort étant en vigueur, le chauffeur de la moto est déclaré responsable. Notre chauffeur lui demande de payer les réparations.

   

La moto est relevé et le chauffeur accepte de donner 10 euros pour participer aux frais de réparation ; la police est témoin de la transaction.

L’accord est inscrit sur un bout de papier.

 

Le chauffeur nous accompagne dans la ville voisine ; la négociation avec un garagiste se conclut pour le montant de cette somme.

En attendant, nous visitons la ville.

  

Nous découvrons une scierie traditionnelle.

 

Des meubles sont construits.

Puis, non loin de là, nous visitons une fabrique de briques.

Nous retournons à la voiture ; nous présentons aux habitants, le monde que nous découvrons dans nos voyages ; ils visualisent les images sur notre téléphone portable.

 

Les réparations sont terminées après une heure de travail.

Nous reprenons la route. Nous faisons une halte dans une petite ville d’où nous faisons connaissance avec une femme qui présente des particularités au niveau de la peau que nous ne pouvons expliquer : sa peau ressemble à celle d’un reptile.

 

Nous repartons.

Sur la route, nous nous arrêtons dans une fabrique de briques.

Nous demandons de visiter la fabrique à ses responsables.

Les responsables nous autorisent la visite, mais nous demandent de ne pas filmer les enfants qui travaillent si nous en voyons.

 

Toute la journée, des briques sont produites par des jeunes ouvriers.

Les briques sot ensuite placées dans de gros fours.

Sur les fours, des hommes, toutes les 10 secondes jettent des miettes de charbon dans de petits trous, pour alimenter l’édifice en combustible.

Le travail est harassant et il y règne une chaleur étouffante.

 

Une fois chauffées, les briques sont refroidies à l’air libre.

   

Nous ressentons une empathie pour ces forçats du travail.

Nous rejoignons ensuite un village qui se trouve dans le coeur de la fabrique.

 

Le village comporte quelques habitations ; la fabrique fait vivre tous ses habitants.

Nous terminons notre visite par l’extraction de la terre du sol ; la terre est ensuite broyée en compagnie d’additifs qui permettront de donner à la brique sa solidité.

  

Nous reprenons la route en direction de Srimongol.

 

Sur la route, nous faisons une halte pour déguster un poulet cuit à la broche, accompagné de pain traditionnel.

   

Nous arrivons dans la ville de Srimongol, tard dans la nuit.

 

Nous mangeons dans un restaurant.

Nous faisons la connaissance de deux Néerlandaises, les seuls touristes que nous croiserons dans tout le pays.

Nous rejoignons ensuite le Nishorgo cottage, un hôtel à 30 euros la nuit.

Le lendemain, nous nous réveillons de bonne heure.

 

Nous nous dirigeons après le petit déjeuner, au parc Lawacherra.

   

En 20 minutes, nous arrivons dans le parc.

 

Nous y passerons la journée.

Nous marchons jusqu’à un village qui est situé dans le parc ; il s’agit d’un village tribal.

  

La forêt comporte de nombreux singes et oiseaux.

 

Nous entrons dans le village.

 

Nous faisons connaissance avec un guérisseur traditionnel qui fera des miracles avec ses doigts sur nos dos, fatigués par ce voyage mouvementé.

  

Nous continuons notre visite du village.

 

Plusieurs habitants nous invitent chez eux.

Nous assistons à leur quotidien.

 

En fin d’après-midi, nous accompagnons un homme qui grimpe sur les arbres pour récupérer des feuilles qui serviront à fabriquer une sorte de tabac à mâcher.

   

Nous quittons le village.

Sur la route, nous croisons un rickshaw ; pour quelques pièces, le conducteur accepte de nous conduire à l’entrée.

Nous rejoignons une sorte de bar qui se trouve dans le parc.

C’est alors que nous faisons la commande d’un thé particulier : le thé aux sept couleurs. Dés les premières gorgées, ce thé qui nécessite 15 minutes de préparation explose dans notre bouche ; les saveurs sont inouïes. Il s’agit là du meilleur thé du monde.

 

Nous prenons ensuite quelques photos d’un policier qui poursuit les braconniers dans le parc.

 

Nous repartons ensuite vers les champs de thé de la région.

Il nous faut rouler 20 minutes pour rejoindre les plantations qui ne sont pas difficiles à trouver.

  

Nous nous baladons en pleine campagne.

Nous jouons avec des enfants.

  

Nous découvrons les plantations d’ananas et de citrons.

La région est le grenier du pays.

Nous rejoignons ensuite les champs de thé.

Des femmes y travaillent ; Durant le reste de la journée, nous les accompagnerons et nous essaierons nous aussi à ce travail harassant.

Les habitants nous accueillent avec le sourire.

  

A tour de rôle, les femmes se reposent.

Un enfant du village apporte ensuite aux femmes, une glace qu’elles dégustent avec envie.

Nous quittons nos hôtes avec regret.

    

Nous retournons à notre hôtel.

Le lendemain, nous continuons notre découverte des campagnes environnantes.

Nous entrons ensuite dans la ville de Srimongol.

Nous pratiquons les activités locales.

La ville est très dynamique.

Nous visitons ensuite le marché.

Le poisson se vend aux côtés des légumes de saison.

Les habitants sont formidables. Tous, sont enjoués de nous croiser.

Durant plusieurs heures, nous nous fondons avec les habitants.

Il est enfin temps de retourner sur Dhaka ; Russel décide de rester dans la ville afin de retrouver sa famille originaire du secteur.

Nous quittons la ville.

 

Les champs de thé s’éloignent.