Nous patientons à la douane avec le Paraguay.
Alors que nous sommes passés facilement à la frontière paraguayenne, nous sommes pris dans les embouteillages, arrivés au poste-frontière argentin.
Nous franchissons un pont et présentons nos passeports à la douane argentine ; contrairement aux entrées précédentes, nous devons recevoir un papier d’importation temporaire du véhicule, ce qui n’est qu’une formalité.
Nous entrons dans le pays et nous circulons en direction de Formosa.
Nous nous arrêtons dans une station service afin de faire le complément en essence.
Nous trouvons un hôtel peu cher.
Nous décidons ensuite d’aller visiter la ville de nuit.
La ville est peu touristique, mais elle est agréable.
Nous assistons à une messe de nuit.
L’Argentine est un pays pieux.
Le lendemain matin, nous repartons.
Nous nous dirigeons en direction de la ville de Santa Fe.
Nous entrons tout d’abord dans la ville de Resistencia.
La ville est de taille moyenne.
Sur la route, nous assistons à plusieurs manifestations.
Nous traversons la campagne argentine.
La route est de bonne tenue.
Nous faisons une halte pour manger dans un restaurant de viande.
Revigorés, nous repartons.
La campagne argentine est agréable à regarder.
Sur de nombreuses portions, la route est en travaux.
Nous passons un énième péage.
Nous entrons dans la banlieue de Santa Fe.
De nombreuses usines sont présentes.
Nous contournons la ville pour pouvoir pénétrer en son centre.
Le centre est bien indiqué.
Il nous faut traverser plusieurs avenues pour en rejoindre le coeur.
Les bâtiments sont bien entretenus.
Il nous faut nous diriger vers la cathédrale.
Nous nous perdons.
Heureusement, plusieurs personnes nous donnent de bonnes directions.
Nous entrons dans le centre.
Nous découvrons la ville à pied.
Sur la place principale, de nombreuses personnes.
Nous continuons vers la zone commerciale.
La ville est agréable.
Vers son centre, nous croisons de plus en plus de personnes.
Nous arrivons sur l’artère principale de la ville.
Nous prenons le temps de découvrir l’endroit.
Après avoir effectué quelques achats, nous mangeons des spécialités locales.
Nous quittons la ville ensuite.
Nous arrivons dans la ville de Rosario, tard dans la nuit.
Après avoir visité la ville nous dormons dans l’hôtel Mavoral, un hôtel excessivement cher pour un service de piètre qualité, avec un des accueils les plus mauvais de toute l’Amérique du Sud.
Le lendemain matin, nous mangeons un morceau et ne tardons pas pour repartir vers la capitale : Buenos Air.
La ville se trouve à 3 heures de route.
Sur la route, nous nous arrêtons pour faire une halte.
Nous continuons de circuler sur une autoroute fluide.
En approchant de la capitale, des bouchons apparaissent.
Nous décidons de découvrir la périphérie de la ville.
Nous découvrons de belles maisons coquettes.
La ville est assez verte.
Les rues sont tranquilles.
Nous décidons d’emprunter à nouveau le périphérique pour rejoindre le centre.
Nous retournons sur le périphérique.
Nous devons passer par un autre péage, un peu plus cher que les autres.
Nous traversons une zone faisant penser à un bidonville.
Cette zone assez pauvre se trouve aux portes de la ville.
Nous entrons dans la ville.
La ville présente de sérieux atouts architecturaux.
Il nous faut garer notre véhicule.
Nous trouvons une place dans une des rues sous-jacentes. Nous nous dirigeons vers la place qui contient le monument de l’indépendance.
Nous dépassons le théâtre de la ville. Le bâtiment ne présente que peu d’intérêt ; nous ne nous y arrêterons pas ; en plus le personnel que nous avons pu croisé est antipathique à l’extrême ; nous passerons notre chemin.
Nous préférons rejoindre le symbole de la ville.
Nous continuons ensuite à pied dans le coeur de la ville, juste derrière le théâtre.
La place est belle.
Nous assistons à une manifestation.
La place contient les plus beaux bâtiments de la ville.
Nous passons ensuite une nuit dans un hôtel sans prétention ; le lendemain matin, nous nous réveillons et continuons notre visite.
Nous nous dirigeons vers la place qui comprend l’Assemblée nationale.
Nous garons notre véhicule dans une des rues parallèles au bâtiment.
Nous arpentons une petite rue fort sympathique.
La place porte le nom de place du Congrès.
La place est agréable.
Non loin de là, se trouve également le Sénat.
Nous découvrons de véritables trésors architecturaux.
Nous déjeunons à midi dans une pizzéria qui se trouve aux abords de la place.
Nous rejoignons ensuite l’Ouest de la ville, en direction de la cathédrale.
Nous dépassons de beaux buildings.
Ainsi que des bâtiments qui laissent à penser à des immeubles parisiens.
Nous nous garons dans un parking pour 2 euros de l’heure ; nous rejoignons la cathédrale à pied.
Nous prenons le temps de découvrir un marché artisanal.
Nous nous rendons aux abords de la cathédrale.
L’édifice religieux est situé au milieu de nombreux beaux bâtiments.
L’intérieur de la cathédrale est magnifique.
Les dorures qui ornent son intérieur lui donnent un côté grandiose.
Le sol est constitué d’une mosaïque de pierres polies.
Nous rejoignons ensuite l’extérieur du bâtiment.
Nous visitons la place de la Mayo.
De nombreux touristes s’y promènent.
Nous visitons ensuite un camp d’anciens militaires qui militent pour un peu plus de considération du gouvernement.
En Espagnol, ils nous racontent leur péripétie.
Nous reprenons notre voiture et nous nous dirigeons vers le port de la ville.
Il nous faut traverser le quartier financier.
Les buildings sont modernes.
Nous longeons le port, un des plus grands d’Amérique.
Nous nous garons aux abords du port.
Les bateaux modernes y côtoient des reliques.
Nous quittons ensuite la ville en remontant vers la frontière avec l’Uruguay.
Nous traversons la campagne de l’Argentine.
Nous empruntons un long pont.
Tout autour de nous, des marécages intéressants.
La route est magnifique.
Nous sommes seuls sur la route.
Nous arrivons aux abords de la frontière avec l’Uruguay. Nous cherchons un hôtel.
Nous entrons dans la ville de Gualeguaychu. Les hôtels sont très mal indiqués.
Nous parvenons à en trouver un.
Nous découvrons ensuite le centre de cette petite ville frontalière.
Le lendemain matin, nous quittons la ville de très bonne heure.
Nous arrivons à la frontière ; les douaniers, surpris de notre périple souhaitent prendre des photos en notre compagnie ; nous nous prêtons au jeu.
