Attention, cet article est un récit photographique chronologique qui sous près de 500 photos montre intégralement notre découverte de l’Equateur afin que vous puissiez voir le vrai visage de ce territoire situé en Amérique du Sud.
Nous avons ainsi découvert le territoire et nous vous en présentons ses trésors touristiques.
Pour les lecteurs intéressés, découvrez la première partie de notre voyage dans le pays, grâce à notre récit sur l’Equateur du Sud.
Pour ceux qui souhaitent découvrir notre reportage complet sur les incontournables de l’Equateur, nous avons écrit un article disponible sur notre site.
Vol vers Quito
En provenance des Galapagos, nous prenons un vol en direction de Quito. Nous avons payé le vol 300 euros et il dure 2 h 30.
Après le Pacifique, nous survolons l’Equateur.
Nous pouvons apercevoir un paysage somptueux. De nombreux volcans se trouvent sous nos pieds.
L’atterrissage à Quito
Nous atterrissons à Quito, la capitale du pays. Nous descendons sur le tarmac et rejoignons le hall de l’aéroport.
L’aéroport de Quito
Les contrôles d’immigration se déroulent rapidement ; un simple contrôle sur le passeport.
Nous regardons les prix des voitures de location ; ces derniers sont élevés ; il est plus judicieux de réserver plusieurs taxis, que de louer un véhicule ; en outre, nous n’aurons pas l’essence à payer, ni de caution à donner.
Premiers pas dans Quito
Pour 20 euros, nous nous rendons au centre ville en taxi.
Nous avons réservé 2 jours à l’hôtel Imperial, un bel hôtel du coeur de la ville pour une cinquantaine d’euros la nuit avec le petit déjeuner. Nous décidons de nous promener dans le vieux Quito.
Contrairement à ce que nous avons entendu, la ville n’est pas dangereuse ; il convient cependant de toujours rester vigilant. En outre, la nuit, le quartier est dynamique ; il regorge d’artistes locaux qui se produisent dans les bars de la rue.
Quito
La place de l’indépendance
Le lendemain matin, nous rejoignons après une bonne nuit de sommeil, la place centrale de Quito.
Nous découvrons sur place, un orchestre et une manifestation militaires.
La place est composée de splendides monuments.
De hauts gradés se font cirer les chaussures.
Après avoir mangé un morceau, dans un restaurant local, nous décidons de nous rendre à la basilique de la ville.
Le centre commercial
Il nous faut longer de belles petites ruelles. Nous découvrons un centre commercial constitué de petites boutiques
Montée vers la Basilique
Nous en profitons pour découvrir la ville.
Nous visitons une belle petite église.
Face à nous, les hauteurs de Quito.
La Basilique
Nous arrivons aux abords de la basilique.
L’édifice est fermé au public, mais nous ne nous lassons pas de l’admirer.
Nous en profitons de notre place pour admirer la ville que nous pouvons apercevoir dans son ensemble.
Route vers le Panecillo
Le lendemain matin, nous prenons un chauffeur de taxi qui nous emmène dans les hauteurs de la ville ; en plus, le site aux abords d’une magnifique statue religieuse, comporte l’arrêt du bus qui mène pour 1 euro au middle of the world, à quarante minutes de route du centre ville.
Le chauffeur nous permet de visiter d’autres quartiers de la ville.
Nous traversons la ville pour en rejoindre le Nord.
Nous commençons à grimper.
Le Panecillo
La route est à présent composée de pavés. Nous arrivons sur les hauteurs.
Nous découvrons cette belle statue que nous avions vue de loin. De nombreux touristes sont présents.
La statue est finement travaillée. La ville de Quito est immensément grande.
Nous faisons connaissance avec une équatorienne très jolie.
Route vers Middle of the World
Nous attendons le bus, assis sur un banc.
Nous grimpons à l’intérieur.
Tout au long du trajet, de nombreux vendeurs ambulants proposent leurs produits.
Nous surveillons constamment nos affaires, sans les perdre de vue, les vols étant nombreux.
Middle of the World
Nous arrivons dans la ville qui contient le site du Middle of the world. Nous nous dirigeons vers lui.
Nous mangeons une pizza, étant donné qu’à l’intérieur du site, les tarifs sont prohibitifs.
Le site a l’air grand, une sorte de parc d’attraction.
Nous payons 15 euros l’entrée, ce qui nous donne droit au monument, au musée ainsi qu’à d’autres bâtiments de l’intérieur, peu intéressants il faut l’avouer.
Le Middle of the world est censé être le centre du monde ; s’il est situé sur la ligne de l’Equateur, en revanche sa position dite centrale est hypothétique puisque par logique, sur toute la ligne de l’Equateur, pourrait se trouver le milieu du monde.
Le monument central se trouve face à nous, au bout d’une allée faîte de buste de personnalités internationales.
Nous découvrons pas après pas de nouvelles personnalités.
Nous nous sentons tout petits face à ce monument.
Nous pénétrons à l’intérieur et empruntons un ascenseur pour rejoindre le sommet.
Nous avons une vue directe sur le globe censé représenter le monde.
Ainsi que sur le parc dans son intégralité.
Nous descendons ensuite.
Nous n’oublions pas d’immortaliser cet instant. Nous trouvons amusants de longer la ligne de l’Equateur. Les points cardinaux sont écrits en grands, comme figés pour l’éternité.
Nous visitons ensuite le parc.
Nous découvrons la place culturelle.
Les boutiques se pressent pour accueillir les touristes.
Certaines ruelles du site sont désertes.
Nous nous arrêtons quelques instants au parc de jeu.
Nous visitons ensuite la reconstitution d’un village traditionnel tel qu’il était il y a une centaine d’années.
Route vers le volcan Pululahua
En rejoignant l’extérieur, nous souhaitons nous rendre au volcan Pululahua ; nous prenons un chauffeur et nous lui demandons le coût pour nous attendre et ensuite nous ramener à Quito ; il nous demande 15 euros ; si nous avions pris l’expédition proposée par les agences disséminées dans le site du Middle of the world, nous aurions payer 10 euros par personne juste pour nous rendre au volcan ; le calcul est vite fait.
Nous nous dirigeons vers le volcan.
Le chauffeur est sympathique ; il se nomme Milton Heme Vaca et peut servir de chauffeur dans tout le pays ; il est joignable au 0986206459. Nous grimpons sur les hauteurs du volcan.
Le volcan Pululahua
Nous arrivons sur le site qui est gratuit.
Le site est intéressant car il permet de découvrir l’unique village dans le monde construit dans le cratère d’un volcan.
Route vers les thermes de Papallacta
Nous retournons ensuite à Quito.
Nous apercevons une autre vue de la ville.
Nous nous rendons aux thermes de Papallacta qui se situent à 2 heures de Quito.
Pour toute la journée, le chauffeur nous demande 40 euros.
Nous pouvons ainsi visiter une autre partie du pays, bien plus montagnarde que ce que nous avons vu jusqu’à présent.
Le décor autour de nous possède de nombreux canyons.
La route est goudronnée.
Nous entrons dans le coeur des montagnes.
A plusieurs reprises, nous devons effectuer un dépassement dangereux.
Le village de Papallacta
Le centre
Nous arrivons au village de Papallacta.
Il nous faut le traverser pour rejoindre les thermes.
Les thermes sont bien indiquées.
Nous empruntons durant quelques kilomètres un chemin de terre.
Les thermes
Nous arrivons aux abords des thermes ; l’entrée est de 8,50 dollars par personne.
Nous entrons à l’intérieur.
Les thermes sont constituées de plusieurs bassins d’eau chaude.
Un restaurant est présent sur le site. Mais ce qui nous intéresse le plus, ce sont les bassins d’eau chaude.
En moyenne, la température de l’eau est de 35 degrés.
Le site est agréable.
Certains bassins ont une température qui monte à 45 degrés.
Route vers Otavalo
Après plusieurs heures, nous décidons de retourner à notre véhicule. Nous prenons la route en direction d’Otavalo.
Arrivée tardive à Otavalo
Nous arrivons tard dans la nuit à Otavalo.
Nous arpentons les rues de la ville à la recherche d’un restaurant. Nous en trouvons un ouvert.
Nous achetons une petite douceur.
Nous louons une chambre à l’hôtel Chukito’s pour la somme de 30 euros.
Otavalo
Le centre-ville
Le lendemain matin, nous nous pressons au marché de la ville, un des plus célèbres du pays.
Le marché aux artisans
Les couleurs sont vives.
Le marché est bien grand.
De nombreux vendeurs sont présents et nous accueillent avec le sourire.
Nous passons plusieurs heures sur le site.
Le marché est artisanal.
Les produits qui y sont vendus sont tous fabriqués dans le pays, manuellement.
Les ateliers d’artisans
Nous visitons ensuite les ateliers des artisans disséminés dans toute la ville.
Sortie de la ville
Nous prenons ensuite un taxi pour nous emmener à la station du bus international qui se dirige vers la frontière colombienne.
L’arrêt du bus se trouve à la frontière de la ville.
Bus vers la Colombie
Nous patientons 20 minutes ; le bus arrive.
Suite au manque de place, nous sommes placés devant ; nous payons le trajet 5 euros par personne.
Etant donné que des personnes descendent en cours de route, nous sommes autorisés à nous asseoir à l’arrière.
Le bus est confortable et le décor qui se trouve autour de nous, changeant.
Le vol de la caméra
C’est durant le trajet qu’une catastrophe va arriver ; alors que nous étions installés, nos affaires sur les genoux, le bus fit une halte dans une station service ; lorsqu’il repartit et alors que je l’avais toujours gardé sur moi, je remarquai que mon sac était plus léger ; je regardai à l’intérieur et pris conscience que ma camera avait disparu ; étant donné que j’en avais absolument besoin pour la suite de mon voyage, je me pressai vers le conducteur pour lui expliquer la situation. A ce moment, il me dit qu’il avait aperçu un vieil homme descendre du bus ; lorsqu’il me décrit ce vieil homme, je me rappelai qu’il se trouvait derrière nous et qu’à un moment, il étala sur ses genoux, une couverture. Mais, je ne comprenais toujours pas comment il avait pu parvenir à ouvrir mon sac et à sortir ma camera, sans que je le remarque. Je savais également qu’à ce moment, retrouver la camera était plus qu’hypothétique avec une chance avoisinant le million. Mais, le conducteur décida de stopper le bus et pour être plus sûr, de le fouiller pendant qu’un de ses assistants appelait la police ; en leur expliquant que nous étions en train d’effectuer un reportage touristique du pays, une dizaine de policiers arrivèrent sur place ; les voyageurs ayant appris le vol, sortirent tous en même temps pour donner une description précise du voleur.
Nous patientâmes, sans grande conviction, car retrouver le produit d’un vol à l’étranger étant rare. Nous nous apprêtâmes à rester sur place après le départ des policiers, afin de tenter à notre tour de retrouver le voleur et de récupérer ce qui nous paraissait indispensable pour la suite du voyage, quand un policier arriva et fit état de son arrestation.
Les policiers nous invitèrent à monter dans leur véhicule et retourner vers le lieu de l’arrestation ; après une vingtaine de minutes de route, nous arrivèrent à destination.
Nous apprendrons alors que le voleur parvint à s’échapper, mais qu’il laissa sur place son sac ; en l’ouvrant comme un paquet cadeau, nous aperçurent la camera, ainsi qu’une paire de lunettes de soleil qu’il était parvenu à nous dérober, lunette qui se trouvait dans un autre de nos sacs que nous avions également sur nos genoux.
C’est ainsi que les policiers nous remirent le sac du voleur que nous gardâmes avec nous ; la loi du Talion dans toute sa splendeur. Avec l’aide des policiers, nous venions de voler le voleur ; en fouillant le sac, nous découvrirons tout l’appareillage du parfait pickpocket : paire de lunettes de soleil, téléphones portables sur lesquels, il avait déjà donné rendez-vous à un contact pour vendre l’appareil, rasoir et brosse à dents pour avoir toujours l’air présentable, talc pour éviter de transpirer, ainsi que de nombreuses autres babioles dont nous nous en débarrasserons ultérieurement ; nous garderons une chemise de rechange, comme un trophée afin de toujours nous souvenir de cet incident : un homme de 60 ans, bien présentable, poli et gentil qui était parvenu, alors que nous sommes généralement méfiants, à nous dérober un appareil dans un sac que nous avions toujours conservé sur nous. A l’avenir, chaque trajet en bus verra notre sac être fermé avec un cadenas. Chat échaudé craint l’eau froide.
Reprise de la route vers la Colombie
Les policiers décident de nous accompagner à la frontière pour être sûrs qu’il ne nous arrive rien de mal durant le trajet.
La frontière colombienne
Après une heure de route, nous arrivons à destination ; nous saluons les policiers chaudement et présentons nos passeports.
Nous franchissons la frontière avec la Colombie à pied.
Nous effectuons le change.
Nous quittons l’Equateur, un pays magnifique avec des gens qui le furent tout autant. Et ce malgré une tentative de vol qui par chance aura échouée.