Attention, ce récit de voyage est une photothèque chronologique qui sous près de 500 photos montre intégralement notre découverte du Panama afin que vous puissiez voir le vrai visage de ce territoire magnifique.
Nous avons ainsi découvert le pays et nous vous en présentons ses trésors touristiques.
Pour les lecteurs intéressés, découvrez la seconde partie de notre voyage au Panama grâce à notre récit de voyage sur l’archipel des San Blas.
Vol vers le Panama
En partance de Colombie, nous survolons le Panama. Notre vol dure moins de 2 heures et coûte près de 200 euros l’aller.
Rejoindre le Panama depuis la Colombie peut également se faire par bateau, mais pour une durée de 4 jours
Atterrissage à Panama city
Le vol se déroule sans encombre. Nous atterrissons. Nous quittons l’avion.
L’aéroport de Panama city
Nous rejoignons le hall de l’aéroport.
Nous passons les contrôles de l’immigration ; normalement, le Panama exige un billet retour ou de sortie du territoire ; pour ce faire, nous avons effectué une réservation de billet retour que nous avons annulé immédiatement après, étant donné que nous sortirons du pays en bus, mais que malheureusement par Internet, il était impossible de réserver un ticket de bus depuis l’étranger.
Nous récupérons nos bagages ; nous ne subissons aucun contrôle de nos valises.
Nous louons une voiture avec la compagnie Sixt, pour la somme de 40 euros par jour.
Panama city by night
A l’extérieur, il est interdit de fumer. Nous suivons la loueuse de voiture afin de récupérer notre véhicule.
Nous nous dirigeons immédiatement vers le centre ville, qui apparaît de nuit comme les grandes capitales du Golfe Persique.
Nous avons réservé 2 nuits au sein de l’hôtel Hilton tree, pour une somme de 50 euros la nuit, petit déjeuner compris.
Panama city
Le quartier économique
Le lendemain matin, nous partons à la découverte de cette capitale moderne et américanisée à outrance.
Nous apercevons de grands buildings. Les Etats Unis sont très présents dans la ville.
Nous rejoignons le Nord de la ville.
Nous longeons le front de mer.
Nous continuons de circuler dans le quartier des affaires.
Nous continuons notre route au milieu des embouteillages.
Le périphérique
Nous empruntons le périphérique.
Pour rejoindre un quartier résidentiel, nous reprenons la route vers l’aéroport Tocumen.
Nous payons un autre péage de quelques dollars.
Ce quartier résidentiel laisse à penser que nous nous trouvons à Doha au Qatar.
Après nous être promenés durant une heure, nous retournons au centre ville de Panama city.
A nouveau, nous dépassons les hauts buildings de la ville.
Le front de mer
Certains immeubles sont magnifiques. Nous nous garons sur un parking qui nous permet d’avoir accès au front de mer.
Pour rejoindre le front de mer, nous devons emprunter une passerelle.
De nombreux habitants de la ville utilisent le front de mer pour faire un peu de sport.
Route vers Antigua
Nous repartons en début d’après-midi vers le centre du quartier historique de la ville : Antigua.
Antigua
Entrée dans le centre historique
Nous approchons de la vieille ville.
Les habitations changent immédiatement, dés l’entrée dans le centre historique.
Nous nous garons aux abords d’un bâtiment historique.
Nous mangeons un morceau.
Nous arpentons les ruelles du quartier à pied.
Nous nous dirigeons vers le parc central.
Nous faisons une halte dans une petite église.
Nous continuons notre route vers le parc central.
Le parc central
Nous profitons d’un moment de détente bien mérité.
La cathédrale
Nous décidons de nous rendre aux abords de la cathédrale.
Sur place, nous faisons connaissance avec un guide qui permet de découvrir le pays.
Il souhaite amicalement nous accompagner pour nous faire découvrir sa ville. Il peut être joint sur le 00507 625 844 79 ou par mail.
Nous arrivons sur la place.
La place Medio Baluarte
Nous rejoignons ensuite la place Medio Baluarte.
Nous nous rendons ensuite sur le front de mer.
L’architecture de la ville est coloniale.
Le marché artisanal
Nous nous rendons ensuite au marché artisanal.
Le marché est tenu par des Indiens Kuna, dépendant de l’archipel des San Blas.
Plus de 7 différentes tribus amérindiennes cohabitent au Panama. Généralement, ils se trouvent dans la vieille ville d’Antigua.
Nous retournons au centre ville de Panama city.
Nous quittons le quartier Antigua.
Le marché municipal de Panama city
Nous faisons une halte au marché municipal de la ville.
Le marché propose des produits frais.
Route vers le canal de Panama
Nous retournons au centre ville ; le lendemain matin, nous prenons la route en direction du Canal de Panama.
Le site du Canal de Panama qui peut être visité se trouve à une trentaine de minutes du centre ville.
Le site est mal indiqué ; il faut cependant continuer tout droit.
Au phare, il faut tourner à gauche.
Le canal de Panama
L’entrée du site
Nous entrons sur le site du canal.
Le site est assez grand.
Nous arrivons aux abords du parking.
Les abords du canal
Nous nous garons.
Nous payons 16 dollars par personne.
Nous entrons sur le site.
Le canal
Nous avons enfin la chance de découvrir le canal.
En outre, nous nous trouvons présents juste au moment où un gros tanker franchit une écluse.
Le bateau progresse à faible vitesse.
Il est aidé par deux engins motorisés terrestres qui le tirent ainsi que d’un bateau qui le pousse.
Le canal est un bijou de précision.
Après une heure, le bateau termine son avancée et disparaît progressivement au loin.
Le musée
Nous découvrons ensuite le film sur le canal qui est projeté.
Nous visitons ensuite le musée de Miraflores.
Le musée présente les différentes étapes de la construction du canal.
Nous quittons ensuite le site.
Route vers Colon
En nous dirigeant vers l’extérieur, nous mettons un peu d’essence et faisons la connaissance d’un homme qui gentiment accepte de contacter le numéro qu’on lui fournit afin de passer quelques jours chez les Indiens Emberas. Pour les contacter, il faut se rendre sur leur site officiel ou les joindre sur les numéros suivants sur le : (00 507) 6703-9475, ou sur le (00 507) 6728-5987.
Evitez de passer par les agences permettra d’économiser 50 % du prix ; en effet, passer 2 jours et une nuit en compagnie des Indiens revient à 110 dollars par personne directement sur le site officiel, alors qu’une agence demandera près de 220 euros pour les mêmes prestations.
Notre contact rencontré à la station service nous obtient un rendez-vous avec le chef du village à 15 h 00 de l’après-midi aux abords du Rio Gatun ; la route n’est pas compliquée pour nous y rendre, mais comme nous voulons d’abord visiter la ville de Colon, nous ne tardons pas.
Pour se rendre chez les Indiens Emberas, qui se trouvent au coeur du pays, il faut d’abord prendre la route vers la ville de Colon.
La route est droite et de bonne qualité.
Elle nous permet de découvrir le Panama central.
La ville de Colon
L’entrée dans la ville
Juste avant l’entrée de la ville de Colon, pour rejoindre les Indiens Emberas, il convient de tourner à droite et de suivre la direction du Rio Gatun ; comme nous souhaitons visiter la ville de Colon, nous continuons tout droit.
Nous prenons la direction du centre ville.
Nous sommes pris dans les embouteillages.
Le centre-ville
La ville de Colon est très pauvres ; il s’agit d’une des villes les plus dangereuses du pays, mais également la plus traditionnelle.
Elle est très peu touristique et ressemble à la ville de Panama city du début du XXe siècle.
Nous continuons notre découverte de la ville.
Nous traversons une longue avenue.
La ville est populaire et dynamique.
Nous arrivons à la fin de l’avenue ; exceptionnellement, en partant le matin de Panama city, nous sommes parvenus à rejoindre en une journée, les deux océans Atlantique et Pacifique.
Une ville pauvre
Nous retournons à l’entrée de la ville afin de visiter le marché local ; nous empruntons une avenue parallèle à l’avenue principale.
Tous les bâtiments que nous rencontrons sont très pauvres.
Nous avons l’impression de nous trouver dans un pays en ruine.
Le sentiment d’insécurité est grand.
Néanmoins, nous nous promenons dans le quartier, sans problème ; les gens sont contents de voir que des touristes s’intéressent à leur ville.
L’avenue principale
Nous retournons sur l’avenue principale ; alors que nous sommes en train de prendre des photos, une voiture de police s’arrête à notre hauteur ; pour plus de sécurité, ils souhaitent nous accompagner ; nous acceptons leur présence.
Le marché municipal
Ainsi escortés, nous découvrons le marché municipal.
Puis le coeur de la ville.
Route vers le Rio Gatun
Nous saluons ensuite les policiers et retournons sur nos pas, afin de prendre la bifurcation au rond-point qui nous emmènera au Rio Gatun.
Nous longeons une route parallèle à la route empruntée depuis Panama city.
Le décor est verdoyant.
Le Rio Gatun
Juste avant d’entrer dans la ville qui comprend le Rio Gatun, nous tournons à gauche ; une petite pancarte nous indique Embera. Nous continuons quelques secondes notre route sur un chemin de terre.
Rencontre avec les Indiens Emberas
Les Indiens Emberas nous attendent sous le pont que nous venons de traverser avant de tourner à gauche pour les rejoindre.
Nous stationnons notre voiture sur un parking d’une femme qui travaille avec eux. Juste aux abords du pont ; la voiture sera ainsi surveillée.
Navigation vers le village Embera
Nous grimpons dans leur pirogue.
L’excursion chez les Indiens Emberas d’une durée d’une ou de deux jours peut être réservée directement auprès de la collectivité. Il convient de joindre le 00 507 6703 9475, le 00 507 6728 5987, sur leur premier mail ou sur leur deuxième mail.
Il nous faut à présent parcourir près de 1 heure de pirogue pour rejoindre leur village.
Les Indiens Emberas proviennent de la province du Darien ; ils ont en quelque sorte immigré au coeur du Rio Gatun, il y a une quinzaine d’années, car au Darien, la proximité avec les Farcs de Colombie était trop dangereuse.
Leurs cousins du Darien vivent encore à la frontière colombienne ; ils possèdent les mêmes coutumes et par contre, pour visiter les Emberas du Darien, il faut mettre en place une véritable expédition pour un coût bien plus cher : traverser le Panama en voiture, prendre un guide et effectuer plusieurs jours de pirogue.
Nous continuons notre avancée. Le village est indiqué.
La pirogue est motorisée.
Nous apercevons les premières huttes.
Le village Embera
Nous arrivons au village.
Tous les habitants viennent nous accueillir.
Nous les rejoignons dans la grande hutte.
Nous faisons connaissance avec eux.
La construction d’une hutte
Nous assistons à la construction d’une hutte.
Le travail artisanal
Les indiens travaillent manuellement pour confectionner des objets qu’ils vendent sur les marchés.
Il s’agit d’un véritable privilège de partager leur quotidien.
La visite du village
L’ambiance est relaxante.
Nous vivons en totale autarcie.
Nous faisons connaissance avec un Toucan domestiqué.
Le druide médecin nous explique les bienfaits de la nature ; les Emberas ont conservé leur vie d’antan, quand bien même, de nombreux jeunes se rendent tous les jours à l’université de Panama city.
Nous visitons le village.
Nous découvrons l’école qui forme les jeunes. Tous savent lire et écrire.
Nous usons notre temps libre comme nous le souhaitons.
Nous nous essayons également au tatouage local.
La toilette dans la rivière
Il n’y a pas d’eau courante ni d’électricité dans le village ; la toilette se fait dans la rivière.
Nous avons la chance de goûter des citrons cueillis directement sur les arbres.
Une nuit authentique
Le soir, nous passons un long moment en leur compagnie.
La chasse aux caïmans
Puis, nous sommes appelés pour participer à une chasse aux caïmans.
Un réveil en douceur
Le lendemain, après une nuit à la belle étoile, nous nous réveillons en leur compagnie.
Le chef du village vient nous saluer.
Il nous explique que nous avons une sortie prévue en plein coeur de la forêt.
Nous attendons l’appel du départ.
Pendant ce temps, des femmes nous expliquent leur art.
Navigation vers le parc national de Chagres
Nous suivons notre guide de la journée.
Nous longeons le Rio Gatun.
Nous nous trouvons en compagnie de sa famille.
Le trajet est splendide.
Nous avons l’impression d’être seuls au monde.
Le guide nous explique sa vie en Anglais.
Rencontre avec des pêcheurs locaux
C’est alors que nous croisons quelques pêcheurs.
Un des pêcheurs m’invite à bord de son bateau.
Sa pêche est bonne.
Le parc national de Chagres
Nous le saluons et partons ensuite.
Nous arrivons dans une sorte de lac.
Nous en profitons pour nous baigner dans une eau très chaude.
Nous repartons ensuite.
La forêt du parc national de Chagres
Le guide nous emmène dans une partie de la forêt qui nous permet de voir des singes.
Ces derniers souhaitent monter à bord de notre pirogue.
Mais, le guide ne le souhaite pas, car ce sont des singes voleurs.
La danse locale
Nous retournons ensuite au village te assistons à une scène digne du film Pocahontas : un rapprochement entre notre fils et la fille du chef du village.
Nous sommes appelés ensuite à assister à une danse locale.
Les Emberas adorent la musique et la danse, un moyen pour eux de montrer leur attachement à leur racine.
Nous terminons la journée en leur compagnie.
Retour à la voiture
Une pirogue nous emmène ensuite à notre véhicule.
Après une heure de pirogue, nous apercevons le pont d’où nous étions partis.
Route vers Panama city
Nous reprenons notre véhicule et retournons à Panama city.
Nous faisons une halte dans un Mac Donald.
Nous reprenons le chemin vers Panama city.
Le retour à Panama city
Nous entrons dans la ville.
Nous louons une chambre au Royal Sonesta, un hôtel 5 étoiles pour 50 euros la nuit.
L’hôtel est vraiment beau.
Une nuit agréable
Nous arpentons les rues de la ville le soir même.
Vers 20 h, nous faisons une halte à la station de bus de la ville afin de réserver nos billets pour nous rendre vers le Costa Rica ; le départ est dans 4 jours ; nous avons la chance car il s’agissait des derniers tickets. Le prix est de 55 dollars par personne.
Nous recevons nos tickets après avoir présenté nos passeports.
Nous mangeons rapidement, puis retournons dans notre hôtel, car nous avons rendez-vous avec un responsable d’une agence de voyage locale afin de nous rendre durant deux jours dans l’archipel des San Blas.
Départ vers l’archipel des San Blas
Le lendemain matin, notre guide arrive comme prévu, tôt à l’hôtel. Il s’agit d’un guide sérieux et peu cher ; notre escapade nous coûtera 100 euros par personne, tout compris.
En sa compagnie, nous nous rendons dans le territoire des Indiens Kunas.
Il faut nous rendre vers la ville de Carti en passant par le port de Niga Kantulé. Pour se rendre dans l’archipel, deux solutions sont proposées par les différents tours opérateurs : un trajet en 4/4 collectif pour la somme de 40 euros ou l’avion ; tous les guides déconseillent de s’y rendre avec sa voiture de location, étant donné que la route est impraticable ; autant le dire de suite, ceci est totalement faux ; la route est en excellent état et peut être même pratiquée avec une voiture de sport. Les guides effectuent cette pression afin de faire tourner leur commerce.
Nous regretterons de ne pas avoir fait le chemin par nous mêmes, mais en cet instant, nous nous trouvons avec notre guide qui a décidé de nous accompagner durant ces deux jours de visite.
Nous quittons le territoire du Panama et entrons dans le territoire des San Blas.
Retour de l’archipel des San Blas
Après deux jours, nous retrouvons le territoire du Panama après avoir quitté celui des San Blas.
Nous saluons notre guide et nous rejoignons notre hôtel. Nous mangeons au Mac Donald.
Le retour du véhicule de location
Le lendemain, après une journée exclusivement dédiée à la détente, nous nous rendons à l’aéroport afin de rendre notre voiture de location.
La station de bus
Nous prenons ensuite un taxi pour nous emmener jusqu’à la station de bus.
Le trajet dure 30 minutes. Malheureusement, en arrivant sur place, le chauffeur nous demande un prix différent de ce qu’on nous avait mentionné à l’aéroport ; il s’agit d’un véritable escroc. Il nous demande 45 euros alors que nous avions convenu 25. Car nous n’avons pas le temps, nous lui donnons 5 euros en plus et partons, afin de ne pas louper notre bus.
Nous rejoignons le hall central.
Nous faisons quelques achats pour le trajet qui durera près de 15 heures.
Bus vers le Costa Rica
Nous avons pris la compagnie Tica, par sécurité, étant donné qu’il s’agit d’une des compagnies les plus fiables pour les voyages internationaux.
Le trajet se déroule sans encombre.
Le passage de la frontière
Nous arrivons après de nombreuses heures au poste frontière.
Nous passons les contrôles de l’immigration.
Le bus subit ensuite un contrôle anti-drogue.
Nous quittons le Panama pour pénétrer au Costa Rica.