En provenance du Sud du Pérou, nous nous dirigeons vers la ville de Cuzco.
Nous remontons vers le Nord.
Nous entrons dans la ville de Pucara.
Nous visitons un peu la ville.
Nous prenons une femme en auto-stop.
Nous la déposons dans la ville de Ayaviri.
Nous en profitons pour découvrir cette belle petite ville.
Nous parcourons les allées du marché.
Nous continuons notre route en direction de Cuzco ; il faut 6 heures pour rejoindre la ville.
Nous faisons une halte dans des thermes que nous rencontrons sur la route.
Nous repartons ensuite.
Nous faisons une halte dans une ville dans laquelle nous dormons ; nous sommes fatigués, une fatigue due à l’altitude à laquelle nous ne sommes pas habitués.
Le lendemain, nous reprenons la route.
Le paysage qui nous entoure est splendide.
Nous entrons dans la région de Cuzco.
Mais avant de rejoindre la ville de Cuzco, nous avons encore de nombreux villages à traverser.
Nous faisons une halte dans une petite ville pour nous restaurer.
La route est de bonne qualité.
La voiture a de plus en plus de difficultés à monter.
Juste avant d’entrer dans la ville de Cuzco, nous nous arrêtons quelques instants.
Nous entrons dans la ville.
Mais, pour rejoindre le coeur de Cuzco, il nous faut traverser une longue avenue périphérique.
La ville de Cuzco est très grande.
Nous rejoignons le coeur de la ville.
Les rues sont plus étroites.
La ville est une des plus touristiques du pays.
Nous nous garons aux abords de la place centrale de la ville.
Nous en découvrons les monuments.
De nombreuses agences de voyage proposent des excursions dans la vallée des Incas ou au Machu Pichu. Nous en choisissons une, qui nous propose la journée dans la vallée à voir plusieurs sites pour 40 euros par personne. Nous préférons trouver un chauffeur de taxi, qui nous conduira où bon nous semble pour 60 euros la journée.
En l’instant, nous visitons la place des armes.
La place comprend la cathédrale ainsi que tous les monuments importants de la ville.
Nous arpentons les ruelles alentours.
Dans une des ruelles qui mène au convent Santo Domingo, nous nous arrêtons dans une cour où nous trouvons des habitants vêtus de l’habit traditionnel Inca.
Nous reprenons notre route.
Nous visitons l’église Santo Domingo.
Une vieille femme assise se repose.
Nous nous dirigeons vers une autre partie de la ville.
Nous mangeons dans un restaurant.
Nous nous dirigeons ensuite vers une des nombreuses agences qui proposent une excursion vers le Machu Pichu. Il y a trois manières de se rendre au Machu Pichu : la première manière est la plus facile et la plus chère. Prendre un train de Cuzco à Agua Calientes et ensuite un bus de Agua Calientes vers le site archéologique. Le coût sera à peu près de 250 euros et durera près de 3 heures. La plus longue manière est de prendre un bus de Cuzco jusqu’à Hydroélectrica en faisant 2 changements sur la route et ensuite de marcher d’Hydroélectrica jusqu’à Agua Calientes, puis de Agua Calientes jusqu’au Machu Pichu. Le coût sera à peu près de 30 euros et prendra la journée. La troisième solution est intermédiaire. Prendre une agence, avec une marche d’Hydroélectrica jusqu’au Machu Pichu, ce qui coûtera aux alentours de 80 euros, mais sera beaucoup plus facile, puisque les billets seront compris dans le prix. C’est cette dernière solution que nous avons choisi.
Tard dans la nuit, nous prenons un chauffeur de taxi, qui nous conduit jusqu’à notre hôtel : La Casa rock, un hôtel correct pour une trentaine d’euros la nuit. Mais un peu excentré du coeur de la ville.
Le lendemain matin, notre chauffeur se présente à nous de bonne heure. Il s’appelle Jose Usca Diaz et propose des excursions indépendantes dans toute la vallée des Incas ; il peut être joint au 984923101 ou sur le udiazjose@gmail.com
Notre premier arrêt est sur les hauteurs de la ville, ce qui nous permet de mesurer le gigantisme de Cuzco.
Nous reprenons notre route jusqu’au Christo Rei.
Puis, nous repartons au coeur de la vallée des Incas ; sur la route, se trouvent de nombreux petits sites archéologiques.
Le chauffeur qui parle Anglais est très gentil et professionnel.
Nous traversons nombre de petits villages.
Nous faisons un arrêt pour apercevoir une partie de la vallée des Incas.
Nous nous trouvons en altitude, à près de 2500 mètres.
Nous faisons la connaissance avec un éleveur de lamas.
Nous repartons ensuite en direction de Pisaq.
Nous nous arrêtons à nouveau afin de profiter d’une belle vue.
Nous reprenons la route.
Nous entrons dans la ville de Pisaq.
Nous nous garons dans la rue principale.
Nous visitons le marché municipal.
Les couleurs sont vives et les gens, habitués aux touristes nous sourient.
Le marché s’étend jusqu’à dehors.
Nous en profitons pour manger un morceau dans un restaurant traditionnel.
Nous attendons que notre plat finisse d’être préparé ; nous en profitons pour nous rendre dans une épicerie voisine afin d’acheter quelques victuailles pour la journée qui va être longue.
Nous mangeons un plat typique péruvien pour 1,50 euros.
Nous repartons ensuite en direction des ruines de Pisaq.
Pour rejoindre les ruines, il faut traverser le village et grimper dans les hauteurs de la région.
Nous faisons une halte pour admirer le site dans son ensemble.
Nous continuons en voiture jusqu’à l’entrée.
Nous payons 16 euros par personne et garons notre véhicule.
Nous visitons le site.
Il est admirablement conservé.
Nous repartons après une heure passée sur place.
Nous reprenons la route au coeur de la vallée.
Le chauffeur connaît tous les emplacements des plus grands sites archéologiques.
Nous nous arrêtons pour découvrir l’artisanat local.
Nous traversons le village d’Urqo.
Nous entrons dans une autre ville.
Nous arrivons à Yucay.
Nous découvrons le site de la ville, qui est gratuit.
Nous visitons une maison traditionnelle Inca.
La maison a été découvert, il y a quelques dizaines d’année, puis restaurée.
Aux abords du site, un peintre qui tient une boutique nous invite à découvrir son art ; il nous remet ensuite gratuitement trois petits dessins.
Nous trouvons sur le chemin, une petite guest house ; le lendemain matin, nous repartons en direction de Ollantaytambo.
Il nous faut 1 heure pour rejoindre le site.
Sur la route, nous découvrons un hôtel particulier.
Suspendues dans le vide, des nacelles accueillent des touristes pour la nuit et pour la somme de 250 euros.
Nous continuons notre route.
Nous entrons dans le coeur de la ville de Ollantaytambo.
Sur la place principale, nous mangeons un morceau dans un restaurant touristique.
Le restaurant donne une belle vue sur le site qui nous fait face.
Nous rejoignons le site.
Nous entrons à l’intérieur.
Nous devons rejoindre les hauteurs en grimpant des escaliers abrupts.
Il y a de nombreux touristes.
Le vent souffle fortement.
Nous profitons de la vue.
Nous quittons la ville de Ollantaytambo.
Nous devons ensuite, afin de rejoindre le site de Moray, emprunter un chemin de terre ; la route qu’on appelle route de la mort est très dangereuse ; à chaque virage, nous apercevons le vide à quelques centimètres de nos roues.
Nous arrivons aux abords de Moray. Nous payons 5 euros.
Nous découvrons plusieurs cercles concentriques, disposés à plusieurs endroits du secteur.
Nous nous dirigeons ensuite vers les mines de sel de Maras.
Nous nous arrêtons à la vue de deux jeunes bergers.
Nous repartons ensuite.
Nous arrivons dans une famille traditionnelle qui travaille les haricots. Nous passons près d’une heure en leur compagnie.
Les outils de travail sont rudimentaires.
Nous partons en direction des mines de Maras.
Avant d’entrer dans les mines de sel, nous nous arrêtons en hauteur.
Nous entrons sur le site et payons 5 euros par personne.
Il nous faut marcher 15 minutes pour rejoindre les mines à ciel ouverte.
Nous entrons sur le site.
De nombreux travailleurs sont à l’oeuvre.
Le site est magnifique.
Les travailleurs portent toute la journée les charges de sel sans se plaindre.
Ils grattent le sol pour en extraire le sel.
En soirée, nous retournons à Cuzco.
Nous faisons une halte dans une petite ville afin de terminer la journée en admirant un autre site archéologique peu connu.
Nous devons grimper dans les hauteurs de la ville.
Nous rejoignons notre hôtel ensuite : la ville Hermoza, pour la somme de 50 euros la nuit.
Le lendemain matin, un taxi nous attend pour nous conduire au centre ville, afin de commencer notre excursion vers le Machu Pichu.
Le bus est à l’heure ; il nous faut 7 heures de route pour rejoindre le site Hydroelectrica, point d’entrée dans la vallée pour rejoindre la ville d’Agua Calientes.
Nous faisons après une heure de route, une halte pour nous restaurer.
Nous repartons ensuite.
La première partie de la route est une montée abrupte.
Nous entrons dans les hauteurs de la Cordillère des Andes.
Le paysage vaut le détour.
Nous avons la tête qui tourne.
Nous entrons dans la deuxième partie de notre trajet.
Nous traversons des petits villages.
Nous arrivons dans la troisième partie du chemin : la route n’est plus goudronnée.
Nous circulons à flanc de montagne sur une route que les locaux appellent la route de la mort.
Nous entrons dans un petit village.
Nous mangeons un repas, compris dans le prix.
Nous repartons ensuite pour la dernière partie du trajet.
Nous entrons au coeur des montagnes.
La route est mauvaise.
En plus, aucune barrière de protection ne peut nous éviter une chute.
Nous arrivons enfin à Hydroélectrica ; à plusieurs reprises, nous nous sommes arrêtés pour que les membres du groupe vomissent ; l’altitude et les tournis ne font pas bon ménage.
A Hydroelectrica, des dizaines de minibus emmènent des touristes à toute heure de la journée.
Nous devons à présent marcher pendant 3 heures.
Nous suivons la ligne de chemin de fer sur laquelle, il est possible pour 20 dollars de prendre un train qui nous emmène à Agua Calientes en 30 minutes.
Mais, nous décidons de tenter la marche de ce parcours mythique, normalement interdit, mais toléré par les autorités.
A notre droite, des dizaines de personnes attendent le train pour leur éviter la marche.
Nous commençons notre avancée, après avoir fait quelques achats d’eau dans les boutiques locales implantées au début de la voie de chemin de fer.
Nous suivons les rails.
Après avoir grimpé une légère montée, nous retrouvons les rails en hauteur cette fois-ci.
Nous sommes épuisés.
Nous faisons attention de ne pas nous faire happer par le train, mais ce dernier avance à une vitesse raisonnable.
Nous faisons la connaissance avec un groupe de Française avec lequel nous échangeons un bon moment.
Nous arrivons à Agua Calientes, tard dans la nuit.
Nous nous dirigeons immédiatement vers notre point de rendez-vous, étant donné que le prix de la nuit et du repas est compris dans le package.
Nous rejoignons le centre ville qui est animé.
Nous rejoignons le coeur de la place. En nous rendant dans notre hôtel, nous remarquons qu’il est complet ; l’agence nous a trouvé un autre hôtel en plein coeur de la ville.
Nous découvrons la ville, le temps que la responsable de l’hôtel s’organise.
Nous découvrons l’église de la ville.
La responsable de l’hôtel nous remet la somme pour acheter nos tickets d’entrée.
L’entrée au Machu pichu coûte 18 euros ; il faut compter le double pour rejoindre la montagne du Machu, et le même pris pour la montagne inférieure ; pour ces deux montées, qui n’apportent pas grand chose à la visite du site, il faut réserver au moins 3 semaines à l’avance sur le site du ministère du tourisme du Machu Pichu ; en ce qui concerne les entrées simples, contrairement à ce que disent les guides papiers ou sur Internet, il n’y a pas besoin de s’y prendre à l’avance ; tous les jours, des centaines de billets sont disponibles.
Nous rejoignons ensuite la station de train, pour pouvoir prendre un train pour le lendemain pour retourner à Hydroelectrica ; faire un trajet à pied est intéressant, mais plus serait trop épuisant.
Nous prenons un train pour la fin de l’après-midi.
Nous payons 20 euros par personne.
Nous nous rendons ensuite dans un restaurant afin de manger un bon repas compris dans le prix de notre packaging ; par contre, le prix du train et du bus que nous prendrons pour rejoindre le site du Machu Pichu ne sont pas compris.
Une fois le repas terminé, nous nous rendons à la station de bus, mais les guichets sont fermés ; il nous faudra revenir le lendemain.
A 5 heures du matin, il y a déjà 2 heures de queue pour acheter les tickets ; étant donné que nous avons un enfant de bas âge, le gardien nous laisse passer devant les touristes.
Pour grimper dans les bus, le temps d’attente est également de 2 heures ; comme pour l’achat des tickets, nous sommes prioritaires.
Nous grimpons dans le bus.
Arrivés sur le site, nous remarquons dés 6 heures du matin, une attente de 2 heures ; les touristes qui effectuent la montée à pied mettent 2 heures pour marcher et 2 heures pour attendre avant d’entrer ; nous avons préféré payer 10 euros et éviter la marche ; en outre, à nouveau, la présence d’un enfant de bas âge nous permet de ne pas faire la queue.
En outre, nous pouvons entrer dans le site avec notre trépied, mais néanmoins, nous n’en faisons pas état étant donné que nous ne savons pas si le matériel est autorisé sur le site.
Nous découvrons cette merveille du monde.
Le site est majestueux.
Il s’agit d’un des plus beaux ensembles de monuments archéologiques du monde.
Nous en profitons au maximum.
Nous avons une vue impressionnante sur toute la vallée.
Nous redescendons ensuite.
Les touristes sont nombreux.
Nous parcourons chaque sentier.
A chaque endroit, la vue est magnifique.
Face à nous, le chemin de 3 heures qui permet de rejoindre le Waynapichu, qui nécessite un ticket particulier acheté sur Internet au moins un mois en avance.
Nous découvrons le secteur Nord.
A quelques endroits, la pente est abrupte.
Nous entrons dans les maisons.
Nous restons plusieurs heures sur place.
Certaines portions du secteur sont en restauration.
Nous rejoignons ensuite l’entrée du site.
Nous pouvons poser un tampon du site sur nos passeports.
Nous quittons le site.
Nous dépassons l’hôtel du Machu Pichu, qui propose des chambres à 250 euros la nuit.
Nous reprenons le bus.
Nous entrons dans la ville de Agua Calientes.
Nous en profitons pour nous reposer en mangeant dans un des restaurants de la place.
Nous décidons de visiter la ville.
La file pour acheter les tickets est déjà grande.
Nous nous rendons au marché local.
Nous découvrons la vraie vie des habitants locaux.
Nous nous rendons ensuite au marché artisanal, aux abords de la gare.
La queue pour acheter les tickets est impressionnante : près de 4 heures d’attente.
Nous découvrons les produits locaux fabriqués artisanalement.
La file d’attente pour monter dans les bus s’agrandit de minute en minute.
Nous décidons de rejoindre les bains chauds d’Agua Calientes.
Nous payons 3 euros l’entrée. L’ouverture des bains est de 5 heure du matin jusqu’à 20 h.
Il nous faut marcher une quinzaine de minutes pour rejoindre les sources thermales.
Nous profitons d’un moment de relaxation.
Nous mangeons ensuite dans un restaurant de la ville.
Nous rejoignons la station de train.
Nous embarquons.
Le train présente un dysfonctionnement. Il s’arrête pendant près de 2 heures.
Il repart ensuite ; nous avons peur de louper notre transport en minibus prévu dans notre excursion.
Nous arrivons à Hydroelectrica.
Fort heureusement, le chauffeur nous a attendu.
Nous retrouvons nos places dans le minibus.
Nous repartons, après avoir patienté et attendu les derniers retardataires ; il faut dire que l’organisation de départ est catastrophique.
La route est toujours aussi dangereuse.
Mais, manque de chance, nous crevons juste à côté d’un précipice ; la roue est changée en trente minutes.
Mais, alors que nous rejoignons la ville de Santa Teresa, le chauffeur nous arrête sans raison et nous abandonne. Nous nous retrouvons sur le bord de la route.
Un autre chauffeur de l’agence s’arrête et nous demande de patienter dans un des cafés de la ville.
Nous apprenons qu’un minibus viendra nous chercher le lendemain et qu’en attendant, nous devons dormir sur place, sur le sol.
Nous décidons de nous regrouper avec d’autres touristes, afin de prendre un taxi, qui nous demande 130 euros pour nous ramener à Cuzco ; nous acceptons et partageons les frais.
Nous serons toujours aussi malade et mettrons près de 4 heures pour rejoindre notre hôtel.
Le lendemain matin, après une courte nuit, nous quittons la ville.
