En provenance de l’Est du Pérou, nous circulons vers Nazca.
Nous traversons le Pérou d’Est en Ouest.
Nous entrons dans la ville de Taramasi.
Nous avons affaire à plusieurs montées assez abruptes.
Le paysage est verdoyant.
Nous faisons une halte dans un restaurant traditionnel.
Le restaurant comprend un petit zoo avec de nombreux animaux.
Nous sommes appelés par la restauratrice, qui souhaite nous montrer un panel de la cuisine péruvienne.
Nous commandons des plats typiques.
Nous reprenons la route.
Nous entrons dans la ville d’Abancay.
Nous traversons une autre petite ville.
La route est de bonne qualité, quand bien même elle est sinueuse à plusieurs endroits.
Nous faisons une halte pour la nuit dans une petite ville.
Nous garons notre véhicule et nous découvrons la ville.
Nous nous rendons à pied au centre ville.
Nous visitons le marché municipal.
Nous rejoignons ensuite notre hôtel, un hôtel 3 étoiles, pour la somme modique de 40 euros.
Le lendemain matin, nous repartons.
Après avoir admiré, plusieurs troupeaux de lamas et d’Alpagas, nous repartons.
Nous grimpons en altitude.
Nous croisons de nombreuses lagunes. Le paysage devient plus aride.
Nous faisons une halte pour mettre de l’essence.
Cela fait plus de 4 heures que nous roulons.
A midi, nous nous arrêtons dans une petite ville pour manger un morceau.
Nous reprenons la route te nous nous arrêtons à plusieurs reprises pour admirer un paysage splendide.
Nous nous approchons de la région de Nazca.
Nous approchons de la route des lacets, une route comprenant de nombreuses courbes aux angles aigus.
Nous devons faire preuve d’un maximum d’attention, car en contrebas, la chute serait fatale.
Fort heureusement, la route est de bonne qualité.
La route des lacets s’étend sur plusieurs dizaines de kilomètres.
Nous descendons et montons à plusieurs reprises.
Nous atteignons le plat.
Nous entrons dans la ville de Nazca.
Nous nous renons au centre ville.
Nous visitons la place centrale.
Un taxi nous emmène gentiment à notre hôtel.
Nous avons réservé 2 jours à l’hôtel Alegria. Nous payons 40 euros la nuit.
Le lendemain matin, nous réservons un tour en avion pour observer les lignes de Nazca ; nous payons 100 euros et un minibus vient nous chercher.
Nous arrivons à l’aéroport de Nazca.
Les tickets peuvent être achetés à tout moment directement à l’aéroport ; plusieurs compagnies aériennes se partagent le marché.
Nous décollons.
Les lignes apparaissent sous nos pieds ; dans la région, certains promontoires permettent d’observer les lignes, mais rien ne vaut une sortie en avion pour les admirer pleinement.
Le tour propose le survol de 13 sites.
Les lignes suscitent les études de scientifiques du monde entier.
Le vol dure 30 minutes.
Nous retournons à l’hôtel.
Nous profitons de la journée pour nous reposer.
Le soir, nous découvrons les rues de la ville.
Le lendemain matin, nous repartons en direction du Nord du pays.
Nous prenons la direction de la ville de Ica.
Nous nous trouvons à présent à longer la côte Pacifique du pays.
Le paysage est désertique.
Nous entrons dans la périphérie de la ville de Ica que nous devons traverser.
Nous pénétrons la ville de Ica.
Nous devons prendre à un carrefour, la direction de Huacachina.
La ville de Huacachina se trouve au coeur d’une oasis.
Tout autour de nous, le désert.
Nous visitons l’oasis.
Nous cherchons à présent une société qui propose des excursions dans le désert ; il faut dire que trouver une telle compagnie n’est pas difficile, tant les démarcheurs pour ces agences sont nombreux.
Nous payons 10 dollars par personne ; nous laissons notre voiture sur un parking surveillé de la ville et nous grimpons dans une sorte de grand buggy.
Nous payons 5 euros l’entrée du parc.
Nous ferons plusieurs arrêts. Pour admirer le décor.
Nous sont également proposés, de nombreuses activités, tel que le surf des sables.
Nous terminons après 3 heures de périple, notre excursion en profitant d’une vue dégagée sur l’oasis de Huacachina.
Nous admirons ce paysage splendide et si particulier.
Nous reprenons notre véhicule et nous nous dirigeons vers la ville de Paracas.
Nous rejoignons la périphérie de la ville en moins de 2 heures.
La route est rectiligne.
Nous entrons dans la ville.
Nous nous dirigeons vers le port.
Nous garons notre voiture.
Nous découvrons une petite ville bien sympathique.
La ville est très touristique.
Des démarcheurs nous proposent de découvrir les environs en louant une sortie bateau ; nous préférons rejoindre la réserve de Paracas, une merveille naturelle en louant un quad. Mais avant tout, nous profitons d’un bon repas.
Nous louons un quad pour 20 dollars chacun.
Nous partons accompagnés d’un guide.
Nous rejoignons l’entrée de la réserve ; nous payons 5 euros l’entrée, mais nous apprenons que nous n’avons pas le droit d’être à plusieurs sur un quad ; nous devons gruger et faire marcher à côté de nous les passagers, avant de les récupérer lorsque nous serons hors de vue des gardes.
Nous entrons dans la réserve.
Il nous faut conduire plus d’une heure pour rejoindre le site de la cathédrale, un nom donné à plusieurs falaises façonnées par le vent depuis des siècles.
Le site est majestueux.
Nous descendons en contrebas des falaises accompagnés du guide, mais malheureusement, les quads ne sont pas assez puissants pour remonter, le sable étant trop fin. Nous sommes bloqués.
En attendant l’arrivée des collègues du guide, nous admirons le paysage qui nous fait face.
Avec le quad, nous pouvons circuler tout de même à proximité de l’eau, ce qui nous permet de bien profiter du paysage.
C’est alors que j’entends crier, je lève mon regard vers le haut des falaises ; il y a eu un accident ; je tente de rejoindre le haut des falaises, mais je m’enfonce dans le sable ; étant en altitude, je manque d’oxygène et je suis dans l’impossibilité de courir comme je le souhaiterai ; le moment est terrible ; je me sens impuissant. je parviens après avoir repris mon souffle à remonter et à ce moment, j’apprends l’accident ; mon fils de 4 ans, est parvenu à récupérer les clefs du quad dans la poche de sa soeur et discrètement, il est parvenu à démarrer le quad ; devant son avancée incontrôlée, sa soeur n’a eu d’autres choix que de renverser le quad avant qu’il ne se dirige vers les falaises. le quad s’étant renversé, il est tombé sur les enfants.
Les responsables de l’agence sont appelés en urgence.
Ils arrivent et découvrent avec horreur le carnage : le quad du guide ne fonctionne plus ; deux quads se trouvent en contrebas ; et un quad est accidenté. En plus, ils doivent nous conduire d’urgence à l’hôpital.
En rentrant à l’agence, nous leur apprenons que ma fille a abimé le dernier quad encore sur roue ; en conduisant prudemment, le guidon s’est bloqué et elle n’a eu d’autres choix que de foncer dans un talus ; décidément, sale journée.
Un responsable de l’agence nous accompagne dans la ville de Pisco ; en effet, nous sommes pris en charge par l’agence qui a une assurance.
Plusieurs hôpitaux se trouvent dans la ville de Pisco, mais l’administratif du pays fait que les étrangers doivent être soignés dans un hôpital bien spécifique ; nous tournons dans la ville pendant plus de 1 heure.
Nous parvenons à trouver la bonne direction de l’hôpital.
Nous le rejoignons.
Sur place, les médecins auscultent d’abord la mauvaise personne ; ils me prennent la tension ; je leur explique que je n’ai pas de problème, mais ils insistent ; je comprends à ce moment qu’ils veulent exploiter au maximum l’assurance.
Les médecins semblent peu sûrs d’eux ; hésitants, ils ne savent que faire ; nous devons les guider et sommes perplexes sur leurs qualifications.
C’est alors que nous apprenons que le responsable de l’agence a filé sans donner le papier de l’assurance ; nous devons payer la facture du soin : 3 euros. Nous payons et quittons l’hôpital ; de toutes manières, les blessures sont superficielles.
Nous nous rendons au centre commercial de la ville de Pisco.
Nous récompensons le courage du petit en lui donnant la possibilité de s’acheter ce qu’il désire.
Nous louons ensuite une chambre à l’hôtel Colorado, pour la somme de 30 euros la nuit.
Le lendemain matin, nous repartons en direction de la capitale : Lima.
Nous longeons la côte Pacifique.
Il nous faut 3 heures pour rejoindre la ville.
La voiture commence à brouter de plus en plus.
Nous parvenons à rejoindre la ville.
C’est alors qu’à ce moment, la voiture après 20 000 kilomètres dans toute l’Amérique du Sud s’éteint ; nous ne parviendrons plus à l’allumer.
Nous la plaçons sur le côté et retirons les plaques d’immatriculation ; nous laissons les clefs sur le contact, le poste ainsi que toutes les pièces neuves que nous avions achetées pour le véhicule ; le quartier dans lequel la voiture se trouve est populaire ; nous supposons qu’il ne faudra pas longtemps pour qu’un homme la récupère et la répare.
Nous nous éloignons de la voiture sans nous retourner.
Nous prenons un taxi pour nous diriger vers le centre ville ; le chauffeur nous demande 30 euros pour la journée.
Nous traversons un des quartiers les plus dangereux de la ville.
Le quartier comprend de nombreux trafics en tout genre.
Les façades des maisons sont décrépies.
Nous rejoignons le centre ville.
Le centre est touristique.
A ce moment, le conducteur souhaite nous présenter une partie de la ville moderne.
Nous quittons le centre historique pour rejoindre la zone commerciale de la ville.
Le secteur est digne des grandes métropoles européennes.
Il nous faut continuer encore une vingtaine de minutes pour rejoindre le coeur de la zone commerciale.
Nous visitons les boutiques qui proposent des produits de luxe.
Après 2 heures, nous retournons au centre historique.
Nous sommes pris à plusieurs reprises dans les embouteillages.
Le chauffeur nous dépose aux abords de la place des armes.
Nous visitons les ruelles alentours.
Nous nous dirigeons ensuite vers la place des armes.
La place est la plus touristique de la ville.
Nous passons un long moment sur la place pour en découvrir les moindres recoins. Nous nous rendons sur l’avenue principale.
Nous rejoignons ensuite une zone piétonne.
Nous découvrons de nombreux petits commerces.
Nous arrivons sur une autre place ; de là, nous prenons un taxi.
En sa compagnie, nous nous dirigeons sur le front de mer.
Le chauffeur nous dit de nous méfier des autres conducteurs de la ville, car certains chauffeurs de taxi agressent les touristes ; il faut prendre toujours des taxis officiels.
Nous traversons la ville pour rejoindre le front de mer.
Nous pouvons ainsi nous balader à notre guise.
Malheureusement, nous ne pouvons pas nous baigner ; nous prenons un autre chauffeur afin de rejoindre un autre secteur de la ville.
Nous arrivons sur une avenue qui comporte de nombreux restaurants.
Nous rejoignons ensuite notre hôtel : le Costa del Sol.
Le lendemain matin, nous découvrons ce quartier chic de la capitale.
Il s’agit là d’un autre visage de la ville.
Un chauffeur est ensuite appelé pour nous emmener à l’aéroport qui se trouve à 40 minutes de route.
Nous arrivons aux abords de l’aéroport.
Le chauffeur nous dépose aux départs domestiques.
Les véhicules sont nombreux ; nous perdons du temps.
Nous procédons à l’enregistrement de nos bagages avec la compagnie Latam, en direction de la ville de Piura. Nous payons 70 euros le trajet.
Nous nous dirigeons vers notre porte d’embarquement ; nous sommes obligés de prendre l’avion pour rejoindre la ville de Piura, étant donné que notre voiture nous a lâché la veille.
Nous sommes appelés à l’embarquement.
Nous grimpons dans l’avion.
Après 2 heures de vol, nous arrivons dans la ville de Piura.
Nous débarquons.
Nous récupérons nos bagages et trouvons un chauffeur de taxi.
Nous lui demandons de nous conduire à la station des bus internationaux.
En 5 minutes, nous arrivons à la station ; nous avons de la chance ; il reste 4 place dans le prochain bus en direction de l’Equateur ; le trajet coûte 15 dollars par personne.
Le bus démarre après 20 minutes d’attente.
Nous quittons le Pérou après avoir présenté nos papiers ; par chance, personne ne nous a questionné sur l’abandon de la voiture.