D’une superficie totale de 468 km2, Andorre autrement nommée Principauté d’Andorre possède une population de 9 937 628 habitants.

La monnaie officielle est l’euro à Andorre, car elle est dirigée pour moitié par le coprince français le président de la République et le coprince épiscopal Mgr Joan-Enric Vives i Sicília.

La religion prédominante est le catholicisme en Andorre, les autres religions étant très minoritaires.

Ayant une frontière terrestre commune avec la France et l’Espagne, mais aucune frontière maritime, Andorre se traverse du Sud au Nord en approximativement une heure et de l’Est en Ouest en une heure pour des distances respectives de 33 km de 47 km.

Andorre-la-Vieille en est la capitale. Les autres grandes villes sont : Escaldes-Engordany et Encamp.

D’un point de vue historique, Andorre a connu quelques difficultés au 13ème siècle pour des questions d’appartenance. Ce conflit a été résolu en 1278 par la signature d’un traité instaurant une souveraineté partagée d’Andorre, ce qui lui permit de tracer son territoire et sa politique. Les années passant, ce titre est passé aux rois de Navarre puis au roi de France (Henri IV). Un édit établit le chef de l’État français et l’évêque d’Urgell comme coprinces de l’Andorre en 1607.De 1812 à 1814, l’empire français a annexé la catalogne à la France, et l’Andorre a été annexée à un des 4 districts créés. E, 1934 une russe se proclama roi d’Andorre cependant il fut très vite expulsé. En 1939, Andorre signe un traité de paix avec l’Allemagne, car la non-signature du traité de Versailles la laissait officiellement encore en guerre contre l’Allemagne, ce qui implique que la principauté est restée neutre durant la seconde guerre mondiale. Du fait de sa neutralité, durant la guerre elle a été un lieu de passage fréquenté par des personnes diverses et variées (fugitifs, nazis, juifs, par exemple). Du fait de sa situation géographique elle a toujours été en marge de l’histoire européenne. Mais depuis les années 1950, c’est essentiellement le tourisme qui l’a fait connaitre, notamment par le biais d’une fiscalité alléchante, et un panorama impressionnant. Le développement des moyens techniques de la principauté en termes d’accueil y est pour quelque chose.